Muriel et Sylvain, couple coquin.
9 – L’atelier du peintre
par Sylvain_Zerberg
– Il va falloir que je rentre. Précisais-je, ma femme m’attend.
– Téléphone-lui, invente-toi une excuse, une réunion, un embouteillage, un pot entre copains…
– Non, je lui ai dit que je devais te voir.
– C’est malin. Fais le numéro de ta femme et passe-moi ton téléphone.
– Mais tu vas lui, dire quoi ?
– Laisse-moi faire…
Comment ais-je pu la laisser faire ?
– Allô, bonjour Madame, je suis Isabelle, la personne avec qui votre mari avait rendez-vous. L’entretien durera un peu plus longtemps que prévu ! Surtout ne vous inquiétez pas chère madame.
– Pardon, qu’est-ce que vous dites ? Passez-moi mon mari.
– Ne vous inquiétez pas, répéte Isabelle.
Puis elle raccrocha et me demanda de couper le téléphone.
Bon, je reviens sur Terre quelques instants, je vais me farcir une engueulade monstre en entrant. Alors le mal est fait, je vais accompagner Isabelle je ne sais où, mais ensuite, je ne la reverrais pas, et j’en ferais la promesse à ma femme.
On sort, je pensais qu’on prendrait le métro, mais voilà que nous dirigeons vers une très belle voiture noire. Le chauffeur nous ouvre la porte arrière et nous installons. Bigre, madame a un chauffeur ! Après avoir passé un coup de fil, elle se colle contre moi, on s’embrasse comme des jeunes amants et je ne tarde pas à bander de nouveau.
On arrive vers Montparnasse, on entre dans un immeuble et nous montons deux étages. Un type en robe de chambre avec un look à la Cyrano de Bergerac vient nous ouvrir et nous fais entrer après avoir embrassée goulûment Isabelle. Dans le salon il nous précise :
– Voilà, déshabillez-vous ici !
Le type reste planté pendant qu’on se déshabille. Je n’en peux plus d’admirer la plastique d’Isabelle. Mais Gino (puisque c’est son nom) s’intéresse plutôt à la mienne de plastique.
– Jolies petites fesses ! Me dit-il en me les pelotant. Et des jolis tétons qui pointent… Hum, ça m’excite bien… mais ne restons pas là, venez dans l’atelier.
Nous entrons dans une grande salle transformée en atelier de peintre. C’est un fouillis organisé de toiles terminés, inachevés, vierges disposés en vrac ou accrochées au mur. Mais le plus insolite dans ce lieu, c’est la présence sur un fauteuil en cuir d’un travesti absolument troublant. Il est nu, le torse, les bras et les jambes sont rasés. Le visage aux longs cheveux bruns est savamment maquillé. La poitrine est très peu formée, une poitrine d’ange ! Une merveille !
– C’est Katia, je suis en train de la peindre.
– Superbe ! commente Isabelle.
– Je me suis imposé de ne pas la baiser avant d’avoir terminé ce tableau, mais c’est dur, je ne tiens plus en place. Je vous attendais avec impatience. Et lui ? Demanda-t-il c’est ton nouvel esclave.
– Tout à fait, il est très docile ! Sylvain tu vas devoir obéir à Gino.
Esclave ? Est-ce que j’ai une tronche d’esclave ?
Gino sans rien dire me saisit mes tétons et commence à me les pincer. C’est magique, voilà que je bande. Mais lui aussi.
– Elle te plaît ma queue ?
– Oui ! M’entendis-je répondre et sachant ce que serait la suite.
– Tu vas me la sucer, ma bonne queue ?
– Bien sûr avec grand plaisir, j’adore sucer des bites, répondis-je me disait que cette réponse plairait à Isabelle.
Le travesti nous interrompt.
– Pendant que vous vous amusez, je vais faire une pause pipi ! Déclare-t-il.
– Pisse sur l’esclave ! Ordonne Gino. Toi mets-toi à genoux et ouvre ta bouche !
Je ne réfléchis plus, la situation m’échappe, je fais ce qu’on me dit de faire, j’ouvre la bouche et tente d’avaler tout ce que je peux de la pisse de Katia. Mais j’ai l’immense surprise de voir Isabelle s’agenouiller à mes côtés, la bouche ouverte pour recevoir, elle aussi sa part de douche dorée.
J’en ai partout, je suis dégoulinant de pisse. Katia se recule et Gino prend sa place. Sans hésiter je mets sa bite dans ma bouche.
Hum ! Qu’elle est bonne cette bite ! Je m’en régale, perfectionnant ma méthode, lèvres enserrant la couronne et langue titillant le gland, les testicules m’intéressent moins, mais je les lèchent néanmoins quand il me le demande. Quand au trou du cul dans lequel il souhaite également la présence de ma langue, j’accepte de le lécher plus par perversité que par goût.
Pendant ce temps, Isabelle a entrepris de caresser Katia qui complètement passive, se laisse embrasser sur la bouche, téter les tétons, et mettre un doigt dans le cul. Elle ne proteste pour la forme que quand elle le masturbe.
– Monsieur Gino ne veut pas que je jouisse !
– Il est méchant !
Gino m’a fait me retourner. Je suis prêt à le recevoir. Il me tartine le trou de balle d’un peu de gel intime, puis ose un doigt.
– C’est serré ! Constate-t-il
– C’est que je ne fais ça que depuis peu de temps.
Et hop ! Sa bite entre, et du premier coup, il s’enfonce rapidement, me fait mal et se met à coulisser. J’ai failli lui dire d’arrêter, mais la douleur s’estompe au profits de frissons de plaisir. Tout va mieux, je perds la notion du temps, il se retire, il a joui, me laissant le cul béant. J’en n’aurais bien repris quelques minutes. Quel plaisir de se faire enculer ainsi !
