Jack, Pierre et moi par Eric_C

Jack, Pierre et moi par Eric_C

La coupe était pleine. Une fois de plus, une fois de trop, elle m’avait pris à partie. Me reprochant devant témoins, des petits faits sans vraiment d’importance. Je l’ai regardé calmement et je lui ai tourné le dos. Je suis sorti après avoir mis un coup de pied dans une poubelle et envoyé valdinguer un pot de fleurs en plastique.

Direction chez-moi.

Alors que je montais dans le bus, je changeais mes plans. J’avais besoin de boire quelque chose de fort. Descendu du bus en centre-ville, mes pas me conduisirent dans un club où je m’étais promis de faire un tour histoire de voir l’ambiance du lieu.

Je poussais la porte et jetais un coup d’œil rapide. Juste un mec assis seul, occupé à lire un tas de paperasse. Début d’après-midi en semaine, j’espérais trouver quoi ?

Au comptoir je commandais un Jack Daniel et allais m’asseoir à une table. Le Jack me réchauffa et m’aida à faire le point sur ce qui venait de se passer. Sûr, j’allais me faire virer. Rien à foutre. J’en avais ras le bol de cette boite. J’avais déjà fini mon verre. Je m’apprêtais à me lever pour en commander un autre lorsque le barman me déposa un verre plein devant moi.

– Vous êtes télépathe ou devin?
– C’est ce monsieur, me répondît-il en me désignant le seul autre client. Je me retournai et levais mon verre pour le remercier. Il inclina la tête.

Et puis merde. Je me levais et m’assis face à lui.

– Merci pour le verre.
– De rien. Vous aviez l’air d’en avoir besoin. Des soucis?
– Absolument rien d’insurmontable.

Je le dévisageais. Quarante-cinq ans à tout casser, petite barbe. Beau mec.

– C’est la première fois que vous venez ici?
– En effet. J’avais besoin d’un verre ou deux et puis tant que j’y étais, voir si j’allais trouver quelqu’un pour…
– Pour me coupa-t-il?
– Eh bien depuis quelque temps je ressens le besoin de sucer une bonne queue juteuse et me faire mettre bien profondément. Ça vous intéresse?
– Beaucoup. Finissez votre verre et allons chez-moi.

Pas plus compliqué que cela. Je buvais mon Jack, cul sec et le suivis. La circulation était fluide.

– Cela te prends souvent ses envies?
– Assez souvent, oui. Mais passer à l’acte c’est la première fois.
– J’en suis flatté. Donc c’est ta première fois.
– Non. Il y a de cela fort longtemps j’ai eu une relation avec un homme. Juste une fois.
– Tu as aimé?
– Oui. Mais cela aurait pu être mieux.
– Pourquoi?
– Je venais d’avoir dix-neuf ans, lui était un homme d’âge mûr. Bien que j’avais très envie de cette relation, j’ai été nul.
– Comment ça?
– Je n’ai pu me décider à le sucer. Lui m’a sucé et a avalé mon jus. Puis il m’a pris en levrette. Il en avait une toute petite et fine. Je n’ai rien senti. C’est tout.
– Et aujourd’hui tu penses être moins coincé?
– L’alcool est un bon partenaire pour faire tomber tes inhibitions.

Il gara la voiture.

Je plaquais ma main sur son entrejambe, me penchais vers lui et l’embrassais.

Aussitôt dans son appartement, il me colla contre le mur et m’embrassa avec fougue. Je répondais en cherchant le contact avec sa langue.

– Tu veux boire quelque chose?
– Oui.
– Je n’ai pas de Jack, mais j’ai un très bon whisky écossais.
– Très bien.

Il nous servi un verre et nous nous sommes assis sur le canapé. Nous bûmes nos verres en silence.

Je posais le mien par terre et m’installais à genoux entre ses jambes. Sans le regarder, je desserrais sa ceinture. Bouton, fermeture éclair et je libérais son sexe que j’avalais sans tarder. Ma première fellation. Tout doucement je lui léchais son gland et commençais une lente fellation. Sa queue était de très bonne taille. Bien raide dans ma bouche. Il releva ma tête et m’attira vers lui pour m’embrasser.

