Certes, Agnès est suffisamment belle et désirable pour pouvoir faire son choix et emmener dans son lit n’importe quel invité. Elle a tous les atouts pour faire craquer un homme : grande, svelte, elle est dotée d’une superbe poitrine et d’une croupe qui enflamment les plus endormis. Mais, quand il lui arrive de faire l’amour avec un homme sans moi, elle a toujours l’impression d’être seule et ses orgasmes n’ont pas la même intensité. Ces lignes que j’écris à propos d’Agnès, elle pourrait les écrire de la même façon à mon égard. Nous sommes devenues inséparables.
Pourtant, avec Bernard, les choses se sont passées différemment. Peu après que nous l’ayons rencontré, Agnès a dû rejoindre son poste à Paris. J’ai donc bénéficié seule de ses attentions et, comme il me faisait une cour pressante, je n’ai pas tardé à craquer et à devenir sa maîtresse. Par la suite, il s’est rendu plusieurs fois à Paris pour ses affaires. Il y a retrouvé Agnès et n’a eu aucun mal à la mettre dans son lit. Comme par le passé, nous partagions toujours le même homme, mais, cette fois, pas en même temps.
Le jour où Bernard me demanda de l’épouser, je ressentis une joie immense mais, au lieu de lui répondre, je l’interrogeai :
« Pourquoi moi ? Pourquoi pas Agnès ? »
Sa réponse fut très franche :
« Si je le pouvais, je vous épouserais toutes les deux tant vous vous ressemblez. Vous êtes toutes les deux des femmes superbes : même poitrine opulente, même croupe de rêve, mêmes lèvres pulpeuses, même regard de braise, même sensualité. Mais, si je t’ai choisie toi, mon amour, c’est que tu es un peu plus salope que ta sœur !
– Est-ce une insulte ou un compliment ?
– Un compliment, bien sûr, car un homme ne peut être pleinement heureux qu’avec une femme gourmande sur le plan sexuel, qui comprenne ses pulsions et soit prête à tout pour les satisfaire !
– Et en quoi Agnès a-t-elle démérité ?
– Elle suce tout aussi bien que toi, elle est tout aussi friande de sperme, elle aime la sodomie …
– Tout comme moi. Et alors ?
– Disons qu’elle a moins bien réussi que toi un petit test que je vous ai fait passer à toutes les deux !
– Un test ? Quel test ?
– Te souviens-tu de cet après-midi où nous avions quitté Biarritz en direction de Bayonne. Il faisait un temps magnifique. Tu portais une petite robe légère avec un décolleté vertigineux dont je t’ai fait compliment. Nous avons roulé un certain temps, puis je me suis engagé dans un chemin de terre. Nous sommes descendus de voiture et je t’ai demandé :
« Brigitte, veux-tu me faire plaisir ? »
Et tu m’as répondu, adorable :
« Tout ce qui te plaira. »
J’ai continué :
« Déshabille-toi entièrement. Ne garde que tes hauts-talons et marche, nue, devant moi sur ce chemin. »
Tu as obtempéré et je t’ai suivie, superbe dans ta totale nudité. J’avais les yeux rivés sur tes longues jambes, sur tes fesses rondes, sur ton dos. J’admirais cette façon que tu as de te déhancher en marchant. On voit que tu as été mannequin. J’étais ébloui. Puis je t’ai demandé d’entrer dans le bois et, ayant aperçu un endroit au sol couvert de feuilles mortes, je t’ai demandé de t’y allonger sur le dos. Je me suis déshabillé à mon tour et, intégralement nu, je me suis placé au-dessus de toi. Je suis resté debout, jambes écartées…
– Et tu as commencé à pisser sur moi, mon beau salaud !
– Oui. Et ce qui me remplissait de joie, c’est que tu me regardais en souriant et que tu étalais mon urine sur ton ventre, sur tes seins. Et quand j’ai visé ton visage, tu n’as pas baissé les yeux, tu as ouvert la bouche. C’est la plus fabuleuse invitation qu’on m’ait jamais faite !
