– C’est parfait, exactement ce que je souhaitais, est-ce que je peux vous demander autre chose ? demande Florelle en venant récupérer sa mappemonde
– Si c’est dans mes cordes…
– J’ai un ami un peu à l’ouest, il croit dur comme fer aux extraterrestres, mais en ce moment il déprime, j’aimerais lui offrir un truc qui lui ferait croire que ça été fabriqué par des extraterrestres !
– Une farce alors ?
– Oui, mais faudrait que ce soit crédible.
– Vous devriez…
– On ne se tutoie plus ?
– Si, si ! J’ai eu l’occasion de lire pas mal sur le sujet, la littérature sur les ovnis est illustrée de tout un tas de documents, ce sont essentiellement des photos qui sont soit mal interprétées, soit truquées. Mais jamais personne n’a essayé de présenter un objet comme étant extraterrestre. Ça ne peut pas marcher ! Ah, si, il y a un mec en Espagne qui s’est amusé à ça, il s’est fait ridiculiser.
– Donc c’est pas possible ?
– Ben je ne vois pas…
– On pourrait peut-être essayer une photo…
– Tu sais maintenant avec le numérique, une photo ne prouve plus grand chose.
– Et une lettre, écrite en charabia avec des caractères à la con et un petit dessin.
– C’est puéril !
– Moi, je trouve l’idée intéressante.
– S’il garde le truc pour lui, pourquoi pas, mais s’il montre ça à un linguiste, il va se faire rire au nez.
– Ce qu’il faut c’est que ce soit intraduisible, pour lui il restera donc deux solutions : le canular ou la langue inconnu. Et comme en tant que canular, il jugera que c’est débile…
– Tu crois ?
– Oui ! Tu pourrais me faire ça ?
– Si tu veux, mais je te fais ça à titre privé, ce ne sera pas une prestation du professeur Martinov.
– On est bien d’accord. Et tu me prends combien pour ça ?
– Rien du tout, ça va m’amuser !
– Même pas un petit massage ou un petit câlin ?
– Si tu me le proposes si gentiment, je ne vais pas refuser. A ce propos une petite question : Tu masses aussi les femmes ?
– Je masse tout le monde, sauf les mammouths !
– Je parlais des massages érotiques.
– Ça m’est arrivé ! Parce que ?
– Ma collaboratrice serait intéressée, elle te trouve très jolie !
– Ben v’la aut’chose ! Elle est où ?
– A côté, elle travaille !
– On peut faire un truc à trois, gratuit pour toi, payant pour elle.
– Maintenant ?
– Moi, j’ai le temps, j’ai juste un patient à midi, un vrai, un médical, mais je peux le décaler.
– O. K ! Béatrice, viens une minute !
– Bonjour, nous nous sommes juste croisées, je suis Florelle Solima, masseuse kinésithérapeute diplômée d’état et… disons prostituée occasionnelle. Monsieur Martinov m’a dit que vous m’aviez trouvé jolie.
– Béatrice Clerc-Fontaine, diplômée de l’école de chimie, bisexuelle pratiquante, Vous prenez combien ?
– 150 la demi-heure !
Béatrice hésite. Non pas parce que Florelle ne lui plaît pas, mais parce qu’elle est en plein travail.
– Mais je ne regarde pas ma montre… Reprend Florelle. Viens donc m’embrasser, tu te décideras après.
C’est un piège bien sûr, Et Béatrice qui n’est point folle le sait bien, mais assume. Le baiser est profond, baveux et sensuel. Les mains de Florelle ne restent pas inactives et s’en vont peloter ce qu’elles peuvent.
Deux minutes plus tard, nos trois libertins étaient dans la chambre de Martinov.
– Tu veux vraiment le massage ou on le zappe ? Demande Florelle à Béatrice.
– Zappons-le !
Du coup tout ce petit monde se retrouve à poil.
– On fait comment ? Demande Martinov qui bande déjà comme un sapeur.
– On vient à côté de moi ! Répond Florelle. Toi à droite, toi à gauche.
