Vous aimez les femmes ? par Micheyl

Vous aimez les femmes ? par Micheyl

Vous aimez les femmes ?
– Oui évidemment, pourquoi cette question ?
– Vous êtes marié ?
– Non mais je vis en couple. Pourquoi ?
– Vous faites souvent l’amour avec elle ? Vous avez d’autres aventures ?
– Je ne vois pas en quoi ça vous regarde.

Pourquoi est-ce que je parlais avec ce type ? J’étais tranquillement dans un pub à siroter mon verre en attendant de rentrer chez moi. Le jeudi ma compagne fait du sport, dîne avec une copine et rentre tard. Il y avait beaucoup de monde et ce type m’a demandé s’il pouvait s’asseoir à ma table. J’aurais dû refuser d’autant que le box est petit, pas très bien éclairé, mais je pensais qu’il prendrait la chaise en face. Au lieu de ça il s’est assis à côté de moi, sa cuisse appuyée contre la mienne sans que je puisse y échapper.

Une début de quarantaine, un visage avenant et des yeux très clairs, ce type avait indiscutablement du charme, de la présence, de l’élégance et l’une de ces voix que tout le monde écoute sans savoir vraiment pourquoi. Ce n’était quand même pas une raison pour me poser ce genre de question. A moins que…

– Vous ne seriez pas en train de me draguer ? Je vous préviens, si vous êtes homo, moi pas du tout !

Il partit d’un rire clair et franc, sans vraiment répondre et engagea la conversation sur tout et n’importe quoi.

– Finissez votre verre me dit-il, je vais vous montrer quelque chose.

Là encore je me laissais faire et je le suivis dans des rues adjacentes jusqu’à ce qu’il sonne à une porte d’immeuble. Déclic, ascenseur, nous montons au troisième, même si pour moi c’est avec réticence. Pourquoi est-ce que je ne dis pas non ?

La porte d’un appartement s’ouvre, la lumière du couloir n’est pas très vive, et une jeune femme au parfum très fort m’invite à entrer et me précède dans un salon. Elle est habillée très court, avec une lourde chevelure auburn et sa silhouette est vraiment attirante. Surtout sa chute de reins…

Pourquoi est-ce que vous m’avez demandé de venir ici ? J’espère que vous ne servez pas de rabatteur pour cette jeune femme ?
– Cette jeune femme s’appelle Elga et c’est ma maîtresse. Vous m’avez demandé si j’étais homo, vous pouvez donc vérifier que non.

J’étais très gêné sans toutefois comprendre pourquoi j’étais dans cet appartement. D’une démarche dansante, avec un large sourire sur une dentition impeccable, Elga s’absenta quelques instants et revint nous servir des daïquiris.

– Ne soyez pas étonné dit-elle. Louis adore demander à des inconnus de venir boire un verre ici.

Elle s’assit devant moi, sa jupe dévoilant jusqu’à la naissance de ses fesses. Louis, puisqu’à présent je connaissais son prénom, se mit à côté de moi collant encore sa cuisse à la mienne.

– Regardez bien cette magnifique jeune femme. Ses yeux, sa poitrine, ses longues jambes. Regardez la finesse de ses mains et l’épaisseur de ses lèvres. Si elle n’était pas ma maîtresse mais la vôtre, est-ce que vous ne seriez pas totalement subjugué ?

La conversation devenait scabreuse mais je ne pouvais détacher mes yeux de cette Elga.

Vous bandez me dit Louis.
Qu’est-ce que vous en savez ?

Je n’aurais jamais dû répondre ça. Mon pantalon en coton léger présentait une déformation évidente …

– Elga, tu ne crois pas qu’il bande ? demande-t-il

La jeune femme se leva et sans manière posa sa main sur ma braguette.

– Oui il bande. Et bien dur. Tu veux vérifier ?

Sans se gêner, Louis tâta mon sexe sans que j’ose vraiment protester, espérant maintenant que ce qu’il cherchait était tout simplement de me regarder culbuter cette superbe jeune femme. Chacun son fantasme. Moi j’aurais préféré être seul avec elle mais bon…

– Ça te dirait de faire l’amour avec Elga ? Moi je ne m’en lasse pas. Tu veux la voir nue ?

Et voilà, c’est parti. C’est bien ce qu’il voulait. Elga mit une musique très rythmée et commença un striptease d’anthologie. Je ne pouvais détacher mes yeux. Mes mains parcouraient tout ce qu’elle me permettait de toucher. Louis se déshabillait et fut bientôt nu. Pour ne pas me faire griller la politesse je fus bientôt en slip. Elga s’approcha de moi, s’accroupit et fit glisser le fragile rempart de coton, regardant mon sexe dressé avec gourmandise. Elle l’enfouit profondément. J’étais comblé, très excité, au point de ne pas protester en sentant la main de Louis caresser mes fesses, faisant semblant de ne pas avoir vu qu’il avait entre les jambes un sexe bien dur, plus petit que le mien, un peu moins large, mais très bien proportionné. Il est vrai que j’avais rarement l’occasion de voir le sexe d’un autre homme en pleine érection.

Elga s’était redressée, continuant ses mouvements lascifs au son de la musique, uniquement vêtue d’un string blanc.

– Je te laisse la déshabiller et en profiter le premier me dit Louis.

