Je m’appelle Elise, j’ai 25 ans, je bosse comme hôtesse d’accueil dans une bonne boite à Paris. J’avais suivi un inconnu qui s’appelle Albert. Il se disait romancier (je n’y crois pas trop). Il prétend que c’est lui qui écrit les pages que vous lisez, là, maintenant (est-ce vrai ?). La seule chose certaine, c’est que c’est un vrai cochon. Dans le métro, il m’a mise dans les bras d’un mec qui s’appelle Tyson, 20 ans, la beauté faite homme, avec un sexe de cheval. Tyson aussi, il dit qu’on est tous prisonniers dans un bouquin d’Albert. Tyson, je l’ai cru parce qu’il est trop beau. Albert nous a fait faire plein des bêtises pleines de pipi. Après, il nous a invités à une fête organisée pour la sortie de son dernier livre. Albert me fait peur, mais j’ai accepté, pour suivre Tyson.
Quand on est arrivés, il y avait déjà du monde, et nous, on avait nos habits mouillés de pipi. C’était pas chez Albert mais chez un de ses amis. Un mécène il m’a dit. Le mécène a du pognon. Son appart était immense et classe. Il y avait déjà une vingtaine de personnes et ça ressemblait à peu près à une soirée normale. On s’est fait acclamés comme des héros en arrivant. Je ne me doutais pas qu’Albert était si populaire. Il a fait des présentations tellement théâtrales que je ne savais plus ou me mettre. « Je vous présente Elise, ma nouvelle Egérie. Je viens de l’initier pas plus tard qu’aujourd’hui. Elle a traversé Paris en faisant pipi dans son collant. Je mets de ce pas aux enchères le collant coupable. Il me soulève d’un geste par la taille et me met debout sur une table. Il me relève alors la jupe, me caresse la chatte devant tout le monde et fait sentir sa main imbibée de pipi aux enchérisseurs. 30 ! 50 ! 100 ! En cinq minutes le collant était adjugé 300 Euros. Albert baisse théâtralement le collant dans un tonnerre d’applaudissements, alors que je suis encore debout sur la table. Le collant passe de main en main jusqu’à son nouveau propriétaire. Chacun renifle l’odeur de mon pipi en passant. Et Albert a glissé les 300 euros dans ma culotte. Aussitôt les gens se mettent à scander « La cu-lotte, la cu-lotte, la cu-lotte ». En 5 minutes, j’ai 300 euros de plus et je suis à poil sous ma jupe.
Albert continue les présentations. « Et voici Tyson. Il a non seulement la plus belle gueule de Paris mais il a quelque chose en plus que je vais vous laisser découvrir. S’il te plait Elise, tu peux être gentille avec moi et nous montrer la caisse à outil de Tyson ? »
Je suis descendue de mon perchoir et me suis accroupie devant Tyson alors que tout le monde faisait cercle autour de nous. Le pantalon de Tyson est tombé sur ses chevilles. Il avait un caleçon moulant en lycra que sa bite encore molle mais déjà énorme gonflait de partout. Il y a eu d’un coup un grand silence dans l’assemblée et quand j’ai baissé le caleçon, un long murmure. J’ai pris l’animal dans les deux mains et en ouvrant grand la bouche, j’ai commencé à le sucer lentement pour le faire grossir. Au fur et à mesure que le sexe gonflait, je voyais aux muscles de son ventre que Tyson avait décidé de se faire un petit plaisir hors programme. La situation devait l’exciter autant que moi. Au début, ça n’était que des tout petits jets qui me coulaient par la commissure des lèvres. Son sexe était tellement énorme qu’il ne rentrait de toutes façon pas en entier dans ma bouche. Je devais le sucer et le branler en même temps des deux mains. Tyson prenait son temps. Plus le sexe grossissait, plus Tyson poussait fort et les jets de pipi me venaient au fond de la gorge. A un moment, j’en avais plein la bouche et je ne pouvais plus respirer. Même un cheval aurait fait une dépression nerveuse en voyant ses mensurations. J’ai ouvert la bouche et le jet de pipi m’a arrosé tout le visage. Je me suis faite arrosée de partout. Je tenais cet énorme truc dans les mains et je me voyais ressembler à un pompier avec une lance à incendie.
