Chemins libertins Chapitre 16 – Préparatifs par plaisirs_extremes

Chemins libertins
Chapitre 16 – Préparatifs
par plaisirs_extremes


Chapitre XVI

Il était dix heures en ce samedi matin radieux. Annick avait passé une robe de chambre sur son corps nu et elle s’affairait dans l’appartement. Arnaud était parti sur la côte pour un congrès et elle savourait à l’avance le week-end qu’elle allait passer seule.

Voilà une semaine qu’elle s’était rendue au sauna et le souvenir lumineux de sa folle jouissance lui restait en tête. En fait, elle avait très envie de recommencer et cette idée s’imposait de plus en plus à son esprit. Elle imaginait déjà toutes les turpitudes qu’elle accepterait de la part de Michel et Alex.

Son anus ne la faisait plus du tout souffrir. En fait, elle remarquait qu’il était de plus en plus ouvert, de plus en plus souple et de plus en plus sensible. Elle arrivait maintenant à se faire jouir en pénétrant sa rosette à l’aide d’un gode de bonne dimension et la sensation était si intense qu’elle en restait souvent hébétée de jouissance.

La sonnerie de la porte la fit sursauter. Elle alla ouvrir et se trouva nez à nez avec Déborah.

– Bonjour, comment vas-tu ?

Elles se firent la bise et Annick la fit entrer dans l’appartement.

Depuis qu’elles s’étaient rencontrées chez Eliane et Patrick, elles étaient très proches l’une de l’autre. Annick appréciait en elle ce petit grain de folie qui lui permettait toujours de faire la fête et de s’éclater et souvent elle s’était laissé entraîner dans de folles soirées en boîte de nuit. Petit à petit, elles étaient devenues amies et confidentes.

– Tu sais, lui dit Annick, ce soir, c’est moi qui ai envie de faire la folle.
– Hum, raconte, tu m’intéresses.
– Tu te rappelles, je t’avais raconté mon après-midi torride au sauna.
– Et j’en ai gardé un bon souvenir.
– Eh bien moi aussi, et je veux recommencer. Ca te dirait de m’accompagner?
– Ce soir, t’es sûr que ce sera ouvert?
– Non, je leur téléphone, on sort en boîte et on finit chez moi.
– Bonne idée s’écria Déborah visiblement ravie de cette initiative. Vas-y, appelle.
Annick décrocha le combiné et composa le numéro de téléphone du sauna. C’est Michel qui répondit.
– Bonjour, c’est Annick.
– Oh bonjour toi, que me vaut l’honneur d’entendre ta douce voix?
– Toujours aussi charmeur chuchota Annick à l’attention de Déborah.
– Que penserais-tu si deux nanas bien foutues vous proposaient à toi et à Alex de les sortir ce soir.
– Oh la, mais c’est une proposition malhonnête ça.
– Mais non, tu te fais des idées.
– Bon, pour moi, ça joue. Pour Alex, je ne sais pas. Je lui demande et je te rappelle.
– OK, je suis à la maison. Bisous, à tout à l’heure.

Elle raccrocha et se retourna vers Déborah, les yeux brillants de désir.

– Le poisson est ferré, il n’y a plus qu’à le tirer hors de l’eau.

De fait, Michel téléphona un quart d’heure plus tard pour lui dire qu’ils venaient les chercher chez Annick à vingt heures.

Elles s’étaient baladées en ville toute l’après-midi, fouinant dans les boutiques, riant comme des collégiennes en essayant des habits. Elles étaient même entrées dans un sex-shop pour acheter des boules de geisha, excitant la convoitise des hommes présents. Puis elles étaient retournées à l’appartement d’Annick pour se préparer.

Elles étaient toutes les deux nues dans la salle de bain. Elles avaient pris une douche et avaient soigneusement rasé leur sexe. Même Annick avait sacrifié la petite bande de poils restant sur sa chatte.

