Flot-rence 1- A la source par Aengus danna

 

FLOT-RENCE
1- A la source
par Aengus danna

Mon histoire à eu lieu il y’a quelques années, alors que je me trouvais toujours à la faculté. J’avais alors 25 ans et je préparais une thèse en économie. J’étais originaire de Vendée et depuis mon arrivée sur Paris, j’étais, il faut le dire, un peu seul. Je m’étais donc engagé à rencontrer des gens afin de combler l’absence de sentiments dans les aventures que je m’étais autorisé depuis mon arrivée dans la capitale : il fallait bien s’amuser et utiliser ce qu’on nous avait donné. Nous étions dans ces années au début du développement fulgurant de la technologie Internet et je découvris alors que les chats étaient un endroit facile pour faire des rencontres car on pouvait y masquer les défauts que l’on avait. Je fis plusieurs rencontres infructueuses jusqu’à ce qu’aux détours d’un forum sur l’économie, je rencontrais Florence. Elle se présentait comme une étudiante en économie et nous avons rapidement sympathisé s’échangeant en alternances des analyses économiques et politiques et des tranches de vies, découpant de plus en plus proche du cœur de la cible.

Bien qu’elle l’ai refusé des le départ, il y’avait bien un moment où Florence devrait se résigner à me rencontrer. En effet dans nos conversations nous nous étions interdits de parler de deux choses : notre physique et une éventuel rencontre. Ce fut pourtant choses faites quelques semaines plus tard dans une toute petite brasserie du 19ème. Sans vouloir tombé dans le cliché, j’étais plus habitué aux univers un peu moins glauques que ce bouiboui ; en effet il ne fallait pas être trop tatillon. Arrivé une heure en avance à mon rendez vous j’avais eu le temps de scruter les habitudes non conformes à l’hygiène du taulier (restaurateur ne pouvait vraiment pas désigné cet individu difforme au regard globuleux). Et que dire des toilettes où les araignées devaient slalomer entre les graffitis et les souvenirs graphiques d’anciens visiteurs !

Je m’étais installé en face de la porte pour pouvoir observer les femmes qui pourraient y passer. La plupart ne faisaient qu’y passer acheter du tabac. Il est certain que les habitués affalés sur le comptoir n’aguichaient pas la cliente. Une seule avait attiré mon attention : un petite blonde en robe longue et bottes de cuir vert avec poitrine pas trop marquée ; un peu discrète, un peu cachée comme je les aimait à l’époque ; mais pas de sac en toile blanc qui était mon signe de distinction pour reconnaître Florence. Au bout d’une demi heure de retard, je commençais à me demander si je ne m’étais pas fait piéger comme le premier des ado qui chattait en espérant trouver une meuf pour la soirée ! Quand Florence fit son entrée. Elle devait mesurer un peu plus d’un mètre soixante cinq et était très svelte. D’origine asiatique, elle était habillé d’une longue veste noire et d’une robe dans les tons émeraude qui faisait ressortir notre clef : un sac en toile blanc comme un phare dans ma nuit.

Nous nous serrons la main et elle m’invite à la suivre dans une petite salle quelle doit connaître derrière. En effet juste à droite des toilettes que j’avais déjà visitées se trouvait une toute petite salle où se trouvait des tables en formica qu’entouraient des banquettes en sky marrons clair sous lesquels s’accumulait la poussières les mégots et quoi d’autre encore. Nous discutons difficilement au début puis tout vient petit à petit. Nous passons la cinq heures à parler d’économie, de nos vacances, de nos passions en avalant plusieurs litres de café sans que le temps semble être long, sans remarquer non plus que d’un face à face classique, nous nous retrouvons en cette fin d’après midi de novembre sur la même banquette les cuisses collées. Je ne le remarque que quand dans un regard à ma montre mon regard croisse ses cuisses, découvertes pas le haut de ses bas, la robe ouverte négligemment (?) remontée. Elle l’a remarqué et il y a comme un moment de flottement. Elle dit deux banalités puis se lève pour aller au toilettes. Je me morfonds en me demandant ce que j’ai fait et si je n’ai pas tout gâché et d’un coup me lève pour moi aussi aller aux toilettes.