Et de suite elle se met à peloter Béatrice qui lui rend la pareille.
– T’as la peau si douce, c’est pas croyable ! S’exclame Béatrice.
– Et tu peux y aller, c’est doux partout !
Et pendant que ces dames se tripotent, Martinov caresse ce qu’il peut, une cuisse, un bras…
Et quand Florelle se lève pour s’occuper de Béa en face à face, il accède à son joli postérieur qu’il flatte comme il se doit
– Vas-y tripote-moi les fesses, j’adore ça ! L’encourage-t-elle. Tu peux me sucer le trou si tu veux !
Voilà une chose qu’il ne faut pas dire deux fois à notre coquin de professeur. La belle blackette se cambre et écarte légèrement les jambes afin qu’il puisse accéder plus facilement.
De ses mains il sépare les globes fessiers et tend sa langue en avant, la mettant en contact avec l’œillet fripon (et fripé), Il y rencontre un goût légèrement âcre bien caractéristique, mais qu’il ne déteste pas, un goût de trou du cul, quoi !
– Alors tu te régales ?
– Humpf !
– T’y foutrais bien ta bite, hein ?
– Avec ta permission.
– Permission accordée, puisque c’est demandé gentiment
– Maintenant ? S’étonne le professeur qui ne voyait pas ce genre de chose arriver si tôt.
– Ben, oui, pourquoi pas ! J’adore qu’on m’encule quand c’est bien fait… et avec moi c’est toujours bien fait.
– Euh…
– La dernière fois on l’a pas fait parce qu’on ne se connaissait pas, mais aujourd’hui je me sens en confiance.
– Ah !
– Alors on va faire comme l’autre jour, tu t’allonges et moi je m’empale, la seule différence c’est que ce ne sera pas le même trou ! Des questions ?
Martinov, quoique quelque peu étonné que soit Florelle qui dirige les débats alors que c’est lui (et Béatrice) qui paie, obtempère néanmoins et se place dans la position demandée.
– Viens Béatrice, on va le sucer à deux pour qu’il ait la bite bien raide.
Béatrice est aussi un petit peu déboussolé, elle n’a rien contre le fait de sucer la bite de Martinov, mais le souci c’est qu’elle la connaît par cœur et qu’elle préférerait en ce moment lécher le minou de la belle blackette, mais elle se dit que la demi-heure n’étant pas finie d’autres fantaisies ne manqueront pas de venir agrémenter cette petite séance.
Elles sucent donc à deux. A un moment les deux langues qui lèchent la verge en face à face se mélangent et les filles s’échangent un doux baiser avant de reprendre. Et tandis que Florelle entame une série de va-et-vient classiques, Béatrice s’amuse à gober les couilles de notre vert professeur.
Bien sûr le traitement infligé à la bite de Martinov eut tôt fait de produire le résultat escompté. Florelle encapote la chose et se met faire du « à dada » en cadence. Béatrice a choisi de s’asseoir sur le visage du professeur qui peut ainsi lui lécher les trous. Les deux femmes ne sont donc pas loin l’une de l’autre et se rapprochent d’instinct, se pelotent et s’embrasent. Que voilà un joli triangle qui n’a rien d’isocèle dirait un voyeur qui passerait par-là !
Et voilà que soudain, Mademoiselle Florelle prend son pied en poussant des gémissements peu discrets. En sueur, elle se dégage ensuite de l’étreinte de ses partenaires.
– Whaouh, ça m’a fait du bien, j’en avais besoin ! Maintenant je vais m’occuper entièrement de vous. Faites-moi ce que vous voulez, dans les limites du raisonnable, bien sûr !
Dans ce genre de choses, il n’y a pas (en principe) de metteur en scène, ce sont les acteurs qui improvisent, et sans trop savoir comment Béatrice se retrouve en position de soixante-neuf avec la belle blackette, ces dames se lèchent le minou de façon frénétique. Du coup Martinov en est réduit à faire banquette.
