Tant va le Temps… tant va le Cul… 17 – Le Caleçon par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 17 – Le Caleçon par Verdon

Eh bien, pour faire suite à notre dernière histoire, nous savons justement que certaines ‘Vieilles’ ne sont pas les dernières à profiter de bons moments, en cette belle époque du milieu du XIX ième siècle… Et Julienne au service d’Amélie depuis de nombreuses années, est bien au courant de tout ce qui se passe dans la maison où elle travaille. Elle prend bien soin de protéger sa maîtresse tout en flattant le mari qui s’en remet à elle pour gérer des situations délicates qui ne sont pas toujours à l’avantage de celui-ci, mais dont elle sait faire profiter et les uns et les autres.

Vous vous rappelez qu’Amélie, dans le chapitre précédent, est l’épouse d’Albert, un notable aisé aussi bien en finances qu’en relations courtoises. Quand il s’absente, soi-disant pour s’occuper de ses affaires, Julienne est chargée de surveiller et distraire l’épouse qui évidemment ne demande pas mieux que de se divertir dans des bras plus jeunes et plus vigoureux que ceux de son mec, avec bien sûr la complicité de sa servante.

La vieille pipelette ne se gêne pas de raconter à son patron, les polissonneries de son infidèle. Ce dernier n’en est pas pour autant très contrit. Au contraire, ça lui plaît. C’est un cocu heureux qui peut compter sur la discrétion de Julienne. Voilà qui lui permet de s’amuser de son côté. Par la suite ça lui offre l’occasion de corriger sans scrupules les fesses de son infidèle (c’est son sport favori…). C’est sans doute qu’il est au courant, se dit Amélie, mais après tout c’est bien mérité, aussi se dit-elle que les quelques vigoureuses caresses qu’elle reçoit sur les fesses lui valent bien ces bons plaisirs auxquels elle se livre en son absence, d’autant qu’elle apprécie que son homme soit excité par la chose, il bande beaucoup mieux et du coup il la fait monter au 7ième ciel.

– Ma tendre a-t-elle été bien sage ces jours-ci ? demande ce brigand à la Julienne, quand il revient de ces fameux séjours.
– Oh oui Monsieur, je m’en suis bien occupée et elle vous attend impatiemment…Elle n’a de soucis que de savoir quand vous rentriez !…Je me doute que s’étant légèrement dévergondée pendant votre absence, elle doit mériter une bonne petite correction comme vous savez si bien lui accorder, la pauvre ! Vous faites si bien cela Monsieur (La vache ! bon, c’est sûr, elle est passée par là, elle aussi…et elle ne le regrette pas.). C’est vrai, comme vous me l’avez demandé, je l’ai amenée chez votre cher neveu Fernand et on a rendu visite aussi à monsieur le curé, un saint homme celui-là !

Albert, apparemment rassuré, gratifie son excellente servante de quelques devises qui lui fourre dans l’entrebâillement de ses gros tétons, non sans la congratuler gentiment en lui tapotant l’arrière-train qu’elle a très généreux et qu’il a eu souvent l’occasion de visiter il y a de ça déjà plusieurs années.

N’était-elle pas heureuse la fieffée salope, de se faire enculer certains soirs par son bon patron et toute sa clique de roturiers en manque de femelles, qui venaient la baiser pour quatre sous espagnols ! (De quoi en faire une bonne gouvernante pour dresser son épouse…).

– Votre neveu, Monsieur, il a été très aimable aussi, et très dévoué envers elle…c’est un bel homme ce Monsieur il tient bien de vous et je crois qu’elle l’apprécie beaucoup…d’autant qu’il a aussi de bons amis ce neveu.

(Je ne vais pas vous raconter ce qu’elle faisait la bonne épouse avec ce neveu. Vous avez tous un neveu, un cousin, une cousine ou un je ne sais pas qui !… Avec lesquels vous avez fait… je ne sais pas quoi ! … Mais vous savez comment ça se passe et je crois que vous n’avez pas dû vous ennuyer… Alors ne posez pas de questions désobligeantes, je vous en prie… Hi, hi…).

