L’environnement le permettant, bien à l’abri des regards indiscrets, leur habitude était d’être entièrement nus, ce qui, le soleil aidant, entraînait souvent à des ébats plus que coquins.
Ceux qui ne l’ont jamais pratiqué ne peuvent se douter de l’effet excitant qu’ont soleil et chaleur sur les sexes dénudés, réchauffés au plus intime par l’astre solaire .
Par habitude, tout en lisant un roman policier sans grand intérêt , Régis se tripotait le sexe qui bandait un petit peu. Agé de 44 ans, brun et pas mal sportif, il adorait ces heures de farniente d’une part, et d’autre part ne rechignait pas à mettre la main à la pâte, seul ou le plus souvent sous les yeux de sa femme.
Il sentait dans son ventre et tout au long de sa queue des petites pulsions, des palpitations discrètes, des envies troubles de baise.
Il devait être environ 16 heures ; son regard plongea entre les cuisses d’Andrée qu’elle écartait complaisamment , se caressant doucement et sans pudeur tout en lisant un magazine .
Ses doigts glissaient au milieu des poils bruns de son pubis, cherchant dans sa fourrure le haut de sa fente que l’on distinguait un peu brillante au milieu des poils ; elle se caressait sans complexe le clitoris, de plus en plus précisément, et de plus en plus vite.
Bien sûr cela provoqua de suite une réaction visible de Régis dont le sexe s’enfla et se dressa bien droit et dur ; il entreprit de se branler lui aussi doucement.
– Ne te finis pas seule, ma chérie
– Alors viens vite me lécher
Sans lâcher la queue, Régis s’agenouilla entre les jambes de madame, et posa sa bouche sur le sexe offert; elle avait cessé de se caresser, et de ses deux mains, écartait les lèvres de sa vulve, offrant à déguster ses chairs intimes, roses et luisantes de mouille.
Cela devait faire une à deux minutes que l’homme léchait le con détrempé et enroulait sa langue autour du petit bouton, quand la sonnette du portail retentit
– Merde, qui çà peut être ? On laisse sonner, n’y va pas !
– Non, on ne sait jamais, je vais voir. Couvre toi un peu
Andrée enfila prestement un peignoir en éponge, se pencha vers la queue dressée, la gratifiant d’un coup de langue appuyé et d’un petit bisou.
– A tout de suite, je reviens.
Régis se recoucha sur son relax en maugréant, attrapant une serviette et la posa sur son bas ventre, cachant la hampe toujours fièrement dressée
Quelle barbe !
Des pas sur le gravier de la cour, une voix féminine familière
– Bonjour les amis , je ne vous embête pas ? ?
– C’est Cécilia qui vient nous faire coucou ; tu es visible ? dit à haute voix Andrée en s’approchant de la piscine
– Oui, oui, c’est bon
Les deux femmes arrivaient ;
Cécilia était la préférée des amies de sa femme ; la quarantaine, très ,jolie brune aux avantages épanouis, des seins un peu lourds et un cul qu’il supposait splendide, même sans jamais l’avoir vu nu, aussi rond qu’un cul de négresse ; et en plus elle est libre ,veuve hélas de Jacques qui s’était écrasé il y a presque un an à moto sur un platane mal placé !
Cécilia savait l’intérêt de Régis pour elle, mais n’avait jamais cédé à ses avances depuis qu’elle était seule… « Jamais avec le mec d’une copine ! ! » Et pourtant, ce n’est pas l’envie qui lui manquait ; elle le trouvait séduisant, et hélas, du point de vue sexe, était bien seule depuis trop longtemps.
Veuve quand même un peu joyeuse à présent, car jeune et désirable, elle s ‘était déjà permis quelques extras, et en plus elle aimait le sexe ! !
– Tu aurais pu te rhabiller quand même, tu exagères !, fait remarquer Andrée devant la bosse que révélait la serviette posée sur le ventre de Régis.
– Je vous ai dérangé ,j’en ai bien peur.
– Mais non ma chérie ; c’est pas grave ; c’est vrai qu’il était entrain de me faire une chouette gâterie ! ! Il en est encore tout énervé, et je crois qu’il bande lui glissa-t-elle à l’oreille
Régis mit un certain temps à réaliser ce que venait de dire Andrée ; ce n’était pas dans ses habitudes ; peut-être la frustration du plaisir manqué ou le petit rosé de midi qui l’avait rendu pompette ! !
– Là c’est toi qui exagères, cela ne regarde pas notre amie.
– Penses-tu, elle sait bien que tu es un cochon. Un gros cochon même !
Qu’arrive-t-il à sa femme ?, Du coin de l’œil, il guettait les réactions de Cécilia ; elle prit un air un peu gêné, pour la circonstance, mais avec un léger sourire ; elle s’installa quand même sur un relax, à côté de sa copine et face à Régis
– C’est vrai Andrée, tu me choques un peu, dit-elle mi figue mi raisin.
