La crème plus-que-fouettée par Triple Xxx Girl

Il avait fait chaud cet été-là… chaud et humide, comme l’a été mon sexe en
cette journée de juillet…

Je le voyais qui se promenait, nu comme un ver, dans notre maison, les
portes grandes ouvertes. Je regardais sa démarche avec des yeux gourmands,
j’aurais voulu le dévorer sur place, le combler comme jamais, sentir encore
plus de chaleur torride en moi et sur moi… J’étais également légèrement
vêtue : une simple blouse translucide et un slip, rien de plus.

J’étais assise sur le divan, et il vint s’asseoir juste à côté, à moitié
avachi, son sexe mou accoté sur une de ses cuisses. Il me regarda le
regarder avec un petit sourire malin. Il me faisait craquer avec un tel air.

Je le regardai avec mon air le plus sérieux du monde et passai une de mes
jambes par dessus ses cuisses de sorte à ce que je sois assise sur lui. Je
pouvais sentir sa bite tout près de ma chatte humide. Il me regarda de ses
yeux gris comme l’acier, qui me figèrent sur place… Je l’embrassai
fougueusement sur les lèvres en repoussant ses épaules en arrière, et en
collant mon corps encore plus près du sien… Puis je le fixai à nouveau
profondément et lui demandai d’une voix railleuse…

– Hmmm, j’aime bien te voir collé à moi… mais viens prendre une douche…
j’ai envie de me rafraîchir avec toi…

À peine ais-je eu le temps de finir ma phrase qu’il empoigna mes deux fesses
et me souleva. Je m’accrochai à lui quelques instants, puis déboutonnai ma
blouse nerveusement pour ensuite la laisser tomber par terre. Je relevai mes
seins pour lui mettre leurs pointes devant la figure. Il se mit à me téter
un mamelon, puis l’autre, toujours en avançant jusqu’à la salle de bains.

Il me garda dans ses bras quelques instants et me déposa sur le métal froid
de la sécheuse. Je réagis vivement et lui fit de gros yeux. Je me retins
pour ne pas le gifler. Il me regarda à nouveau de son air moqueur et
m’embrassa langoureusement sur les lèvres à nouveau, ce qui éteignit ma rage
soudaine …

– Ne voulais-tu pas te rafraîchir, petite ?

La passion, elle, s’attisa lorsqu’il se mit à me caresser les cuisses, en
remontant sur mon ventre pour venir monter sur mes seins, aux tétons raidis
par la froideur que j’avais ressenties sur mon derrière tout chaud. Je
reculai et posai mes pieds sur le rebord de la sécheuse, dévoilant mon sexe
à mon bien-aimé. Dès qu’il approcha de moi, je m’esquivai et embarqua dans
la baignoire, et fit partir le courant d’eau glacée. Je restai figée
quelques secondes, mais je m’habituai assez rapidement à la froideur. Mon
grand blond hésitait à venir me rejoindre en voyant ma réaction.

– Allez, peureux, ça fait du bien ! Viens-t’en donc te rafraîchir avec
moi…

Je me caressai le corps et lui remontrai mes seins en les frottant et en
leur titillant le bout, ils prirent encore plus de volume … Il regardait
le spectacle, ses coudes appuyés sur la machine à laver, les yeux plein de
désir … Ne voyant aucun geste de sa part, j’arrêtai le courant et pris un
savon. Je me le passai partout, sur mes jambes, mes seins, ma chatte, mon
dos, mes fesses… et je moussai, lentement, en me caressant toujours
partout… Je gémis :

– Hmm, mon Amour, vieeens, viens me caresser partout, viens me… soupir…

Je le voyais depuis tantôt, la queue raidie, et il se laissa tenter. Il
s’approcha et embarqua dans le bain, juste derrière moi, et commença à me
masser le dos avec la mousse blanche … Il descendit et je sentis alors ses
mains sur mes hanches, puis mes fesses … Je posai mes coudes dans le fond
de bain, relevai le bassin pour qu’il voit bien mon sexe et mon anus,
tournai la tête sur le côté pour lui dire de ma voix chaude…

– Ahh ouiii, vas y avec ta belle grande queue, petit pervers, mets-moi où tu
en as envie.