Il faut dire en effet, que dans ces cas-là, Julienne ne s’ennuie jamais avec cette petite troupe…

– Ensuite, on est allé prier chez monsieur le curé. Amélie est toujours partante, du moment que je l’accompagne. (Eh oui, on est toujours mieux à trois pour dire des prières…).

En effet, Julienne est une fervente chrétienne, elle aime bien ce jeune curé qui se dévoue pour sa paroisse. Il sait bien que si les hommes ne viennent pas trop à l’église, c’est parce qu’ils sont très pris par leur travail. Alors il s’occupe de leur femme afin de les instruire dans la religion et les distraire par des activités bien saines. Il les met en garde contre les vicissitudes de la vie, ce qui leurs évitent de mauvaises rencontres. Il les assure de sa protection très rapprochée… comme savent le faire les bons curés…

C’est ainsi que dans la semaine il reçoit celles qui veulent bien en sa compagnie, l’aider à mettre de l’ordre dans la maison du bon dieu. C’est pour cela qu’un jour, Amélie et sa servante Julienne, débarquent dans sa sacristie sans doute pour dépoussiérer les lieux et astiquer quelques candélabres…

C’est fou comme elles aiment les candélabres, ces Dames… Oui les gros cierges en particulier. Elles les trouvent raides et fermes et s’appliquent à bien les prendre en main pour les épousseter. Elles adorent aussi allumer la mèche. Et quand la flamme devient rouge vif il faut les voir avec leurs jolies lèvres en cul de poule, souffler sur le bout tout fumant… des expertes ces Dames ! Je vous le dis !

Mais revenons à nos brebis…Comme on est en été, vous pensez bien que, couvertes d’amples vêtements comme on en porte de ces temps-là, elles ont très chaud et le curé qui ne porte qu’une bure de toile, allez donc savoir pourquoi il a chaud lui aussi.

– Oh je me meure qu’elle dit Amélie… Bon Dieu (Oh pardon !) ce qu’il fait chaud ! je suis trempée de sueur.
– Moi aussi réplique la vieille…ne croyez-vous pas, monsieur le curé, si vous fermez les yeux qu’on pourrait remonter un tout petit peu ce falbalas de tissu, pour nous aérer les jambes… si dieu le permet ?
– Je veux bien mes chères sœurs, mais c’est que le tout puissant… Il voit partout !
– Mais c’est lui qui nous a créées, donc il n’attrapera pas mal aux yeux en nous voyant, s’écrie Amélie ! (en voilà une qui ne perd pas le Nord, il me semble…).
– Vous avez raison mes chères sœurs, mais alors juste un peu. Faites, moi je vais tourner la tête.

Alors elles le font les chipies, elles soulèvent leur robe… juste un peu… oui, pas plus haut que leur cul bien sûr ! À ras des fesses … à l’orée du trou du cul, certes… c’est que c’est bien là que ça chauffe le plus (demandez aux Dames !) et un peu d’air en cet endroit… putain ça fait du bien !… (Bon j’en devine qui se gratte déjà le cul avant de continuer la lecture !… Décidément vous êtes bien tous des obsédés !…).

Si le saint homme garde bien la main devant les yeux, il ne serre quand même, pas trop les doigts. Il tourne même un peu la tête… et les mains lui en tombent… devant le joli spectacle !

C’est que nos deux femmes décontractées ont libéré leurs vêtements et se retrouvent presque nues, seulement attifées de leur ample culotte en lin qu’elles ont laissées glisser jusqu’aux genoux. (Ah les salopes !)

Devant tant d’étalage, il ne tient plus notre bon curé. Sous sa soutane une grosse bosse apparaît…. mon Dieu, ce qu’il a chaud !

Amélie encore bien conservée à un joli gagne-pain, bien fendu avec deux petites fossettes juste au-dessus des fesses qu’elle a très rondes, comme une jeune femme.