– Eh bien tu t’en tires très bien. Il se leva et de déshabilla. J’en fis de même. Il prit mon sexe dans sa main.
– Je vais bien m’occuper de toi. Après.

Il me fit m’asseoir sur le bord du canapé. Jambes écartées. Il pointa son sexe vers ma rondelle.

– Il me semble que le passage ne soit pas trop étroit. Je vais quand même y aller doucement.
Il frotta son sexe sur les fesses et se présenta pour me pénétrer.

Je pensais en moi-même, ne pas contracter. Il progressa avec lenteur me laissant le temps de m’ouvrir au maximum.

Je ne le quittais pas des yeux. Il s’arrêta et commença et doux va et vient. La sensation était au-delà de mes espérances. Je lui souriais. Il compris que tout allait bien pour moi.
Il accéléra le rythme. De plus en plus vite. Il se cabra et poussa un cri rauque. Il resta en moi et continua de bouger son sexe. Il approcha son visage du mien pour m’embrasser.

Il se retira et s’allongea à mes côtés quelques instants pour reprendre son souffle.

Puis il commença à embrasser mon corps jusqu’à atteindre mon sexe.

– Tu as un très joli sexe.

Il titilla mon gland du bout de la langue et se mis à me sucer. Il y avait beaucoup de savoir-faire. Il faisait ça bien mieux que ma compagne.

Il s’installa confortablement sur le canapé et m’attira à lui.

– Pas la peine de t’inquiéter, la voie est bien ouverte.

Je mis mon gland en position et mon sexe glissa en lui sans problème. Je restais un instant sans bouger. Pour moi c’était l’après-midi des premières. Première fellation et première sodomie. Je me mis à bouger en lui. Lentement puis un peu plus vite. J’accélérai soudain le rythme. C’était trop bon. Il senti mon orgasme venir et il me montra sa bouche. Une dernière fois. Je me retirais et mis mon sexe dans sa bouche. Je n’eut pas longtemps à attendre avant de jouir. Je poussais un énorme soupir. Mon corps étant secoué de délicieux frissons. Je fermais les yeux pour mieux savourer cet instant d’extase. Putain que c’était bon. Je m’allongeais sur lui et l’embrassais. Quelques gouttes de mon sperme avait coulé le long de son menton. Je léchais ma propre semence et partageais avec lui en l’embrassant tendrement.

Il nous servi une petite collation avant qu’il ne me dépose à un arrêt de bus.

– Comment te sens-tu?
– Délicieusement bien. Puis-je te demander une faveur?

Il m’écouta et sourit.

– Avec plaisir.

Je pris un coussin sur le canapé, m’agenouillais sur ce dernier et avec délice je me mis à le sucer. Lorsqu’il senti venir sa jouissance il susurra – maintenant. Pour mon plus grand plaisir il jouit dans ma bouche gourmande. Je ne lâchais pas sa queue pour autant.

Finalement je le libérais. Il me regarda.

– Tu…tu reviendra?

Je lui souris.

– Oh que oui. Au fait je m’appelle Marc.
– Pierre. Je n’oublierai pas d’acheter une bouteille de Jack, rien que pour nous deux.

A part ça, je ne perdis pas mon boulot. Elle se fit toute petite, comprenant qu’elle avait dépassé les bornes. Nos relations s’améliorèrent.

Eric

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4 réponses à Jack, Pierre et moi par Eric_C

  1. Jacques André dit :

    Hum, ça m’excite de trop, tous ces suceurs de bites

  2. Charlestox dit :

    Quand on pense que certains se contentent d’aller cueillir des champignons

  3. Patterson dit :

    J’adore faire des fellations dans les sous sol des sexshops. s’il y a des gens qui regardent c’est encore mieux.

  4. Werber dit :

    sacré Jack

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