L’entrée de l’hiver 4 – Anne par Lovelace

L’entrée de l’hiver
4 – Anne
par Lovelace

Anne

Le réveil est difficile. Un peu en raison de la gueule de bois, normal avec tout ce qu’on a éclusé ! Pas trop mal au crâne, mais plutôt vaseux, fatigués, chancelants. Par contre la douleur, enfin plus une gêne qu’une véritable douleur, c’est dans le cul et le sexe que nous l’avons !

Je descends mettre le café à couler avant toute autre chose. Puis remonte me doucher pendant que la cafetière filtre le nectar bienfaiteur.

Je finis ma première tasse, lorsqu’apparaît Viviane, enveloppée dans une serviette de bain.

– Bonjour, comment vas-tu ?
– La tête dans le cul, comme on dit en Bretagne ! Mais ce qui me gêne surtout, c’est le bout de mon sexe.
– Fais-voir, me demande-t-elle, approche.

Je me présente devant elle, elle s’accroupit devant moi, décalotte le gland et l’inspecte. Après tout elle est chirurgien, donc toubib !

– De bon matin et avant le café ! Ça devient une maladie ! S’exclame Alice qui arrive au même moment avec Pierre.
– Ce n’est pas ce que tu crois !
– Je ne crois que ce que je vois ! Et là, pas besoin d’un dessin

Il est vrai que voir une femme accroupie devant un homme et tenant sa queue à la main !

– En fait, dit Viviane, j’inspecte sa verge. Monsieur est irrité tout autour de la base du gland. Probablement à cause de la surconsommation et surtout à mon avis de l’utilisation du gode creux.
– Ho, merde ! Il peut quand même servir ?
– Il vaudrait mieux qu’il ait au moins une journée de repos; mais après mon café j’irai chercher quelque chose de radical à la pharmacie. Et j’en prendrai aussi pour nous, Alice, je ne sais pas comment tu te sens, mais moi, je vais avoir du mal à m’asseoir !
– Oui, moi aussi ! On y est allé fort, cette nuit !
– Pendant qu’on dormait ? Demandé-je.
– Oui ! On a essayé à peu près tout ce qui se trouve dans la malle.
– Y compris le baobab ? (c’est le surnom qu’on a donné à un énorme gode qu’on utilise du reste jamais)
– Oui ! Et je te dis pas où !
– Mais vous êtes complètement folles ! S’écrie Pierre.
– Tu dormais à points fermés, on n’allait quand même pas te réveiller ! Lui répond Viviane en riant.

Sur ce, Viviane se rhabille vite fait et sort acheter les médicaments. Nous décidons de ranger les reliefs de la soirée. Drôle de voir trois ahuris, à poil, faire du ménage ! Pierre s’éclipse vers les toilettes, nous enfilons un vêtement. Il est un peu plus de dix heures, lorsque la sonnerie retentit.

– Viviane est déjà de retour ?
– Ça m’étonnerait et puis elle a le code ! Me répond Alice. Je vais voir.
– Qui est là, demande-t-elle à l’interphone.
– C’est Anne, l’assistante de Bernard.
– Je vous ouvre, entrez !

Elle traverse en courant du portail à la porte d’entrée, il pleut averse, et se présente devant Alice comme un caniche mouillé.

– Bernard est parti un peu précipitamment vendredi, il a oublié ses affaires et je les rapportais au cas où il en aurait eu besoin.

Quel zèle !

– C’est gentil à vous, entrez donc quelques instants. Bernard, c’est Anne.
– Bonjour Anne, que se passe-t-il ?
– Je ne passai pas très loin d’ici, alors je vous ai ramené vos affaires que vous aviez oublié au bureau.
– C’est très gentil, merci beaucoup.

Nous sommes dans le hall d’entrée, elle tourne le dos à l’escalier; à ce moment, voilà notre Pierre qui déboule en trombe toujours à poil. Le bruit fait se retourner Anne qui se retrouve avec le sexe de Pierre à hauteur des yeux.