– Je m’en souviens très bien : tu n’arrêtais pas de pisser et j’avais du mal à tout avaler. Ce n’était pas la première fois qu’un homme m’arrosait de cette manière, mais j’ai aimé ta pisse au goût de bière tiède et que cela se fasse dans ce cadre, dans cette lumière…
– Te regarder boire ma pisse, t’en gargariser, voir ton corps nu luisant d’urine, cela m’a excité au plus haut point !
– Alors ça, je ne l’ai pas oublié non plus. Tu m’as retourné comme une crêpe, tu m’as enculé sans ménagement et tu t’es déchaîné comme si tu n’avais pas baisé depuis des mois. J’avais l’impression d’être clouée sur le sol. Après cela, j’ai eu du mal à m’asseoir pendant plusieurs jours !
– Et tu ne m’en as pas voulu ?
– Bien au contraire ! J’ai toujours aimé qu’on m’arrose et qu’on m’encule mais je n’avais jamais senti un membre aussi long, aussi dur, me pistonner aussi longtemps. J’ai eu plusieurs orgasmes coup sur coup !
– Pour moi aussi, ce fut prodigieux ! Se souvient Bernard.
– D’ailleurs, je t’ai rendu la politesse. Tu as pris ma place sur les feuilles mortes, je me suis accroupie au-dessus de toi et je t’ai arrosé à ton tour !
– Et je t’ai bue comme tu m’avais bu !
– Mais revenons à Agnès, dis-je, impatiente de découvrir ce qui la distinguait de moi.
– Quelques jours après cette expérience inoubliable, je suis monté sur Paris pour mes affaires et, un après-midi de beau temps, j’ai emmené ta sœur en forêt de Fontainebleau. Je lui ai demandé, comme à toi, de se déshabiller et de marcher, nue, devant moi sur un sentier. Elle a fait ce que je lui demandais, et, tandis que je la suivais, j’essayais de trouver une différence entre vous deux : impossible ! Pas le moindre grain de beauté qui aurait pu exister sur l’une et pas sur l’autre. Mêmes jambes interminables, même cul appétissant, même démarche lascive !
– Et alors ?
– Comme à toi, je lui ai demandé de s’allonger sur le sol, je me suis déshabillé et placé au dessus de son corps. Mais elle n’avait pas ce regard enjoué et confiant qui m’avait tant plu chez toi. Quand j’ai commencé à pisser sur elle, elle s’est figée. Et quand j’ai dirigé le jet vers son visage, elle a fermé les yeux et la bouche et ne les a rouverts que lorsque j’avais fini. Je lui ai quand même fait l’amour car je ne résiste pas à une belle femme sur laquelle j’ai pissé et qui sent bon mon urine, mais, en cet instant précis, j’avais décidé que ma préférée, c’est toi, Brigitte, mon amour.
– Cela prouve tout simplement qu’elle n’aime pas les jeux uro, répondis-je. C’est son droit.
– Tout à fait, mais comme moi j’en raffole, il me faut une femme qui partage mes goûts car j’ai l’intention de l’arroser tous les jours comme une jolie plante ! »
Et nous voilà partis d’un grand éclat de rire.
« Et j’espère, reprit Bernard, que tu me feras goûter, toi aussi, quotidiennement, ton champagne personnel et que je pourrai prendre des douches entre tes cuisses !
– Aussi souvent que tu voudras, répondis-je, car si j’aime être arrosée, la réciproque est vraie.
– Ce qui m’a conforté dans mon choix, c’est la réponse que tu as faite à la question que je t’ai posée quelques jours plus tard : « Brigitte, mon amour, accepterais-tu d’être flagellée rien que pour mon plaisir ? »
– Et je t’ai répondu : « Je suis prête à faire tout ce qui peut te faire bander. J’ai bien dit : TOUT ! Le fouet ? Pourquoi pas ? » Et tu n’as pas perdu de temps ! Le week-end suivant, nous sommes partis chez Martine et Alain ! (lire, à ce propos, sur ce site : « La salle de toutes les ivresses »)
– Tu ne peux pas imaginer à quel point je t’ai trouvée belle quand, nue sur tes hauts talons, suspendue par les bras, tu dansais sous les coups de fouet que te donnait Alain. Tes seins qui ballottaient, tes cris déchirants, tout cela m’excitait au plus haut point. Et je me suis dit : « Regarde cette femme sublime qui se livre au bourreau et qui souffre rien que pour ton plaisir, pour que tu bandes, pour que tu jouisses ! Oui, c’est elle que je cherchais depuis toujours, c’est avec elle que je veux vivre désormais ! »
– Et toi, Bernard chéri, serais-tu prêt à subir le fouet pour mon propre plaisir ?
