Les souvenirs de Didi
1 – Le sperme du bûcheron
par Didi du Québec
Je suis une Québécoise retraitée de 58 ans. Je travaillais comme infirmière auxiliaire dans un centre hospitalier. J’aime bien raconter mes récits de mes premières expériences sexuelles avec ses découvertes !!!!
J’ai toujours été fascinée par les hommes et en particulier leurs pénis ainsi que le sperme. Déjà, à la fin de mon adolescence, je me laissais tripoter par les gars, car j’avais la poitrine fortement développée pour mon âge et en retour je pouvais explorer leur pénis.
Un jour que je caressais un gars un peu plus âgé, un phénomène extraordinaire s’est produit, son sexe a durci comme d’habitude, mais voilà que la petite fente au sommet s’est entrouverte et un épais liquide blanchâtre en est sorti. J’étais toute énervée, car je croyais que je l’avais blessé, mais j’ai vite compris que ça lui procurait la plus grande des satisfactions… Et voilà qu’il m’expliqua ce qu’il arrive aux gars quand les femmes les excitent un peu trop. J’étais fascinée et éberluée en voyant ce merveilleux liquide sortir de ses sexes bien bandés…
Je n’allais pas en rester là et voilà que j’ai développé une espèce de fétichisme pour tous les genres de pénis, ainsi que leurs capacités à éjaculer…. Ceci c’est produit voilà plus de 40 ans et j’en suis toute excitée juste à écrire ce texte et en me remémorant ces délicieux souvenirs.
Un autre de mes précieux souvenirs me revient en mémoire, durant mes stages à l’Hôpital comme infirmière auxiliaire.
Notre garde en chef de l’étage, nouvellement arrivée, était « laïc », ce qui faisait un gros changement d’avec la dernière qui était une religieuse un peu trop stricte sur la discipline. Je savais que notre garde en chef se faisait tripoter et avait aussi des contacts sexuels avec certains médecins, et aussi avec du personnel hospitalier, et c’est pour cela qu’elle a fermé les yeux sur certaines pratiques que je faisais sur mes patients.
Dans le milieu des soins de santé, nous avions à faire face à toutes sortes de situations et à vivre avec la mort et avec des situations assez pénibles à vivre…. C’est pour cela que je pouvais rester après mes heures de travail pour tenir compagnie à certains de mes patients. Il y’en a un dont je me souviens le plus car ce fut le premier que j’ai masturbé pour lui venir en aide de sa tension sexuelle!!!! Il devait avoir un peu plus de 30 ans et avait eu un gros accident en forêt, car il travaillait comme bûcheron; résultat, les deux jambes cassées et une épaule disloquée, ce qui faisait que je pouvais le contrôler à ma volonté.
Une soirée où l’on discutait de choses et d’autres, la discussion a dévié sur la sexualité. Il faut dire que je l’avais un peu provoqué avec mon décolleté qui laissait voir le haut de mes gros seins et la dentelle du soutien-gorge…. Je vois encore ses cheveux noirs frisés et aussi ses grands yeux bruns, et il me suppliait, que ce n’était plus soutenable ce qu’il lui arrivait, et voilà qu’il sortit son beau pénis non circoncis de son pyjama, et qu’il en avait les larmes aux yeux. Il me demanda de l’aider à le *crosser* (masturber) car il n’en pouvait plus de ne pas avoir de sexualité….
J’avais les joues rouges et en même temps, j’étais anxieuse de pouvoir l’aider. Alors, avec ma main je pris fermement son pénis et j’étais étonnée par sa rigidité et je pouvais sentir le sang passer et je sentais ses battements de cœur se propager dans sa queue. Comme il était allongé dans le lit, il tira sa tête vers l’arrière et poussa de grandes respirations. Je fis de lents mouvements du haut vers le bas et je décalottai complètement sa verge. Comme j’étais assise sur le bord du lit, je pouvais frotter mon sexe sur le bord de la barre de protection et ceci me procurait du plaisir en double !!!
A force de faire ses mouvements, il arriva qu’il éjacula en trois ou quatre saccades et pas mal haut en l’air, avec une grosse quantité de sperme, ce qu’il lui fit lâcher un cri de jouissance assez fort. J’étais fascinée par l’éjaculation et aussi le ramollissement très lent de son sexe et aussi son état de semi-érection, une petite quantité de sperme est sortie encore une fois. Mon patient a été très satisfait de moi et c’est ainsi que presque tous les jours et parfois à plusieurs reprises dans la journée je lui prodiguais cette merveilleuse caresse de la masturbation et, à une seule reprise, il me demanda de lui faire une fellation. Mais j’aimais moins ça, car je ne pouvais pas voir le sperme monter dans les airs et retomber doucement sur mes mains comme une précieuse lotion pour ma peau.
Après que mon patient a reçu son congé, j’ai répété mes expériences avec, sans me vanter, avec au moins une centaine d’autres patients et avec une grande variété de pénis. Des non circoncis, circoncis, dilatés etc. etc. Aussi, des formes de pénis en longueurs et diamètres variés, ainsi que la consistance du sperme, du très très épais à celui fluide comme de l’eau.
Parfois je mangeais ce précieux liquide et parfois je frottais mes seins avec et je peux confirmer que c’est en masturbant les hommes que je pouvais les contrôler au doigt et à l’œil. Tous mes précieux souvenirs remontent durant mes stages, mais pendant que j’étais reçu comme infirmière auxiliaire j’allais découvrir de plus en plus d’aventures sexuelles et que j’aimerais bien vous raconter dans de prochaines épisodes.
Didi la retraitée du Québec
première publication sur le site de revebebe en 2005
Oufff! j’aimerais etre le burcheron Hummm 😉
contente que tu aimes mon récit vécu…. si tu veux; on pourrais s’écrire par é-mail via mon adresse personnele à = didivalley_13@hotmail.com
j’ai beaucoup dematériels croustillants en stock pour échanger….
xxxxx Diane la perverse & vicieuse de retraitée Québécoise de 68 ans
J’adore ton récit vécue…. si tu veux ; on va se partager nos souvenirs.. xxxx Doris
merci ma chérie…. xxxxxxwww.miasanswww.miasansdessous.comdessous.com