Se travestir… Sur des draps blancs par Patricia drapsblanc
Un plaisir ou une déviance… ?
Vouloir ressembler ou être une femme alors que l’on est un homme.
Mettre de la lingerie féminine et se sentir femme… Et se faire faire l’amour, comme une femme, par des hommes… Analement…
Tout a débuté en 1973, je fréquentais alors une jeune femme infirmière dans un hôpital militaire. Elle était très portée sur le sexe, voir un brin nymphomane. On faisait l’amour quasiment tous les jours, matin midi ou soir suivant ses horaires. Un jour elle me proposa de porter comme elle, slip, soutien gorge, blouse et tablier blanc d’infirmière. Cela m’amusa et j’acceptai. Une fois travesti, elle me proposa de faire venir deux de ses amis pour que l’on fasse l’amour à plusieurs, l’idée me plu beaucoup. Lorsque se amis arrivèrent j’étais toujours en travesti et très vite durant la soirée, ils se mirent à me caresser, à s’occuper de moi comme une femme et j’avoue que cela me plu pas mal et arriva ce qui devait arriver, l’un d’eux me fit mettre en levrette au bord du lit et il baissa ma culotte et me doigta quelques secondes, c’était très agréable et je bandais déjà bien. Elle, elle s’occupait de la queue de son autre ami. Puis le gars se plaça derrière moi et je senti alors son gland contre mon anus en deux secondes il m’enculait de toute sa longueur, pas loin de 18 cms x 4 cms de diamètre. Je poussai un petit cri à la fois de douleur et de plaisir tout nouveau pour moi. Puis doucement il s’activa en moi des va-et-vient lents mais profonds, je commençais à gémir de plaisir, cela dura je ne sais combien de temps, peut être dix minutes quand il se mit à gémir et me cramponna par les hanches en disant » putain je jouis » et je ressentis alors une sensation étrange dans mon anus, je ressentais les tressaillements de sa queue qui jutait au fond de moi. Mon amie alors délaissa son copain et vint me sucer, je ne fut pas long à lui juter dans la bouche, elle en avala une quantité mais laissa couler le reste de mon sperme sur le drap blanc du lit…. Car en fait elle était fétichiste du blanc et en particulier des draps blancs. Je finis de juter sur le drap entre mes cuisses. Puis elle retourna sucer son ami, mon enculeur se retira de mon anus, sa queue luisante de sperme, quelques gouttes finirent elles aussi sur le drap du lit. Le gars que mon ami suçait se mit à gémir et éjacula abondamment son sperme dans sa bouche mais elle n’avala pas tout et une grosse partie tomba sur le drap.
Martine était très fétichiste des draps blancs, je l’ai découvert assez vite en ouvrant un jour une des 3 armoire chez elle, il y avait au moins une vingtaine de paires de draps blancs, tous bien pliés et bien rangés, il y en avait de tous genres, des fins, des moyennement fins, des épais, des très épais, des grands pour lit de couple et des petit pour lit de célibataire. Elle me confia un jour en discutant sa passion pour les draps blancs et le blanc en général…. Je lui racontai alors que moi aussi j’étais attiré par le blancs… Cela remontai à mon enfance, je devais avoir 13 ans lorsque j’ai connu cette attirance pour le blanc. Il faut dire que toute mon enfance je vivais dans le milieu hospitalier, donc je côtoyais très souvent dans les longs couloirs de l’hôpital, de nombreuses infirmières avec leur blouse et leur tablier virevoltant.