– Allez, je plaisantais ; installe toi ; tu as ton maillot ? mais tu sais que c’est pas trop notre truc, on adore être à poil sous le soleil.
Cécilia enleva sa robe légère pour se retrouver en slip et soutien-gorge blancs ; une superbe tenue qui ne cachait pas grand chose !
Sur sa peau bien bronzée, le petit bikini révélait une anatomie superbe.
Des seins lourds, encore comprimés par un soutien-gorge trop petit de deux tailles, un ventre doucement bombé, des hanches rondes et bien marquées, des cuisses pleines et longues, et ce cul de rêve ! Et cette peau bronzée couleur miel.
Quelle jolie veuve, décidément ,se dit Régis.
Pour se donner une contenance et engager la conversation, Régis dit doucement à la nouvelle arrivante :
– Tu vas te cramer la peau avec le soleil, tu auras des rides si tu fais pas gaffe
– Je me protège très bien ; d’ailleurs tu me passeras la crème, petit coquin.
– Au fait, tiens voilà du thé glacé, c’est rafraîchissant et çà a des vertus particulières ! !
– Ah bon ?
– Oui, mais je ne sais pas si je dois t’en parler ; qu’en pense tu Andrée ?
– On verra çà plus tard… allez, mets toi à l’aise, viens près de moi
Cécilia , sans insister sur le thé, dégrafa son soutien-gorge, libérant ses superbes seins, bien bronzés .
– Dis donc tu es bronzée aussi du bas ?
– Mais oui bien sûr, je fais de l’intégrale chez moi, tu veux voir ?
Andrée , amusée par cette conversation un peu libertine, se débarrassa de son peignoir, et s’allongea toute nue.
– Allez, fait comme moi aujourd’hui ; Régis va se régaler, mais je le surveille, t’inquiète !
– Mais pourquoi je devrais m’inquiéter, peut-être ce pourrait être le contraire !
Cécilia ôta prestement son slip, et s’installa à côté de sa copine
Dieu qu’elle était appétissante ! ! Les hanches , le ventre légèrement rond,, une touffe de poils bien noirs, des cuisses pleines qui semblaient bien douces.
Régis vit le regard éloquent d’Andrée qui enveloppa longuement l’anatomie offerte de son amie
– Dis donc, tu es superbe ; je ne comprends pas pourquoi tu n’as pas déjà un copain ; tu n’as pas des envies des fois ?
– Tu sais c’est encore un peu tôt, mais c’est sûr que j’ai des envies de baiser, je me débrouille un peu seule, et j’ai fait deux, trois rencontres !
– Toute seule , tu fais quoi ? demande de façon un peu hypocrite Andrée
Cécilia rougit un peu, visiblement surprise de la question directe .
– Arrête tu m’embête, surtout devant ton mari.
– Oh tu sais il a déjà tout entendu, et il aime le cul, t’inquiète pas ! ! Certainement trop d’ailleurs, il est un peu obsédé..
Andrée, qui devait décidément avoir une idée derrière la tête, renchérit encore
– Tu veux vraiment pas nous expliquer ? ? Tu sais nous en ne s’en passe pas, c’est tous les jours, n’est ce pas chéri ?
Régis avait encore gardé sa serviette, qui cachait mal son érection ; et ce n’est pas le spectacle de ces deux femmes nues, à deux mètres de lui qui allait le calmer ! ! ; Andrée le voyait bien, et la copine faisait semblant de ne rien voir .
Tout à coup, Andrée se leva, bombant ses seins qu’elle avait aussi lourds que Cécilia ; le spectacle, quand ils bougeaient, naturellement lourds avec des mamelons bien pointés comme à ce moment là., était super bandant.
Régis la connaissais, il la savait excitée ; elle s’approcha de lui, ondulant des hanches et des fesses, toute nue, sans pudeur ni honte devant Cécilia.
– Quand même, tu trouves pas que tu pourrais être un peu moins provocante devant ta copine ! (lui aussi, premier prix de mauvaise foi )Tu as trop bu ou quoi ?
– Oh elle me connaît par cœur ma copine, comme moi aussi je la connais ; mais ce qu’elle ne connaît pas, du moins je pense, c’est ta belle queue !
Andrée, d’un geste rapide , arracha la serviette de bain qui cachait le ventre de son mari , dévoilant une queue raide, de taille moyenne, mais assez épaisse et surmontée du gland à demi découvert, luisant et rouge.
– Regarde cette belle queue, Cécilia, elle est dure, chaude, et ces belles couilles qu’on a envie de bouffer
Andrée s’agenouilla attrapa d’une main le sexe dressé et se mit à le branler doucement, faisant à chaque va et vient sortir le gland violacé du prépuce Et à chaque fois elle passait sa langue sur la tête du sexe, comme elle aurait fait avec une bonne glace ! !