Isabelle s’est couchée par terre et se masturbe compulsivement.
– Donne-lui un capote et qu’il vienne me prendre ! Dit-elle à Gino.
C’est donc de moi qu’elle parlait ! Je ne vais pas passer une telle occasion, d’autant que je suis excitée comme une puce. Isabelle se met en levrette et j’approche ma bite de sa chatte.
– Non dans le cul ! Indique-t-elle ! Encule-moi comme une salope !
Ce n’est pas un souci, elle se passe de la mouille sur le trou du cul, ma pine entre toute seule, et je commence des allers retours en cadence. J’essaie de me modérer mais l’excitation est vraiment à son maximum. J’accélère tandis que Madame pousse de petits jappements de plaisirs. Elle jouit du cul comme une malade tandis que mon sperme sort de ma bite. On s’écroule, crevés, je réalise que j’en ai même pas profité pour lui tripoter les nichons; Faut-il que je sois con ?
Isabelle et moi, nous rhabillons, les deux autres zigotos restant à poil. Gino propose que nous buvions une coupe de champagne.
– Euh, je vais peut-être vous laisser, je me suis attardé, il va falloir que je rentre.
– Juste cinq minutes ! Insiste Gino
– Mon chauffeur va te raccompagner en voiture, me propose Isabelle.
Alors allons-y pour cinq minutes. Gino débouche la bouteille et remplis les coupes à moitié, puis il se met à pisser dedans. N’importe quoi ! On trinque, on boit, on discute cinq minutes.
– Vous comprenez, explique Gino, je veux finir de peindre Katia quand elle est folle de désir, afin que son visage et tout son être rayonne de concupiscence. Si elle jouit, ça ne le fera pas ! N’est-ce pas ma bibiche ?
– Oui, monsieur Gino !
– Et qu’est-ce que tu sens-là ? Katia ?
– Je sens votre doigt dans mon petit cul !
– Et ça te plaît !
– Mais bien sûr, monsieur Gino.
On part enfin.
– Au plaisir, tu peux venir te faire enculer quand tu veux, me précise Gino (en oubliant toutefois de me communiquer son numéro de téléphone).
Isabelle et son chauffeur m’ont raccompagné jusqu’à ma porte. Je monte l’escalier, anxieux, j’ai mal au cul et je sais que je vais me prendre une engueulade. Ça ne rate pas :
– C’est quoi ce cirque ? Tu ne sais plus téléphoner tout seul ?
– Je vais t’expliquer…
– Je n’ai pas envie d’écouter tes mensonges.
– Je n’ai pas l’intention de mentir…
Je n’ai pas vu venir la gifle, mais je l’ai encaissé sans rien dire ! Après tout, si ça la défoule !
– C’est tout l’effet que ça te fait ? Demande-t-elle.
– Qu’est-ce que tu veux que je dise ?
– Rien, tu ne me dis, rien, tu m’énerves, tu m’énerves, tu m’énerves, mais tu m’énerves.
Et paf, deuxième gifle !
– Assis-toi, je vais te dire quelque chose !
Je m’assois
– Bon ! Récapitulons ! Je ne suis pas jalouse ! On a toujours dis qu’on tolérerait nos écarts réciproques à condition que personne ne se foute de la gueule de l’autre. Et ce soir tu t’es foutu de ma gueule !
– Muriel !
– Ferme là où je t’en fous une autre ! On a fait une erreur en allant dans ce club.
– Et bien, on y retournera plus !
Et paf encore une gifle ! Je décide de me taire.
– Si on y retournera, j’y ai pris goût, j’ai aimé sucer plein de bites, j’ai aimé me faire défoncer et je vais te dire : j’ai adoré te voir sucer des bites et de faire enculer ! La seule erreur qu’on a fait c’est de prendre des contacts, la prochaine fois, une fois partis on ne connaîtra plus personne ! Ben alors tu ne dis rien ?
– Je croyais qu’il ne fallait pas que je cause ?
– T’es d’accord ou pas ?
– Mais bien sûr que je suis d’accord !
– Et ça veut dire que toutes les personnes qu’on a rencontrés là-bas, on les oublie. Et on les oublie tous, y compris et surtout ta pétasse. Sinon notre couple va partir en sucette !
Bon finalement le discours est conciliant, on va faire comme elle a dit, ça devrait aller.
– Bon, c’est fini, on est d’accord, tu me fais un bisou ! Proposais-je.
– Tu crois pas que c’est un peu facile, non. Et si je te flanquais une bonne série de coups de martinet ? Oui c’est une bonne idée, ça ! Déshabille-toi et va chercher le martinet.
Super ! La punition expiatoire ! En plus ce ne sera pas une corvée ! Je fais comme elle a dit.
– Mets-toi à quatre pattes par terre.
Sans crier gare, la voilà qui m’adresse plusieurs coups à la volée, c’est qu’elle frappe fort, cette salope ! Après une vingtaine de coups, elle s’arrête :
– Ne bouge pas ! Reste comme tu es ! Et maintenant tu vas me raconter ce que tu as fait avec ta poufiasse.
à suivre
Décidemment l’atuer nous invite à le suivre dans tous les chemins de la perversité ! Bravo !
Le bitophile que je suis ne pouvait qu’apprécier cet épisode très bien raconté
J’aime bien quand il y a de la bite et que c’est joliment raconté
Episode croustillant
Ce petit intermède « gay et travesti » dans les aventures de ce couple coquin, est tout à fait émoustillant