Clotilde 11 – les amis de Gaëlle par Fafalecureuil

Clotilde
11 – les amis de Gaëlle
par Fafalecureuil


Pas besoin de me le dire deux fois, Gaëlle me combla et pour être honnête, je bus son nectar brulant avec bien plus de plaisir que de répulsion. Je la nettoyais ensuite, aspirant son sexe avec application.

Elle me fit me relever et doucement me débarrassa de tous mes ornements, sauf du collier bien sûr et de mes hauts talons. Ensuite, elle me fit prendre une douche et rapidement elle me fit sortir et toujours entièrement nue, me fit gagner sa voiture. Les vitres teintées cachaient mon corps nu mais j’étais dans un tel état d’excitation que je ne m’en rendais pas compte.

– Maintient tes jambes écartées
– Bien Maîtresse.
– Tu as froid ?
– Un peu…
– Je monte le chauffage.
– Où allons-nous Maîtresse ?
– Je vais t’emmener chez de très bons amis.
– B…bien Maîtresse.
– Je suis sûre que tu leur plairas beaucoup.
– Mais ?
– As-tu oublié tes promesses ? Si tu veux on arrête tout.
– N….non, je ferai ce que vous voudrez…
– Nous allons arriver, tu obéiras sans discuter à tous les ordres qu’on te donnera, si tu refuses, le jeu s’arrête et on rentre à la maison. En attendant, caresse-toi les seins, je veux que tes tétons soient tendus,
– Bien Maîtresse.

La voiture passa un grand portail automatique, s’engagea sur un chemin de terre, s’arrêta. Nous sortîmes, je suivis Gaëlle docilement. Nous entrâmes, elle m’emmena dans une grande pièce qui ressemblait à un salon. 5 hommes et deux femmes étaient assis sur des canapés, ils portaient des masques. Je dus me mettre au milieu d’eux et sur les ordres de Gaëlle, exposer mon intimité. Sans pudeur je me mis au milieu d’eux et dévoilais mon corps pour eux, je me baissais, écartais les jambes au maximum, de mes mains j’écartais mes fesses pour leur montrer mon petit anneau palpitant. Ensuite elle m’ordonna de me masturber et pour ce faire elle me tendit son pied. Je baisais son pied et doucement ôtais sa chaussure que je léchais longuement avant de faire pénétrer le talon entièrement dans mon sexe. Quelqu’un me banda les yeux on me saisit fermement la tête et un sexe força ma bouche, je continuais à me masturber de plus en plus fort, je me faisais mal, avec délectation. Les commentaires étaient éloquents, aussi bien masculins que féminins… Une voix demanda à ce que je sois attachée et rapidement on me souleva, je fus attachée sur une table, écartelée, à la merci de tous.

– Clotilde, dis à tout le monde ce que tu désires…
– Je veux….
– Eh bien ?
– Je veux … vous appartenir, je veux être … à vous, votre chose, faites-moi ce que vous voudrez, je suis votre soumise,
– Et encore ?
– …punissez-moi…. prenez-moi, j’obéirai,
– humiliez-la, elle ne demande que ça !
– oui, …. Humiliez-moi… comme une chienne…

Ensuite mon corps ne fut plus qu’un jouet de plaisir pour les amis de Gaëlle… Léchée, caressée, pincée, pénétrée, sucée, les sexes se succédaient dans tous mes orifices, je léchais, j’embrassais tout ce qui était à portée de ma bouche : glands, seins, doigts, chattes… Puis je sentis la morsure de quatre pinces sur mes lèvres qui furent écartées et distendues, mes chairs intimes étaient dévoilées.

– Maintenant une petite punition !
– La cravache ?
– Bien sûr, mais doucement, pour l’instant…

Je sursautais au premier coup qui s’abattit sur mon sexe écartelé. La douleur était supportable pour l’instant. Je dus ensuite compter 7 coups de plus en plus forts, au dernier, mon sexe était sur le point d’exploser. Soudain quelque chose de froid pénétra mon petit trou, un plug de belle taille. Deux sexes s’activaient tout près de ma bouche, peu après, je sentais la délicieuse odeur du sperme sur la peau de mon visage, sur ma poitrine, je jouis alors que deux sexes entraient dans ma chatte distendue. Ils continuèrent à me pilonner, sans relâche. Je ne sentais plus mon corps, après de longs moments je sentis au fond de mon ventre les jets brûlants et puissants de mes amants qui se retirèrent et me donnèrent leurs sexes à nettoyer. On ôta mon bâillon, j’étais au beau milieu d’une superbe partouze, huit personnes ou plus s’activaient autour de moi. Gaëlle se mit à califourchon sur moi et se fit brutalement sodomiser juste au-dessus de mon visage. J’ouvris la bouche et le sexe qui la violentait sortit de son orifice et plongea dans ma bouche. Il alterna entre ses fesses et mes lèvres. La main de Gaëlle se posa sur mon sexe, puis ses doigts me pénétrèrent : deux puis trois, quatre…

– Ouiiiiii, c’est bon…..