Régis observait Cécilia ; il vit ses yeux un peu rieurs briller devant ce spectacle ; elle se passait machinalement la langue sur les lèvres, et il remarqua un petit mouvement de ses cuisses qu’elle écartait doucement puis resserrait convulsivement
– Cà te choque ma chérie ?
– Oh faites ce que vous voulez ; je crois que je vais vous laisser, je me sens un peu de trop
( Hypocrite elle aussi ! !)
– Tu rigoles, je suis sûre que cela t’excite ; dis moi cela fait combien de temps que tu n’as pas sucé un mec ? ?
– Ben, çà fait longtemps en fait !
– Regarde moi branler Régis , çà lui plaît, il a envie de jouir et comme je le connais, il voudra même m’enculer .
Le menu était annoncé et précis ! !
– Bon ,vous avez décidé de m’exciter ! vous êtes vraiment des cochons, mais je ne suis pas sûre que vous l’êtes plus que Jacques et moi ; vous savez, on faisait plein de trucs que j’ose encore à peine imaginer ; c’était un peu sale quelques fois , mais on adorait çà ! C’est vraiment dur de s’en passer maintenant.
Décidément l’ambiance venait de basculer ; Cécilia n’avait plus envie de partir.
Andrée continuait de branler doucement son mari, tout en regardant fixement sa copine.
– Ecoute, j’ai une idée ; on se raconte nos petites cochonneries, et si tu veux, on pourra un peu s’amuser ensemble tout à l’heure.
Cécilia respirait rapidement, ses seins se soulevaient par petits mouvements, des gouttes de sueur perlaient sur son front et la commissure de ses lèvres ; elle était troublée, sachant déjà que des choses très sexuelles allaient se passer. Elle glissa une main sur son bas ventre, et commença elle aussi à se caresser doucement.
Andrée , sans pause , astiquait vigoureusement la pine de Régis, et en même temps, avait glissé un doigt dans sa chatte velue ; elle se caressait elle aussi le petit bouton, écartant maintenant largement ses cuisses.
– Tu sais, avec Régis on fait des trucs tous les jours ; j’adore me faire lécher, il m’enfonce la main à moitié dedans quand je suis trempée, et pareil dans mon cul avec 2 ou 3 doigts avant de m’enculer, car j’adore çà ; il me remplit, bien au fond, c’est étroit, j’aime çà, çà fait un peu mal au début, mais c’est si bon, j’aime çà, c’est fou ce que j’aime çà !
– Par contre, j’aime le sucer, mais pas avaler .
– Moi au contraire, j’adore le sperme, c’est différent çà chaque fois, et à chaque mec ;c’est une habitude ; à la fin, je finis toujours par attraper la queue au moment où il jute, pour avaler tout ; c’est un peu fort au début, mais maintenant j’adore ce goût Et puis, en plus du jus de couille, j’adore la pisse, vous aussi il me semble ?
Cécilia se mit à rire ;
– Pour le thé , tout à l’heure, j’avais compris « l’énaurme » allusion ! Et c’est vrai qu’un bon thé à la vanille ou au jasmin, cela donne un bon goût au pipi !
Jamais Régis et Andrée n’avaient imaginé que leur copine était, comme eux, adepte de l’uro !
– Avec Jacques, c’était souvent ; on s’arrêtait dans des endroits impossibles, en bord de route, dans des impasses, dans des parkings souterrains ; je le suçais, il me baisait très fort, finissant toujours par m’enculer, et quelques fois il s’agenouillait devant moi, soulevait ma jupe ou ma robe , baissait ma culotte , et me suppliait de lui pisser dans la bouche.
Cécilia nous raconta ces séances torrides avec bien des détails précis.
– Même un jour, j’étais super excitée par un petit spectacle vu en route au détour d’un chemin de campagne ‘(en fait deux garçons qui se suçaient). Jacques avait un besoin pressant. Il s’accroupit près de la voiture, et je le regardais à la dérobée, en me caressant.; je vis un boudin compact descendre tranquillement vers le sol et s’y écraser- je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai eu envie de voir son cul sali par ce qu’il venait de faire ; l’œillet brun et fripé de son anus, montrait des traces marrons ; l’odeur était forte, un mélange de sueur, de pisse et de merde. Et je l’ai léché, c’est fou non ?
Cécilia , tout en nous racontant cela, se mit à pleurer doucement, d’énervement sans doute et ces souvenirs précis lui faisaient repenser à de bons moments ; elle continua ;
– Je lui ai léché le cul après qu’il ait chié ; cela sentait fort, mais j’avais un impérieux besoin de lui prouver que rien ne me dégoûtait, et même cette odeur forte m’a excitée ; je n’ai pas hésité, bien au contraire, et lui ai nettoyé le trou du cul ; les traces brunes avaient disparu ; je glissais une langue pointue dans l’anus même pour finir, et saisissant sa queue, car il bandait comme un fou, je l’ai fait gicler rapidement, et bien sûr j’ai tout avalé.
