Porteuse d’eau
par Pasteque
Laissant nos mecs transpirer devant la télé, Cathy et moi sommes parties prendre le frais à vélo dans les sous-bois.
Elle roulait devant et j’en bavais, mais j’admirais son corps mince et musclé, ses petits seins pointant sous le léger tee-shirt blanc et le balancement de son string que je voyais au travers de son cuissard moulant … Sous ma jupe de tennis, le vent fouettait mes cuisses, et dans mon débardeur, il entrait dans le profond sillon de mes seins, comme le regard des hommes que nous croisions.
– Je suis vannée et j’ai soif me dit Cathy au bout d’une heure en descendant de vélo dans un petit bois à l’écart de la route.
– Moi aussi, et j’ai mal aux fesses, lui dis-je.
– C’est vrai que la selle, ça chauffe sous une mini-jupe ! répondit-elle en s’adossant à un grand chêne. Viens me montrer ça, j’ai un don pour ce genre de choses dit-elle dans un sourire mi-figue mi-raisin.
Puis, elle but en laissant abondamment couler sur elle l’eau de sa gourde. Les pointes roses de ses mamelons tendant le coton jaune du tee-shirt me fixaient droit dans les yeux.
– Tu en veux ? demanda-t-elle en s’approchant.
– Oui…
En riant un peu trop fort, en respirant un peu trop vite, elle tendit sa gourde au dessus de moi. Je renversai la tête en arrière pour boire à la régalade cette eau qui me coulait sur les seins, sur le ventre et rejoignait plus bas la source qui me rendait molle.
Cathy releva mon débardeur au dessus de mes seins et vint se coller à son ventre.
– Ça fait du bien dit-elle. Suis-moi.
Elle s’enfonça dans les fourrés pour gagner une petite clairière ombragée et couverte de mousse.
– Toi, tu es déjà venue ici… dis-je en riant.
– Oui, et j’y ai déjà fait des choses agréables dit-elle en soulevant ma jupe. Tu es toute rouge. Retire ta culotte. De toute façon elle est trempée…
Je m’exécutai docilement. Elle dit :
– Je sais ce qu’il faut faire. Mets-toi à genoux.
Elle ôta son cuissard, et son string, libérant les lèvres charnues de son sexe lisse juste. D’un doigt, elle les sépara comme un fruit juteux puis vint si près que j’en sentis la puissante odeur.
– Voilà le médicament ! Tourne-toi, lève ton cul.
J’obéis, posai la tête sur mes bras et ouvris mes fesses à son plaisir. Je sentis un jet brûlant m’asperger les reins, les fesses, s’immiscer dans ma vulve, dans mon anus. Je me retournai pour téter à la source les dernières gouttes odorantes en aspirant la chair fondante. Haletante, elle se dégagea puis s’allongea sur le dos écartant ses genoux de ses mains en disant :
– À toi …
Je l’enjambai et tout debout, pliant juste ce qu’il faut mes jambes, je pissai abondamment sur son ventre, ses seins, en pinçant mon sexe je dirigeai le jet dans sa vulve qui se remplit en glougloutant, puis j’aspergeai tout alentour en me branlant comme une guenon en criant comme une possédée.
Frénétique, je me jetai sur Cathy. Nous léchâmes jusqu’à plus soif nos sueurs sueur et nos urines jusque dans les recoins les plus odorants avant de nous allonger sur la mousse, nymphes puantes comme deux satyres, terrassées pas le plaisir.
De retour à la maison, sous la douche où nous sommes montées tout de suite, Cathy m’ a demandé :
– Tu le connaissais ?
– Qui ça ?
– Le gars qui nous a regardées et qui a pris des photos en se tripotant ?
– Quoi ?
Depuis, je sursaute quand le téléphone sonne et je tremble quand j’ouvre ma boite mail. Et si c’était quelqu’un qui me connaissait ?
Fin
Mis en ligne en août 2012
Note du Webmaster : Il y avait une suite que n’avons pas publié, celle-ci ne collait pas vraiment avec notre charte…
Petit récit mouillée et jouissif, j’adore
« Nous léchâmes jusqu’à plus soif nos sueurs et nos urines jusque dans les recoins les plus odorants avant de nous allonger sur la mousse, nymphes puantes comme deux satyres, terrassées pas le plaisir. »
Quel plaisir de lire de si jolies phrases sur un site de récits pornos 😉
De l’uro courte et gentillette