Gaëlle ôta doucement les pinces et me lécha longuement, puis, elle joignit ses doigts, je sentis son pouce passer, doucement elle me pénétra, la douleur me fit crier.

– J’arrête ?
– …. non … je, je … suis à toi, …défonce-moi…

Alors que je repris le sexe de son amant en bouche, elle s’enfonça totalement en moi mon corps fut parcouru de secousses, mon sexe se liquéfia de plaisir alors que Gaëlle faisait de petits va-et-vient. Notre amant sortit de ma bouche et s’enfonça dans son cul, ses coups de boutoir rythmaient les pénétrations qu’elle me faisait subir. Puis, il explosa en elle, je tendis ma langue et nettoyais entièrement le sexe encore tendu et souillé sans aucune appréhension. Je me délectais du mélange de la jouissance de mon amant et des sécrétions de Gaëlle. Ensuite des doigts féminins s’enfoncèrent dans le petit trou de ma maîtresse et le liquide poisseux coula sur les doigts et sur mon visage. Je léchais avidement… A nouveau mon sexe fut pénétré par une main de femme, puis elles se relayèrent, dans mon con sous mes hurlements de jouissance. Extenuée, je jouis à nouveau alors que mon sexe dégoulinait de cyprine. Je fus ensuite copieusement arrosée de sperme, mes seins, mon sexe, mon visage…Gaëlle le recueillit et le dégusta avec délectation avant de tout recracher dans ma bouche. Je n’en pouvais plus.

Soudain on me détacha et Gaëlle me fit sortir sans un mot, nue et souillée, je montais dans la voiture. Elle me déposa devant chez moi, m’ordonnant de ne pas quitter le plug sans y avoir été autorisée. Elle rajouta,

– Demain, si quelqu’un te dis « petit papillon rouge », tu devras lui obéir sans discuter.
– Mais qui ?
– Je te promets bien plus que ce que tu as vécu ce soir, ma belle…
– Bien, j’obéirais.
– Bien sûr, pas de culotte, pas de pantalon, toujours des talons hauts.
– Bien…
– Va te reposer, mais avant embrasse moi.

Elle m’embrassa passionnément, un pur moment de bonheur… Elle démarra, je sortis. A l’intérieur, Ronan dormait. Je pris une douche et me blottit contre lui, il m’enlaça.

Le lendemain matin, Ronan me réveilla doucement, j’étais en retard pour mon travail…

– Remarque, tu n’es pas obligée d’y aller…
– Si, je dois y aller, j’en ai besoin.
– Et moi j’ai besoin de toi… Il est joli ton collier…
– Oh…
– Alors ta soirée d’hier ?
– Tu veux que je te raconte ?
– Si tu veux…

Je lui racontais tout, y compris mes promesses à Gaëlle. Il me promit qu’il n’était pas jaloux, je sentais son sexe tendu sous les draps et je plongeais pour lui faire une superbe fellation, il éjacula longuement dans ma bouche. Je me levais et il me proposa de choisir mes vêtements. Il sélectionna un chemisier noir, des bas noirs, une jupe noire fendue et des talons, le col du chemisier, échancré mettait en valeur mon collier de soumise, sans que ce soit explicite… Alors que je m’habillais, il me demanda combien de temps je tiendrais avec le plug.

– Je n’en sais rien, surtout que quand je marche, ça me fait un effet terrible.
– Alors je te dépose au bureau.
– Si tu veux…

Durant le trajet, sa main s’insinua entre mes cuisses, caressante et douce. Une fois au bureau, je mouillais déjà. Il m’embrassa et me souhaita une bonne journée.