Certains invités s’embrassaient en nous regardant. D’autres se faisaient pipi dessus tout en se caressant à travers leurs habits. Deux femmes nous regardaient, immobiles en se tenant par la main. Une grosse auréole s’est mise à grandir en même temps sur leurs pantalons le long de leurs cuisses. Elles ne faisaient pas un geste, comme si elles étaient changées en statues. Le seul mouvement visible était leur pipi qui descendait vers le sol. Une flaque a grandit autour de chacune d’elle, puis les deux flaques n’en ont fait plus qu’une. Quand la flaque a cessé de grandir, les deux femmes se sont regardées un long moment puis elles se sont embrassées tendrement en se caressant. De tout ce temps, elles n’avaient pas prononcé un mot. Deux autres femmes assez distinguées, robe du soir, la cinquantaine, s’étaient approchées et s’étaient mises à genoux près de nous. C’est Tyson qui a compris ce qu’elles attendaient. Il a repris sa lance à incendie dans la main et les a arrosées copieusement en faisant exprès qu’elles aient à se dandiner pour attraper le pipi dans la bouche. Si l’une était au bon endroit, il déplaçait le jet pour qu’elle se déplace. Les femmes un peu timides au début se sont mises à rire comme des gamines en courant après le pipi de Tyson. Finalement, elles on trouvé plus simple de s’arroser mutuellement. Plusieurs hommes se sont approchés encore un peu, on sortit leur sexe et se sont masturbés en regardant. Ils se faisaient asperger eux aussi au hasard des éclabousses. Deux amis se sont jetés un regard et ont fendu le groupe. Ils ont chacun attrapé une des deux copines par les cheveux et se sont fait sucer par les bourgeoises. Ils leur ont éjaculé sur la figure puis les ont aspergées de pipi alors qu’ils bandaient encore. Quand ils ont eu fini, la plus âgée a dit à son bourreau : « Salaud. Tu aurait pu me baiser au moins ». Puis elles se sont relevées toutes les deux, on rajusté leurs robes mouillées et sont allées prendre une coupe de champagne.
Un homme tapa dans ses mains. Le silence se fit. Les zizis retrouvèrent leur place réglementaire, les fontaines de pipi se tarirent et les braguettes remontèrent. C’était le proprio. Il a fait un petit discours pour célébrer la gloire d’Albert et a déclaré la soirée ouverte. « Mes amis » dit-il alors, « Nous allons commencer par un petit jeu pour mieux faire connaissance ». Chacun va tirer une boule dans cette urne et ceux ou celles qui ont le même numéro formeront un couple. Le jeu a pris un peu de temps parce que chaque couple qui se retrouvait donnait lieu à une mini-attraction qui retenait le reste de l’assistance. C’était au hasard. Il y avait homme-homme, homme-femme et aussi femme-femme.
Malgré le délire qui commençait un peu à s’installer dans la soirée, je n’avais pas encore totalement largué les amarres. J’avais repéré que j’étais tombée avec une fille mais je n’avais jamais eu d’expérience homo. J’avais instantanément décidé dans ma tête que j’étais prête mais j’avais besoin d’un peu de temps pour m’habituer à l’idée d’aller avec une fille. Franchement, j’aurais préféré un mec. Disons-le clairement, Tyson et son énorme bestiau me fascinaient. A force de le branler et de le sucer, j’avais bien envie de passer à la vitesse supérieure. Bref, je tourne un peu autour de la fille pour m’habituer à elle. Mais en même temps, je m’éloigne jamais loin de Tyson au cas où il aie envie de m’enfiler, comme ça, là, devant tout le monde. J’ai les jambes qui tremblent rien que d’y penser. Tyson, je l’ai déjà dit mais je vais le répéter rien que pour mon plaisir : il est beau.
La fille dont j’ai tiré le numéro est blonde décolorée, mèches courtes et bouclées, la nuque dégagée. Minijupe en cuir fuchsia, bottes à talon, les reins cambrés et des petits seins. On s’aborde. On sympathise. Elle a bien aimé mon numéro avec Tyson et elle a compris que je ne suis pas une habituée. Je ne croyais pas que ça se voyait comme ça sur ma figure après tout ce que j’ai fait. Elle me dit que si, et c’est même ce qui a le plus excité les invités. Elle s’appelle Valérie, elle est pigiste pour une grande télé. Elle a le statut d’intermittent du spectacle. Elle a pas le droit de bosser plus de 10 jours par mois sinon elle perd son statut. Quand elle ne bosse pas elle touche le chômage et elle s’emmerde, alors elle fait le tour des parties fines en habituée, à la recherche de nouvelles sensations. Ce soir elle est contente par ce qu’il y a moi. C’est ce qu’elle me dit. Je la crois. Tout en bavardant, je m’aperçois que quand je bois une gorgée, elle boit un verre. Tout y passe. Coca, thé, Perrier, et une coupe de champagne de temps en temps.