– Je suis prêt à faire tout ce qui peut te faire jouir. Je dis bien : TOUT. Le fouet ? Pourquoi pas ? répondit-il, reprenant à un mot près la réponse que je lui avais faite quelques instants plus tôt. TOUT pour que jamais nos rapports ne sombrent dans l’ennui qui détruit la plupart des couples. »
Et c’est sur ces bases solides que nous avons décidé de nous unir pour la vie. Après avoir vécu avec Bernard des dizaines de nuits d’amour, je voulais marquer cette nuit de noces d’une pierre blanche et je comptais bien sur Agnès pour la rendre inoubliable. Quand, peu après minuit, nous avons quitté nos invités pour nous rendre tous deux dans la chambre nuptiale que j’avais réservée à l’hôtel du Palais, ma sœur jumelle nous y attendait déjà avec pour tout vêtement un string en dentelles et ses hauts talons. Bernard, interloqué, me regarda.
-« Voilà mon cadeau de mariage, lui dis-je. Tu aurais aimé nous épouser toutes les deux, nous sommes à toi pour cette nuit…
– Et, s’empressa d’ajouter Agnès, si vous le désirez tous les deux, pour toutes les nuits que je passerai à Biarritz !
– La vie est belle ! s’exclama mon mari tout neuf.
– Mais avant de nous faire l’amour, tu vas nous laisser faire, dis-je. Reste comme cela, debout. Viens au milieu de la pièce. C’est nous qui allons te déshabiller. »
Agnès dégrafe d’abord ma robe de mariée qui tombe à mes pieds. De la sorte, je me retrouve dans la même tenue qu’elle.
« C’est fabuleux ! dit Bernard. Rien qu’à vous regarder, mes chéries, quasiment nues, je suis fou de joie et je bande comme un cerf ! »
Et nous voici toutes les deux appliquées à le débarrasser de sa veste, de sa cravate, de sa chemise. Quand la peau nue apparaît, nous la couvrons de baisers. Nous embrassons ses épaules, ses bras, son torse, nous mordillons ses pectoraux, nous nous régalons de son odeur de mâle. . Puis nous nous agenouillons toutes les deux afin de lui enlever ses chaussures, ses chaussettes et – instant émouvant – son pantalon. Son slip noir moule des fesses musclées et une bite déjà en érection. Nous débarrassons ensemble le phallus de sa prison de tissu et, avant que la fête commence, nous admirons ce beau cylindre de chair dure, long de plus de vingt centimètres. Qu’il est beau, fièrement dressé, majestueux, conquérant ! Je comprends pourquoi, dans certaines civilisations de l’Antiquité ou sur d’autres continents, on faisait du phallus un dieu. N’est-il pas source de vie et source de divins plaisirs ? Nos deux langues s’approchent du gland luisant et le lèchent. Puis, les mains posées dans nos cheveux, Bernard nous guide et pénètre tour à tour l’une ou l’autre bouche.
« Oh oui ! Brigitte suce-moi ! … A toi, Agnès, suce, régale-toi !… Je ne saurais dire laquelle de vous deux suce le mieux. Vous êtes des reines… Continuez… »
« Ouvre-toi, Bernard, dit-elle, ouvre-toi ! »
Le mâle s’immobilise un instant, fait ce qu’on lui demande et savoure en gémissant la caresse que lui prodigue Agnès : sa langue lèche longuement le cul et tente d’y pénétrer.
« Quel bonheur ! s’exclame Bernard. Y a-t-il beaucoup d’hommes qui ont eu cette chance : être sucé par deux femmes magnifiques ? Recto verso ? Pile et face ? L’une tétant mon zob ! L’autre léchant mon cul ! »
Il n’en dit pas davantage. Il rugit de plaisir et son sperme jaillit sur ma langue et dans ma gorge. Agnès se relève et m’embrasse à pleine bouche. Bonne fille, je partage avec elle cette crème onctueuse que nous aimons tant.