Au bureau, je trouvais un message de Véra, rentrée en Angleterre et un mail de Gaëlle. Je devais à midi aller manger dans un restaurant bien précis. J’imaginais bien qu’une aventure m’attendait là-bas. Mon plug me faisait tressauter de plaisir assez souvent, à 11h un SMS de Gaëlle : je dus prendre une photo de mon plug et lui envoyer. Je m’exécutais rapidement, soulevant ma jupe, écartant les fesses. Peu après elle me félicita. A midi, je n’en pouvais plus. Je me rendis fiévreuse, au restaurant. J’avais du mal à marcher et je pris un taxi. Une fois arrivée, j’entrai, une table avait été réservée à mon nom. Je m’assis. Une serveuse s’approcha et me servit un apéritif au bar sans que je demande quoi que ce soit. Je ne dis rien. Elle revint et me demanda de la suivre à l’étage, la table était un peu à l’écart, il n’y avait personne. Elle me regarda s’approcha, glissa à mon oreille :

– Petit papillon rouge
– …
– Remonte ta jupe
– Bien
– Assois-toi ici, monte bien ta jupe.

Je pris place, ma peau nue sur le cuir du siège. Elle déboutonna un bouton de mon chemisier, glissa sa main entre mes seins, me caressa et sans un mot, elle descendit. Elle remonta peu de temps après, accompagnée d’une belle femme de type asiatique aux longs cheveux noirs. Elle me salua d’un sourire et prit place en face de moi. Elle me regarda, sans un mot alors que la serveuse déboutonna mon chemisier. Puis elle m’embrassa et caressa mes seins devant la femme, devant moi, elle pinçait durement mes tétons tendus. La belle femme semblait fascinée par ce spectacle, la main de la serveuse gagna mon entrejambe et mon sexe avide et déjà offert. La belle femme claqua des mains, la serveuse se redressa et me toisa,

– Lève-toi, mains sur la nuque.
– Bien…
– Bras écartés, pareil pour les jambes !
– …
– Je te veux nue.

La femme me déshabilla totalement ne me laissant que mon collier. Elle m’allongea sur la table et lia mes poignets et mes chevilles pour me maintenir fermement et surtout pour que je sois totalement offerte. Rapidement on me banda les yeux et j’entendis des gens entrer, des mains se posèrent sur mon corps. Je fus caressée longuement, puis fouillée par des doigts agiles, je gémissais déjà de plaisir lorsqu’un sexe tendu se posa sur ma bouche. Je dardais ma langue aussitôt et bientôt plusieurs sexes se relayèrent uniquement dans ma bouche alors que je sentais une langue douce s’emparer de mon intimité. Je ne réussissais pas à savoir combien de queues passaient dans ma bouche avide, et je n’en pouvais presque plus, l’excitation montait mais je commençais à avoir des crampes… Soudain, tout s’arrêta.

– Stop, maintenant… Parfait.

Je m’attendais à être inondée, mais rien du tout, après de longues minutes, j’entendis des pas, tout le monde sortait… On me libéra et on me tendit des vêtements, corset, jarretelles, jupe fendue, haut-talons, top transparent…

– Habille-toi !

Je m’exécutais devant la serveuse qui me lorgnait. Elle allait repartir et se ravisa, elle m’attrapa par le poignet et me força à me baisser. J’étais à genoux en face d’elle, elle releva sa jupe et plaqua mon visage contre son sexe humide que j’embrassais sauvagement. La belle femme claqua des mains et la serveuse, à regret me repoussa.

– Viens ici !
– Oui…
– Ecarte les jambes,
-…
– Bien, enlève le plug…

Je l’enlevai doucement, avec un petit plop, mon cul était en feu.

– Nettoie-le
– B… bien…

Je le léchais timidement un peu honteuse.

– Mieux que ça ! Montre-moi comme tu aimes ça !

Elle l’arracha de mes mains et le mit devant ma bouche, puis, elle le frotta contre ma bouche, j’entrouvris les lèvres et tendis ma langue. Elle me le fit lécher intégralement en m’encourageant. Ensuite elle me fit mettre à genoux et se retourna.

– Tu sais ce que tu dois faire ? Tes mains doivent rester dans ton dos.

Elle releva doucement sa jupe, révélant son sexe piercé et son petit trou duquel sortait une fine chaînette. Hypnotisée, je m’approchais et ouvris la bouche. J’embrassais instinctivement son anneau plissé avant de saisir entre mes dents les fins maillons métalliques. Elle jouit intensément à la quatrième et dernière boule de geisha que je retirais amoureusement, me délectant de ses sécrétions âcres. Quand j’eus fini, elle me tendit deux billets de 200, une carte de visite avec un numéro de téléphone et sortit sans un mot. Ne sachant que faire, je repassais mes habits, me débarbouillait aux toilettes et regagnais mon bureau. Mon retard fut remarqué mais un petit sourire charmeur à mon responsable régla l’affaire. Après quelques instants, il arriva dans mon bureau et se tint en face de moi.

– Mademoiselle, je souhaite vous informer que vos retards sont tolérés mais que je ne voudrais pas que cela devienne une habitude.
– Je…
– Vous ?

