Matinée incestueuse imprévue par Irenée Vardin

Matinée incestueuse imprévue par Irenée Vardin

Je suis Tom, étudiant en langues orientales et après avoir passé un an au Japon, je rentrais en France passer quelques jours chez mes parents.

Tout commença le lendemain de mon arrivée alors que nous venions de nous lever; ma mère, mon père et moi. Ma mère était vêtue d’une chemise de nuit en coton blanc, mon père et moi étions déjà habillés. Après avoir déjeuné, mon père se leva et alla s’asseoir dans le salon. En se levant, il fit tomber un stylo, mais il ne s’en rendit pas compte. Ma mère, qui avait vu le stylo tomber, se leva et se baissa pour le ramasser. La chemise de nuit lui remonta sur les fesses et je me trouvai nez à nez avec son envoutante chatte, délicieusement et largement entrouverte. J’en restai paralysé, elle se rendit compte de la situation et se releva brusquement et se rassit, en me souriant.

Après avoir terminé mon café, je montai travailler dans le bureau, quelques minutes après, j’entendis ma mère monter, elle allait probablement s’habiller dans sa chambre. En effet, elle y entra et après quelques temps redescendit au rez-de-chaussée, c’est ainsi que la matinée se déroula, moi devant mon ordinateur, mon père derrière son journal et ma mère derrière ses fourneaux.

Au moment où je descendis pour déjeuner, ma mère me demanda d’aller chercher un médicament contre les maux d’estomac dans sa table de nuit. Je m’exécutai, je gravis les escaliers, arrivé dans sa chambre, je m’assis sur le lit et ouvris la table de nuit de ma mère.

Je me trouvai en face d’un joli godemiché encore humide, je ne pus m’empêcher de le humer, et puis de le lécher pour en absorber le jus, ce nectar délicieux me rendait fou. Ensuite je cherchai le médicament mai j’avais beau m’appliquer, je ne le trouvais pas.

J’allai sur le palier et j’appelai ma mère, elle me dit qu’il était peut-être sur une des planches de sa garde-robe, celle du haut, j’enlevai quelques objets, je trifouillais, quand je tombais sur une série de magazines porno. Je m’assis une nouvelle fois sur le lit, pour les feuilleter, ils étaient vraiment hard, il y avait même des revues gays on l’on voyait des jeunes hommes se sucer la bite et s’enculer. Cette vision me fit bander très fort car j’aime bien regarder des belles bites bien raides.

A un moment, en tournant une page, une enveloppe tomba d’un des magazine, Je la ramassai, l’ouvris et regardai ce qu’elle contenait : il s’agissait de photos de ma mère, entièrement nue avec ses gros nichons qui, se masturbait avec le godemiché et s’enfonçait un doigt dans l’anus .

Cette découverte me provoqua une érection du tonner de dieu.

Ma mère rentra dans la chambre à ce moment- là, surpris, je fis tomber tous les magazines sur le sol, la plupart d’entre eux glissèrent sous le lit à cause du parquet.

– Qu’est-ce que tu faisais ? me demanda-t-elle.

Je la regardai dans les yeux, et lui dit en rougissant :

– Je regardais des photos !

Elle ramassa la photo tombée à mes pieds et s’assit à côté de moi. Elle me demanda ce que j’en pensais, je lui répondis, un peu gêné, qu’elle était belle. Je me levai et me dirigeai vers la porte. Elle me retint par les bras et me dit :

– Attends, aide-moi à ramasser les magazines sous le lit !

Elle s’accroupit, en se frottant à moi. Je bandais encore à cause des magazines, du gode et surtout des photos, elle me fit remarquer que mon entrejambe était tout dur, elle me demanda si c’était à cause des photos, je lui répondis oui. Elle me dit qu’elle avait encore le gode et qu’elle l’utilisait très souvent, elle le sortit de la table de nuit et me le donna, elle me disait qu’il était doux, elle commença à se branler devant mon nez, ensuite elle me dit qu’il avait deux défauts :

– Il est froid et il crache jamais rien, pas comme ça :

Elle m’empoigna l’entrejambe, elle s’accroupit par terre, tout en défaisant mes boutons. J’étais assis, jambes écartées au bord du lit, pendant que ma mère me suçait la bite ! Elle me demanda de lui enfoncer le gode dans la chatte, elle me dit qu’il était trop sec et avant qu’elle n’ait pu finir sa phrase je donnais de grands coups de langue sur l’objet. Ma mère me dit alors.