On est assises sur des tabourets hauts genre boite de nuit. Moi avec mes manières de bourgeoise et elle, les jambes bien écartées malgré sa minijupe, bien cambrée, la chatte appuyée à plat sur le tabouret et elle se dandine imperceptiblement d’avant en arrière. Je cherche quelque chose qui va m’obliger à franchir le pas. Alors je regarde sa culotte et je me force à fantasmer dessus. Je pousse en grand et je sens le pipi qui mouille le fond de ma jupe, qui coule entre mes cuisses serrées, qui va couler par terre dans moins d’une seconde. Là ma respiration s’arrête, mon cœur bat à 100 à l’heure, je suis certainement toute rouge. Elle a vu que je regardais sa culotte et elle a écarté imperceptiblement les jambes pour me dire que Oui, elle est d’accord, elle me veut. Au moment ou mon pipi commence à couler par terre je me lève et je lui dit dans un souffle : « Valérie, c’est moi ton numéro ce soir ». C’est le déclic, elle se jette su mes seins comme un enfant sur de la confiture. Moi c’est sa culotte bien visible entre ses jambes écartées qui attire ma main comme un aimant. Son sexe est déjà ouvert, gonflé, humide. Dès que je la touche, je sens son pipi couler sur mes doigts tandis que nous nous embrassons. Puis brusquement elle se met debout et pousse ma tête vers le bas. Sa culotte sent la mouille et le pipi. Un gros jet tiède en sort en faisant du bruit. Je mords son sexe à travers le tissu et aussitôt, je sens qu’elle se contracte. Un long, long jet de pipi entre dans ma bouche qu’elle maintient fermement de la main contre sa vulve pour que je continue à la sucer. Je tire la culotte sur le côté pour sentir sa peau. Je reçois alors le jet de pipi directement sur le visage et ça me rend folle. Elle va bientôt jouir. Elle crie tout en me tirant par les cheveux pour que j’active mon mouvement. Son pipi m’inonde complètement je le sens couler contre mon ventre à travers le pull. J’ai remonté ma jupe jusqu’à la taille. J’ai écarté les jambes et j’ai poussé pour que mon pipi se mélange au sien.
De là ou je suis, je vois les jambes d’un homme qui s’approchent derrière elle. Il a empoigné sa minijupe des deux mains et l’a brutalement remontée sur le haut de ses fesses, puis il a baissé la culotte du même geste autoritaire. Je sens maintenant son sexe qui cherche le chemin entre les jambes de Valérie. Tout en continuant à la sucer pour prolonger son orgasme, je dirige le sexe du mec vers l’anus. Dès qu’il sent qu’il est en face, il immobilise Valérie dans l’étau de ses mains serrées sur ses hanches et donne un puissant coup de rein qui lui arrache un cri. Ils s’immobilisent tous les deux, lui savourant sa prise, elle attendant que l’éclair de douleur passe pour pouvoir participer. Après un instant, elle lâche mes cheveux pour attraper ses deux fesses, les écarter dans un geste obscène et pousser son cul, par petits coups, jusqu’à l’empalement complet. Elle n’a pas cessé de crier à chaque millimètre que le sexe de l’homme faisait vers sa profondeur, si bien qu’un nouvel attroupement s’est formé autour de nous. Valérie s’est penchée en avant pour faciliter l’opération. Lui la bourre maintenant lentement, avec force et tranquillité. Elle continue de faire pipi mais cette fois par petits jets, au rythme de la sodomie.
Ce sont maintenant les couilles du mec qui reçoivent le cadeau en récompense de chaque assaut. Je passe derrière eux et je glisse la main entre les jambes du mec jusqu’à la chatte de Valérie. Je lui branle le clitoris pendant qu’elle se fait enculer. Elle crie de plus belle mais le mec continue sur le même rythme de locomotive. Tout en continuant ma caresse, je recueille le pipi de Valérie qui continue à gicler à chaque coup de piston et je l’étale sur les couilles du mec tandis que Valérie hurle maintenant « Vas-y Salaud. Plus fort. Tu vas me faire jouir ». Le mec commence à tressauter sous mes caresses. Je suis sur la bonne voie. Tout en étalant le pipi, je glisse mes doigts dans les petits coins secrets. Quand je lui met enfin le majeur au fond de l’anus, le type se déchaîne « Continue à gueuler, Salope ! Tu vas me faire jouir » et il abat le plat de sa main avec une force inouïe sur les petites fesses de Valérie ce qui, effectivement, décuple ses cris. J’arrive à me mettre en rythme avec lui et je sens enfin son plaisir monter. Ses cris couvrent ceux de Valérie qu’il continue à fesser. Elle crie maintenant comme une truie qu’on égorge, elle l’insulte, tout ça l’excite et lui aussi gueule et l’insulte tout en la fessant. Au paroxysme, il lui attrape les hanches des deux mains et joui dans un hurlement, mon doigt toujours dans son cul.