– Ho, pardon, dit Pierre, je croyais que c’était Viviane qui était revenue !
– Heu, je…, pardon, désolée, bafouille Anne, rouge comme une pivoine, en portant la main devant sa bouche.
– Pas d’affolement, lui dis-je, c’est mon ami Pierre.
– Enchantée, Heu… je vous laisse ! Excusez-moi de vous avoir dérangés !
– Mais non, mais non, l’interrompt Alice, venez dans le séjour, j’ai du café tout chaud à vous proposer ou du thé, si vous préférez ?
– Merci, madame, mais…
– Allez, allez, pas de chichis, et je m’appelle Alice lui dit-elle en la prenant par le bras pour l’éloigner de la vision de Pierre, qui joue un peu beaucoup de la gêne de la jeune femme.

Elle lui prend son imper et la fait s’asseoir dans un fauteuil près de la cheminée.

– Alors c’est vous, la fameuse Anne !
– Oui, pourquoi ?
– Je suis contente de mettre un visage sur une conquête de mon mari !
– Ho, heu, mais ce n’est pas ce que vous, enfin, je… décidément, la pauvre ne sait plus où se mettre, d’abord la vision du chibre de Pierre, maintenant Alice qui l’aborde très directement, c’en est trop pour elle !
– Calmez-vous, je ne vais pas vous manger ! Mais n’oubliez pas que cet été, il m’avait prévenu devant vous au téléphone.
– C’est vrai, mais depuis…
– Depuis il ne s’est rien passé, parce que nous avons un pacte, Bernard et moi. Nous sommes libertins et nous avons décidé depuis que nous nous connaissons de ne rien faire l’un sans l’autre.
– Mais vous savez, il n’avait pas été jusqu’au bout !
– Ho ! Je m’en doute bien ! Vous ne savez pas tout; Bernard est un adepte du Tantrisme, et il peut jouir 10 fois par jour sans avoir une seule éjaculation ! En outre son premier plaisir c’est d’en donner. J’espère que ça a été le cas pour vous !
– Ho, oui ! C’était formidable.

Je reviens dans le séjour à ce moment pour récupérer les affaires que Pierre avait laissées dans un canapé.

– J’arrive, je porte son pantalon à Pierre et je reviens. J’espère que vous n’avez pas eu peur, Anne !
– C’est vrai qu’il est impressionnant !
– Vous n’en aviez pas encore vu un comme ça ? Demande Alice.
– Non, je savais que ça existait, on parle beaucoup des noirs.
– Et bien, vous voyez, il n’y a pas que les blacks qui peuvent être bien montés !
– Me revoici, dis-je en entrant dans le salon. Alors de quoi parliez-vous ?
– De ta goujaterie vis à vis de cette demoiselle ! Me lance Alice.
– Je ne l’ai pas laissée sur sa faim !
– Si, elle aurait aimé que tu éjacules, lorsque tu lui a fais l’amour au bureau !
– Madame, pardon, Alice, vous me gênez, vous parlez de ça comme de la couleur d’une robe dans la vitrine d’un magasin !
– Ne vous offusquez pas, nous parlons très librement de sexe dans cette maison, je vous l’ai dit nous sommes libertins.
– Excusez-moi, je ne suis pas habituée, en fait c’est la première fois que je rencontre des gens comme vous.
– Et bien, Anne, voulez-vous que nous reprenions les choses où nous les avions laissées au mois d’août ? Sauf que ce sera ici, tous ensembles !
– Je ne sais pas, je n’ai jamais pratiqué ça.
– Vous verrez, c’est très agréable et très excitant. Et puis vous aurez ainsi une expérience nouvelle !
– Allez, dites oui, insiste Alice. D’ailleurs, vous n’avez qu’à rester avec nous ce week-end, plus on est de fous, plus on rit !
– Mais c’est que j’avais prévu de faire des courses et de ranger chez moi, vous savez je n’ai que deux jours dans la semaine pour tout faire.
– Vous n’avez pas un ami ?
– Non, je vis seule depuis le mois de mai.
– Alors a fortiori pour prendre du bon temps ! Allez restez !
– Écoutez, je veux bien revenir, mais il faut vraiment que j’aille faire des courses. Je reviendrai ce soir.
– Faites ce que vous avez à faire et revenez dès que vous serez prête ! Mais ne vous défilez pas !
– Je vous le promets. Alors à tout à l’heure ? Dit-elle en se levant.
– À tout à l’heure ! Je vous raccompagne.