– Tu suces bien le gode, je parie que tu as déjà sucer des bites.
– Ça m’est arrivé deux ou trois fois, balbutias-je
– Tu as raison, c’est si bon la bite !
– Oui, maman !

Elle enleva son tee-shirt et dégrafa son soutien-gorge libérant ses gros nichons que je tétais avec bonheur.

Puis, j’approchai le gode de son cul pour le lui enfoncer mais elle me dit de le lui mettre dans la chatte, je lui demandai pourquoi, elle me répondit

– Parce que ce trou là; c’est pour toi :

Elle se mit à quatre pattes sur le lit, se lécha le doigt et se mouilla l’anus avec. Je ne tenais plus, j’enlevai mon pantalon complètement et je montai sur le lit, j’enfonça mon membre bien profond dans son cul, mes va-et-vient se firent de plus en plus rapides, elle se mit progressivement à hurler ! J’étais en train de faire jouir ma mère ! J’étais submergé par un sentiment de culpabilité et en même temps je ressentais une jouissance extrême.

J’enlevai ma bite de son cul qui ressortit avec un peu de merde, je me baissai et commençai à la lécher, l’anus d’abord ou j’enlevais les petites taches de merde, et j’y donnais des petits coups de langue à l’intérieur, ensuite la chatte, j’en mordillais les bords, tout doucement, puis je commençai à aller plus vite, je léchai complètement sa belle petite chatte de haut en bas et bien profond, à un point tel que je devais en sortir pour prendre ma respiration !

Elle se retourna, se coucha sur le dos et écarta les jambes. Je déposa mes mains sur ses reins et je la pénétrai d’un coup sec, elle mit ses jambes sur mes épaules et c’était parti, je sentais que j’allais jouir, je lui dis et elle vint me sucer la bite malgré la merde qu’il y avait, elle ouvrit bien grand la bouche et je lui envoyai de grandes rasades de sperme au fond de la gorge ? Elle se lécha les lèvres avec gourmandise.

C’est à ce moment-là que j’aperçu mon père dans le coin de la porte, il avait tout vu et se branlait la bite.

J’étais subjugué, sa bite était magnifiquement bandée, me narguait…

Il me demanda si je voulais le sucer.

Je me suis dit qu’au point où j’en étais autant accepter. Sa bite était délicieuse à sucer et ensuite quand il m’a proposé de m’enculer, je n’ai pas répondu, mais me suis tourné offrant mon anus à ses assauts incestueux.

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7 réponses à Matinée incestueuse imprévue par Irenée Vardin

  1. Baruchel dit :

    Au début du récit le chatte de la mère est « immense », mais quand le rapport incestueux commence, il ne s’agit plus que d’une petite chatte ! Faudrait savoir ! 😉
    De toute façon même si le fantasme est sympa tout cela va réellement beaucoup trop vite et s’encombre éléments inutiles à la continuité du récit (les photos de la maman dans l’armoire, non mais WTF)

  2. Chastaing dit :

    Des légos qui s’emboîtent en famille 😉

  3. Cesbron dit :

    Quelle honte de publier pareils choses

    • Eddy dit :

      Honte de quoi ? Le jeune homme est majeur, tout le monde est consentant ! Expliquez nous où est le problème ?

      • Cesbron dit :

        C’est de l’inceste !

        • Eddy dit :

          Oui et alors ? le tabou de l’inceste est comme disait Delphine Seyring, « une question de culture et de legislature », les arguments biologiques et sociétaux ne sont plus de mise aujourd’hui puisqu’on peut faire l’amour sans procréer.

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