L’attroupement autour de nous est général. Les gens applaudissent. Les deux héros s’embrassent et m’embrassent aussi. Ils se relèvent en souriant et remercient l’assemblée. Le mec s’aperçoit alors qu’il fait des gestes de star avec les pantalons baissés sur les chevilles. Il se trouve con et tout le monde rigole.
Valérie baisse sa jupe sur ses fesses rouge écarlate avec d’infinies précautions qui trahissent à quel point elle a été malmenée. Elle m’attire dans un coin et m’enlace. « Il m’a fait jouir du cul ce salaud. J’adore ça. Je suis KO ». Et puis sans transition « Qu’est-ce que tu es belle. Ah ! Si je pouvais avoir des seins comme toi ». Mais moi j’ai honte de mes seins. Je les trouve trop gros et trop bas. A la ville je ne sais jamais comment les habiller. Pendant l’amour, ils bougent de tous les côtés et ça me gène car je vois bien que ça excite les mecs alors que moi je trouve ça vulgaire. J’aimerais tellement les avoir menus et durs comme les siens. Je lui dis tout ça. On s’embrasse et on se pelote. C’est doux. On continue à boire des cocas et des Perrier. Ma vessie est vide, mais j’ai envie de ravoir envie. Je veux être une vraie fontaine ce soir. Je viens de découvrir l’ondinisme et j’ai l’enthousiasme des novices. Pareil pour les relations bisexuelles. Je me sens maintenant détendue et prête à tout. Heureusement car je n’étais pas au bout de mes surprises.
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A cette annonce, mon excitation est tombée d’un cran. J’étais même décidée à partir. J’avais eu ma dose de sensations dans la soirée. Mais Valérie a déployé toute sa douceur pour me retenir. Je connais ce jeu. Tu verras. C’est vraiment rigolo je te promet que tu va rire comme jamais. Et puis ça fait pas du tout mal. Au contraire c’est ultra jouissif. Crois-moi, on va se régaler et bien rigoler. Elle m’a pas dit ça d’un coup. Ella a plutôt distillé tous ces arguments avec plein de baisers et aussi un peu de culotte mouillée, et encore beaucoup de caresses et autant de soupirs de plaisir. Bref, j’étais dans ses filets. J’ai fait contre mauvaise fortune bon cœur.
Les soi-disant paravents étaient des espèces de bâches plastiques transparentes tendues du sol au plafond. Elles laissaient voir les silhouettes mais pas les détails. Un savant jeu de projecteurs faisait qu’on voyait assez bien de l’extérieur vers l’intérieur, mais pas l’inverse. Ca laissait l’illusion de l’intimité au couple à l’intérieur du paravent, tout en permettant aux autres dans la salle de profiter du spectacle. Et surtout, de vérifier qu’il n’y avait pas de triche ! Il y avait en tout quatre paravents, un à chaque coin de la salle. Derrière, un petit lit, plutôt genre table de massage, des boites de préservatifs, et des grands flacons de lubrifiant. Chacun y allait à sa manière. Un homme et une femme le faisaient accroupi l’un face à l’autre en s’embrassant à chaque balle enfilée. Un couple d’hommes, contents d’être enfin seuls, se faisait l’amour le plus simplement du monde sous prétexte de faciliter la suite de l’opération. D’une manière générale, les bruits qui sortaient des paravents faisaient plus envie que peur.
Les plus expérimentés étaient partis les premiers derrière les paravents, enjoués et pressés de commencer. Tous sortaient en riant. Les plus hésitants s’enhardissaient alors au fur et à mesure. Finalement, je me décidais à suivre Valérie.