Au moment où elles atteignent la porte, Viviane revient de la pharmacie.

– Tu arrives bien lui dit Alice, je te présente Anne, l’assistante de Bernard
– Enchantée, alors c’est vous la jolie jeune femme qui dévergonde son patron !
– Décidément ! Tout le monde est au courant de l’aventure !
– Je vous l’ai dit, Anne, nous n’avons aucun secret entre nous !

– J’espère que j’aurai le plaisir de vous revoir ! Lui dit Viviane avec un petit sourire charmeur.
– Elle nous revient tout à l’heure pour finir le week-end avec nous !
– Génial ! Alors à tout à l’heure. Je vais soigner ces messieurs, pendant ce temps !
– Ils sont malades ? Demande candidement Anne.
– Si on veut ! Disons qu’ils ont abusé des bonnes choses. On vous racontera ça ce soir !

La séparation se fait et Viviane nous réunit dans le salon où elle étale, sur la table basse devant la cheminée, les boîtes de médicaments.

– Allez, les gars, à poil !

Chacun notre tour avons droit à une inspection en règle. Elle nous décalotte, enduit le gland d’une crème qu’elle applique également sur la muqueuse anale. Puis elle s’occupe d’Alice et lui applique également un onguent sur la vulve et l’anus et demande à Alice de lui prodiguer le même soin.

– Normalement, nous devrions être d’attaque d’ici 5 ou 6 heures.
– Hé bien ! En attendant, nous allons nous préparer un bon repas, ça nous fera du bien.
– Qu’est-ce que tu proposes ?
– Une petite blanquette ?
– Super, j’adore ça !

Chacun s’occupe d’aider à la préparation du déjeuner, soit en cuisine, soit à mettre la table. Il est vite midi et nous nous retrouvons autour de la cheminée, pour l’apéritif en attendant que la cuisson se termine.

– Elle est mignonne, ton assistante, me dit Pierre, je comprends que tu aies craqué !
– Oui, je dois dire que j’ai fait un bon recrutement; jolie et efficace !
– Et serviable avec ça ! Il n’y en pas beaucoup qui se seraient préoccupé de te ramener tes affaires un samedi de surcroît. Renchérit Alice.
– Elle ne semble pas avoir froid aux yeux, non plus intervient Viviane.
– Un peu timide, mais je suis sûre que quand elle osera se lâcher, ce sera une sacrée !
– Oui, je la sens aussi un peu comme ça, dit Pierre. En tout cas je lui ai fait forte impression !
– Pourquoi, tu as dit quoi ? Demande Viviane qui ne sait pas ce qui s’est passé.
– En fait ton mari s’est présenté à elle dans le plus simple appareil, tu imagines !
– T’es pas bien toi !
– Je ne pouvais pas savoir ! Je croyais que c’était toi qui étais rentrée de la pharmacie.
– Alors tu comprends que la pauvre, quand elle s’est retournée vers l’escalier et qu’elle est tombée nez à nez avec la queue de ton mec, ça lui a fait un choc !
– Tu m’étonnes !

On se marre de la situation, on imagine des scénarios divers où il pourrait s’exhiber pour faire peur ou étonner. Sur le sujet, nous sommes intarissables.

Après déjeuner, le café pris, nous sombrons tous dans une sorte de léthargie, semi sieste bienfaitrice. C’est la sonnerie du portail qui nous en sort. Il est environ 16 heures.

– Voilà notre jeune invitée qui arrive lance Alice. Finalement elle ne s’est pas défilée et même elle s’est dépêchée de nous rejoindre !