Andrée lâcha le sexe de son mari , et le proposa à Cécilia
– Vas-y , suce le si tu veux, régale toi
Régis se mit à observer la bouche de Cécilia autour de sa queue ; elle léchait avec presque de la violence le gland, et de temps à autre engloutissait la verge jusqu’aux couilles, la ressortant luisante de salive.
Il en profitait pour lui malaxer les seins, caressant ses aréoles qui se durcissaient sous les attouchements : d’une main naturellement baladeuse, il se glissa vers le ventre de la copine, et enfonça un doigt en elle ; elle était trempée ;
Il la pénétra avec un ,puis deux puis trois doigts : et les fit bouger de plus en plus vite dans un clapotis obscène.
Andrée s’approcha, enjamba le relax de son mari, et vint se placer au dessus du visage .
Il aimait agacer l’embouchure de la vessie de sa langue ,laper le con détrempé, lécher l’anus fripé ; en fait il savait parfaitement y faire pour emmener sa femme vers les plaisirs les plus vifs ! Elle le savait ! !
– Bouffe moi la chatte, vite, enfonces tes doigts dans mon cul ! Plus fort ,enfonce bien enfonce bien au fond.
Andrée se frottait sur le visage de son mari qui léchait la mouille, enfonçait sa langue entre les lèvres velues et détrempées, sans oublier le trou du cul élargi ; sortant ses doigts, il les remplaçait par sa langue qu’il faisait rentrer le plus loin possible.
– Regarde, Cécilia, je vais lui pisser dans la bouche , fais attention il va juter.
Elle connaissait parfaitement son mec ; Régis prêt à la douche dorée, s’agita de plus en plus vite dans la bouche de Cécilia, qui, avertie, branla fort et presque violemment la pine dure, et la garda bien enfoncée dans sa bouche.
En même temps, elle vit Andrée se soulever un peu, Régis ouvrir la bouche et le jet de liquide clair jaillir entre les jambes de sa copine, et disparaître dans la bouche ouverte du garçon.
Le bruit de la pisse arrivant sur la langue, les éclaboussures autour de la bouche car Régis n’arrivait pas à avaler tout le flot d’urine chaude, tout ceci excitait prodigieusement Cécilia qui reçu comme une récompense deux ou trois jets de semence épaisse sur son palais.
Elle pompa jusqu’à la dernière giclée , sans avaler d’abord ; elle quitta la queue toujours dressée et encore frémissante, attira sa copine vers elle, et d’autorité plaqua sa bouche sur celle d’Andrée , et l’obligea à goûter le liquide épais .
Andrée , surprise et quand même très excitée, dut prendre un peu de sperme dans sa bouche, mais le recracha bien vite , alors que son amie , soigneusement, l’avala tranquillement.
Elle continua de se branler, agitant sa main au milieu des poils , imitée par Cécilia qui faisait de même. En quelques minutes, les deux femmes se mirent à jouir bruyamment, gardant leurs mains un bon moment plaquées sur leurs chattes poilues.
Régis et Andrée , un peu calmés maintenant, s’apprêtaient à reprendre leurs places, et boire un coup.
– Attendez les amis, à mon tour ; et buvez moi si vous voulez
Ils avaient compris ; Régis attira sa femme près de lui, l’embrassa à pleine bouche, les deux s’agenouillant devant Cécilia qui se mit à pisser sur le couple.
Elle pissa longuement, d’un jet bien dru, qui arrosa les deux visages, les seins d’Andrée et le torse de Régis ; les deux arrosés, étonnés de la quantité d’urine chaude qu’ils recevaient , purent en boire une bonne quantité au passage , comme ils savaient le faire tous les deux ensemble.
La suite de la journée fut plus calme, ; la piscine rafraîchit les esprits, nettoya les peaux arrosées d’urine ..
Le thé glacé les désaltéra.
Cette après midi chaude au sens propre et au sens figuré fut le début de nombreuses rencontres entre ces trois amis, qui furent bien vite quatre.
Mais cela est une autre histoire.
Jean Marc
Le passage scato est vraiment très bien
Un récit très vassilien, bandant à souhait
Le passage extrême est fort bien amené bien qu’il s’agisse d’une évocation indirecte, alors que l’auteur aurait pu incorporer une séquence de ce genre au récit.
Il est dommage que l’auteur n’ai pas récidivé dans sa suite et dans ses autres récits (auto-censure ?)
Maman, je bande !
Le style est perfectible mais le fantasme est plutôt bien amené