Mais ce goût pour le blanc je l’ai découvert un jeudi (en 1964 c’était le jour de congé scolaire). J’allais souvent chez ma tante, après son travail elle m’emmenait faire des courses ou visiter des musées. Et en l’attendant chez elle je m’occupais comme je pouvais et puis un jour je suis allé dans sa chambre et là je ne sais ce qui s’est passé, j’ai vu son lit de draps blancs ouvert. J’ai sentis monter en moi une envie de plaisir sexuel, alors je me suis déshabillé, je bandais un peu, je me suis allongé dans l’angle du lit vers les pieds et là j’ai commencé à me frotter doucement sur le drap, ma bite coincée entre mes cuisses, le frottement du drap me faisait bander alors j’ai écarté mes jambes pour que ma bitte frotte bien sur le drap, bien tirée en arrière et au bout de quelques minutes je poussais un gros gémissement, j’étais en train d’éjaculer violemment et abondement sur le drap blanc de ma tante. En me relevant je dis une très grosse trace de sperme épais et bien blanc… Je me trouvais alors idiot d’avoir fait cela, elle allait le voir alors je suis allé chercher un torchon dans le panier de linges sales et j’ai nettoyer le drap puis j’ai remis le drap du dessus …. Ainsi elle ne le verrait pas…. Et effectivement elle ne l’a pas vu… Quelques semaines après j’ai recommencé l’expérience, toujours dans l’angle du lit vers les pieds, le drap avait bien entendu été changé depuis longtemps et nu comme un ver je me suis allongé sur le matelas, ma bite tirée en arrière, frottant bien comme il faut sur le drap et je me branlais ainsi une nouvelle fois et comme la fois précédente j’éjaculais copieusement sur le drap en gémissant très fort…
Des branles de ce genre j’en eu beaucoup, peut-être une tous les 3 semaines et ma tante n’en a jamais rien su. Il faut dire que je faisait très attention de ne pas laisser de traces de sperme ni d’indices de mes pratiques. Au début je me branlais directement sur le drap, et puis un jour j’ai trouvé une de ses culotte sur le lit, elle avait dû oublier de la ranger et du coup je me la suis mise et j’ai trouvé cela très excitant pour me branler, alors toujours dans l’angle du lit je me suis allongé et je me suis frotté avec la culotte et là ça été encore plus fort et plus violent, j’ai juté en quelques secondes, tout mon sperme est allé directement sur le fond de la culotte et j’ai trouvé cela hyper jouissif… Du coup dès que je le pouvais je mettais la culotte que j’avais bien cachée au fond de son armoire et de savoir qu’il y avait déjà mon sperme sec dedans m’excitait encore plus. Mes pratiques durèrent pas mal d’années. Il y eu l’armée, puis ce n’est qu’en 1973 avec la rencontre de cette jeune infirmière Martine que je retrouvais ces envies de jouir sur les draps et la chance a voulue que Martine soit une folle fétichiste des draps blancs…
Depuis cette nuit ou pour la première fois je me fis enculer en femme, il y eut pas mal d’autres fois avec elle et ses amis, et chaque fois elle me travestissait en femelle et je devais être très salope avec ses amis. Je devais me comporter comme une femme, totalement comme une femme. La seule chose que je ne savais pas encore bien faire c’était branler et sucer une bite. Mais Martine m’a vite montré et en bonne élève j’ai vite mis en pratique et les amis de Martine jouissaient assez vite quand je les suçais, certains même disaient que je suçais mieux que leur femme. Très souvent ils me jutaient dans la bouche mais comme c’était abondant je ne pouvais tout avaler alors les spermes coulaient sur ma lingerie ou mieux sur le drap blanc et Martine m’avait appris à lécher avec passion le foutre sur le drap, et j’avoue que j’en éprouvais un vrai plaisir. Ma relation avec Martine dura 2 ans, deux ans de baise avec elle, elle était très salope et 4 ou 5 queues dans une soirée ne lui faisaient pas peur surtout quand elles lui investissaient sa chatte et son anus à plusieurs en même temps. Quant à moi je ne sais plus combien de fois en 2 ans j’ai branler et sucer de queues et combien de fois je me suis fait enculer et féconder (tel est le terme utilisé par les travesties pour dire que les gars ont jutés dans leur anus sans capote). Ah oui j’oubliais de dire que je me faisais enculer quasiment toujours sans capote, car Martine aimait voir les spermes s’écouler de mon anus après les enculages.
Et bien sûr j’étais toujours en lingerie blanche, slip, soutien gorge, combinaison nylon et même quelques fois en blouse et tablier blanc d’infirmière (c’était encore l’époque ou les infirmières étaient ainsi vêtue).