Il a alors l’idée de fouiller dans son tiroir de chevet afin d’y récupérer son gode. Les joujoux c’est fait pour servir, non ? Le temps de s’en emparer, et c’est pour voir Béatrice jouir comme une damnée sous la langue de Florelle.
– Oh ! Un gode ! S’exclame Florelle jouant les étonnées. C’est pour qui ?
– A mon avis, c’est pour Martinov ! Répond Béatrice.
– C’est vrai, ça ? Tu aimes te faire enculer, mon biquet ?
– Ben oui !
– Mais t’es un petit cochon !
– Et j’ai même pas honte !
– T’as bien raison ! Et dis-moi, tu as juste fait ça avec des godes ou t’as été plus loin ?
– T’es bien curieuse !
– T’es pas obligé de me répondre.
– Ben oui, ça m’est arrivé !
– Tu t’es fait enculer par des bonnes bites que tu as bien sucées avant, c’est ça ?
– Eh oui !
– Et ben mon cochon ! Ce doit être excitant de regarder ça ! T’en penses quoi Béatrice ?
– Moi j’aime bien le regarder quand il fait ça.
– Il suce bien ?
– Il paraît, oui !
– Mais où est-ce que je suis tombée ? S’exclame Florelle sur le ton de la plaisanterie. Sur un couple de pervers grave ! Bon c’est pas tout ça, il est où ce gode ?
Elle s’en empare, le recouvre d’un préservatif et l’enduit d’un peu de gel.
– Et toi Béatrice, tu aimerais que je t’encule avec ?
– Oui, bien sûr, mais priorité au professeur.
Ce dernier sans qu’on ne lui demande se met en levrette sur le canapé.
– Non, non, on va faire mieux que ça, allonge-toi sur le dos, et maintenant lève ta jambe gauche que je puisse t’enfoncer ce machin dans ton trou de balle. Attention ! J’ai bon là ?
– Oui, vas-y !
– C’est rentré !
– Oui enfonce-le
Elle le lui pénètre jusqu’à la garde.
– Humpf !
– C’est bon ?
– Oh, oui !
– Il y a un petit vibrateur, j’espère qu’il fonctionne…
– Oh, oui !
Et pendant que de sa main droite elle fait aller et venir le gode dans le trou intime du professeur, son autre main s’en va un peu plus haut afin de lui tortiller les tétons.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Florelle retire brutalement le gode faisant pousser au professeur un soupir d’extase. Mais alors qu’il croyait l’épisode terminé, elle le renfonce aussi sec. Et ceci plusieurs fois de suite. Il n’en peut plus Martinov et commence à se masturber.
– Laisse ta bite tranquille, je te sucerai pour finir, mais maintenant Mademoiselle Béatrice, si vous voulez bien prendre place à votre tour afin que je puisse vous enculer comme il se doit ! Déclame-t-elle à la manière de Molière.
Même tarif, même punition ! Le gode va et vient tandis que les jolis tétons de Béatrice sont maltraités par la très « vilaine » Florelle… sauf qu’au bout de trois minutes de ce traitement, la Béa s’en va taquiner les étoiles.
Le temps a passé, il est même dépassé, mais en bonne « commerçante », Florelle fait comme si elle ne s’en était pas rendu compte.
– Je vais te finir, Martinov ! Tu sais j’ai envie de faire pipi, je te pisserais bien sur la bite ! Ça te dit ?
– Tu peux même me pisser dans la bouche ! Répond le professeur.
– J’en veux bien aussi ! Intervient Béatrice.
– C’est bien ce que je disais, je suis tombée sur deux gros cochons !
– Je ne suis pas grosse ! Proteste Béatrice.
– Bon allez venez mes chéris, on ne va pas faire ça ici.
La salle de bain du professeur contient une baignoire, en se tassant un peu il est possible d’y entrer à trois, mais seuls Martinov et Béatrice viennent s’accroupir au fond. Florelle, elle, se met en équilibre sur les bords et ouvre les vannes. Ça dégringole en cascade sur les corps du professeur et de son assistance, on en avale un peu, on rigole…
– Humm ! Qu’elle est bonne ta pisse ! Commente la jeune chimiste.