Déshabille-toi complètement, me dit-elle. Ca sera plus confortable et on ne risquera pas de salir nos habits. Elle ne me laisse pas faire, se colle à moi et me déboutonne dans un long baiser. Elle me caresse de partout. J’en fais autant et nous sommes bientôt nues. Un radiateur accueille nos habits mouillés de pipi et promet de les garder bien chauds. Valérie m’excite plus que tout avec ses petits seins et ses petites fesses. Elle prend ma main et y verse une grosse noix de lubrifiant, puis fait de même pour elle. Elle m’enlace à nouveau et me plaque sa main pleine de gel sur la vulve et l’étale largement sur le sexe, le clito, l’anus et le bas des fesses. La sensation est délicieuse et j’en fais autant. Je suis excitée et j’ai envie de la caresser de cette manière de partout. J’attrape son sein qui me glisse dans la main. Je le masse, je le serre, je le pince, et il glisse à chaque fois, plein de lubrifiant. Elle a attrapé mon clito et le maltraite d’une manière qui m’aurait fait hurler si le gel n’était pas là. On remet du gel, et on en remet encore, et finalement, elle m’introduit un doigt dans l’anus et le malaxe de droite à gauche et d’avant en arrière. Une sensation extraordinaire que je ne connaissais pas encore. Je dois m’accrocher à ses épaules pour ne pas tomber.
Je ne l’ai pas vue prendre une des balles et je la sens soudain à l’entrée de mon anus. Elle la fait rouler d’avant en arrière de l’entrée. C’est délicieux. Elle me demande alors de m’accroupir en écartant les jambes.
Valérie remet du gel sur la balle et reprend son jeu. Je commence à prendre du plaisir lorsqu’elle me dit de pousser. « Plus fort ! Plus fort ! » Je retiens ma respiration et je pousse. C’est délicieux. « Chie dans ma main ! » ordonne-t-elle autoritairement. Le plaisir me monte, j’écarte les cuisses un peu plus, je me cambre, je prends une grande respiration et je pousse. Valérie pousse sur la balle au même moment et elle disparaît dans mon ventre. Je ne l’ai presque pas sentie. Lève-toi maintenant dit-elle. Je me lève et je suis toute étonnée de ne rien sentir de plus qu’une délicieuse petite envie de chier.
Valérie se met une balle à son tour, en un geste rapide et habile qui lui arrache une petite grimace. La deuxième balle rentre de la même manière, puis la troisième, puis la quatrième. En experte, Valérie attend une minute que chaque balle ait trouvé sa place dans mon ventre avant de mettre la suivante.
La cinquième est un délice. Dès que je me redresse, un spasme prend tout mon ventre et m’oblige à pousser. Je m’assoie en attendant que ça passe. C’est comme une jouissance. Du pipi sort de ma vessie sans que je ne lui aie demandé. Ce sont des sensations que je découvre avec émoi. Je n’avais jamais réalisé avant à quel point le fait de chier est un plaisir très proche du plaisir de l’amour.
La sixième balle est avalée de la même manière. Celle-là me crée des spasmes ultra intenses. Ils me coupent la respiration et m’obligent à m’agripper à Valérie. Elle me fait m’accroupir et repousse délicatement les balles qui veulent sortir. Elle les maintient d’un doigt, profondément, loin de la sortie, jusqu’à ce que mon anus dilaté puisse se refermer sur son doigt et que je puisse le serrer de ma propre force. « Surtout ne pousse pas si ça vient », me conseille-t-elle en habituée, « Sinon, c’est toi qui aura le gage parce que avec six, quand ça vient, on ne peu plus rien retenir ! »
Une serviette propre prise sur une grande pile qui sent la lavande nous permet de nous essuyer, à défaut de nous laver. Le radiateur a chauffé nos habits et a réveillé leur odeur de pipi. Je saisis ceux de Valérie et les renifle, tremblante de désir. Je veux faire pipi de plaisir alors je me coince la serviette entre les jambes et je me lâche la vessie dedans tout en respirant à pleins poumons la culotte chaude de Valérie. Pisser dans une serviette épaisse et propre, quel délice. Je comprends instantanément que je viens de découvrit un truc grandiose !
Elle me gronde d’un baiser, reprends son bien et nous rhabille toutes les deux lestement. Nous revoilà dans la salle.