Julienne est plutôt la bonne bourgeoise dont le cul s’évase avec prétention pour montrer des chairs assez envahissantes autour d’une raie profonde qui laisse entrevoir des profondeurs outrancières mais accueillantes.

Dans ces cas-là, un digne curé tourne vite la tête, sûrement avec regrets…Eh bien, pas le nôtre. Il dégrafe sa soutane à toute allure et il apparaît à son tour en caleçon. Un de ces caleçons en toile rêche et très englobant, destiné à couper toute velléité d’envies lubriques qui pourraient émoustiller les bas-fonds de cet homme d’église.

Mais justement, à la vue de ces croupes féminines libérées des chiffons qui les entourent, la queue du pauvre homme se retrouve soudain bien à l’étroit dans cette ceinture de chasteté… et la grosse bosse qui soulève le dur tissu, ne peut que convaincre nos deux sauterelles à vouloir libérer le gros animal qui s’y meurt.

Notre malheureux cependant est un homme et un bel homme qui a du mal à retenir ses instincts maléfiques. Du coup ses deux mains qui ont quitté ses paupières, se saisissent de la croupe de la belle Amélie qui n’en n’est en rien affolée. Au contraire, elle le remue son cul au point d’en faire glisser les derniers linges qui l’entourent.

– Oh le putain de cul !… (mais c’est qu’il deviendrait grossier le saint homme !).
Je peux toucher ?
– C’est un péché mon père, vous ne pouvez ! (ça c’est la Julienne, encore un peu chrétienne…).
– Oh juste un peu, Julienne !…Du bout d’un doigt s’il vous plaît ! Le bon Dieu, vu sa bonté incommensurable, fermera sans doute les yeux !
– Alors une simple caresse… oui comme cela… c’est doux n’est-ce pas… (C’est Amélie qui dit cela)… Et ce faisant, elle écarte encore plus ses fesses, affolant le bon père.

Emerveillé par le petit opercule qu’il découvre, il y glisse son petit doigt…

– Oh mais c’est coquin ça mon père, Dieu va vous punir (Julienne).
– Ce n’est que mon petit doigt, ma sœur… un tout petit péché ! mais bon sang que c’est chaud !
– Si petit, Monsieur le curé, si petit que je ne le sens pas ! (paroles d’Amélie qui s’impatiente…).Mais où l’avez-vous mis ?
– Sur la rose, ma chère… dans cet infâme petit trou qui entre vos deux fesses cherche à serrer mon petit doigt… mais voulez-vous le lâcher ‘petite insolente’ ! (Les gars, mettez-vous le petit doigt dans le trou du cul et vous allez voir comme il serre !…).
– Mais vous êtes nigaud, poussez-le donc plus fort… poussez, ça va entrer… oh là, là !

Il pousse le maladroit, il pousse mais ça ne rentre pas.

– Essayez le plus gros…le gros doigt du milieu que Dieu a placé là pour le bonheur des femmes… (là c’est Julienne, la salope qui commence à perdre sa foi…).
– Ah les vicieuses’ qu’il s’écrie l’hypocrite…mais il pousse vainement son gros doigt.
– Mais voyons, mouillez-le, sucez-le, ça ira mieux…

Le gros doigt dans la bouche, ensuite dans le cul… et encore dans la bouche…

– Putain ! C’est mieux ma fille… ça entre !… qu’il s’écrie-le pécheur, en poussant son major au fond de la rosette ! Mais comment saviez-vous cela, vilaine pécheresse ? … Est-ce bien mieux ainsi ?… ça glisse… ça serre !
– Humm ! Oui … bouge-le, oh oui bouge… comme ça !… (voilà qu’Amélie le tutoie maintenant !… c’est bien connu : trou du cul délie la langue !).
– Mais c’est un peu court !… Putain que tu l’as court, nom de dieu ! (Oups !)….
– Mais je n’en ai pas de plus long, ma sœur…
-Et ta bite mon couillon… met-moi ta bite au cul, je n’en peux plus ! Fous-la moi donc au cul… Salaud ! Je me meure…
– Oh Diable !…Que je t’encule !

