Nuit d’hôtel 1 – Première nuit par Titi01

 

Nuit d’hôtel
1 – Première nuit
par Titi01

Ce récit parle de deux amants qui se rencontrent sur Internet et se donnent rendez vous dans une chambre d’hôtel ou une deuxième fille les attend. Ceci est mon premier texte, il est parti d’un défi que ma lancé ma copine, elle voulait que je lui rédige un récit érotique, et connaissant depuis pas mal d’années Vassilia je me suis permis de vous l’envoyer. J’aimerais avoir votre avis sur ce texte… Merci d’avance

Je signale que toute ressemblance avec certaines personnes n’est que pur hasard.

Ce lundi là tout me paraissait ordinaire, le ciel rendait la population de cette grande ville française morose, la chaleur de ce mois de juin n’étouffait personne, quant à moi je m’apprêtais à partir travailler lorsque me revint à l’idée la jeune demoiselle rencontrée un peu plus tôt, ou devrais-je dire tard dans la nuit, sur ce fabuleux outil qu’est MSN. Mes pensées s’envolèrent donc quelques instants pour me souvenir du peu que j’avais eu l’autorisation de voir à l’intérieur de la petite lucarne de sa webcam, mais surtout avant de revenir à mon départ je me mis à repenser à cette proposition qu’elle avait émise, celle de nous rencontrer dans un lieu ou l’on pourrait s’adonner à tous nos fantasmes

Je commençai donc ma journée par de bonnes pensées qui contrairement à ce que le temps aura pu prédire, me mirent de bonne humeur. Au cours de ma journée, l’idée de la voir refit surface à multiples reprises et je m’accordai donc quelques minutes de repos pour lui envoyer un mail dans lequel je précisais que j’acceptai avec grand plaisir son invitation et que je lui laissais le soin de choisir l’hôtel dans lequel je pourrais lui téter avidement ses petits seins qui ne réclamaient qu’a être malaxé de plaisir…

Pendant que ma journée s’écoule je vais vous faire une brève présentation, je suis un homme de 25 ans, bien dans ma peau et elle, nous l’appellerons Stéphanie, est une petite brune du même âge, 1m 60, les cheveux qui descendent au milieu de son dos, 90 C de tour de poitrine et des jolies petites fesses que je n’ai pu admirer que par l’intermédiaire d’un écran pour le moment.

Voila les présentations faites, je rentre chez moi et j’ai l’agréable surprise d’avoir une réponse dans ma boite mail, dans ce mail elle me précise que comme elle le souhaitait elle voulait que l’on se voit dans un hôtel dans lequel nos ébats pourrait être des plus exquis. On se fixa donc un rendez vous pour la semaine suivante pour que nous puissions tous les deux nous libérer la fin de journée, la nuit et la dure matinée qui allait suivre.

Que la semaine fut longue jusqu’à ce jour fatidique mais lorsqu’il arriva, je me retrouvai comme lors de ma première rencontre, mes différents sens étaient tous en ébullition, mes mains tenaient difficilement en place et mon coeur faisait du yoyo à l’intérieur de mon corps. Nous nous étions donné rendez vous dans un petit restaurant non loin de notre hôtel, pour nous permettre de discuter un peu et de manger quelque chose avant la longue nuit qui nous attendait.

Lorsque je la vis arriver au loin, sa petite robe courte en disait long sur les trésors qu’elle dissimulait, ses jambes dorées par le peu de soleil qu’elles avaient pu attraper commençaient à me donner chaud aux joues, elle vint alors d’un simple geste m’embrasser comme si elle avait été ma maîtresse depuis de longues années, je la pris donc dans mes bras et s’ensuivit un long baiser qui donna le ton de la soirée.

A la fin du repas elle me dit qu’elle m’avais préparé une surprise mais que pour cela il me faudrait lui faire une gâterie qui la mettrait dans un état second dans un endroit autre que la chambre d’hôtel. Je la pris donc par la main et la conduisit à l’hôtel, à son petit sourire il me semblait qu’elle pensait avoir eu raison de moi mais lorsque l’ascenseur après appui sur le bouton stop se bloqua je lu dans son regard un encouragement, elle m’offrit alors son intimité protégée par un élégant tanga bleu qui ne cachait plus grand chose de ses trésors, le tissu étant complètement détrempé par son plaisir, je descendis alors doucement avec ma langue pour commencer à lui lécher l’intérieur des cuisses, lorsqu’elle m’attrapa la tête pour me la coller sur son entrejambe, complètement trempé. Je pu alors sentir couler sur mes lèvres un doux liquide brûlant, je me demande alors si c’était la fameuse surprise dont elle m’avait parlé, elle voulait me pisser dessus et elle savait que j’adorais ça, je continuai donc à la lécher par dessus son tanga qui avait complètement changé de couleur, une fois fini je la regardai droit dans les yeux, puis je baissai le tanga pour découvrir son intimité détrempée qui attendait que je me jette lascivement dessus pour en extraire tout son jus, je la léchai donc pendant quelques minutes qui nous ont paru un éternité par leur intensité et le plaisir que nous avons ressenti, lorsqu’elle jouit sous ma langue elle me releva pour m’embrasser et me glissa dans l’oreille :