Valérie me fait un signe de la tête vers une fille seule assise sur un tabouret du bar. Elle est rousse, cheveux courts, le nez long et fin. Un piercing dans l’aile du nez. Pantalon de cuir noir moulant qui s’arrête à mi-mollet, escarpins à talons. Ses seins sont menus mais ses mamelons sont saillants et durs, bien visibles à travers la fine chemise de soie noire qu’elle porte à même la peau. Elle est manifestement à la peine avec ses balles de ping-pong dans le cul mais ne semble pas s’en plaindre. Plutôt plongée dans un autre monde. Un monde intérieur de tempêtes sensuelles d’où elle regarde le reste de la soirée de loin, sans y être, comme un étrangère. Elle est assise l’anus collé à son tabouret. Son ventre est secoué de spasmes qui la font haleter. De temps en temps elle ferme les yeux, se mord la lèvre. Manifestement, les six balles lui ont rempli le rectum au point qu’elles lui déclenchent des envies de se vider totalement incontrôlables qui la submerge de plaisir.
Les spasmes lui pressent la vessie qu’elle laisse se vider librement. Le pipi, qui ne peut pas traverser son pantalon en cuir, en sort par le bas. Il ruisselle le long de ses jambes jusqu’à ses chevilles et goutte sur le sol au bout des escarpins en formant une petite flaque sous chaque pied. Cependant elle pisse trop fort pour que tout passe par le bas. Son pantalon s’est totalement rempli de pipi. Il déborde par l’échancrure que fait la ceinture à l’arrière du dos quand elle se cambre. D’un côté les convulsions la surprennent et la dépassent par leur force, elle a envie de se libérer en poussant un grand coup, mais elle résiste en se mordant les lèvres. D’un autre côté les contractions réflexes de son rectum la font jouir. Cela se lit sur son visage, sur ses yeux fermés, sur sa bouche ouverte happant l’air, puis se refermant pour mordre ses lèvres, sur ses bras qui se tendent pour la soulever du tabouret et laisser enfin s’échapper ce que son corps par instinct veut rejeter.
Valérie m’entraîne vers elle. La douceur des gestes et de la voix lui permet de faire irruption dans le monde intérieur de la rousse sans se faire rejeter. Valérie glisse une main habile sous les fesses de la fille. Son autre main se pose amicalement sur son l’épaule. « Attends, je vais t’aider. Il faut les faire rentrer assez loin pour que tu puisses refermer les fesses et te détendre, sinon, tu ne tiendras pas ». D’un geste elle aide la fille qui se relâche enfin. Les regards se croisent. Les corps s’enlacent tendrement, et finalement un doux sourire sur son visage montre à la fois l’émoi, la reconnaissance et déjà la l’envie de soumission qu’engendre l’amour.
– Qui es tu ? Je ne t’ai encore jamais vue aux soirées d’Albert.
– Je m’appelle Karen, je viens de Londres. C’est vrai que c’est la première fois qu’Albert m’invite. Je me sens un peu perdue ici. Pourtant il y a trois ans ce n’était pas comme ça. On était ensemble quand il écrivait son premier roman. Il m’a même mise dedans. J’en étais l’héroïne. Je l’ai aimé à la folie et lui aussi je crois, mais il a cessé de s’occuper de moi du jour où il a envoyé le manuscrit à l’éditeur. Il faut dire que le bouquin n’a pas marché. Je crois qu’il m’en veut à cause de ça mais je n’y suis pour rien. Quand je lui disait qu’un chapitre était nul, il se gonflait d’orgueil en me disant que c’était lui l’auteur et qu’il écrivait ce qu’il voulait. J’ai été très malheureuse. On se chamaillait tout le temps mais on se serait damnés l’un pour l’autre. Il a l’orgueil des hommes qui n’ont pas assumé leur fragilité. Je voulais le protéger. C’est ce que je croyais. Je crois surtout que je voulais me protéger moi-même derrière lui. Ca me rendait malade de sentir sa fragilité à fleur de peau quand il se fâchait. J’avais tellement besoin qu’il me protège. Mais c’est un enfant. Il ne pouvait rien pour moi. J’étais si heureuse de venir ce soir ! Maintenant je regrette. Tout a tellement changé depuis trois ans. Le pire, c’est que je l’aime encore, mais j’ai peur d’aimer un fantôme. Il a tellement changé. Je ne sais même pas pourquoi il m’a invitée. C’est un pervers. Il a certainement une idée derrière la tête et je sais qu’il va essayer de m’humilier. Je le savais depuis le début, mais je n’ai pas pu dire non. Peut-être que finalement j’aime ça. Je ne sais plus.