Je sentis ensuite son gland se frotter contre mes fesses et mon anus, il le
trempa dans la mousse puis vint le frotter dans ma fente, sans plus … Je
continuai à gémir et à soupirer, non seulement parce que cela me procurait
d’énormes sensations, mais aussi pour l’exciter davantage … Ma chatte
était extrêmement humide …

Il commença à rentrer sa bite plus profondément en moi, ce qui me fit
pousser un cri de désir… Il y alla doucement… puis plus rapidement, je
sentais son sexe glisser avec aisance dans mon passage tout lubrifié, je
sentais ses hanches se cogner contre moi… Je contractai les muscles de mon
bas ventre pour que mon sexe soit encore plus serré contre le sien…

Il continua le va-et-vient de plus en plus rapidement et profondément, nous
criions à chaque entrée profonde de son sexe en moi, puis vint pour lui le
moment de l’extase, je sentais son corps se raidir, sa queue au plus profond
de mon vagin… je sentais son chaud liquide en moi…

– Hmm, j’adore quand tu jouis autant, mais j’aime encore plus quand…

Je pris équilibre sur un seul coude et me mis un doigt dans l’anus, le fit
pénétrer aisément avec toute la mousse, et le ressortis pour revenir prendre
appui. Il avait compris le message…
Il sortit donc sa queue de mon vagin chaud et mouillé, puis fit pénétrer son
gland, puis bientôt la moitié de son sexe, puis son sexe entier dans mon
cul… Il mit une main sur ma hanche, l’autre sur ma chatte, et bientôt sur
mon clitoris bien gonflé…

Il y alla tranquillement, tout glissait très bien… son doigt était bien
synchronisé à son mouvement de hanches, je n’allais pas résister bien
longtemps à toutes ses caresses si enivrantes, excitantes… Il ne manquait
qu’une seule chose pour me faire jouir, c’est qu’il jouisse à nouveau.

– Vas-y, bébé, laisse-toi encore aller en moi, t’aime ça me mettre comme ça,
hein, alors vas-y, vas-y, défonce-moi, mets-bien ta queue au plus profond de
moi ! Hmmmm !

Il accéléra, il commençait à s’essouffler comme une bête sauvage qui ne
cesse de courir, puis j’entendis à nouveau son cri de jouissance, sa main se
mit à caresser nerveusement mon bouton rose et il me fit jouir comme jamais
! Cet orgasme m’a presque vidé de toute énergie !
Nous sommes donc restés quelques minutes, épuisés, l’un dans l’autre… Puis
nous avons ensuite décidé de nous laver bien comme il faut, cette fois.

Mais la journée n’était pas terminée…

Après nous être reposés pendant deux ou trois heure sur le divan, à parler
de nos fantasmes et à nous endormir par mégarde, je me réveillai, enlacée
avec lui. Nous étions tout suintants. Je me décollai doucement de son torse,
et le caressai doucement où ma tête était posée. Il se réveilla à son tour,
me faisant un grand sourire éclairé par ses yeux gris d’acier.

Je l’embrassai amoureusement quelques instants puis me relevai pour me
diriger à la cuisine, toujours nue. Pour une fois, il ne me suivait pas ! Je
revins au salon avec un plat de crème fouettée et un bol de verre rempli de
grosses fraises rouge foncé. Je sentais qu’il avait encore faim… de
passion et de sexe…

Je me couchai à moitié sur le divan, à l’autre bout d’où il était déjà
installé, me pris une fraise et trempai la pointe dans la substance blanche,
que je léchai, par petits coups de langue, en fermant les yeux. Ce n’était
plus une fraise en mon esprit tordu, mais plutôt le gland de mon copain que
je voulais lécher et exciter. Je continuai donc à lécher et à titiller le
bout de la fraise pendant quelques instants, toujours devant mon adoré.
Quand je rouvris les yeux, il m’observait avec un petit sourire narquois,
plein de charme… soudain un petit vent de sadisme me vint, et je mordis la
fraise à plein dents, avec presque ce que l’on pourrait appeler de la
rage… Il rit silencieusement.