– Forcément, j’ai bu du thé au jasmin avant de venir, ça donne un goût divin à l’urine. Il doit en rester quelques gouttes sur ma chatte, léchez mes chéris, léchez mon bon pipi.
Après ces fantaisies dorées, Béatrice ouvre le robinet et s’empare de la douchette pour se rincer un peu, puis sort de la baignoire pour se sécher. Martinov s’apprête à en faire autant, mais Florelle vient entre ses cuisses et commence à lui gober la bite, tandis que sa main lui masse les testicules.
– Humm, qu’est qu’elle est bonne la bite de vieux cochon ? S’exclame-t-elle entre deux mouvements de succion.
Le professeur sent son plaisir monter, Mutine, Béatrice lui pince les tétons pour accroitre son état d’excitation.
– Je viens ! Avertit-il en tentant de se retirer.
Mais Florelle l’en empêche et recueille tout son foutre dans sa jolie bouche. Puis alors qu’elle n’a rien avalé, elle fait signe à Béatrice de lui rouler une pelle, celle-ci ne se dérobe pas et bientôt le sperme du professeur dégouline de la commissure des lèvres de deux belles coquines
Le professeur se met en quête d’un court texte ésotérique sur Internet, ce n’est pas cela qui manque, il le fait traduire en albanais par un logiciel en ligne, puis l’imprime, transforme des mots pour rendre le texte encore davantage abscons, puis invente un alphabet plus ou moins inspiré du runique. Il remplace ensuite les lettres par celles qu’il vient de créer, puis rajoute d’autres caractères à droite et à gauche, supprime toutes les doubles lettres, il scanne tout ça, puis inverse le document pour remplacer l’écriture de gauche à droite par du « droite à gauche » puis réécrit tout ça à la main, il termine son texte par le dessin de deux systèmes solaires dont le nôtre, la terre en étant encadrée et ajoute quatre mots de pur charabia.
Il est content de lui, Martinov, il a toujours conservé un petit côté gamin !
Samedi 10 mars
Muni du papier de Martinov, Florelle attend le moment propice. Après quelques échanges de banalités convenues, Savourey s’en va en cuisine faire du chocolat (il adore offrir du chocolat chaud)
Florelle déclenche alors un vacarme enregistré avec son smartphone, c’est assez impressionnant : une explosion sourde suivie d’un bruit d’éboulement. Précipitamment elle éparpille sur le tapis du salon plusieurs poignées de graviers, fait tomber le joli vase de cristal qui trônait au milieu de la table, lequel se brise au sol, puis y jette le papier préparé par le professeur Martinov, puis s’assoit par terre en criant.
Savourey accoure à toute jambes, il ne comprend rien (et pour cause !) :
– Qu’est-ce qui s’est passé ? Florelle tu es blessée ?
– Non, mais qu’est-ce que j’ai eu peur, j’ai rien compris, j’ai ouvert la fenêtre, je voulais fumer une cigarette, il y a eu comme un souffle, je me suis retrouvée par terre ! Explique-t-elle en se relevant !
– Sûr, tu n’as rien ?
– Non, plus de peur que de mal ! Donne-moi un truc à boire, ça me fera du bien !
– Le chocolat doit être prêt… je reviens.
– Non un truc fort !
– Un whisky, alors ! Mais c’est quoi toute cette merde ? Comment ça a pu rentrer ici ? Je te sers ton whisky et après je passerais l’aspirateur.
« Et le papier, il ne le voit pas ? »
– Y’a un papier !
– Oui, j’ai vu, je vais nettoyer tout ça, c’est bizarre quand même
« Alors tu le regardes ou pas le papelard ? »
Savourey s’en va fermer la fenêtre, il s’assure que tout est normal à l’extérieur. Ben oui, apparemment rien de bizarre ce qui en soi constitue tout de même une bizarrerie.
