Les chasses du Comte Absalon par Firmin Dumigron

Les chasses du Comte Absalon par Firmin Dumigron

Laissez-moi vous raconter cette délicieuse journée de débauche !.

Ah ! il convient que je me présente ! Je me prénomme Romuald, quarante ans, rentier, vivant en ménage avec Stéphanie.

Disons-le carrément, Stéphanie est une salope. Elle a de gros nichons et suce avec un savoir faire à couper le souffle, et ne manque pas d’en faire profiter mes amis. Son trou du cul est aussi accueillant qu’un syndicat d’initiative et elle se prête à tous mes jeux. Quand j’estime qu’elle n’a pas été sage, je la fouette, je la bondage, de toute façon elle adore ça !

Nous fréquentons les milieux libertins dans lesquelles se déroulent des partouzes souvent savoureuses, rarement décevantes.

Ce jour-là le Comte Boussemart de Voltran (ne cherchez pas, le nom a été changé) avait organisé une rencontre géante dans sa grande propriété du Val-Noisette. Pensez donc 18 couples ! Rien que ça !

Après que tous les invités soient arrivés, on ferma les grilles et le comte nous proposa un jeu divertissant qu’il intitula avec toute la poésie qui le caractérise « un lâcher de salope »

Le jeu se joue nu, mais nous gardons nos chaussures. On distribue à chaque homme un collier auquel est suspendu un feutre marqueur. (nous verrons pourquoi…) Ces dames sont invités à aller se cacher dans le sous-bois de la propriété. Les hommes seront « lâchés » un quart d’heure plus tard et devront s’efforcer de les rattraper..

Chaque femme rattrapé par un homme devra se laisser faire et accepter une pénétration ou une fellation puis sera marqué au bras avec le feutre. L’homme se marquera à son tour

Le femme la plus marquée sera fouettée devant tout le monde et se doit de préciser le comte « ne craigniez rien, mesdames, la punition sera dure, mais il n’entre pas dans nos intentions de vous abimer, cela doit rester un jeu.

L’homme qui sera le moins marqué aura pour gage d’être sodomisé devant tout le monde par un vit qu’il aura préalablement pris en bouche.

On demande à l’assistance si elle est d’accord. Deux couples se dégonflent. J’ignore où ils sont partis.

Le jeu peut commencer, ces dames courent vers le sous-bois, certaines était venues en escarpin, les pauvres, cela ne va surement pas les aider.

Un quart d’heure plus tard, le comte donne le signal de la poursuite. Imaginez seize gaillards, nus et la bite à l’air s’élançant comme des faunes en rut.

Le sous-bois ne permet pas énormément de cache, j’aperçois ma femme qui se fait alpaguer par un bellâtre. Elle se met en levrette par reflexe offrant son cul de déesse aux assaut du mâle. Joli spectacle qui me fait bander. L’homme excité comme un pou multipliait les coups de butoir faisant à chaque mouvement balloter les nichons de ma compagne et lui faisant pousser des miaulements de plaisir..

Je serais bien resté à regarder, mais il me fallait aussi jouer le jeu, j’avais ne jolie rousse finissant de gober la bite de son partenaire, ses lèvres dégoulinant de sperme. Elle se redresse m’aperçoit et tente de s’enfuir, mais gênée par ses hauts-talons, elle ne peut aller bien loin. Je la rattrape facilement et l’immobilise, elle se laisse faire et je la caresse, la plote et la doigte avant de la baiser.
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Je lui marque le bras avec mon feutre et j’oublie (volontairement) de me marquer moi-même.

J’aurais du me retenir de jouir, je n’ai plus 20 ans et j’ai besoin d’un temps de récupération pour recommencer. Alors je chemine dans le sous-bois dans lequel le gazouillement des petits oiseaux est remplacé par les râles de plaisir de la meute des partouzeurs.

Je crois de nouveau mon épouse qui se fait baiser tout en suçant une autre larron. Je regarde son bras, elle a déjà trois marque de feutre, avec ces deux là on va arriver à cinq… et peut-être davantage…

Mais un coup de sifflet strident annonce la fin du jeu. Nous sortons tous du sous-bois pour rejoindre le perron de la propriété.

Le comte nous fait lever les bras et compte les marques. Notre couple s’est distingué, Cinq marques pour Stéphanie, et aucune marque pour moi (puisque j’ai triché)

On demande à deux hommes de servir d’officiant afin d’attacher Stéphanie contre une sorte de portique, puis l’un des deux se saisit d’un fouet à lanières multiples et nous offre le charmant spectacle du fessier de mon épouse qui rougit sous les coups..

Puis le comte prend la parole et m’indique que je suis dispensé de gage, la tricherie paraissant manifeste.

M’en voilà contrit, mais alors qu’on nous propose de nous diriger vers le buffet, un des participan s’approche discrètement de moi et m’indique qu’il peut me donner mon gage.

Sa bite était délicieuse, et il m’a enculé avec fougue

Fin

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2 réponses à Les chasses du Comte Absalon par Firmin Dumigron

  1. Breton dit :

    Le concept est intéressant, mais il faut posséder un grand terrain

  2. Roques dit :

    Version porno des chasses du comte Zaroff

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