Je remarquais qu’il me matait discrètement et j’écartais un petit peu les cuisses. De là où il était il devait s’en apercevoir. Il avait la cinquantaine, pas trop mal entretenu et après tout, j’étais une belle salope, donc pourquoi pas ? Il s’empourpra légèrement, mais ses yeux se braquaient sur mes cuisses et sur le haut de mes jarretelles. Je me levais et, sans un mot, je refermais la porte et m’agenouillais devant lui, mon visage à la hauteur de la bosse qui déformait son pantalon. Je dézippais sa braguette et sortit son sexe gonflé, je le masturbais doucement, déposant un peu de salive sur son gland. Puis je le léchais, titillant bien son gland prêt à exploser. Quand je le pris en bouche, il éjacula presque aussitôt, j’avalais sa semence, en ouvrant la bouche pour lui montrer à quel point j’étais une salope. Je le nettoyais de ma langue et le rhabillais. Il était rouge comme une tomate et ne savait pas quoi dire.

– C’est une excuse valable ?
– Euh… je…

Il sortit rapidement, un peu confus, me laissant sur ma faim. Je décidais de me donner un peu de plaisir et m’assis à mon bureau, jambes écartées et prête à me masturber. Je saisis mon clitoris entre 2 doigts et le serrais et le tournais jusqu’à ce que la douleur irradie mon bas-ventre. Je haletais à la limite entre le plaisir et la souffrance. Et la souffrance que je m’infligeais me donnait du plaisir…

Mon portable sonna, Ronan me donna rendez-vous au restaurant. Je quittais mon bureau et gagnais le centre-ville et la piscine municipale ou je me calmais un peu en faisant des longueurs. Ensuite, je me préparais à rejoindre mon amant. Ce fut une soirée très agréable, grand restaurant, chandelles, vins prestigieux et surtout, au retour, une séance de baise fantastique ou Ronan me prit sauvagement, contre un mur, sur le parking du resto… Il faut dire que je lui avais fait du pied sous la table en lui racontant ma journée dans tous ses détails. La nuit fut plus calme pour une fois… Le lendemain, mes appétits étaient renouvelés. Nous étions samedi et Ronan devait aller à un rendez-vous, il m’abandonna après m’avoir prodigué un cunnilingus merveilleux…

Je me levais, et, nue me préparais un petit-déjeuner. On sonna, des talons claquèrent sur le carrelage. Gaëlle apparut, superbe, une laisse à la main. Je quittais aussitôt la table pour m’incliner à ses pieds. Elle passa la laisse à mon collier et me tira vers l’extérieur. Il faisait un peu frais, elle me fit faire un tour dans le jardin avant d’attacher la laisse à un arbre.

– Reste là, je reviens.
– Bien maîtresse.

J’avais la chair de poule et quand Gaëlle revint elle n’était pas seule. La belle femme asiatique prit la parole :

– Aujourd’hui nous allons t’apprendre à te soumettre totalement, tu accepteras tout ce que nous t’ordonnerons sans discuter et si tu réussis, alors tu seras digne de ta maîtresse.
– Je ferai tout ce que vous m’ordonnerez.
– A quatre pattes, nous allons commencer par ton cul ! Messieurs, à vous !

Gaëlle me passa un bâillon boule qu’elle attacha derrière ma tête, elle cracha sur anus et je me cambrais, offrant mon petit trou sans gêne à ces inconnus. Ils me sodomisèrent sans fioritures, me défonçant longuement à tour de rôle, je jouis bientôt et mes maîtresses arrêtèrent un instant les assauts.

– Nous ne t’avons pas autorisée à jouir, tu seras punie. Lève-toi, écarte les jambes !

Elles placèrent sur mes grandes lèvres 4 pinces munies de crochets auxquels elles fixèrent des poids. Les morsures et le tiraillement de mes chairs m’arrachèrent un cri (étouffé) de douleur. Ensuite je repris place en levrette et mon anus fut à nouveau pilonné. Je sentais la jouissance monter en moi, chaque coup de boutoir faisait bouger les poids et torturaient mon sexe, ce qui eut pour effet de me faire jouir plus fort.

– Stop, nouvelle punition, redresse-toi et offre nous tes seins.

Mes tétons furent eux aussi mordus et munis de poids. Le souci était que plus je souffrais, plus je jouissais et ça mes maîtresses l’avaient bien compris. Elles retirèrent mon bâillon et m’obligèrent à nettoyer les queues souillées une après l’autre. Sans appréhension, je léchais comme une chienne les trois sexes dressés.

à suivre…

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