– Il n’y a rien ! Si ça avait été balancé vers la fenêtre par un rôdeur, on verrait des traces, le sol est tout détrempé. Et de toute façon, je ne vois pas bien comment quelqu’un pourrait entrer.
– Je me suis fait mal aux fesses, j’espère que je ne vais pas me taper un bleu.
– Les noires, elles ont des bleues aussi ?
– Ben évidemment !
« Qu’est-ce qu’il peut être con, par moment ! »
– Montre-moi, je vais te dire !
« Bon, il va se décider à le ramasser, le papelard ? »
Florelle baisse son pantalon et montre ses fesses à Savourey.
– Whah, ce cul ! C’est vraiment une merveille, tu me fais bander, tiens !
– J’ai un bleu ou pas ?
– Je n’en vois pas ! On va dans la chambre ?
– Je vais t’aider à faire le ménage et après je te gâte !
– Le ménage on le fera après !
« C’est dingue, ça ! Ce qui vient de se passer, ça ne l’intrigue pas plus que ça ? »
En fait si ça l’intrigue un peu, il pense à un objet tombé d’un avion de tourisme ou d’un hélicoptère et qui aurait ricoché sur le gravier de l’allée. Il se dit qu’il sortira tout à l’heure pour voir ça de plus près.
– Et ce papelard, c’est quoi ?
« Enfin ! » soupire Florelle.
– C’est quoi, ça ? C’est pas à moi ? Dit-il en le ramassant. C’est à toi ?
– Non, c’est quoi ?
– Putain, tu as vu le dessin ?
Florelle mime l’incompréhension.
– Ça c’est notre système solaire, tu vois, la Terre c’est la troisième planète, et ça ben c’est un autre système avec la deuxième planète encadrée. Tu sais ce que ça veut dire, Florelle ?
– Ben non ! Pas du tout !
– Les extraterrestres ! Ils m’ont recontacté, la vie est belle ! Oh que je suis heureux ! Viens m’embrasser ma poulette !
Il l’enlace, l’embrasse, et l’entraîne dans la chambre, sans lâcher le papier.
– Attends, je vais prendre une petite précaution.
Savourey fait alors une photocopie du document, puis enferme l’original dans son coffre.
« De cette façon, il ne s’envolera pas ! »
– Maintenant, à nous ! S’exclame l’homme en retirant prestement son pantalon et en exhibant une bite presque raide. Une bite plus grosse et plus longue que la moyenne et dont il n’est pas peu fier !
– Quelle forme !
– Déshabille toi, Flo, je suis en rut !
– Je vois bien !
– Euh, une question Flo, t’as confiance en moi, maintenant ?
– Oui, pourquoi ?
– Parce que je voudrais t’attacher, je veux dire t’attacher pour de vrai !
– Non ! Tu me le demandes à chaque fois, je t’ai dit que ce n’était pas négociable !
– Donc tu n’as pas confiance !
– Ce n’est pas une question de confiance, nul n’est à l’abri d’un coup de folie, c’est une règle de sécurité, c’est tout !
– T’es chiante ! J’ai connu des filles qui se laissaient attacher, ça s’est toujours bien passé !
– Tant mieux pour elles ! On fait quoi on discute technique ou on s’amuse ?
– A quatre pattes, chienne !
C’est le signal du début de séance. Florelle se met dans la position demandée, Savourey la laisse ainsi pendant qu’il s’en va chercher un collier de chien muni d’une laisse qu’il lui fixe autour du coup, puis il la fait avancer doucement dans les grandes pièces de sa résidence, en la cravachant régulièrement.
Florelle se prête au jeu sans broncher en relevant bien son croupion.
