Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

A la fin de mes études, j’avais une prof d’anglais sur laquelle j’ai toujours fantasmé.

C’est une de ces vieilles filles de 45 ans, du genre qui vit avec sa sœur ou sa mère. On la disait lesbienne, le gens disent toujours des choses. Elle n’est pas vraiment belle mais je lui trouvais quelque chose de très excitant. Petite, brune bien en chair avec de très gros seins et de grosses fesses. Elle portait souvent des jupes et pour son poids, elle avait des jambes superbes. Toute la graisse était dans les seins et dans les fesses. J’adore ça.

Cela faisait deux ans maintenant que j’avais terminé mes études, mais je pensais toujours à elle lors de mes masturbations et autres branlettes. Je décidais donc de reprendre contact avec elle. Je lui ai alors envoyé une lettre de rendez-vous en spécifiant que j’étais un ancien élève qui l’avait toujours aimée et que je rêvais de la revoir et de lui parler. Je l’attendais donc au bar dudit rendez-vous et, accablé par la chaleur de ce brûlant été, je sirotais nerveusement un coca bien frais.

Et enfin, contre tout espoir elle arriva et observa chaque client quand son regard tomba sur moi. Elle portait une jupe bleue qui descendait au-dessus des genoux et un chemisier qui ne mettait pas assez ses seins en valeur à mon goût. J’étais très gêné et ne savais où me mettre. Elle s’assit à ma table et me demanda si c’était bien moi qui avait écrit :

– Hum… Oui, c’est moi qui vous ai donné ce… rendez-vous.
– Je ne pensais pas du tout à vous… je dois dire que… c’est bien la première que l’on me fait ce genre de choses.
– J’espère que ça ne vous pas choqué ou quelque chose du genre parce que, sachez que je regrette un peu… je me sens un peu ridicule.
– Mais non, au contraire, c’est très flatteur, je suis heureuse. Je craignais que ce ne soit une blague.

La discussion s’égara un peu, nous parlions de choses et d’autres de manière très décontractée, à ce point que nous décidions de nous tutoyer. Puis elle prononça enfin ces mots tant attendus :

– Tu voudrais venir chez moi, nous serons plus à l’aise.

Quelques minutes plus tard, nous entrions chez elle. Je m’assit sur le canapé et après m’avoir servi une boisson, elle s’installa à côté de moi. Sa jupe remonte un peu et je ne peux m’empêcher de regarder . Elle me dit ;

– C’est vrai alors, je te plais ?

Je mets alors ma main sur sa cuisse et l’embrasse fougueusement, nos langues se tournant autour. Je fais remonter ma main jusqu’à ses fesses si désirées et les caresse. Elle s’écarte alors et commence à déboutonner son chemisier. Oh mon dieu, quels beaux seins ! Le soutien-gorge trop petit les fait déborder. Je me relance alors dans un baiser et en profite pour lui enlever. Ses seins sont mieux que dans mes rêves, les mamelons foncés et larges avec les tétons courts. Ils sont si lourds qu’ils tombent au-dessus du nombril. Je commence à en sucer un, comme un bébé qui tète et je masse en même temps l’autre. Mon sexe est énorme. Elle le libère donc, d’abord le jean puis le slip et elle peut lors constater l’effet qu’elle me fait. Elle passe sa large langue sur mon membre dressé et je suis déjà au bord de l’explosion. Elle s’enlève alors sa jupe et sa culotte et frotte son gros derrière contre mon visage en disant

– Tu l’aimes hein mon gros cul ?
– Oh ! Oui !
– Tu peux employer des mots vulgaires, ça m’excite !

Je réponds donc par l’affirmative en la traitant en prime de salope et de morue et l’agrippe par les fesses pour ramener sa chatte poilue contre ma bouche. Elle est debout, je suis à ses pieds en train de passer ma langue sur ses petites lèvres, les faisant rentrer légèrement de temps en temps. Elle, elle gémit, quelques  » han « , quelques  » oui.. « .

Je sens le chaud liquide couler sur mes lèvres, il a un goût fort légèrement teinté de celui de l’urine.
– C’est bon tu aimes ?
– Pisse-moi dans la bouche, ma salope.
– Mais bien sûr, son salaud !

Elle était délicieuse sa pisse, j’ignore ce qu’elle avait bu, mais j’étais au anges.

Je reprends mon travail de lèche qui m’excite au plus haut et je ralentis au maximum le moment de sa jouissance, titillant son clitoris bien bandé. Enfin, elle et secouée de spasmes, hurlant de plaisir, elle tombe à genoux faisant remuer ainsi ses deux énormes seins. Je suis plutôt fier du résultat et je m’assied sur le tapis, écartant les jambes pour l’inviter à me faire jouir à mon tour (à me tailler une pipe quoi). Reprenant enfin ses esprits, elle s’approche à quatre pattes, ses deux seins pendants touchant presque le sol et commence à enfourner mon sexe dans sa bouche. Elle commence alors un va et vient, enroulant sa large langue autour de mon membre. Je ne mets pas longtemps à jouir, au moment où elle me titille le bout du gland du bout de sa langue, je lui explose au visage et me laisse tomber sur le sol.

– T’es pas déjà à bout de force ?
– Non, non, je reviens à l’assaut !

Elle profite de ce cours répit pour avaler le sperme de son visage et lécher mon sexe. Quelle salope ! Ce geste me redonne du tonus et juste au moment où j’allais me relever pour remettre ça, elle enserre mon sexe de son énorme poitrine et commence à me masturber de la sorte. Je la laisse faire quelques instants puis, je lui agrippe les seins et les malaxe un moment avant de la mettre sur le dos. Je lui lèche et lui mordille longuement ses gros tétons et je commence à la pénétrer avec violence. Mes mouvements rapides font vibrer tout son corps, de ses jolis petits pieds à ses magnifiques seins en passant par ses grosses fesses. Approchant de l’orgasme et voulant faire durer le plaisir, je ralentis mes pénétrations jusqu’à stopper carrément laissant mon membre dans son vagin. Elle en profite pour se caresser l’anus d’un doigt.

– T’aimes ça, petit pédé ?
– Je ne suis pas pédé !
– N’empêche que tu aimes bien mon doigt !
– Tu peux même en mette deux !

Après l’avoir traité de grosse dégueulasse, je reprends le pilonnage de sa chatte, puis à sa demande je l’encule jusqu’à ce que je déverse ma semence en elle. Elle jouit en même temps que moi et nous restons quelques instants ainsi. Je me retire enfin et commence à me rhabiller. Je l’embrasse et je pars lui promettant de la rappeler…

…ce que je fis, bien sûr.

Fin

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4 réponses à Les gros seins de ma prof par Belle-Cour

  1. Sochaux dit :

    En hommage aux femmes « genre Rubens » comme ils disent dans les annonces du « Chasseur Français »

  2. Biquet dit :

    « Elle jouit en même temps que moi et nous restons quelques instants ainsi. Je me retire enfin et commence à me rhabiller. Je l’embrasse et je pars lui promettant de la rappeler… »
    Autrement dit, il est parti sans se laver la bite !

  3. Sorenza dit :

    Un peu trop rapide, dommage car il y avait du potentiel

  4. Gregoire dit :

    il a raison, le garçon, il faut mieux faire envie que pitié.

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