Effectivement, c’est bien Anne qui arrive, encore une fois détrempée par les trombes d’eau qui s’abattent en cette période de Toussaint.

– Bienvenue, entrez vite. Il fait vraiment un temps de chien.
– Oui, je suis trempée !
– Venez vous sécher au coin du feu, on a une bonne flambée en route.

Elle entre dans le salon et marque un temps d’arrêt.

– Je vois que vous êtes encore avec vos amis, j’arrive peut-être trop tôt !
– Non, non, pas de problème, nos amis restent aussi pour le week-end.
– Oui, nous avons décidé de nous taper l’incruste ! Mais approchez du feu, il faut vous sécher sinon vous allez attraper la crève ! Enlevez donc vos habits mouillés, ne restez pas comme ça.
– C’est que…commence-t-elle à bafouiller.

– Allons, pas de salamalecs ! Coupais-je; mettez vous à l’aise, ne soyez pas gênée; vous vous sentirez mieux après, vous verrez.

Elle commence par ôter ses escarpins et un joli cache cœur en cachemire. Elle porte une jupe à godets, grise et un chemisier en dentelle écrue. Le bout de ses seins pointe à travers le fin tissu. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle a bien raison de ne pas enfermer de si jolis seins.

– Votre jupe aussi est toute mouillée, ôtez la donc, l’invite Viviane.

Malgré une nouvelle hésitation, elle se soumet. Défait la fermeture éclair et laisse tomber le tissu qui révèle de jolies jambes, fines, enveloppées dans des bas gris et de belles fesses rondes mises en valeur par un brésilien. Elle s’est habillée sexy la coquine !

– Très joli tout ça dites-moi ! Lance Alice
– Merci, répond-elle simplement.
– Donnez vos affaires on va les faire sécher. Mais vous êtes encore bien bronzée, ce sont les restes de l’été ou bien vous faites des UV ?
– Un peu des deux. En fait je vais dans une salle de sport pour entretenir ma forme et de temps en temps, comme ils sont équipés, je fais une séance pour entretenir le hâle de l’été.
– Voulez-vous que je vous prête un peignoir ?
– Je ne voudrais pas abuser ! Mais si ça ne vous dérange pas, je pourrais enlever aussi mon chemisier, comme ça.
– Venez, vous choisirez.

Elle suit Alice en direction de son dressing.

– Dis donc, c’est un petit canon cette nana ! Me dit Pierre.
– Hé ! Calme-toi ! Lui répond Viviane; elle est jolie, mais bon ! Y’a pas de quoi en faire un fromage !
– Hou ! La jalouse !
– Je ne suis pas jalouse ! Elle est jolie et elle me plait ! Mais saura-t-elle vous donner autant de plaisir que nous ?
– Ça, c’est autre chose ! Et je pense, sans m’avancer que ce sera difficile; la barre est haute ! En plus elle m’a l’air d’avoir quelques tabous. Il y aura peut-être bien des pans de murs à faire tomber !
– Nous sommes là pour ça, dit Viviane; si elle est coincée sur certaines choses, à nous de la libérer.

Alice revient sur ces entrefaites, accompagnée d’Anne, enveloppée dans un peignoir en soie rouge qui lui va à ravir. Elle a entendu la dernière phrase de Viviane et lance à Anne :

– Vous voici en présence de vos formateurs ! À vous d’être une bonne élève !
– Je ferai de mon mieux, Alice ! Dit-elle, sur un ton mutin.

Apparemment elle rentre dans le jeu. Ce qui ne me surprend pas plus que ça, quand je pense comment elle m’avait allumé l’été dernier.

– Vous serez l’objet de tous nos soins aujourd’hui. Voulez-vous que nous commencions par vous préparer ?
– Me préparer ? Qu’entendez-vous par là ?
– Il faut que vous soyez détendue afin de nous recevoir dans les meilleures conditions possibles. Venez !

Alice l’emmène vers le salon de toilette. Elles reviennent dix minutes plus tard, Anne n’a déjà plus le même air timide du début. Alice a dû lui faire subir le traditionnel lavement et l’enduire de lubrifiant.