Il a baisé une fois une fille quand il était jeunot. Mais ça ne c’était pas bien passé. Il était mortifié d’avoir fait un gros péché et avait couru se confesser pour ne pas aller en enfer…

En plus il n’avait pas apprécié et il se disait :

– Ce n’est pas beau le con, ça manque de formes et puis c’est visqueux… ça sent la pisse… ce n’est pas fini une fille, se disait-il… tout en regardant en cachette son sexe qui bandait superbement… bien plus élégant que l’échancrure des filles !

Donc ça ne lui avait pas plu au goujat ! Bien sûr les nichons c’était très doux, ça le tentait davantage, ça lui rappelait les seins de sa nourrice, (Une salope celle-là qui n’avait pas de lait mais se faisait téter quand même…). C’est moelleux et propre …

Il a bien essayé de lui tripoter les nibars à la fille, mais elle a crié…-

– Eh couillon tu me fais mal !

Aussi il l’a retournée la pimbêche, mais quand attiré par son joli cul, il lui a mis un doigt dans le trou, il s’est reçu une gifle magistrale et la fille s’est barrée, la salope… ce fut sa première et sa dernière. Depuis il a oublié les filles, mais gardé dans sa mémoire et pour la vie, ce petit trou du cul tout rose qu’elle avait entre les fesses. Il se demandait aussi pourquoi elle l’avait giflé la fille… elle n’avait pas aimé ?… pourtant ce n’est pas désagréable de se mettre un doigt par là… ça lui arrive à lui quelques fois, mais il ne faut pas le faire, c’est un péché… (Bon juste pour se gratter l’anus quand ça démange…mais les filles ça ne doit pas avoir le cul qui démange, sans doute…).


(Les filles c’est comme ça…elles ne sont pas toujours bien lunées… c’est normal, c’est des filles ! Un doigt dans la chatte et ça mouille, parfois. Un doigt dans le cul et vous vous prenez une baffe… mais souvent elles y reviennent… faut savoir y faire…).

Aussi vous pensez bien que le cul d’Amélie, même s’il est loin de ressembler à sa première découverte, ça lui redonne quelques fortes émotions à notre petit curé.

Finalement, que voulez-vous, pris par le démon de la perversion voilà que notre saint homme se débarrasse de ce fameux caleçon qui lui sert de ceinture de chasteté et qui l’encombre, libérant du même coup sa bite vertigineuse !

Et quel sexe bon Dieu ! (Oups !), quel sacré vireton ! Il a dû le tremper dans l’eau bénite pour l’avoir si fringant !

La Julienne, très connaisseuse s’empresse de cajoler le gros moineau car elle n’aime pas voir souffrir les animaux… Elle descend le vêtement d’un seul coup et s’empresse de saisir le joli membre pour le présenter devant la tendre rondelle de sa maîtresse.

– Oh faut-il vraiment que je me l’encule ?… Dieu va-t-il me pardonner ou bien sinon le diable !

Bon, faudrait mettre toutes ses réserves de côté. On passe enfin à moins de formalités, le tutoiement déliant les paroles, ouvre le cul de la païenne et débride la pine sacerdotale… et sacerdotale ou pas, elle est fringante la ‘met-là moi’ ! (sûr qu’un morceau comme ça, ça ne se refuse pas… .j’en vois déjà de mes lecteurs qui s’agitent… Bon, mais attendez… là on est encore au XIXème !…. je vous sens impatients, mais n’allez pas plus vite que l’histoire… m’enfin !).

Elle se régale la servante, ça lui rappelle les bonnes faveurs d’Albert et de ses copains, elle aimerait bien en profiter, mais là, tout au service de sa patronne, elle aide à la manœuvre. Il a un gros sexe ce petit curé ! Il faut que ça entre !… C’est bien heureux que le neveu et ses copains lui ait déjà amadoué le vestibule à la merluche…. alors ça entre, c’est le gland qui fait sa place en lui troussant la rosette qui l’engloutit tout entier, comme une carpe qui gobe un ver.