Elle avait l’air épuisé. Le combat contre les balles de ping-pong l’avaient mise à plat. Bientôt les spasmes reprirent. Elle s’agrippa à Valérie et gémit. « Je ne peux plus. Ah ! Ah ! Ah ! C’est trop bon. Ca sort ! Ca sort !! Valérie, ça sort ! Je ne peux plus les retenir ! C’est trop bon ! Ah ! Ah ! Je vais tout lâcher ». Elle se leva carrément de son tabouret et tout en se tenant à Valérie, fléchis légèrement les jambes dans une position obscène. Elle prit une grande respiration et poussa de toutes ses forces. Un glougloutement assourdi sortit de son pantalon. Elle repris son souffle et, cette fois, affolée par ce qu’elle venait de faire, affolée d’être passée de l’autre côté, d’avoir lâché les amarres et sauté à pieds joints dans le plaisir, elle prit une grande respiration et poussa de toutes ses forces pour éjecter tout ce qu’elle pouvait. Son visage était rouge à éclater. Les veines de son cou s’étaient gonflées. Les muscles de ses mâchoires saillaient sous sa peau fine. Deux autres glouglous dans un tremblement de tout son corps. Elle fut alors prise de frénésie. Une main sur le sexe, l’autre par derrière entre les fesses, elle malaxa tout ce qui était sortit et l’étala à l’intérieur de son pantalon tout en haletant et se déhanchant dans des gestes quasiment hystériques. Quand elle se releva, du pipi marron lui coulait des jambes du pantalon. Elle s’effondra sans force dans les bras de Valérie et se mit à sangloter.
Valérie lui caressait maternellement le visage tandis que des larmes d’émotion et de désarroi de Karen lui coulaient sur l’épaule. Karen tremblait encore de la jouissance insoutenable qu’avait été l’éjection des balles de ping-pong. Elle mit longtemps à se calmer. « S’il te plait » finit-elle par dire à Valérie. « Garde-moi avec toi. Je ne veux pas qu’on me tape ». « Que veux-tu comme gage » lui demanda Valérie ? « J’aime donner du plaisir à des inconnus, mais je ne veux pas qu’on me tape et je ne veux pas qu’Albert m’humilie. Je ne veux pas qu’il joue avec moi comme une poupée. Je veux qu’il m’aime comme avant ! » Le reste fut inaudible, couvert par ses sanglots.
« Courage. Je peux faire tout ça ! » lui répondit Valérie en lui souriant comme un soleil. Elle l’entraîna vers l’estrade ou les gages étaient distribués. « Je vous présente Karen, déclama-t-elle. Karen est l’héroïne du premier roman d’Albert. » un Hourra couvrit sa voix et elle du attendre pour continuer. « Elle a perdu ses balles. Comme gage, je lui ordonne d’être mon esclave obéissante pour tout le reste de la soirée et de ne rien faire que je ne lui aie précédemment ordonné ». Les Hourras redoublèrent. Karen éclaira ses larmes d’un large sourire. Si belle et si fragile. Pas de doute que sans la protection de Valérie, les hommes n’en auraient fait qu’une bouchée.
Valérie extorqua au maître des lieux la clé de sa salle de bain privée sous la promesse de ne rien salir « On a eu un petit accident. Il faut que je m’occupe un peu d’elle » avait-elle plaidé. Puis, dans un baiser, la main sur sa bite, elle ajouta : « S’il te plait, ne dis pas à Albert ou nous sommes ». Elle nous entraîna toutes les deux et ferma à double tour derrière elle.
Déshabille-toi Elise, ce n’est pas la peine de salir tes vêtements propres. Elle fit de même et Valérie ôta sa chemise de soie. Nous nous retrouvâmes toutes les trois dans la baignoire, Valérie plongea carrément la pomme de douche dans le pantalon de Karen et la lava de cette façon avec des gestes précis et efficaces qui dénotaient une sacrée habitude de la chose. Tout fut bientôt propre et le reste de la douche à trois fut un délice. La douceur du gel douche, l’odeur de lavande, et aussi la petite odeur de pipi qui sortait du sèche-linge dans lequel nous avions mis nos vêtements mouillés sans prendre le temps de les laver.