Pendant ce temps, nous avons déplacé la table basse de devant la cheminée afin de lui faire de la place. Nos quatre fauteuils étant placés autour du tapis où nous souhaitons la voir installée. Alice l’y conduit, Anne s’agenouille face à nous. Comme souvent, Alice organise la scène en parfaite maîtresse ! Anne semble avoir compris le jeu et se soumet.

– Montrez-nous tout ! Otez votre peignoir ! Lui ordonne-t-elle gentiment mais fermement.
– Bien, Alice !

Elle défait le nœud de la ceinture et laisse glisser doucement le tissu sur ses épaules et le long de ses bras. Le peignoir gît maintenant sur le tapis, tout autour d’elle. Ses petits seins en poire pointent en notre direction.

– Très bien ! Maintenant, asseyez-vous sur les fesses et écartez les jambes.

Elle s’exécute et expose à nos regards intéressés son entrejambe parfaitement épilé. Le sexe est bombé, bien ferme, comme le souvenir que j’en avais d’un bel abricot bien mûr !

– Merveilleux ! Vous êtes vraiment très jolie Anne.
– Merci, Alice, je vous plais donc à tous ?

Elle reçoit un oui d’approbation unanime et s’en réjouit.

– Vous allez vous occuper de rendre ces messieurs utiles !
– Bien sûr; avec plaisir !

Pierre et moi nous levons et ôtons nos vêtements. Je m’approche en premier. Elle prend mon sexe en main, le décalotte et suce le gland du bout de la langue.

– Branlez-le sans le recalotter et ne léchez que le frein et le méat dans un premier temps, ça suffira.

Elle s’exécute et je ne tarde pas à avoir une sacrée érection.

– Bien, maintenant faites la même chose à Pierre.

Rebelote, sauf que là le morceau est beaucoup plus important et qu’elle y met les deux mains ! Elle est ébahie de voir une queue aussi impressionnante, surtout bandée !

– Messieurs rapprochez la table basse, Anne allongez-vous dessus. Bernard et Pierre caressez la !

Nous nous installons chacun d’un côté de ce jeune corps et commençons à caresser simultanément et de façon synchrone la douce peau depuis la base du cou jusqu’à l’aine en nous arrêtant un peu plus longtemps sur les seins. La belle commence à gémir doucement, les yeux mi-clos, elle apprécie vraiment. Pierre remonte se placer derrière sa tête, moi je descends entre ses cuisses et, pendant qu’il lui caresse le haut du corps, j’entreprends de lui lécher la vulve et le clitoris. Je lèche, je grignote, je suce, jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme dans un gémissement plus fort et plus long que ceux qu’elle exprimait jusque là. Pendant que je la caressais avec ma bouche j’ai remarqué que Pierre avait totalement débandé et je sens moi aussi ma queue ramollie. Je ne comprends pas très bien ce qui se passe.

– Bien relevez-vous les gars. Comment ça va Anne.
– Humm ! C’est super ! Deux hommes qui s’occupent de moi, c’est la première fois.
– Et bien maintenant ça va être deux femmes !

Viviane et Alice nous remplacent et nous allons nous asseoir dans nos fauteuils en nous regardant un peu dépités de ce qui nous arrive. Malgré la vision enchanteresse de nos deux femmes donnant du plaisir à une troisième, nos sexes restent désespérément en berne ! Alors qu’au fond de nous, nous sommes excités comme des puces !

– Hooo !, ouiiiii !, c’est génial, houuu ! Je viens, je viens, Haaaaaaaa !

Anne viens de jouir pour la deuxième fois et ça ne nous provoque aucune réaction !

– Viviane, ce ne seraient pas tes médocs qui nous font ça ? Demandé-je.
– Ça, c’est possible, j’ai ce qu’il faut pour réparer ! Je vais chercher ça.

En attendant, Pierre se met entre les jambes d’Anne et tenant sa bite à la base en serrant fort, arrive grâce à la longueur à l’introduire dans le sexe accueillant.