– Oh oui ! fais-moi un gros péché… c’est bon… Humm ! s’écrie Amélie.

Il se débat contre sa conscience le pauvre diable …i l faut qu’elle en rajoute cette garce de mécréante !… Pourtant, sa pine sans soucis bat allégrement le cul de la pécheresse.

– Bon Dieu ! Que c’est beau !

C’est la première fois qu’il fait cela. Il trouve cela bien bon… Il n’hésite plus, il en a été privé jusque-là. Sûr, c’est un gros péché, mais il ne peut pas se retenir… c’est plus fort que lui et puis c’est la faute au bon Dieu… pourquoi lui a-t-il fourré ce gros machin entre les cuisses si ce n’est pas pour s‘en servir ?

Il sent bien qu’elle a le cul facile la pécheresse… c’est une salope, qui a sûrement déjà dévoyé son mari en l’entraînant à pratiquer de si vilains délices !… il va la bourrer la cochonne, il va la punir de tous ses vices, il va lui casser le cul… mais putain qu’elle est bonne, nom de dieu ! (Oups !).. .Qu’elle est bonne !

Pour conforter le saint homme dans son exercice et lui procurer du courage, Julienne lui fout un doigt au cul (elle a du métier la vieille !).

Oui, un bon gros doigt qu’elle lui remue au fond du trou, elle le crochète, elle le sort et le rentre plusieurs fois après l’avoir sucé… ça glisse bien maintenant… (Finalement un trou de curé, c’est comme le trou d’un autre…).

– Oh les sacrés roustons’ … quelle s’écrie la mémère, en lui tâtant les bourses et ses grosses roubignoles… j’en ai jamais vu d’aussi belles ! (ça conserve la soutane…).Elle poursuit, une main au cul et l’autre sous les couilles…

Oh ! C’est trop fort ! Il va trahir ses vœux… il ne peut plus se retenir…il pousse…

– Pardonnez-moi mon Dieu… c’est à cause de ces salopes avec leur cul impétueux… ce n’est pas ma faute… elles sont trop provoquantes… Vous les punirez Seigneur !… mais plus tard ! (pour l’instant ce n’est pas son problème au cureton).

Alors il jouit… il jouit longtemps… il donne libre cours à sa jouissance, il en oublie le péché…il s’en fout du péché… il n’en finit pas de jouir… et même que ça fait ‘floc ! floc !’ dans le trou noir de cette salope…

Oh ce doit être cela le Paradis !… Ou peut-être l’enfer… et qu’importe d’ailleurs du moment que c’est bon ! Il se vide les couilles l’apostat… C’est qu’il bande toujours le Salaud…

– Alors voyons si la vieille Julienne a la chose aussi bonne !

Mais c’est que ça entre bien dans le vénérable derrière qui n’a, apparemment point de crainte à l’offense et présente à l’attaque, ses mollassonnes chairs non sans pousser des cris de vierge qui s’affole.

– Ah tant qu’à faire, se dit le renégat, buvons, baisons, foutons, pissons, il ne m’en coûtera pas plus cher !

Aussi de l’une à l’autre, il perfore les trous et il leur pisse au cul comme l’étalon dans les prés, de suite après la monte… Car ça y est, il est vide et elles aussi d’ailleurs qui ont pissé partout.

Imaginez alors l’état de la sacristie !

Oh quel bordel ! Chemises éparpillées et robes sur le sol, la soutane jetée dans un coin et la toque écrasée.

Les femmes échevelées qui tamponnent leur cul avec le caleçon du curé qui effrayé se tient debout, béat, sans bouger en réalisant tout à coup l’importance de son péché !…

– Salopes, vous êtes des salopes !… des filles du démon !

Saisissant son ceinturon il s’acharne soudain sur les fesses de ces dames. Tant ça l’excite qu’il bande comme un sapeur, le salaud et il crie toujours en les frappant :

– Salopes…allez au diable ! Mécréantes !