– Je vais te proposer quelque chose ma chérie dit Déborah.
– Quoi?
– Ce soir, on offre uniquement nos petits trous.
– Hum, je ne sais pas si j’en serai capable.
– Arrête, tu m’as dit que tu devenais de plus en plus souple et que tu adorais ça.
– C’est vrai, mais c’est la première fois que je n’offre que cette partie de moi.
– Eh ben, il faut bien commencer une fois non ? Viens, je vais interdire l’accès de ton vagin avec les boules de geisha. Comme ça, ils comprendront tout de suite ce que nous voulons.

Déborah fit coucher Annick sur le lit et releva ses jambes sur sa poitrine. Elle fit couler sur ses doigts un peu de gel lubrifiant et les passa doucement entre les lèvres du sexe d’Annick puis elle prit les boules de geisha et les enfonça tout au fond de son vagin.

– Je vais aussi te graisser l’anus, comme ça, tu seras toute glissante pour les accueillir.

Elle ajouta du gel sur la rosette foncée et l’introduisit au moyen de deux doigts, les faisant aller et venir profondément dans le rectum de la jeune femme. Celle-ci avait fermé les yeux et se laissait fouiller l’anus avec délice. Elle sentait le plaisir monter de ses reins et elle écarta ses fesses des deux mains pour s’ouvrir encore plus. Déborah s’était prise au jeu et faisait maintenant aller et venir ses doigts de plus en plus vite. En les ressortant complètement, elle pouvait voir l’anus palpiter, s’ouvrant et se refermant convulsivement. Elle replongea trois doigts joints, arrachant un gémissement de bonheur à Annick. Celle-ci ne vivait plus que par le plaisir qui irradiait de son trou boursouflé. Quand Déborah ajouta encore un doigt, elle ne put se retenir plus longtemps, elle cria:

– Vas-y, plus profonds, mets-les plus profonds.

Son amie vrilla ses phalanges dans l’anus, écartant encore un peu plus ses chairs intimes. Annick soulevait son bassin pour mieux aller à la rencontre de cette main diabolique. Il lui semblait qu’elle allait l’avaler, qu’elle allait disparaître dans son antre et la garder là, au chaud, très profondément. A cette évocation elle jouit dans un grand cri en lâchant de petits jets de pisse. Deborah, nullement décontenancée reçu en gémissant cette offrande dans sa bouche.

Déborah lui couvrait le visage de baisers. Elle se laissait faire, sentant son corps se détendre après sa longue jouissance.

Elles avaient enfilé sur leurs fesses nues une minijupe cachant avec peine la lisière de leurs bas. Toutes deux étaient parées d’une guêpière lacée sur le devant et d’une veste laissant deviner leur poitrine. Déborah avait elle aussi enfoncé les deux boules de geisha dans son intimité et son anus était luisant de gel. Elles se regardaient dans le miroir du salon un sourire amusé au coin des lèvres.

– Je crois qu’on leur plaira.
– Moui, c’est pas mal.

Annick enfila des bottes à talons aiguilles montant jusqu’aux genoux et Déborah opta pour des escarpins noirs à talons hauts.

Il était dix-neuf heures trente et elles s’étaient confortablement installées sur le canapé en sirotant un Martini blanc.

– Qu’est-ce qu’on va leur demander de nous faire demanda Déborah?
– C’est facile de prendre deux queues par derrière?
– Hum, je sens que tu veux essayer ça.
– Pourquoi pas, il me semble que je suis maintenant assez large. Tu sais, le gode que je me suis acheté est bien plus gros qu’une queue et même si les débuts sont un peu difficiles, après, ça glisse tout seul.
– Eh bien, tu vois, tu as très bien résumé la chose. Au début c’est un petit peu difficile, mais si tu es bien préparée, après, ça va tout seul et je peux mieux te dire que c’est très très bon.
– Ah oui?

Les yeux d’Annick brillaient à nouveau. Elle avait hâte d’essayer.

à suivre

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Une réponse à Chemins libertins Chapitre 16 – Préparatifs par plaisirs_extremes

  1. Claire dit :

    Aucun commentaire depuis dix ans ! Voilà qui me surprend car il est tr-ès bien ce petit texte

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