Confessions incestueuses – 2

Confessions incestueuses – 2

 

Triolisme avec maman par Ric

J’habite une petite chambre d’étudiant. Amelie me téléphone pour me demander si elle peut passer ? Bien sûr quelle peut passer ! Une demi-heure plus tard, elle sonna à la porte, j’ouvris seulement vêtu d’un caleçon car je savais que ça l’existait beaucoup. Je la fit entrer et aussitôt qu’elle eut le dos tourné, je la poussai sur le divan où je la déshabillait le plus rapidement possible
Je commençai à l’embrasser langoureusement et ce qui devait arriver ne se fit pas attendre, elle commençais à mouiller la salope (elle adorait ces mots-là) alors mes mains descendirent vers sa toison d’or et commencèrent à frotter son clito pour la faire gémir de plus en plus. Elle eut un premier orgasme. Moi mon érection était de plus en plus visible et elle le sentait. Alors elle retira mon caleçon et prit mon sexe à deux mains et commença à faire des va-et-vient qui ont fait sortir une goutte de sperme. Elle se délectait de cet avant-gout et elle en voulait plus. Elle se mis à me pomper comme une déchaînée et j’eus une premier orgasme, tout mon liquide chaud et salé lui coulait lentement et abondamment entre les deux seins et elle me dit .
– Nettoie moi ça tout de suite !
Je ne me fit pas prier pour attendre et je me mis à lécher tout ce qu’elle avait sur elle et en m’attardant bien sûr sur ses gros seins qui avaient des mamelons si fermes que je pouvais me crever un œil. Ensuite j’allais chercher une capote, elle me l’enfila et je commençais à l’enculer et elle eut un autre orgasme en même temps que moi
Alors que je me retirais, le téléphone sonna, c’était ma mère qui était dans le quartier et qui me demandait si elle pouvait passer me faire un petit coucou. Je cherchais à tergiverser mais Amélie intervint :
– Tu m’a bien dit que ta mère était une salope…
– Oui, mais…
– Dis-lui de venir et en attendant on va continuer à baiser, on verra bien comment elle va réagir
Nous découvrant nus couchés l’un sur l’autre ma mère se déshabilla aussitôt et sauta sur nous, nous embrassant tous les deux. Je proposais aux deux femmes de faire l’amour ensemble et pour corser la chose j’allais chercher le petit godemichet que je m’introduit parfois dans le trou du cul, et le leur confiait. Elles commençaient à s’embrasser, puis ma mère se mis à quatre 4 pattes pour se faire défoncer. Moi sur l’autre divan, je les regardais en me masturbant. Ma mère jouit en premier, ensuite elles inversèrent les rôles jusqu’à ce qu’Amélie jouisse à son tour.
Et moi j’éjaculais en faisant couler mon sperme sur mon torse, les deux coquines voyant ça se précipitèrent sur moi et commencèrent à me lécher le torse pour gouter à ma semence. Puis ma mère se mit à me sucer ce qui provoqua une autre réaction de mon membre viril.

La mère de Didier par Sophie

Moi, Sophie et mon copain Didier vivons provisoirement chez sa mère en attendant que nous nous trouvions une piaule. Évidemment, cette situation imite nos ébats amoureux…
L’autre jour, nous étions tous les deux dans le salon en train de regarder des sites pornos un peu extrêmes. Et à force de mater nous avons commencé à nous exciter.
J’étais assise près de lui et en me laissant descendre doucement sur ma chaise, j’ouvre mon robe de chambre sous laquelle je suis nue et écarte légèrement les cuisses. Didier me regarde et me fais un beau sourire. Mon entre-cuisse est tout juteux et il ne peut s’empêcher de venir y coller ses lèvres. Il me lèche, suce mon clitoris et moi je me tortille sur ma chaise et je ne peux gémir car sa mère dort dans la pièce à côté. Hummmm c’est tellement bon ce qu’il me fait !
Soudain il me fait mettre debout et me retourne, me faisant prendre appui sur le dossier de la chaise, j’ai le visage dans le passage et je peux guetter si sa mère se lève. Didier me caresse les fesses, j’entends son jeans descendre et je sens son gland qui vient taquiner l’entrer de ma chatte .je le supplie de ma baiser, là .tout de suite, ce qu’il fait avec ardeur et le voilà qui me laboure, me baise, me pilonne. Ses va-et-vient me font monter très vite et j’ai envie de crier mais je ne peux pas. La sueur coule sur mon visage, dans mon cou .mon dos s’humidifie lui aussi. Didier me pénètre de plus en plus vite et je l’entend me glisser à l’oreille qu’il jouira lui aussi très bientôt. Je lui demande de m’enculer.
Et là sur le pas de la porte, je vois sa mère en train de nous observer.
– Ne vous gênez pas pour moi, vous êtes très beaux tous les deux.
Je panique, mais contre toute attente Didier propose à sa mère de venir nous rejoindre. J’ai du mal à comprendre, mais l’instant d’après la mère avait la bouche se son fils dans la bouche.
Un moment j’ai pensé faire ma valise en vitesse et quitter ce lieu de perdition, mais les caresses de la maman sur mes cuisses m’ont tétanisé, je me suis laissé faire et quand elle m’a offert ses lèvres je les ai acceptés.
Sans doute est-ce l’insolite de la situation mais j’étais soudain excitée comme une puce, et je me suis retrouve en soixante-neuf en train de lécher la bonne chatte de la mère de mon copain. J’étais en dessous et elle au-dessus.
Et que croyez-vous que fit Didier ? Il a enculé sa maman qui a joui comme une damnée.
– Il y a longtemps que tu baises ta mère ? Lui demandais-je
– Oh je ne sais plus, le temps passe si vite !