Elles dérouillent les deux femmes. Mais Julienne saisissant un vase rempli d’eau bénite, lui balance la sainte onction à travers le corps, ce qui arrête brusquement ses vociférations et ça le fait débander

Sidéré, apeuré, il attrape ses guenilles et sa toque et nu comme un ver, il sort et s’enfuit vers un puits tout proche dans lequel il veut se jeter, le couillon !

Il a déjà foutu ses fringues au fond du puits et enjambe la margelle. Mais effrayé par la profondeur de ce grand trou encore plus noir que les trous du cul de ces dames, il s’arrête…

La fraîcheur de la pierre ragaillardit soudain sa bite et jetant un œil désespéré entre le gouffre qui l’effraie et sa pine qui bande, il se retrouve homme.

– Putain j’allais faire une connerie ! (il a quand même des couilles au cul !…).

Il décide de se réfugier à son presbytère qui est tout proche, mais il lui faut traverser un petit pré illuminé par un clair de lune éblouissant. Il s’élance car il ne risque rien, vu que tout le monde dort à cette heure-ci.

Sauf que Buridan, l’âne de sa gouvernante, accourt derrière lui attiré sans doute par ce petit cul blanc qui se dandine au clair de lune, à moins que ce ne soit par quelques effluves émoustillants qui lui taquinent le museau.

Il brait l’animal, il brait à réveiller tout le village. Et justement voilà que sa patronne, intriguée par tout ce barouf, ouvre grand ses fenêtres et lui intime l’ordre de se taire.

– Ben voyons Coco veux-tu te taire ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu vas réveiller tout le monde.

Notre fuyard a tout juste le temps de s’accroupir dans la haie pour se cacher. Mais son postérieur qui dépasse et brille toujours au clair de lune est alors sollicité de plus belle par l’amoureuse bête qui lui tamponne le postérieur avec son museau !

– Ah non qu’il s’écrie ! Pas l’âne !… surtout pas l’âne ! et il serre ses fesses !

La dame là-haut qui à sa fenêtre, ne se doute de rien, a la bonne idée de balancer quelques carottes à son âne pour le calmer (On sait bien que les ânes, sont comme les dames, ils aiment les carottes… Hi… hi !…).

Et voilà notre Buridan, bassement terre à terre, qui court au ravitaillement dédaignant outrageusement le petit cul qui brille comme un lampion au clair de lune… (Belle occasion manquée, de corser un peu l’histoire, vont me dire quelques bons et vicieux imaginatifs !…).

Eh bien non. On se calme, on se calme… Le baudet tout autant. La dame referme les volets et notre rescapé en profite pour sauter la haie, une main devant, une main derrière et rentre chez lui…Ouff !

Depuis on n’a plus jamais revu notre défroqué. Disparu, corps et biens, volatilisé…Certains ont déclaré avoir vu au lendemain matin un curieux bonhomme monter dans la diligence. Il était engoncé dans un grand paletot, avec un chapeau enfoncé sur le crâne… et c’est tout.

Il y a eu d’autres racontars et Albert, une fois, s’y est presque laisser prendre. Un soir il reçoit sur le dos un bonhomme qui lui fait beaucoup de bien là où vous savez. Il a cet homme un petit accent rugueux qui ressemble à celui de l’ancien cureton.

C’est que, rappelez-vous, Albert fréquente une certaine maîtresse qui est pleine de bons soins pour lui, qui se finissent souvent par quelques vigoureuses prestations que lui prodiguent des Messieurs de passage équipés d’une bonne râpe… Alors de là à penser que ce gars qui a la queue aussi rugueuse que la voix, serait le jeune défroqué… il n’y a qu’un pas à faire… (On peut toujours se recycler, dirait-on aujourd’hui !).