« Fais tes besoins Karen, il faut que tu prennes tes précautions pour le reste de la soirée ». Karen obéit, heureuse de recevoir un ordre, heureuse qu’il soit donné gentiment, et heureuse qu’il soit fait par prévenance. Elle s’assit sur le pot comme une enfant et poussa, les jambes écartées, en regardant Valérie amoureusement dans les yeux. La voir ainsi abandonnée dans une pose aussi intime. J’eus envie d’elle et je me suis approchée. Quand mon sexe a été à la hauteur de sa bouche, elle implora Valérie du regard pour obtenir l’autorisation de me satisfaire. L’ayant obtenue, elle se pencha vers moi et commença à me caresser des mains et de la langue. Faire pipi sur son corps nu, propre et sec qui sentait bon le savon fut un délice. Elle-même me lâcha d’une main pour se masturber avec mon pipi qui lui coulait sur le corps et entre les jambes. Valérie, connaisseuse et perverse, s’était mise derrière moi. Elle avait pris une bonne quantité de gel lubrifiant dans la paume de sa main et me l’étala entre les fesses, ce qui lui permis de m’introduire sans peine deux doigts dans l’anus. J’avais presque oublié les balles qui apparemment s’étaient plus facilement logées chez moi que chez Karen. Mais, quand Valérie les atteignit des doigts et commença à jouer avec et à les repousser plus loin encore vers l’intérieur de mon ventre, je crus que j’allais perdre connaissance. Karen était au bord de me faire jouir en me léchant juste au moment ou Valérie déclencha le réflexe de pousser et, contre ma volonté, je me retrouvais perdant presque l’équilibre, arc-boutée sur mes jambes fléchies, et poussant de toutes mes forces pour faire sortir le volume devenu trop gros pour mon rectum. Valérie laissa venir la première balle jusqu’ au milieu de mon anus, ce qui fit redoubler mon réflexe irrépressible de pousser. Mais là, elle la retint avec une force supérieure à la mienne si bien que je crus m’évanouir. « Pousse ma chérie, pousse » me dit-elle amoureusement, mais je ne pouvais pas faire autre chose de toutes façons. Et de la main, elle faisait monter et descendre la dernière balle le long de mon anus, me provoquant à chaque fois des décharges électriques qui me parcouraient des reins jusqu’aux pieds. A force de faire ainsi jouer les balles l’une contre l’autre, le caca réussit à se frayer un chemin entre elles et commença à sortir. Ce fut une vraie jouissance de sentir que quelque chose sortait enfin, et cela redoubla l’instinct incontrôlable qui me faisait pousser. J’avais l’impression de ne pas avoir respiré depuis une éternité, et que mes yeux allaient sortir de ma tête. C’était pire qu’un orgasme. Ca faisait du mal et du bien en même temps. Je sentais que je devenais folle.
Finalement, Valérie a brusquement relâché son barrage et tout est sortit. J’ai du ressentir ce qu’avait sentit Karen quelques minutes avant et je peux vous dire que c’est un vrai flash. Tout était quasiment rendu à l’état liquide. Valérie le recueillait dans ses mains et me l’étalait sur les fesses et sur le ventre en même temps qu’elle y faisait rouler les balles de ping-pong qui venaient de sortir. Tout cela a fini par couler dans la cuvette des WC au-dessus de laquelle je me trouvais encore, en souillant au passage le corps de Karen qui n’avait pas fait un geste.
Valérie m’accompagna jusqu’à la baignoire toute proche en faisant attention à ce que je ne tombe ni ne glisse, malgré mon désarroi. En fait, je ne tenais tout simplement plus debout. Arrivées dans la baignoire, elle m’enlaça sans un mot et m’embrassa longuement. C’est encore elle qui me lava, me savonna tout le corps, et me drapa d’une grande serviette toute chaude et toute propre. Mon copain (le vrai, pas ce cochon d’Albert) me fait ça de temps en temps mais ça n’a rien à voir, c’est juste pour s’exciter et me baiser après. Là, je ne sais pas comment dire, c’était comme si c’était une maman qui s’occupait de moi. Pas une maman en vrai, une maman comme on en a en rêve quand on se sent faible et fragile. C’était infiniment doux.
Cinq minutes après, tout était propre. On a sortit nos habits du sèche-linge. Ils étaient secs et chauds. Ils sentaient encore bon le pipi frais. On les a respirés et on a essayé de retrouver ces odeurs sur nos propres corps à travers l’odeur de savon. C’était bon d’enfiler ces habits chauds et doux, et en même temps pleins de nos odeurs. Elles ont réveillé notre désir. On se sentait heureuses d’être là, toutes les trois. L’escalier s’est descendu en se poursuivant comme des gamines et en s’embrassant quand on s’attrapait. En entrant dans la grande salle, nous étions à nouveau prêtes à tous les plaisirs. Le désir de Tyson me revint comme un flash. L’impression d’un long éclair qui avait traversé la galaxie pour me retrouver. Je me mis aussitôt à le chercher des yeux
Complètement frapadingue mais j’ai adoré le coup des balles de ping pong !