Il me fallut attendre 1981 pour retrouver ces sensations, mais cette fois en compagnie de ma femme, cela arriva lors d’une rencontre un soir avec un couple. Nous étions en train de faire l’amour, ma femme avec le gars et moi avec la femme du gars, chacun sur une partie du lit. Sa femme était sur le dos et je la baisais, elle les jambes écartées et relevées. Lui il baisait ma femme en levrette. C’est lui qui éjacula en premier, faisant jouir ma femme une nouvelle fois, car durant cet acte sexuel il la fit jouir plusieurs fois. Il se retira de sa chatte et je pu voir son sperme s’écouler sur ses cuisses. Moi je m’activait dans la douce chatte de sa femme… Puis le gars vint derrière moi et je sentis son gland contre mon anus. Et en 2 secondes il me pénétrais l’anus, je fus un peu surpris mais je ne protestais pas, alors il m’encula profondément puis s’activa doucement, cela donnait des coups qui se répercutaient dans la chatte de sa femme et au bout de quelques secondes j’éjaculais au fond de sa chatte et lui gémit en éjaculant un peu dans mon anus…
Quelques semaines après, nous devions revoir ce couple et ma femme me proposa de mettre une de ses petites culotte blanche en dentelle… Nous avions eu une petite discutions positive à ce sujet. Et donc quand le couple revint, je portait une petite culotte et cela ravit le gars, qui bien entendu baisa ma femme et moi la sienne et quand il se retira de ma femme et que moi j’avais jouit dans la sienne, il vint m’enculer en levrette moi au bord du lit et là il m’encula longuement me faisant gémir et même crier de plaisir devant ces dames qui l’encourageais et au bout de quelques minutes je sentis les tressaillements de sa queue qui jouissait dans mon anus. Ce fut le vrai début de toutes ces années de travestissement avec l’accord de ma femme qui me fournissait sa lingerie et qui m’en achetait aussi…
Pendant plus de vingt-cinq ans les seuls moyens de faire des rencontre passaient par les revues spécialisée. Il fallait souvent entre une semaine à 3 semaines avant de faire les rencontres, que se soit entres couples ou madame avec un gars ou moi en travestie avec un gars. Cela sa passait très souvent dans une chambre d’hôtel, lieu neutre. Quelques fois après quand on se connaissait bien mieux cela se passait soit dans notre chambre soit chez eux. Chez moi, j’avais tout à portée de main, mais chez eux, il fallait que j’apporte toute ma lingerie et quelques fois même une paire de draps blancs. En très grande majorité pour ne pas dire toujours cela se passait très bien et j’en repartais comblé, bien enculé et bien fécondé et mes partenaires très satisfaits de mes prestations manuelles et buccales. Combien ai-je rencontré de partenaires ainsi, par annonces, je ne sais pas, peut être 200 ou bien plus. Tout doucement je me faisais mon petit réseau de contact. Et il suffisait d’un petit appel au téléphone pour avoir une rencontre.
Vers 2005, je passais par internet, c’était beaucoup plus rapide. Les sites d’annonces regorgeaient d’hommes ayant envie de sauter un travesti. Dès lors je me présentais comme » travestie » et j’avais pris un prénom féminin » Patricia » (pourquoi ce prénom, aucune idée) et je parlais de moi au féminin.
Les rencontres se passaient dans un petit studio qu’un ami me prêtait. Un lit, 2 chaises, une armoire, cela me suffisait, dans l’armoire j’y avais mis, plusieurs paires de draps blancs, des fins, des moyens, des épais, des très épais qu’on appelle » draps de grands mères « , des draps pour le lit 2 places mais aussi quelques draps de lit 1 place qui servaient quand les mecs m’enculaient en levrette avec le drap en guise de capote. Dans l’armoire il y avait aussi plusieurs tenues de lingerie, slips, soutiens gorge, portes jarretelles, culottes, culottes fendues, combinaison nylons (courtes, mi-longues et longues) ainsi que 2 vraies tenues d’infirmières (blouse et tablier blancs en coton des années 1960) et également 2 tenues de soubrette (une noire et une bleu foncée) et aussi quelques linges blancs qui servaient bien.
Quand je recevais, j’allais toujours une heure avant le rendez-vous, le temps de me faire un lavement avec la douche, je m’enfonçais le tuyau de la douche dans l’anus et c’était radical, propre à 100%. Puis je me préparais suivant les goûts de mes partenaires. Une fois travesti, je faisais le lit, pour commencer je mettais une grande alèse, puis je la recouvrais d’un grand drap blanc souvent j’en mettais un épais, personnellement j’adore que ma queue frotte sur un drap » rugueux « , mais suivant le partenaire j’en mettais un fin ou normal. Je mettais ensuite un autre drap replié vers le pied du lit car certains partenaires aimaient me sauter comme une femme entre les draps.
Bien entendu, il y avait toujours une boîte de capotes à portée de mains, car souvent à la première rencontre lui comme moi on préférait l’utilisation de la capote, ce n’est qu’après plusieurs rencontres que l’on décidait de pratiquer sans capote, j’avoue que je préfère de loin le sans capote. Maintenant je ne pratique que sans capote, j’aime avoir le trou plein de foutre.