– Hummmm ! C’est bon, oui, vas-y, baises-moi !
– Tiens prends déjà ça en acompte ! Tu aimes ?
– Ho, oui ! J’aime ça, c’est bon.

Finalement, à force de d’aller et retours, sa queue commence à s’allonger et à durcir un peu, en tout cas suffisamment pour qu’Anne le sente.

– Oummff ! Elle est grosse, hou là, là ! Tu m’éclates, c’est trop ! C’est génial !

Viviane revient avec deux seringues.

– Venez ici mes chéris, je vais vous arranger votre faiblesse !

– Elle nous plante la seringue dans la queue et quelques instants plus tard on se retrouve avec une trique d’enfer. Ma queue n’a jamais été aussi grosse, Alice en est surprise.
– Dis-donc, tu devrais m’en laisser de ton médoc, c’est super, qu’est-ce qu’ils bandent !

Et c’est encore plus impressionnant pour Pierre !

– Bernard, prends la petite, et amène la au bout.

Je me place et la besogne jusqu’à ce qu’elle jouisse, ce qui arrive relativement vite, Pierre l’avait bien commencée.

– Ça va toujours Anne ? demande Alice.
– Ho, oui ! C’est vraiment génial. Je prends un super pied et ça m’excite de m’exhiber comme ça devant vous tous, d’être soumise à vos souhaits.
– Tu verras, nous augmenterons nos exigences au fur et à mesure que tu te sentiras plus à l’aise.
– Ho, mais je le suis complètement ! Je suis sûre que vous pouvez me demander n’importe quoi !
– Ok, alors bouffe-moi la chatte, ma chérie, demande-t-elle en se mettant à califourchon au dessus de sa bouche.
– Je vais essayer, c’est la première fois que je pratique un cunnilingus.
– C’est pas plus compliqué que de sucer une bite, c’est même meilleur ! Je vais te guider.
– Allez, vas-y lèche moi les lèvres, bien, suces les maintenant, voilà comme ça, écartes-les avec ta langue et pénètre-moi, oui, c’est ça, c’est bien, allez, branles moi avec ta langue vas-y c’est bon ! Et maintenant lèches moi le clito, suces-le, lèches le allez, vas-y, c’est bon, c’est bon ! Hooo ! Tu me fais du bien, t’arrêtes pas, plus vite, plus vite, tu vas me faire jouir, hooo ! Ouiiiiii ! Je viens, je jouiiiiis !

Alice lâche un jet de foutre dans la bouche d’Anne qui, surprise rejette la tête en arrière !

– Avale ! Ordonne Alice, avales, c’est bon ! Tu ne connaissais pas ça, une femme qui jute !
– J’en avais entendu parler.
– Tu aimes ?
– C’est bizarre, mais ce n’est pas mauvais. Ce n’est pas comme du sperme !
– C’est bien, il ne faut rien gâcher ! Faut tout prendre ! Du sperme tu en auras tout à l’heure. Tu sais, tu me plais bien toi ! On va sûrement réussir à faire de toi une dévergondée !

Pendant ce temps, pour ne pas que Viviane soit en reste, nous nous sommes occupés d’elle. Son mari la baisant, elle assise sur lui et moi entre leurs jambes, me régalant de son clitoris géant. Et Viviane, quand elle jouit, c’est comme Alice, on le sait !

Nous nous relevons tous pour faire une petite pause bien méritée.

– Alors, demande Viviane, ta première partouze commence-t-elle bien ?
– J’en demandai pas tant ! Mais apparemment je suis loin d’avoir tout vu ?
– Ho que oui ! Tu n’imagines même pas ! N’est-ce pas les gars ?
– C’est sûr ! D’ailleurs on va reprendre vitesse supérieure, vu que nos queues restent raides, après le recto on va attaquer le verso !
– Aie ! Dit Anne, attention hein ?
– N’aies pas peur, tu as déjà reçu Bernard non ?
– Oui, oui, mais là il est plus gros, quant à Pierre, n’en parlons pas ! !
– C’est rien tu vas voir, Viviane, tu veux bien montrer à la demoiselle ?
– Avec plaisir, répond-elle en s’installant à quatre pattes sur le tapis. Allez viens mon chéri. Regardes Anne.