La bite à Papa par Julien

Je suis Julien, j’ai 19 ans. Mon père rentre dans ma chambre et allume la lumière.
– Tu as bien sucé ton cousin, hier ?
Effectivement, quand mon cousin passe à la maison nous regardons des films pornos et quelques fois, nous nous branlons et nous nous suçons la bite
– Ben quoi , je suis majeur… Tu ne vas pas de dire que tu es homophobe quand même ?
– Non, mais figure toi que je vous ai vu, la porte était mal fermée et ça m’a excité
– Ah ?
– T’aimes ça les bites, hein ?
– J’avoue !
– Tu me sucerais la mienne ?
– En voilà une question inattendue !
– Mais tu ne m’as pas répondu.
– Disons que c’est un peu particulier.
– C’est juste une proposition !
– Hum
– Tiens regarde !

Il baisse son pyjama et sa queue sort déjà toute droite.

– Elle est belle !
– Ben suce-là !

Il s’approche de moi et me plante son sexe dans la bouche. Je le suce et ma foi, c’est pas dégueulasse. Sa queue durcit encore plus entre mes dents. Au bout de quelques minutes, il me fait me retourner à genoux et sans me dire un mot, il m’enfonce son engin dans les fesses. Je ne peux retenir un cri, mon anus me crie : « stop ! J’ai l’impression d’éclater de l’intérieur. Il ne retient pas ses mouvements tellement il est excité. Soudain, je sens du chaud monter en moi et ses mouvements se font plus lents. Son sperme m’inonde le cul et ressort de mes entrailles.
– Mets-toi sur le dos et branle-toi !
J’obéis. Il me remet son sexe dans la bouche.
– Nettoie, maintenant !
Je goûte à ce mélange de sperme qui sort de mon cul et rends ce sexe qui se ramollit aussi propre qu’au début.
J’ai bien jouit, mon père m’embrasse.
– Ça t’a plus ?
– Super ! Mais la prochaine fois frappe avant d’entrer.

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8 réponses à Confessions incestueuses – 2

  1. Reginald dit :

    Assez curieusement la France à une position intelligente en matière de relations incestueuses entre majeurs. L’Espagne et le Portugal se rapprochent de la France : ces code pénal ne réprouvent pas les relations incestueuses librement consenties entre personnes ayant atteint l’âge de la majorité sexuelle. Il y a infraction si les relations ne sont pas consenties ou si la victime est mineure et les peines sont aggravées si l’auteur est un proche parent. Dans les autre pays c’est beaucoup plus flou… la loi condamne, mais comment établir le délit ?

  2. Jimmy dit :

    C’était au cap d’Agde, j’étais en vacances avec mon père et ma mère, nous étions dans le coin coquin et tous les trois assez excités par la vision de tous ces gens qui se donnaient du plaisir. Ma mère fut attirée par un beau monsieur avec une belle bite bien bandée et lui a fait signe de s’approcher, le type s’est fait sucer devant mon père et moi. Je n’en pouvais plus tellement que je bandais. Une fois le mec parti m’a mère s’est tournée vers moi « T’es jaloux, t’aurais voulu être à sa place ? » « Peut-être » « Alors allons-y » Et l’instant d’après j’avais ma bite dans la bouche de ma mère, je l’ai ensuite sodomisé à sa demande et pendant que je le faisais, mon père me pelotais le cul, il m’a demandé si ça me génerait qu’il m’encule. Au point où j’en étais… Je me suis posé la question ensuite de savoir si cette situation n’était pas plus ou moins « arrangée »

  3. De Candé dit :

    Nous ne sommes plus au Moyen-âge, que diable, adversaires de l’inceste où sont vos arguments ?

  4. mintibrain dit :

    Ah, les fantasmes !

  5. Temis dit :

    Il est agaçant que le terme d’inceste soit systématiquement collé à celui de victime ! Il y a victime si la relation est subie et uniquement dans ce cas-là. Si la relation est consentie il ne peut y avoir de victime. Et pour avoir vécu ce genre de situation, je peux vous assurer que je n’ai rien d’une « victime qui s’ignore »

  6. Kevin dit :

    je recopie cette citation trouvée sur internet
    Doxa : Ensemble d’opinions, de préjugés ou de présuppositions généralement admises par le plus grand nombre sans qu’ils ne reflètent aucune réalité. Dans la doxa française des années 2020 on trouve pêle-mêle des choses aussi hétéroclites que « la justice est trop laxiste », « l’inceste c’est mal » ou encore « les poils pubien, c’est dégueulasse. »..
    source : https://lemomosite.fr/Motssavants.htm

  7. Denise dit :

    Il y a le discours dominant qui nous rabâche que l’inceste est obligatoirement traumatisant quelles que soit les circonstances.
    Et puis il y a la réalité : si tout ce passe entre personnes majeures et consentantes, je ne vois pas bien ou serait le traumatisme.
    J’ai pour ma part eu des rapports incestueux avec mes parents, avec ma mère ce fut des câlins prolongés et poussés à chaque fois que nous dormions ensemble, Avec mon père, je ne l’ai fais qu’une fois, les circonstances étaient particulières, mais il m’a demandé, j’aurais pu refuser, il n’aurait pas insisté, mais je ne demandais que ça. La pipe a d’ailleurs été ultra rapide.
    J’ai aujourd’hui 44 ans, tout cela fait partie de mes bons souvenirs…

  8. Onan dit :

    Trois belles histoires qui m’ont fait bien bander, merci encore
    Vive l’inceste !

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