Il y a deux toilettes et je me saisis de la poignée de gauche, la porte de droite semblant être la plus fermée. J’ouvre alors la porte et elle est là, accroupie au dessus des toilettes turcs, la robe entièrement remontée. Je ne vois que ses bas, ses lèvres qui brillent et les gouttes d’or qui ruissellent. Je referme la porte en m’excusant même si dans mon pantalon, l’envie d’uriner n’est plus en première position, je m’enferme dans la toilette de droite et attend que Florence soit apparemment sortie des toilettes. Puis j’empoigne mon sexe et me masturbe frénétiquement en revoyant ce ruisseau de plaisir quelques instants auparavant. Le soulagement n’est pas long à venir et je ne prends pas garde où je joui, la propreté des lieus n’en demandant pas tant. Je me rhabille rapidement sans même prendre le temps d’uriner. Je ressort et la, stupeur : Florence me fait face, elle a un regard pétillant de tigresse que je ne lui avait pas vu dans l’après midi :

« Alors on gaspille ? »

J’essaye timidement

– « Quoi ? »
– « Ne fais pas l’innocent, t’as du te brûler la bite tellement tu t’es astiqué fort ? On à du entendre le tintement de ta ceinture jusqu’au comptoir. Alors ça ta plut de me voir pissée petit vicieux ? »
– « Mais c’était une erreur, je ne voulais pas te gêner excuse moi » et j’essaye d’approcher le lavabo.- « Mais bien sur » dit elle en se collant a moi par derrière.

Je me colle au lavabo un peu gêné mais déjà une bosse m’éloigne du lavabo. J’essaye une diversion en essayant de chercher un essuie mains et elle le remarque.

– « Il n’y en a pas mais tu peux t’essuyer sur moi » fait elle en ouvrant son manteau pour me présenter ses seins galbés par le haut de sa robe.

Et elle me colle à nouveau au lavabo en m’écrasant avec un baiser. Je n’en peu plus et me laisse aller. Elle m’attire dans la cabine où elle était tout a l’heure puis ferme derrière. Nous nous embrassons mais elle garde le contrôle et je me retrouve rapidement chemise ouverte et pantalon sur les genoux alors qu’elle n’a pas découvert un sein. Elle enlève son manteau et me stupéfait encore. La voila qui s’accroupie à nouveau au dessus des toilettes.

– « T’as pas eu le temps de pisser » dit-elle en écartant des deux mains son haut dégageant le haut de ses seins.
– « Non, mais.. »- « Alors vas y ou je risque de partir. »

Ne voulant pas arrêter ce rêve, je me concentre et commence à lui pisser sur les seins et à côté car je n’arrive pas à viser

– « Pas étonnant que ces chiottes soit crades si les mecs visent aussi mal que toi »

Elle se caresse les seins avec ma pisse d’une main et l’autre poing fermé fait des aller retour entre ses jambes qui se trémoussent. Elle en perd l’équilibre et glisse, une de ses ballerines finissant dans le trou.

– « Tant pis » dit elle en s’agenouillant.

Ses bas si fins sont maintenant souiller par les restes des précédents visiteurs et ça na pas l’air de la gêner. Tentant de me bousculer ayant vu mon regard étonné, elle fini même par passer une mains sur ses jambes et s’étalé de ces liquides sur les cuisses et sur les seins

– « Ca se lave ! » répliqua-t-elle d’un ton provocateur.

Pour ma part, je me branle, ma bite ayant repris la forme des le flot de pisse interrompu. Elle dégagent alors mes mains et commence une fellation des plus énergiques. Il ne faudra pas longtemps pour que je lui jouisse dans la bouche.

Tout en récupérant sa ballerine le plus naturellement du monde et en se relevant pour se rhabiller elle continue à jouer avec mon sperme comme avec un chewing-gum. Je me rhabille aussi et après qu’elle a fermé son manteau pour cacher les traces de nos activités elle sort du bar. Je paye la note et elle m’attend dans la rue. Elle m’embrasse tout en me pinçant les testicules :

– « Pas mal pour une première, à bientôt j’espère »

Puis elle se retourne et part sans rien rajouter.

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Une réponse à Flot-rence 1- A la source par Aengus danna

  1. Biquet dit :

    Je cite : « elle continue à jouer avec mon sperme comme avec un chewing-gum » Etonnant, non ?

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