« Quand même, quel cul, elle se paie ! »
Parfois Savourey la cingle trop fort, elle fait alors un simple geste de la main qui doit signifier « basta » ou quelque chose d’équivalent. L’homme sait alors qu’il doit taper moins fort, ça fait partie du jeu, il aimerait bien taper plus vigoureusement, et que sa soumise encaisse mieux les coups…. Mais bon…
Savourey ouvre la porte de son sous-sol dans lequel il a aménagé dans un coin, un mini donjon. Florelle se remet debout pour descendre les marches mais elle est toujours tenue en laisse et « stimulée » par la cravache.
En bas, elle se remet à quatre pattes et se dirige vers le mur sur lequel Savourey a fixé des bracelets de cuir. Florelle entre elle-même ses mains dans les bracelets, ils ne sont donc pas serrés à fond et elle peut ainsi se dégager rapidement si besoin est.
Prenant de la corde à bondage, Savourey serre les seins de la belle blackette jusqu’à ce qu’ils deviennent tout durs, puis il lui tord violemment le bout des seins. Florelle crie mais supporte, il lui accroche ensuite des pinces sur ses tétons qui sont réunis par une chaine, joue un peu avec, faisant grimacer sa victime consentante, puis il y ajoute des poids.
L’homme se recule, et contemple le tableau, il bande comme un cerf. Il reprend la cravache et donne des petits coups secs tantôt sur les seins, tantôt sur les cuisses et le ventre.
Il prend ensuite deux autres pinces qu’il accroche après les lèvres vaginales puis reprend ses petits coups de cravaches jusqu’à ce que je jeu semble ne plus l’amuser.
Il lui retire alors les pinces, les chairs meurtris libérés de leurs étaux métalliques souffrent d’être libérées, et Florelle déteste ce moment. Il dénoue aussi la corde qui entourait les seins.
Elle devine son supplice presque terminé. Presque parce qu’elle sait que Savourey aime bien terminer la domination sur une note fantaisiste, enfin fantaisiste c’est une façon de parler, c’est parfois des glaçons, une autre fois cela a été des orties, mais elle lui a fermement demandé de ne plus recommencer et aujourd’hui ce sera la bougie !
Savourey a allumé un cierge, un gros cierge, un cierge de compétition, et s’amuse à faire couler la cire sur les tétons de Florelle qui la reçoit en faisant des vilaines grimaces, en fait elle exagère, il sait qu’il aime la voir souffrir (enfin juste un peu) alors autant faire un peu de cinéma même si la bougie n’est pas si douloureuse que ça !
N’empêche que la cire liquide coule sur les tétons de la jolie blackette et se solidifie rapidement en une intrigante coute blanchâtre.
Quand le jeu cesse de l’amuser, il retire sans ménagement la croute de cire, laissant les tétons rougis par ces « vilains » traitements.
– Maintenant suce !
C’est la fin de la séance, Florelle a du mal à mettre la grosse bite de Savourey dans sa bouche, et elle lèche au lieu de sucer, mais l’homme n’en a cure, il adore cette langue qui lui titille le gland. Quand elle sent l’homme prêt à jouir elle se dégage un petit peu et reçoit toutes sa semence sur les seins.
Est-ce la fin ? Non ! Savourey aime parfois jouer une prolongation.
– Ne bouge pas !
Il étale une bâche qui restait dans un coin, puis pisse d’abondance sur sa soumise qui prend le jeu avec amusement et qui en absorbe même un petit peu, elle sait que l’urine est stérile, et celle de son tourmenteur n’a pas mauvais goût
– Je te paye le restau ? Lui demande l’homme.
– Volontiers ! Mais je prends une petite douche avant !
– Vas-y ! J’ai envie de te gâter, t’as envie de quelque chose ?
– J’ai vu une paire de bottines, mais elles ne sont pas données…
« Le plan a fonctionné au poil, pourvu que ça dure ! »
Jean-Claude Savourey a dégoté un linguiste de renom sur Internet et a pris rendez-vous pour le lendemain.
– Le professeur Oppelmayer va vous recevoir dans cinq minutes lui annonce une grande bringue à lunettes.
Oppelmayer est un quinquagénaire aux cheveux très bruns plaqués sur le crâne, doté d’une impossible moustache gominée et chaussé de lorgnons vintage.