Il se prit à son tour une fraise avec une TONNE de crème fouettée, et la
mangea avec une drôle de technique, lui aussi… Je pris une certaine
quantité de crème fouettée et lui lançais, me sentant d’humeur à jouer. Il
en avait sur le torse, le ventre, le sexe, les cuisses… Surpris, il se
décida à m’en mettre partout sur le sexe. Je ne bronchai pas, écartai les
jambes, en posant une sur le rebord du dossier du divan, et repris une
fraise. Je la trempai sur le bout de son sexe pour recueillir un peu de
crème fouettée, et la mangeai à nouveau délicatement … Il se décida à en
prendre une également, regardant mon sexe couvert de crème blanche. Il me
titilla quelques instants le clitoris, puis enfonça le bout de la fraise
dans mon vagin qui commençait à devenir très humide. C’était dur et froid,
j’aimais bien. Il la ressortit. la fraise était à moitié couverte de ma
mouille et de crème fouettée. Il mangea le fruit avec délectation.

Je repris une fraise rouge, et m’agenouillai par terre pour être à la
hauteur du sexe gonflé de mon bien-aimé. Je frottai la fraise partout sur
son gland, le fruit était plein de petites bosses, ce qui donna à mon homme
un petit plaisir en plus… Il ferma les yeux et laissa ses mains étendues
sur le divan… Je lui léchai toute la crème fouettée que j’avais mise sur
son corps auparavant, toujours en le caressant avec le fruit, puis je revins
lui lécher le sexe pour tout nettoyer. Je lui écartai les cuisses un peu et
m’attardai sur sa longue queue, je commençai à le sucer avec passion, les
lèvres bien serrées et la fraise lui caressant maintenant la bourse. Je
suçai parfois profondément, parfois rapidement, et, après quelque temps, je
fis les deux. Je sentais son corps se tendre de plus en plus, il commençait
à pousser de légers gémissements qui m’excitaient davantage et qui me firent
accélérer le rythme et les caresses. Il laissa finalement sa semence dans ma
bouche chaude, agrippant ses mains à ma tête. J’avalai le chaud liquide, et
vint ensuite m’étendre sur le sofa …

J’avais une jambe accrochée à nouveau au dossier, et l’autre complètement
écartée, de sorte à ce qu’il voie mon sexe encore plein de crème fouettée
… Je recommençai à me caresser les seins et me fermai les yeux …
quelques instants plus tard, je sentis sa chaude langue pénétrer mon vagin,
puis ressortir. Ses grandes mains étaient venues se poser sur mes hanches,
près de mes fesses. Il me lécha goulûment comme un enfant qui mange une
glace, puis il calma ses ardeurs pour se concentrer sur mon bouton rose,
toujours aussi gonflé… Ses petits coups de langue étaient à peine
perceptibles, mais quelle jouissance cela me donnait — et allait me donner
lorsque j’allais exploser sous ces titillements si délicats !

Après avoir fait tournoyer sa langue dans tous les sens sur ma partie
sensible, je lâchai un long gémissement et levai le bassin pour mieux sentir
sa langue, l’intense orgasme qu’il me procurait raidit mon corps … et son
sexe bien long. Il vint ensuite me pénétrer, lentement et profondément …
Je ne pus me retenir une seconde fois et jouis à nouveau … il n’en fallut
pas moins pour qu’il se mette à accélérer son mouvement (la crème allait
vraiment être fouettée, cette fois !) et mêla son liquide à la substance
sucrée qu’il venait d’enfoncer dans mon vagin…

Inutile de vous dire qu’une tierce douche s’imposait. cette journée là !
Cette fois, nous sommes restés sages comme des images, nous contentant de
quelques attouchements osés et d’autres plus amoureux… Cette journée, je
n’allais jamais l’oublier…

À vous tous, avec amour et sensualité 😉

TRIPLEXXX GIRL

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3 réponses à La crème plus-que-fouettée par Triple Xxx Girl

  1. BoyLuc dit :

    J’aime bien ce thème votre site en propose-t-il d’autres
    Merci d’avance

  2. Turpin.B78 dit :

    Idée de recette pour les fêtes

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