Pendant plus de 5 ans je recevais dans ce studio, mais mon ami dû le vendre et donc avec l’accord de ma femme (qui elle recevait chez nous depuis plus de 10 ans), je reçu mes amants chez nous, on avait déménagé de Chambéry à Saint Jean de Maurienne, dans une plus grande maison avec 5 chambres dont 2 que nous utilisions pour nos rencontres, une pour ma femme et une pour moi. Mais quelques fois nous nous les échangions, car dans celle aménagée par ma femme, il y avait un grand lit, un petit lit et une table d’examen gynécologique que ma femme utilisait souvent lors de ses rapports sexuels avec des hommes ou des femmes, dans la mienne il n’y avait qu’un grand lit. Et moi quelques fois je l’utilisais aussi, me sentir femme sur la table de gynécologie me faisait orgasmer entre autres, pendant que mes amants me défonçaient le cul à grands coups de queues violents et profonds et me fécondaient en profondeur, les jambes écartées dans les étriers et que leurs foutres coulaient de ma chatte anale sur le drap blanc de la table.
Dans le studio j’ai reçu plus de 100 hommes, certains étaient très vicieux et aimaient m’enculer et me féconder violemment et aussi me doigter longuement et certains étaient très adeptes des jeux de pipi. Ils m’enculaient puis se vidaient la vessie dans ma bouche, sur mon cul ou directement dans ma chatte anale pleine de foutre. Très souvent le drap blanc du lit était trempé de sperme et de pisse, souvent il y avait une énorme flaque de pisse, surtout quand ils étaient plusieurs à me pisser dessus, le drap en était jaune de pisse et très souvent, étant hyper excitée, je lapais la flaque de pisses, avec les spermes mélangés. Une fois j’étais tellement excitée que j’en ai perdu connaissance 2 ou 3 secondes. Il arrivait souvent que je reçoivent plusieurs gars en même temps, la plupart du temps, ils me sautaient l’un après l’autre, me remplissant le cul de leur foutre l’un après l’autre ce qui faisait qu’ils m’enculaient au sperme, c’était un régal. Il m’est arrivé quelques fois que 2 mecs m’enculent en même temps, ce n’est pas évident surtout si les 2 gars ont des queues épaisses, c’est douloureux même bien lubrifiée. Mais quand les 2 queues sont de tailles raisonnables c’est très jouissif, et les sentir jouir quasi en même temps est hyper jouissif… il m’est arrivé quelques fois en me faisant enculer ainsi par 2 queues en même temps qu’ils restent dans mon trou et juste après avoir juté copieusement il me pissent dans le trou, là c’est hyper, hyper jouissif. Souvent quand je recevais plusieurs gars en même temps, je branlais et suçais les queues pendant qu’ils me défonçaient le trou à la chaîne et me fécondaient.
Bien entendu, le lit était toujours fait avec un ou 2 draps blancs qui en fin d’après midi étaient totalement souillés de foutres et de pisses.
Lorsque Martine et moi nous sommes séparés, elle m’avait » contaminé » par son virus du fétichisme des draps blancs. Un virus que j’ai aussitôt inoculé à ma femme… De ce fait au bout de 10 ans de mariage, nous avions une armoire pleine d’une vingtaine de paires de draps blancs en tous genres, que nous achetions mais (c’est pas bien) que quelques fois nous volions dans les hôtels. Parfois un drap, parfois deux, et une fois en vacances nous en avions dérobé trois. Par fois quelques un de nos partenaire (homme, femme ou couple) nous en donnait un quand on allait chez eux, en cadeau.
Dans notre maison à Saint Jean de Maurienne, je recevais de 1 à 10 partenaires par semaine, parfois plus, parfois moins. Ma femme elle recevait aussi mais moins. Il m’est arrivé en une journée de recevoir plus d’une quinzaine de gars. Mais ce n’était pas si souvent que cela heureusement.
– Certains ne venaient que pour se faire branler et juter.
– Certains venaient pour se faire branler et sucer et jouir dans ma bouche ou sur moi, sur ma lingerie ou sur le drap blanc du lit et que je devais lécher devant eux.
– Certains ne venaient que pour m’enculer, sans préliminaires. Je me mettais en petite lingerie (slip, soutien gorge, ou en combinaison nylon), en levrette au bord du lit, soit ils me baissaient ma culotte, soit ils en écartaient le fond et m’enculaient d’un coup, me faisant gémir et crier un peu de douleur puis de plaisir et ils se vidaient complètement dans mon trou en grognant comme des ours, se rhabillaient et partaient.