« Encore un original ! »
– Jean-Jacques Savourey, se présente-il, ancien fondé de pouvoir chez Boulard-Frangier. J’ai d’abord été embauché en tant qu’ingénieur en génie civil avant de gravir les échelons. Je suis aussi l’auteur…
– Oui, bon ! Coupa le linguiste qui ‘en avait rien à cirer. Venons-en au fait, montrez-moi ce fameux texte.
« Pas très sociable ce type ! »
– Voilà !
– C’est l’original ?
– Oui !
– Ce n’est pas ancien !
– Je n’ai jamais dit le contraire !
– Voyons voir, ça ressemble à du runique, mais ce n’est pas du runique, ça m’a tout l’air d’une écriture inventée.
– Inventée ?
– Oui ! C’est une composition alphabétique, toutes les écritures ne dont pas alphabétiques, certaines sont idéographiques, d’autres phonétiques, l’alphabet est une invention moyen-orientale, mais le premier digne de ce nom ce sont les sont les phéniciens… Enfin bref j’ai la prétention de connaître tous les alphabets existants et passés, certains sont rares… Des peuples anciens… Mais votre truc ne ressemble à rien que je connaisse.
– Et vous en concluez quoi ?
– De deux choses l’une : où il s’agit d’un texte ancien, d’une peuplade dont nous n’aurions jusqu’ici pas eu connaissance, plus ou moins apparenté au runique, ou alors c’est tout simplement l’œuvre d’un plaisantin.
– Heu, la première hypothèse…
– Laissez-moi terminer, comme je ne vois vraiment pas comment du pseudo runique pourrait atterrir sur une feuille de papier A4, je vous laisse conclure vous-même !
– Et ces dessins en dessous, vous en pensez quoi ?
– Bof des conneries astrologiques, ce n’est pas mon domaine.
« C’est peut-être un linguiste réputé mais il est infoutu de reconnaître le système solaire ! »
– Bien, je voulais savoir si ce langage était connu, j’ai donc ma réponse.
– Des plaisantins, je vous dis, c’est un code ! Pff, vous parlez d’un code ! Ces gens-là croient encore qu’on fonctionne encore comme au temps des armées de Napoléon… Maintenant avec le numérique…
– Si c’est un code, ça peut se traduire ?
– Evidemment, je peux même vous le faire de suite, mais il y aura un petit supplément.
– Allez-y !
– Vous ne me demandez pas le prix ? Ce sera juste 100 euros de plus.
– 100 euros pour faire tourner un logiciel !
– Il y a du travail préliminaire, il faut que l’on scanne tout ça, qu’on isole tous les caractères, ma secrétaire peut vous le faire maintenant. Ça va prendre une bonne heure.
– Faites !
– Je vous fait patienter en salle d’attente ou alors vous revenez dans une heure ?
Savourey revint donc une heure plus tard :
– Ce n’est pas du français, je peux maintenant essayer avec toutes les langues connues, enfin celles qui utilise un alphabet.
– Et ça va encore prendre une heure ?
– Non parce que le travail préparatoire est déjà fait, disons : 10 minutes ! Vous patientez à côté.
– Il y aura un nouveau supplément ?
– Mais non !
Et le résultat tomba dix minutes plus tard :
– Ça n’appartient à aucune langue alphabétique. Soit c’est un codage complexe, et c’est hors de ma compétence, soit c’est du n’importe quoi volontaire. Je privilégie la seconde hypothèse bien évidemment !
Alors Savourey osa :
– Et si c’était des extraterrestres ?
Le linguiste s’aperçut avec stupeur que son interlocuteur ne plaisantait pas et préféra rester muet.
– Vous ne répondez pas ?
– Je vous ai fait part de mes conclusions, restons-en là Monsieur Savourey.
A suivre
Superbe récit ! et l’illustration, quelle merveille !
Joli récit qui excite bien
Un épisode qui porte bien son titre et qui fait bien bander la chose