Ditar par Gabrielle01

Ditar
par Gabrielle

Cette histoire s’est passée voici quelques années. Pendant longtemps, j’ai passé l’essentiel de mes vacances d’été à la campagne, en Lorraine, chez ma tante et mon oncle.
Ma mère me mettait dans le train à la gare de l’Est, je partais jusque Nancy, et là, ma tante venait me chercher pour m’amener dans un coin de verdure à quelques kilomètres de Nancy.
Cette année-là, je venais d’avoir 18 ans en février, et quand, fin juin, je roulai vers la Lorraine, je n’étais plus ce qu’il est convenu d’appeler une oie blanche. En effet, j’avais déjà connu de nombreux émois sexuels avec mes divers copains sur Paris. Enfin, je dis  » nombreux « , mais seuls deux de mes copains avaient osé m’approcher de plus près.

En bref, j’étais dépucelé depuis environ une année, ma première ayant eu lieu dans ce village campagnard, que j’appellerai Nancourt (je ne veux pas non plus être reconnue). Chaque été, je retrouvai Fred, le fils d’un couple de commerçants du village, et nous passions de merveilleux moments, assez tendres parfois. Il comblait mon manque affectif estival, et c’était le principal attrait de ces vacances à la campagne. Car je dois dire qu’à 18 ans, la perspective de passer un mois sans boîte, sans ciné, sans Paris en un mot, et à faire les moissons et m’occuper des bêtes de mon oncle, ne m’enchantait guère.

Bref, j’arrivai à Nancourt le cœur joyeux.

Dès le lendemain, je me pressai à la boutique des parents de Fred. Ceux-ci m’apprirent qu’il était parti ce matin, et qu’il devait traîner près de l’arrêt de bus. Quand je parvins à l’arrêt de bus, je l’y trouvai, en effet, mais en compagnie d’une vilaine jeune fille, au visage dévoré de boutons. Et visiblement, ils ne jouaient pas au Monopoly, mais au Pelotemoichéry. Sans lui accorder une seconde de plus, je partis en courant, me réfugier dans la ferme. Ma tante m’appris que cela faisait longtemps maintenant qu’il vivait avec cette fille, et qu’il comptait sérieusement l’épouser.

J’allais devoir passer un mois à me faire chier !

Et en effet, je passai une bonne semaine avec une tristesse visible dans les yeux, et un manque d’envie pour tout.

Puis un matin, ma tante, que ma tristesse ennuyait beaucoup, me proposa de faire une ballade à cheval. Je n’avais qu’à bichonner un peu Ditar, un des chevaux de mon oncle, et faire une ballade pendant l’après-midi. Alors que je brossai et sellai Ditar, j’aperçus, qui pendait sous le ventre de l’animal, un gigantesque  » machin « . Je m’attardai un peu à le caresser, et la vis se redresser brusquement. Puis soudain, je me dis que cela ne se faisait pas, et je sortis faire ma promenade. La bite du cheval m’obsédait toujours, même si je ne trouvais pas cela normal de fantasmer sur un animal….

Arrivée dans la forêt, fraîche et sombre, je me dirigeai sans trop réfléchir vers une clairière peu connue. Comme il faisait très chaud, personne ne s’y promenait.

Mue par un instinct indéfinissable, je stoppai Ditar dans la clairière. Je descendis de cheval, et me dit :  » C’est le moment où jamais pour appliquer mon fantasme « .

Le cheval s’était calmé depuis l’écurie. Il n’en fallut pas beaucoup pour que surgisse à nouveau ce long tuyau, large comme mon poing et long d’au moins le double d’un mec bien monté. Quelques caresses entre les pattes suffirent.

Une fois en face de cet énorme machin, je fus submergée d’idées et de sentiments.

Bien sûr, j’aurais pu essayer de me l’introduire, mais même bien humidifiée (j’étais trempée, je m’en rendis compte, et ôtais ma culotte), je me rendais compte que ma petite chatte ne pourrait accueillir un tel engin. Je me mis à le branler un peu, des deux mains. L’étalon semblait heureux.

Je m’agenouillai alors, l’énorme bite rose et noire à hauteur de mes yeux. Sans hésiter, j’enfournai comme je pus la partie qui correspond au gland dans ma bouche. De temps en temps, je portai la main à ma chatte trempée d’excitation, et me trifouillai le clito.

Il en fallu peu pour que le cheval éjacule brutalement une quantité considérable de sperme, qui me submergea. J’en avais plein la bouche, et malgré ce que j’avalais avec plaisir, il en coula beaucoup sur mon T-shirt, laissant de grandes traînées blanches.
Je finis de prendre mon plaisir, couchée dans l’herbe, les deux mains farfouillant ma chatte, et Ditar qui m’observait, l’œil curieux. Son engin disparut rapidement, et il se mit tranquillement à manger quelques herbes.

Je jouis bruyamment, mais comme il n’y avait personne…. (Du moins je l’espère !)

Je repartis et ne rentrai à la ferme que peu avant le dîner. Je retrouvai ma tante dans la cuisine. Lorsqu’elle me vit arriver, de larges traces blanchâtres sur le devant de mon T-shirt, des traînées vertes sur le derrière, elle comprit immédiatement, et me dis

 » Tu vois Gaby, je t’avais bien dit qu’une ballade avec Ditar te ferais du bien. Je ne pensais au point là, mais bon, pourquoi pas ?
– Il faut que je me change, mon oncle va me faire des réflexions.
– Qu’il essaye ! Et je lui rappellerai la fois où je l’ai surpris, debout sur un tabouret, à vouloir se taper la jument. Il ne faisait pas le fier ce jour-là, crois-moi !  »

Ma tante riait, et je sus que j’allais pouvoir passer des vacances qui, sans être passionnantes, ne seraient pas dépourvue de sexe, et d’une manière inattendue…

Gabrielle.

première publication sur le site de vassilia le 05 septembre 2004
Note du Webmaster : à cette date nous écrivions ceci : voici un texte zoo, pur et dur, que l’on publie à titre d’essai, ce texte m’a bien plus par sa simplicité et sa spontanéité, mais attention, nous n’ouvrons pas de brèche, amis écrivains ne sortez pas encore vos labradors de vos niches…

15/11/04 : Depuis le labrador est effectivement sorti de sa niche, et avec quel talent, merci Marie-Paule !

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9 réponses à Ditar par Gabrielle01

  1. Kerervé dit :

    Un cheval maintenant pourquoi pas un éléphant pendant qu’on y est ?

  2. zeclurn dit :

    Tant la texture que le goût du pénis de cheval sont agréables. C’est également bon pour la santé »,

  3. Grenadine dit :

    Sympathique mais pas assez développé

  4. Chastaing dit :

    Un peu court mais bien

  5. Elsa dit :

    Toujours fascinant ces histoire avec des bites de chevaux, il n’y en a pas beaucoup sur ce site

  6. Lucia dit :

    Ça donne envie d’essayer, ce doit quand même être plus compliqué qu’avec un chien, non ?

  7. Eddy dit :

    15/11/04 : Depuis le labrador est effectivement sorti de sa niche, et avec quel talent, merci Marie-Paule !

    • José dit :

      La preuve qu’on peut faire de la zoo excitante et celui qui me dira qu’il y a maltraitance sur l’animal n’aura rien compris

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