– Certains venaient juste pour se faire sucer. Quelques fois ils étaient 4 ou 5 que je suçais côte à côte allongés sur le drap blanc du lit et je les suçais à fond, essayant à chaque fois d’avaler leur sperme, mais pas toujours facile car certains avaient de très abondantes éjaculations et beaucoup de spermes finissaient sur le drap du lit entre leurs jambes écartées, mais je ne gaspillais jamais, et je léchais toujours ce qu’il y avait sur le drap.
– Certains venaient aussi pour se faire sucer et aussitôt éjaculé il me pissaient dessus, soit dans la bouche, soit sur ma lingerie, soit ils me faisaient mettre en levrette et me pissaient dessus de la tête au cul soit directement sur mon cul, inondant ma lingerie de pisse, que je lapais après devant eux.
La plus importante journée fut de 21 gars qui sont venus une après midi au studio de Chambéry. Là j’avoue que se fut incroyable car une grande majorité a voulu m’enculée après que je les ai tous branlés et sucés. Là le tube de gel anal fut vite utilisé et vidé (nous en avons toujours en réserve), fort heureusement les pénétrations anales ne duraient pas plus de 5 ou 6 mn, ils étaient tellement tous excités qu’ils jouissaient très vite.
Ce fut le record que je n’ai jamais cherché à battre.
J’ai eu aussi souvent des demandes originales.
– Un jour un gars m’a demandé de passer la nuit chez lui (sa femme était partie en vacances). J’ai accepté par curiosité. Le soir je suis donc allé chez lui. Il avait tout prévu, de la lingerie blanche de sa femme, une chemise de nuit très sexy et bien sur une paire de draps blancs tous frais. Une fois travestie, on est allé se coucher comme des amants et il m’a honoré 6 fois dans la nuit, m’enculant à chaque fois avec une fougue incroyable et me fécondant abondement à chaque fois. Il m’enculait dans diverses positions, levrette, moi allongée sur le ventre, sur le dos cuisses très ouvertes et très écartées, sur le coté m’enculant de dos et à chaque fois il me jutait dans le cul. Je devais conserver ma culotte toute la nuit, soit il me la baissait à mi-cuisses, soit il en écartait le fond. Au petit matin ma culotte était pleine de foutre.
J’ai eu des demandes de gars qui voulaient m’enculer avec ma culotte en guise de capote, c’est génial, je ne saurais d’écrire avec exactitude ce que je ressens, mais c’est super excitant.
Il y a aussi, des gars qui me faisaient mettre soit en levrette cul nu, soit à plat ventre sur le lit cul nu, puis ils dépliaient un drap complètement sur moi et m’enculaient avec le drap en guise de capote, bon dans ces cas là je leur mettais à disposition un drap fin.
J’aimais cela, bien que cela fut un peu délicat, car le drap malgré sa finesse est un peu épais et le frottement au début est un peu douloureux mais une fois que le gars est bien dans mon cul et que le drap est bien enfoncé après les va-et-vient sont super bons. Et quand le gars jute, on ne sent rien mais quand il se retire avec le drap, celui ci est trempé de foutre, c’est agréable à voir et à lécher après. J’ai eu plein de demandes diverses et variées, la pire fut un gars qui voulait m’enculer le cul plein (de caca). Je ne connaissais pas cela j’ai voulu essayer, désastre… J’en avais partout sur le trou, et une odeur horrible, je n’ai jamais plu refait cela. Par contre tout ce qui est pipi, là je pratique avec grand plaisir. J’aime quand mes partenaires éjaculent dans mon cul et me fécondent profondément. Certains arrivent une fois cracher leur foutre à me pisser dessus quelques secondes après, c’est pour moi hyper excitant, sentir cette pisse couler sur mon dos, mes fesses, et mon anus ouvert, couler sur mes couilles et la bite et s’étaler sur le drap. Ce que j’aime s’est quand ils sont plusieurs et qu’ils déplient un drap en m’en recouvrent complètement, et que quasi tous ensemble ils me pissent dessus. Entendre les bruits des jets de pisse qui tombent sur le drap, sentir ce drap blanc qui se mouille rapidement, sentir leurs pisses qui traversent le drap et me trempe. Un régal. Et après ils me demandent de boire la pisse sur le drap du lit… Il arrive que dans ces moments là un gars soulève le drap et m’encule violemment pendant que les autres pissent sur sa queue et qu’il me défonce le trou. Il m’encule avec la pisse et moi j’orgasme de plaisir. J’ai un ami travesti qui a une très belle queue et est adepte des jeux de pipi. Il m’encule plus de 15 minutes et me fait jouir magnifiquement et il est capable de me juter abondamment dans le trou puis après quelques secondes de me pisser la valeur d’un verre de bière dans le cul ou sur mes fesses. C’est génial. Souvent quand je sais que je vais me faire pisser dessus je mets un drap très épais sur le lit, il garde mieux la pisse, un drap fin laisse passer la pisse qui va sur l’alèse.