« – Ce n’est que le début ma surprise n’a pas encore eu lieu… »

Elle se rhabilla tant bien que mal et remit l’ascenseur en route pour notre étage.
Devant la porte, elle me banda les yeux, puis me fit entrer. Ma surprise étant telle après ces quelques mots qu’elle venait de m’échanger que mon cerveau ne savait plus quoi penser, qu’allait être cette fameuse surprise, jusqu’où m’emmènerait elle. J’allais vite le savoir, elle me fit allonger de dos sur le lit, puis je sentis ses mains me déshabiller doucement, elle jouait avec la moindre partie de mon corps, lorsqu’elle arriva vers mon sexe en hypertension, je sentis deux autres mains me caresser le torse je fit alors un sursaut et j’entendis une douce voix féminine me dire :

« -N’ai pas peur mon chou, on ne veut que ton plaisir et le notre »

J’avais donc enfin ma réponse, elle m’offrait en plus d’une nuit avec elle, une nuit avec deux femmes,nous appellerons sa copine Caroline, je me détendis alors et suivi leur consigne qui m’avait dit de ne pas bouger. Leur mains s’activèrent sur mon corps, pendant qu’une me caressait le torse, l’autre s’occupait de mon sexe puis je senti des doigts d’immiscer vers mon petit trou pour venir me caresser tendrement, puis vint le tour de sa langue ou plutôt d’une des langues car je ne savais plus qui était qui, cette langue parcourut ma bouche pour venir tournoyer sur mes tétons et venir finir sa course autour de mon sexe qui ne demandait plus qu’à rendre tout le plaisir qu’il était en train de recevoir. Je reconnus sa voix qui me dit :

« Je suis raide dingue de tes boules d’amour. Je les adore tendues à craquer, enflées du désir que je glisse sous ta peau »

Et elle m’enleva le bandeau attaché auparavant, comme signal pour lequel je pourrai enfin caresser ces corps divins que je découvris complètement nus, je ne pu m’empêcher de les admirer quelques instants, sa copine était aussi brune avec des cheveux plus courts, des seins plus gros et des fesses qui n’attendaient qu’à recevoir de douces caresses. Comprenant le regard que j’y jetais, elle vint alors s’asseoir sur mon visage pour me laisser le loisir de passé ma langue de ses fesses jusqu’a son petit trou, à entendre ses gémissements elle m’encouragea à continuer de lécher son corps. Je sentis à ce moment la que Stéphanie venait de me chevaucher et avait laissé son corps entier venir s’emboîter sur le mien, mon émotion était à son comble et il ne me fallu pas grand chose pour craquer mais le désir de vouloir leur donner tant de plaisir me rappela à la réalité et par un effort surhumain je me retenu pour la laisser me chevaucher et entendre leur différents gémissements se mélanger, à ce moment là Caroline se retourna et je pu apercevoir en plus de son sexe coulant sur mon visage et de son petit trou qui demandait à être lécher avidement, une longue étreinte entre les deux copines, elles s’embrassaient, se léchaient, se caressaient, leur gémissement ne faisaient plus qu’un, et Stéphanie me hurla de jouir en elle. Ma délivrance était enfin arrivée, je ne me fis pas prier et dans une dernière secousse je l’emmena avec moi au 7e ciel, je senti tout mon corps se vider en elle puis elle s’écroula sur Caroline, qui pour ne pas m’étouffer s’était décalée sur mon torse mais était tout aussi vidée.

Après avoir repris ses esprits, Caroline demanda à Stéphanie de venir s’accroupir au dessus d’elle pour laisser ma jouissance couler dans sa bouche et déguster mon doux nectar. Stéphanie n’étant pas encore revenu à elle même se laissa une nouvelle fois complètement aller et se vida à l’intérieur de sa copine. Je regardais ce fabuleux spectacle d’un œil exquis et ne regrettais en rien d’avoir accepté son invitation