Sans me faire prier je me suis mis à genoux et j’ai tiré sur l’élastique du string. Et là, comme propulsé par un ressort, un troisième sexe d’homme libéré de son enveloppe de coton venait de jaillir devant mon visage. Sans penser à rien j’ai descendu le string jusqu’aux chevilles d’Elga, libérant également deux testicules soigneusement épilés. Ainsi Elga était un homme. Non, pas possible vu sa poitrine, son visage, ses hanches. C’était une femme. Mais pas possible non plus vu son service trois pièces. Sa verge n’était pas totalement en érection, le gland rosé encore à demi caché par son prépuce. Je restais fasciné, les yeux à quelques dizaines de centimètres, lorsqu’elle attira ma tête contre elle, forçant les lèvres pour me pénétrer la bouche.

– Et bien me dit Louis. C’est ta première transsexuelle ?

J’étais bien en peine de répondre avec un sexe masculin en pleine bouche, sexe que je sentais durcir de plus en plus. Elle me prit les mains pour les poser sur ses seins. Des seins doux, soyeux, naturels, gros et lourds. Un moment j’avais craint de devoir toucher deux blocs de silicone mais pas du tout. J’étais terriblement excité faisant désormais semblant de ne pas sentir Louis qui venait me lécher la rondelle, jouant avec un doigt pour me pénétrer doucement.

Tout à ma fellation inattendue, je regardais Elga, subjuguée par sa beauté et sa féminité ; j’en oubliais ma position improbable… Moi, en train de sucer un sexe d’homme. Mais elle se retira, me laissant dépité. J’en redemandais.

Attends, nous allons passer à autre chose…

Elga se mit en levrette, m’invitant clairement à la sodomiser. C’est Louis qui m’a positionné, mettant mon gland brûlant contre le petit anus tout chaud, me poussant ensuite doucement sur les reins. Elle avait dû se préparer car j’entrais sans problème, tout mon sexe englouti dans l’étroit corridor. C’était bon, doux, presque plus confortable encore qu’un sexe de femme.

Louis s’était placé devant nous, le sexe en forte érection. Elga compris vite le message et le prit en bouche. Les lents mouvements de sa tête augmentaient mon désir, et mes va-et-vient entre ses fesses s’accéléraient. C’est alors que Louis quitta la bouche d’Elga au profit de la mienne. Impossible de reculer, j’aurais dû abandonner les reins de cette superbe transsexuelle. Une seule solution, accepter de sucer ce sexe d’homme qui forçait ma bouche.

Je dois reconnaître que finalement cette partie à trois m’excitait énormément. Il me semblait que mon sexe devenait de plus en plus dur, de plus en plus gros au fur et à mesure de mon pilonnage. Elga criait presque sans discontinuer. Louis se servait de ma bouche comme d’un sexe, s’y enfonçant et en ressortant à son rythme, les deux mains me tenant fermement la tête.

Le plaisir est venu de loin dans mes reins je l’ai senti bouillir et se ruer vers mon sexe, avant de se déverser en rafales au plus profond des fesses de ma partenaire. Je voulais crier moi aussi mais c’est alors que Louis, très excité, se déversa en giclées épaisses dans ma bouche. Je n’avalais pas, c’était trop pour moi, et le sperme me coulait sur le menton et sur la poitrine. Elga remise de sa sodomie profonde, appréciait le spectacle, venant lécher quelques coulures de son homme.

J’ai mis longtemps à récupérer mon souffle. Louis était assis à côté de moi et jouais distraitement avec mes testicules, tout en buvant Elga du regard. Elle s’était remise à danser, nue et provocante, nous faisant admirer sa plastique parfaite sous tous les angles.

Au fait, tu m’as dit que tu n’étais pas homo…s’amusait Louis
C’est vrai. Mais là, avec vous deux ça n’a rien à voir.
– Tu as raison. C’est bien pourquoi tu vas faire plaisir à Elga. Elle n’a pas encore joui.

Je n’ai pas compris tout de suite. C’est seulement quand Elga m’a allongé sur le dos en me relevant les jambes. Et lorsque Louis m’a enduit l’anus de gel. Avec un sourire carnassier elle s’est positionnée et c’est en feulant qu’elle m’a transpercé, me clouant sur le canapé. La douleur irradiait tout mon ventre mais je n’aurais cédé ma place pour rien au monde. Et c’est à travers mes larmes qui coulaient sans interruption que je me délectais du spectacle des deux magnifiques seins qui tressautaient devant mes yeux au rythme des coups de reins qui semblaient propulser Elga de plus en plus profondément dans mon intimité.

J’ai cherché par la suite à les revoir mais j’ai appris qu’ils avaient déménagé. Depuis, j’ai initié ma compagne au gode ceinture, mais je n’ai jamais retrouvé ce que j’avais ressenti le jour où le pieu d’Elga m’a perforé.

fin

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5 réponses à Vous aimez les femmes ? par Micheyl

  1. Voisin dit :

    Les adorateurs de la vraisemblance vont avaler leur chapeau. (c’est vrai que l’amorce…quand même…) Mais l’important c’est que ce texte remplit la fonction qui est celle d’un texte érotique, celle de nous exciter la nouille !

  2. LePoete dit :

    J’aimerais connaître une transexuelle. Il me semble que cela doit être bon, ce mélange extraordinaire de féminité alliée à la masculinité

  3. Marinus dit :

    Oui j’aime les femmes… même quand elles ont quelque chose de plus entre les jambes !

  4. Darrigade dit :

    Dommage qe l’amorce soit si expéditive, sinon c’est très excitant

  5. TransMonique dit :

    Complétement improbable, mais c’est tellement bien écrit et tellement excitant ! Bravo à l’auteur !

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