En 2007 j’ai connu un homme de 70 ans qui était dominateur et il est devenu mon MAÎTRE, il organise des rencontres avec des gars qui aiment baiser des travesties. Je n’ai rien à prévoir c’est lui qui se charge de tout. Je n’ai juste qu’à mettre la lingerie qu’il met à ma disposition, cela va de la lingerie moderne à de la lingerie beaucoup plus ancienne genre 1930. Il a remarqué que les gars aiment les lingerie anciennes, donc il m’en fait mettre et c’est vrai qu’alors les gars sont très excités et me sautent vraiment très fort. Comme il sait que j’aime les draps blancs, il en met toujours sur le lit, surtout des draps épais. Chez lui il peut y avoir entre 6 et 10 gars parfois et tous viennent pour jouir dans mon cul. Heureusement qu’il y a le gel anal, sinon bonjour les dégâts. Souvent je passe d’une queue à une autre en 2 secondes, si je suis en levrette, le mec se retire après avoir juté et un autre m’encule aussitôt et sans ménagement, avec des vas et viens violents et profonds et moi j’aime ça. Si je suis sur le dos cuisses ouvertes, le mec se retire la queue encore juteuse et aussitôt le suivant m’enfonce sa queue dans le trou et me défonce. Si je suis assis sur un mec, je me lève et je vais m’asseoir sur une queue, le sperme du précédent s’écoulant de mon trou…
Chez lui aussi les jeux de draps et de pisses se font souvent. Quelques fois il m’attache sur le lit bras et jambes écartées et juste en petite lingerie avec culotte de grand-mère ouverte et les gars n’ont juste qu’à s’allonger sur moi et à m’enculer jusqu’à ce qu’ils me fécondent à fond. Je peux dans ces moments là être enculé par 5 ou 6 gars à la suite, et jouir comme je le sens. Quelques fois aussi il met un drap sur moi et les gras m’enculent sans que je vois et sache qui m’encule. Bien souvent cela se termine par des jets de pisse sur moi sans modération car la plupart savent que j’adore cela.
Que dire de plus… Des fantaisies…!
J’aime être godé longuement, surtout par les femmes.
J’aime qu’une femme me pisse dessus ou boire sa pisse, ça j’adore.
J’aime être attachée et soumise sur un lit de draps blancs.
Je raffole de sperme dans la bouche… Et partout sur moi et en moi sans modération. Sur ma lingerie.
J’aime être » violée « … Je gémis et je cries très vite.
Je branle et suce à la chaîne en avalant bien sûr et en recevant les spermes sur le visage, la bouche et partout sur moi.
J’aime être attachée sur le dos, jambes et bras écartées, recouverte complètement par un drap blanc, (nous avons 2 draps blancs pour lit une personne dans les quels ma femme a fait une ouverture de 10 cm de diamètre) mes partenaires me recouvrent avec le drap en mettant l’ouverture sur ma bouche et ainsi ils peuvent tous me baiser la bouche sans que je puisse bouger, ni voir qui me baise la bouche et j’aime bien sur qu’ils éjaculent comme cela, soit directement dans ma bouche et je suis obligée de tout avaler ou bien ils se branlent et jutent sur ma bouche et leur foutre gicle dans ma bouche, sur ma bouche ou sur le drap que je lèche aussitôt, quelques fois ils y en a qui me pissent comme ça juste après avoir juté. C’est génial, surtout de ne pas pouvoir bouger et d’être contrainte…
Avec moi toutes les folies sont possibles et réalisable, j’accepte quasiment tout.
Patricia drapsblanc
Je ne pense pas qu’il soit prudent d’avaler le sperme de n’importe qui n’importe quand.
Le webmaster aurait du avertir de la dangerosité de ces pratiques
Effectivement ! Et je ne peux qu’approuver ce commentaire
belle histoire