Nous roulons tous les trois sur le grand lit.
« Oh mes amours ! Implore Bernard. Mettez-vous à quatre pattes au dessus de moi de façon que je puisse téter vos délicieuses poitrines. Oh quels seins ! Vrais obus de chair ! Fermes et souples à la fois ! Délices ! Délices ! »
Agnès et moi lui donnons ce qu’il réclame. Que c’est bon une bouche d’homme qui suce et mordille les mamelons ! Que c’est bon des doigts d’homme qui palpent, pétrissent, s’enfoncent dans la chair ! Entre nos cuisses le plaisir ruisselle.
« Gardez la position, ordonne notre amant. Que je m’occupe maintenant de vos chattes et de vos culs ! Oh mes jolies pouliches ! A mon tour de vous lécher Que je vous enlève vos strings ! Que je voie vos croupes intégralement nues ! »
Nous restons l’une à côté de l’autre, à quatre pattes, sur le lit, bien cambrées, offertes à ses regards, à ses caresses. Ah ! Quel bonheur de sentir les lèvres et la langue de mon époux tout neuf sur mon clitoris, sur ma chatte, sur mon cul ! Il lèche, suce, mordille et fait naître dans ma chair des gouffres d’impatience ! Puis il passe à ma sœur jumelle et la met à son tour en feu. Nous n’avons plus toutes les deux qu’un seul désir : qu’il nous pénètre, qu’il nous remplisse de ce phallus vigoureux devant lequel nous nous sommes, tout à l’heure, prosternées, qu’il nous lime, qu’il nous bourre, qu’il nous défonce ! Ah ! Le voici ! C’est en moi qu’il s’enfonce tout d’abord et sa bite me remplit merveilleusement ! Il va et vient en moi sans me ménager et j’aime ces coups de boutoir. Tout en se propulsant au fond de ma chatte, il donne des claques retentissantes sur mes fesses et sur mes cuisses. J’adore sa façon de faire l’amour, sans mièvrerie mais avec fougue et impétuosité.
– Tu la veux dans le cul ? Me souffle-t-il tout en malaxant mes seins.
– Bien sûr ! Mon cul n’attend que ça !
Et c’est vrai : Bernard n’a aucun mal à y planter son épieu de chair dure lubrifiée par ma jouissance et à s’y mouvoir en poussant des rugissements de plaisir. Puis il passe à Agnès et lui administre le même traitement et c’est au tour de ma sœur d’être comblée dans tous les sens du terme et par toutes les portes de son corps. Infatigable, Bernard passe ainsi de l’une à l’autre, nous prodiguant des orgasmes à répétition. Après une bonne demi-heure de ce régime alternatif, et tandis qu’il se démène à nouveau entre mes fesses, je sens qu’il est prêt à jouir. Il se retire à temps et va déverser dans la bouche d’Agnès une liqueur de mâle épaisse et abondante. Ex-aequo ! Ce soir, nous avons eu toutes les deux dans la gorge notre dose de sperme !
Nous tombons tous les trois sur le lit et ne tardons pas à nous endormir. Un peu plus tard, alors que le jour ne s’est pas encore levé, Bernard me murmure à l’oreille :
« J’ai envie de pisser. Tu veux ? »
Inutile qu’il me donne plus de précisions. Laissant Agnès dans les bras de Morphée, je me lève et suis Bernard dans la salle de bains. Là, toujours nue, je m’assieds sur la cuvette des toilettes et m’offre à mon époux debout devant moi. Quand il commence à pisser, il vise d’abord mon ventre, puis mes seins.
« Etale bien ma pisse sur ton corps, chérie. Tu es magnifique quand tu es mouillée de mon eau ! Ah tes seins ! Tes seins ! »
Je profite de ma position pour me soulager à mon tour et l’urine de Bernard, coulant sur ma peau se mêle à la mienne. Je lis dans son regard une immense joie et une attente. Alors, j’ouvre bien la bouche et je bois sa pisse à grandes gorgées comme s’il s’agissait de thé tiède.