Il fait bien sombre et la chose étant bonne, Albert n’a rien vu et apprécie sans chercher à comprendre… Ensuite il a bien sucé la bite de son fouteur, mais en 69 vous ne voyez qu’un trou du cul, alors vous ne pouvez pas reconnaître celui à qui il appartient, évidemment !

(Qu’importe qui est dessus, c’est ce qu’il fait qui compte…et ce n’est pas le moment de rompre le charme)

Peut-être allez-vous, vous demander ce que sont devenues nos deux garces qui ont ensorcelé ce pauvre homme.

Eh bien rien de spécial…

– Qu’il aille au diable… s’est écrié la Julienne, tout en continuant d’essuyer avec le caleçon du curé, le cul d’Amélie reluisant des largesses dont elle a bénéficié.

Il leur avait sacrément lacérer le bas du dos, le salaud et si maintenant après avoir tant profité de leur trou du cul, il se fait du souci pour son âme, elles en ont rien à foutre les bonnes dames.

– Qu’il aille se perdre ailleurs et rendre des comptes à Dieu ou bien au Diable (c’est Julienne qui le dit).
– Oh oui mais il avait une bonne queue…Tout de même. (C’est Amélie qui en rajoute !).

Bon, elles ont eu leur compte et comme toutes bonnes salopes, elles n’en ont rien à foutre d’un bonhomme qui ne sait pas leur gâter le trou du cul sans stresser et partir la queue entre les jambes… Elles remettent de l’ordre dans la sacristie et ni vues, ni connues, se faufilent dehors pour rentrer chez elles.

Quand elles apprennent qu’il a disparu leur bienfaiteur, elles sont tristes (Ben oui, on l’a dit, il a une bonne bite…), mais elles espèrent qu’il sera vite remplacé par un autre et aussi bon pasteur…

En attendant elles ne sont pas prêtes de l’oublier le saint homme. D’ailleurs n’ont-elles pas conservé en cachette son caleçon !…

Un rude caleçon et si chargé de bonnes odeurs !

Un caleçon dans lequel s’est ennuyée pendant si longtemps une sacrée pine !

– Et des couillons, putain de couillons !…

Ce sont les propos de Julienne. Elle les a tant tripotés qu’elle en mouille encore la gourmande. Même que juste au-dessus elle lui a mis un doigt au cul la vilaine ! Ça l’a offusqué le saint homme ! Et sûr, il en a souffert de honte un peu… mais surtout de bonheur, sans aucun doute !

Et pas que lui, car avec ce doigt si bien placé ça lui a donné encore plus d’élan au fouteur pour défoncer le cul d’Amélie. Qu’est-ce qu’elle a crié ! C’est normal… ça lui a fait tant de bien ! D’ailleurs elle regrette maintenant qu’il ait disparu son bienfaiteur !

Aussi ce caleçon elles se le gardent les coquines et quand elles font l’amour, et qu’elles se gamahuchent les chipies, elles glissent le gros chiffon entre elles, sur leurs ventres …ça leur procure de bons frissons !

Il faut dire qu’il est très rêche le tissu… ça devait drôlement l’exciter le vaurien quand il bandait en donnant la communion à toutes ces grenouilles de bénitier qui lui tiraient la langue tous les dimanches matin !

Mais dommage…il est vide le fameux caleçon !

Et oui ! On sait bien que ce n’est pas tellement le caleçon qui compte… c’est plutôt ce qu’il y a dedans !

Il est vide, mais pas toujours, car parfois Julienne glisse son avant-bras à l’intérieur …ça tend le tissu et on pourrait croire qu’il y a un gros vié qui s’y cache !

Voilà qu’elles en rient toutes deux en présentant leur cul à tour de rôle !…

– Hi…Hi, décidément, il en avait un bon caleçon ! le saint homme

08/05/2023

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2 réponses à Tant va le Temps… tant va le Cul… 17 – Le Caleçon par Verdon

  1. Tricia dit :

    J’aime : la déconctraction de ce texte
    Je n’aime pas : les hommes en caleçon

  2. Harivel dit :

    Quelle ambiance, j’en ai le tournis

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