Les tapineuses de la route par Hyrem32 – chapitre 1 – Adeline
Cette histoire est arrivée il y a quelques années. J’étais commercial dans une boite de second œuvre du bâtiment, marié, 2 enfants, une vie rangée en quelque sorte, sauf peut-être cette habitude d’aller me faire sucer par des prostitués à l’occasion d’évènements positifs pour moi, une belle vente ou une promotion par exemple. Rien de compulsif mais une agréable récréation.
Hé oui j’avoue. J’aime particulièrement me faire sucer, et avec des pros, je n’ai pas l’impression de tromper ma femme. J’avais ainsi trouvé une sorte d’équilibre.
Bref.
J’habitais dans le sud de la France, et je connaissais quelques petites routes bien fréquentées. Ce vendredi, je venais juste de recevoir ma nouvelle voiture de fonction, et quoi de plus naturel que de fêter ça ? Donc je pris la direction d’un petit coin sympa. Il faisait chaud et beau, on entendait les cigales..
Après avoir fait un aller et retour rapide sur cette route, j’ai repéré quelques demoiselles, toute jolies et court vêtue, qui ferai très bien mon affaire en cette fin d’après-midi. Je m’arrête donc derrière une voiture, la fille est penchée à la portière, surement en train de détailler ses prestations. Elle porte un mini short et des bottes façon cuissardes et un petit haut en jeans. De là ou je suis, il faut avouer que sa silhouette est superbe, et je sens monter en moi cette excitation bien particulière, prélude à chacune de mes rencontres.
Voilà elle se relève, l’affaire ne s’est pas conclue. Petit coup d’œil dans le rétroviseur, j’avance la voiture tout en baissant la vitre passager.
– Bonjour, c’est 50 euros la……..
Et là, le choc mutuel ! A la même seconde, nous venons de nous reconnaitre.
Adeline, une amie de ma fille, penchée à ma portière, une poitrine à moitié offerte soutenue par un soutien-gorge rouge. Adeline qui doit avoir 20 ans, comme ma fille, et que je connais depuis des années. Vous dire exactement tout ce qui me passe par la tête à cette seconde est impossible. Un mélange d’excitation je l’avoue, de gêne aussi, de curiosité, de surprise bien sûr. C’est un choc dans ma tête, tout se bouscule. Un vrai bordel !
– Bonjour Monsieur Martin.
Voilà, la messe est dite. Trop tard pour reculer. Je suis grillé, mais grillé de chez grillé.
– Monte !
C’est moi qui ai dit ça ? Je ne réfléchis plus, je suis en mode reflexe.
Et la comme dans un film, la portière qui s’ouvre, ma passagère qui s’assoit, ses cuisses découvertes entre le short et les cuissardes. Nos regards qui se fuient .
– Prenez le petit chemin à droite là. Là c’est bien garez-vous.
Sa voix est fluette, timide, gênée. On sent à la fois ce malaise, et une force de caractère qui l’oblige à faire face à cette situation inattendue. C’est elle qui décide, qui mène le jeu.
– Bon, la situation est un peu glauque, mais on est chacun là pour quelque choses non ? dit-elle avec un ton agressif.
Elle s’est tournée vers moi. 20 ans, brune, assez grande, ses seins qui semblent vouloir s’échapper de ce petit haut, bien ronds, opulent. Un visage fin, des lèvres ourlées juste comme il faut, luisante de gloss. Deux yeux titrant sur les gris, provocateurs, fiers.
Elle est là, offerte contre un billet de 50, et moi qui commence à reprendre mes esprits. Mon trouble se transformant en quelque chose de plus excitant, vicieux, comme si mes plus bas instincts remontaient soudainement à la surface. Vous savez ces moments où Monsieur Hyde remplace le docteur Jekyll.
– Tu as raison… tiens tes 50, mais t’enlève ton haut.
L’échange est froid, mécanique, une bête transaction commerciale, sans chaleur. L’accord est tacite, non exprimé. Nos silences respectifs sur cet épisode contre une neutralité mutuelle. Je paye, tu suces on oublie.
Sans un mot elle fait glisser son haut, enlève son soutien-gorge, dont elle n’a pas besoin franchement. Moi je recule mon siège, j’ouvre mon pantalon, le baisse, ainsi que mon caleçon. Elle ne dit pas un mot et se penche, écrasant ses seins contre ma cuisse.
J’ai fermé les yeux, les images se bousculent dans ma tête. Les différentes femmes qui m’ont sucées, enfin celles dont je veux bien me rappeler, puis son souffle sur mon gland à moitié dur, et la douceur de sa langue, la chaleur de sa bouche.
Plus rien n’existe à ce moment que cette chaleur, que ma main qui se pose sur son dos, la souplesse de sa peau, sa douceur. Puis, petit à petit, la réalité qui refait surface. Sa bouche qui monte et descend sur ma queue qui se dresse maintenant bien raide. Ma main qui remonte sur sa nuque.
– Oui va y pompe moi bien !
– Hummm t’aimes ça, hein ?
J’impose le rythme, plus lent, j’ai juste envie que ça dure.
Sa douce main caresse mes couilles, une vraie pro. Depuis combien de temps avale-t-elle des bites comme ça? Pourquoi le fait-elle ? Ma main file sur ses seins, que je commence à malaxer. Elle grogne un peu, ses tétons sont durs. La situation l’excite ou c’est juste une réponse physique à ma caresse ?
Et puis merde après tout je suis venu me faire vider les couilles. J’accélère le rythme, ma main se crispe sur son sein. Je sens ce divin picotement, dans un éclair je prends conscience qu’on a même pas mis de capote… trop tard. Ma semence monte, éclate, j’appuis sur sa tête poussant un grognement animal. Les jets se succèdent dans une éjaculation particulièrement abondante. Je sens la contraction de sa gorge quand elle avale, ses lèvres bien serrées sur ma tige, sa langue qui se promène sur mon gland hyper sensible. Les secondes s’écoulent, le temps se calme, elle dégluti une dernière fois, et se relève.
Et là, en une demi-seconde, son visage perd toute expression, se fige. Le sang semble refluer de ses joues, ses lèvres s’entrouvrent. Son regard se perd au dehors. Je tourne la tête dans la même direction. A quelques mètres, une autre fille descend d’une camionnette, petite jupe écossaise, des grandes chaussettes beiges qui montent à moitié cuisse, un caraco en coton blanc qu’elle reboutonne. Blonde, jolie comme un cœur… C’est ma fille Virginie. !
Ce texte a été retrouvé dans sa rédaction d’origine, publié sous le titre « Du paradis a l’enfer » nous l’avons ici juste corrigé de quelques fautes mineures. Il comportait une suite que nous n’avons pas publié, étant non conforme à notre charte (il était question de chantage…) Nous avons demandé à Enzo de nous rédiger une suite inédite : Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie | Vassilia, planète mauve
Sur le même thème (ou presque) on a eu un film « Le voyage du père » Un mélo de Denys de la Patellière – 1966) avec Fernandel qui pleurniche
Ça va faire grincer quelques dents ! Je me marre !
En voilà une fin surprise ! Mais il y a une suite.