« Au fond, me dis-je, les femmes sont des vases que les hommes remplissent. »
Ce spectacle produit son effet habituel : le sexe de mon homme se redresse, s’allonge et durcit. Le voici perpendiculaire à son corps, puis à la verticale. Ces métamorphoses me fascinent toujours et j’ai aussitôt envie de le reprendre en bouche afin d’en extraire la crème. Mais Bernard me prend par les mains, puis par les fesses et me plante sur le phallus dressé tandis que mes jambes se referment sur ses reins. Tout en me bourrant de grands coups, il me ramène ainsi jusqu’au lit et m’y renverse ce qui a pour effet immédiat de réveiller Agnès.
« Alors, comme ça, on s’amuse sans moi ? Nous reproche-t-elle. Bande d’égoïstes !
– Je vais vous baiser les seins à toutes les deux, gronde notre amant commun. »
Et, en effet, il se retire de mon ventre et vient loger son zob entre mes seins que je presse l’un contre l’autre.
« Ah ! Quels seins ! Quelles mamelles ! Quel délice ! A toi Agnès ! Attends ! Je change de position. Tes seins, je les baise dans l’autre sens, de haut en bas. Je veux m’asseoir sur ton visage pour que tu puisses à nouveau me lécher le cul pendant que je vais coulisser entre ces obus de chair ! Vas-y lèche-moi le cul ! Lèche ! Lèche ! Encore ! Encore ! Oui ! Oui ! Tes seins prodigieux ! Je jouis ! Allez ! Il y en a assez pour vous deux ! »
En effet, le sperme jaillit sur la poitrine d’Agnès mais aussi sur la mienne et nous l’étalons sur nos seins comme une crème de beauté avant de nous rendormir tous les trois.
Le lendemain, une nouvelle surprise attend Bernard.
Nous avons quitté l’hôtel et nous avons retrouvé notre maison que les invités de la veille ont quittée. Nous nous prélassons tous les trois, nus, au soleil, au bord de la piscine quand la sonnerie du portable d’Agnès retentit. Elle se lève, va répondre et, au retour, nous annonce :
« Je vais devoir vous quitter mes chéris. Mon collègue Marc passe me prendre dans dix minutes et nous rentrons sur Paris.
– Ah non ! Dis-je. Vous n’êtes quand même pas si pressés ! Invite ton collègue à venir se rafraîchir dans la piscine avant de prendre la route !
– Je le lui proposerai, mais je ne garantis rien, répond ma sœur en m’adressant un petit clin d’œil »
Quelques instants plus tôt, en effet, tandis que Bernard prenait sa douche, elle m’a parlé de ce Marc avec qui elle a déjà fait l’amour plus d’une fois mais qui ne lui a pas caché sa préférence pour les hommes. Aussi avons-nous décidé de le mettre en présence de mon mari, curieuses de voir le résultat et déjà toutes excitées à l’idée de ce qui pourrait suivre.
Quand Marc arrive en jean et polo, il est d’abord un peu décontenancé par notre nudité, mais Bernard le met à l’aise :
« Ici, annonce-t-il, vous êtes sur notre plage naturiste privée ! Allez ! Tout le monde à l’eau ! »
Nous plongeons tous les trois et Marc n’a plus qu’à se déshabiller pour nous rejoindre. Nous batifolons de longs moments dans la piscine. Au bout d’un certain temps, les deux hommes sortent de l’eau et s’asseyent sur le bord du bassin. Je regarde, troublée, le nouveau venu. Ce n’est pas qu’il soit exceptionnellement beau mais le fait qu’il soit totalement imberbe et n’ait pas le moindre poil au niveau du sexe me le fait paraître en quelque sorte plus nu que nu.
« Tu me le prêtes un instant ? Dis-je à Agnès.
– Bien volontiers, gourmande, mais ne le fais pas jouir si tu veux qu’il s’occupe de Bernard. »
Et nous nageons toutes les deux vers nos Apollons. Agnès se place entre les jambes de mon mari, moi entre celles de Marc et nous prenons en bouche les objets de notre convoitise. J’éprouve un réel plaisir à lécher ces couilles lisses et, comme toujours, une vraie délectation à goûter un nouveau phallus. Celui-ci ne tarde pas à gonfler entre mes lèvres et à prendre de plus en plus de place dans ma bouche. Je le trouve plus épais, mais moins long que celui de Bernard si bien qu’il est plus facile de se l’enfoncer bien profond dans la gorge.
« Oh ! Les filles ! Que c’est bon ! Commentent les deux mâles ! Quelles bonnes suceuses vous faites ! Encore ! Encore ! »
Mais Agnès me donne un léger coup de coude et, dans un même geste, nous abandonnons les belles bites et plongeons dans le bassin.
« Oh ! Les salopes ! s’exclame Bernard, dépité. »
Il n’a pas le temps d’en dire davantage. Marc s’est mis à l’eau et a pris, entre ses jambes, la place d’Agnès. Du coup, ma sœur et moi, nous décidons de revenir au bord pour voir cela de plus près. Marc s’est emparé de la bite dressée de mon mari et il en lèche le gland comme s’il s’agissait d’une glace. Le premier moment de surprise passé, mon homme se laisse faire et semble apprécier. Agnès et moi, placées de part et d’autre du couple masculin, regardons Marc qui semble se régaler mais qui a un peu de mal à avaler, comme nous savons si bien le faire, Agnès et moi, le cylindre de chair dans sa totalité. Il faut dire que nous sommes entraînées alors que lui n’a peut-être pas eu souvent l’occasion de sucer des bites aussi longues. Le voici qui prend les couilles en bouche, l’une après l’autre pour les sucer, puis qui renverse Bernard sur le dos afin de lui lécher le cul. Celui-ci, qui apprécie beaucoup les caresses anales, se laisse faire bien volontiers, jambes relevées et écartées, et je suis persuadée que le fait de se livrer ainsi en présence de nous deux augmente encore son plaisir. Nous étudions la méthode de Marc : il lèche avec gourmandise et, peu à peu, l’anus s’ouvre ce qui lui permet d’introduire sa langue puis un doigt, puis deux. Ce travail du cul produit son effet : Bernard gémit de volupté et semble prêt pour l’assaut final. Agnès se remet à l’eau, se place derrière son collègue, s’empare de sa bite et, ayant constaté qu’elle est plus que jamais en érection, ordonne :
« Vas-y, encule-le. Tu vois bien qu’il n’attend que ça ! »
Marc jaillit hors du bassin, sexe tendu et plonge sans ménagement dans le cul bien ouvert de Bernard qui s’est mis à quatre pattes. Je me glisse sous mon mari et prend son sexe dans la bouche car je veux qu’il se déverse en moi quand il jouira. Agnès, elle, derrière son collègue et amant occasionnel, se frotte contre ses fesses comme si elle avait envie, elle aussi, d’avoir une bite pour pénétrer cette superbe croupe mâle. Marc se déchaîne dans le cul de mon homme tout en lui donnant de grandes claques sur les fesses comme le font la plupart des amants quand ils son très excités. Bernard, sous les coups de boutoir et sous les claques qui lui mettent la croupe en feu, ne tarde pas à jouir et à remplir ma bouche de cette crème délicieuse dont je ne me lasse pas. Agnès, qui raffole autant que moi de cette friandise, n’est pas oubliée car, au moment de jouir, Marc se retire du cul qu’il remplissait si bien et se vide dans sa bouche pour sa plus grande joie.
Après un bon quart d’heure de récupération à faire la planche dans la piscine, Marc s’adresse à ma sœur :
« Agnès ! Il faut qu’on prenne la route maintenant ! »
Mais je proteste :
« Ah non ! Vous n’allez pas nous quitter si vite ! Vous avez enculé mon mari et il semble avoir apprécié ! Au nom de la parité homme-femme, je réclame le même traitement !
– Vous voulez dire que …
– Vous m’avez parfaitement comprise ! J’ai envie de votre zob dans mon cul ! »
A voir l’état du zob en question quand Marc sort de l’eau, j’en conclus que je n’aurai pas besoin d’insister davantage. Mon langage direct et un peu cru semble avoir fouetté sa libido. Son membre est prêt à l’emploi. Je redoute un peu son épaisseur, mais puisque Bernard l’a avalé sans problème, pourquoi hésiterai-je ? D’autant que mon envie de le sentir en moi ne fait qu’augmenter. Je prends la pose au bord du bassin, presqu’aussitôt rejointe par Agnès qui se met à quatre pattes à côté de moi. Bernard, tout à l’heure, se sentait femme et jouissait d’être pistonné par un homme. Mais à présent, le voici redevenu mâle, prêt à défoncer la croupe d’Agnès.
« Je veux être léchée et enculée comme Bernard l’a été tout à l’heure ! Dis-je en m’adressant à Marc qui s’est agenouillé derrière moi et qui a posé ses lèvres sur mes fesses. »
Oh délices ! Sa langue se glisse dans ma raie et arrive sur mon cul. Marc mouille l’anus, l’enduit de salive, le suce, le pénètre de la pointe de sa langue. Je l’encourage :
« Oui ! C’est bon ! Encore ! Encule-moi avec ta langue ! Vois comme je m’ouvre pour toi ! »
Il poursuit en enfonçant un doigt, puis deux, puis trois. Il ressort, me les fait lécher puis recommence. Une première vague de plaisir me submerge. Au moment où il force la porte étroite avec son sexe épais, je ressens une douleur assez vive. Je pense que je n’ai jamais eu le cul aussi dilaté. Mais dès qu’il commence à aller et venir, c’est le bonheur. A mes côtés, ma sœur pousse les mêmes gémissements de plaisir et tient les mêmes propos que moi :
« Vas-y, crie-t-elle, lime, lime, défonce-moi. A fond ! A fond ! ».
Les hommes ne se pressent pas : ils vont au plus profond, se retirent entièrement, nous font lécher leur queue puis replongent. Parfois, ils échangent leur place et je retrouve le sexe moins épais mais beaucoup plus long de mon époux. Puis Marc revient et les mouvements s’accélèrent. Leurs mains frappent nos fesses, leurs doigts s’enfoncent dans nos seins et les pétrissent avec une brutalité qui ne me déplaît pas.
« Encaisse, salope ! Encaisse ! Rugit Marc qui, maintenant, se déchaîne. »
Je connais, coup sur coup, plusieurs orgasmes qui me font délirer. Et quand la jouissance les emporte à leur tour, c’est dans nos bouches que nos hommes se vident, nous faisant cadeau de leur semence.
« Ne bougez pas, mes chéries, ordonne Bernard. Viens, Marc. Regarde-moi ces culs grands ouverts. Leur trou fait bien cinq centimètres de diamètre, voire sept chez Brigitte. Quand je vois ça, j’ai envie de les remplir ! Puis, comme il aime le faire après une bonne sodomie, Bernard commence à pisser dirigeant le jet vers l’orifice béant. Mon cul se remplit puis déborde. Alors, comme Marc ne réagit pas, il fait de même sur la croupe d’Agnès qui accepte plus facilement qu’on lui pisse dans le cul que dans la bouche.
Lorsque, une heure plus tard, Agnès et Marc nous quittent pour rejoindre Paris, Bernard leur dit :
« Venez nous voir aussi souvent que vous voudrez, ensemble ou séparément. Vous serez toujours les bienvenus ! »
Et ce n’est pas qu’une formule de politesse ! Puis, me prenant dans ses bras, il me murmure :
« Merci, mon amour, pour ces moments fabuleux. Jamais je n’aurais pu rêver une telle nuit de noces et d’un tel lendemain !
– Tu sais ce qu’écrit Ridley Scott, lui dis-je en me frottant contre lui ? La vie a plus d’imagination que n’en portent nos rêves. »
Brigitte B.
Une histoire gâchée par des dialogues impossibles :
» Vois comme je m’ouvre pour toi ! » Vous en connaissez, vous des nanas qui causent comme ça ?
Le fantasme des jumelles me paraît l’un des plus difficile a transcrire que ce soit au cinéma ou en texte. L’auteur y met une évidente bonne volonté mais cce n’est pas tout à fait ça !