Pierre s’approche, lèche soigneusement la rondelle déjà enduite et pointe son gland sur le petit fripé !

Viviane pousse, entre-ouvre la porte et le gros gland pénètre jusqu’à sa base. Viviane inspire à fond, détend ses muscles et la verge s’enfonce jusqu’aux trois-quarts de sa longueur.

– Tu vois, dit Alice, ce n’est pas sorcier, il faut être détendue et ça rentre tout seul, quelque soit la taille du morceau ! Allez, à toi !

Elle se place à côté de Viviane, dans la même position. Pierre lui caresse l’œillet avec le doigt mouillé. Je me mets derrière elle et nous répétons l’opération montrée par Viviane et Pierre.

– Alors ? Demande Alice, ça fait mal ?
– Ho, non, pas du tout, c’est même très agréable !

Je bouge quelques instants en elle, afin de bien distendre les chairs et, quand je coulisse sans accrocs, je me retire et laisse la place à Pierre. Il se présente devant l’anus ouvert par ma première pénétration et s’enfonce doucement.

– Oummff ! Ouahh ! Que c’est gros, ho la la ! Tu vas me déchirer ! Ho putain !
– Vas-y Pierre ! Ordonne Alice, enfonces-toi à fond !
– Oui, vas-y, prends-moi à fond ! Surenchérit Anne.

Pierre ne se le fait pas dire deux fois. Il pousse en une seule fois et s’enfonce jusqu’aux couilles et commence ses va et vient, accélérant au fur et à mesure. On entend maintenant claquer les bourses sur la vulve, ce qui provoque une excitation supplémentaire.

– Ha ! C’est bon ! Ouii ! Allez, vas-y fort, allez ! Ho, j’aime ça.

Je me suis assis sur les talons pour profiter de la scène, mais Viviane, qui s’est trouvée délaissée au moment où elle commençait à apprécier, vient s’asseoir sur moi et s’enfile ma queue qui entre très aisément dans l’antre parfaitement élargi. Le quatuor, encouragé par Alice, joue une partition endiablée, jusqu’à ce que Viviane, la première lâche son feulement de jouissance, très vite suivi par le gros gémissement d’Anne.

– Vous êtes prêts les gars ? Demande Alice.
– Ok pour moi, dis-je.
– Ok aussi, dit Pierre.
– Anne, à genoux tu vas recevoir le nectar de ces messieurs.

Je m’approche de sa bouche, et en quelques aller-retour, fais cracher mon vît en feu. Elle prend tout le sperme et, à peine avalé, Pierre arrive à son tour et lui en distille une deuxième tournée qu’elle arrive à déglutir également. Sacré gourmande !

– Et bien tu l’as eue ta dose ! C’était bon ?
– Qu’est-ce que je me régale ! J’aurai eu tord de refuser votre invitation ! Je prends un pied fabuleux !
– Tant mieux, c’est fait pour ! On va pouvoir passer aux choses sérieuses, maintenant.
– C’est à dire ?
– Écoutes, tu découvres le plaisir des caresses à plusieurs, tu as goûté à une chatte, tout ça c’est nouveau ?
– Certes, depuis que j’ai perdu ma virginité, je n’ai jamais fais l’amour autrement qu’avec un seul homme.
– Et bien on va continuer d’y remédier ! Branle donc ces messieurs afin qu’ils retrouvent de la vigueur.

Nous nous levons Pierre et moi et nous plaçons devant elle. Elle saisi nos queues et commence à nous branler. Nous ne tardons pas à retrouver notre érection. Elle ne peut s’empêcher de nous sucer le gland; il est vrai qu’ils sont beaux tout gonflés qu’ils sont !

– Pierre, allonges-toi, demande Alice. Anne mets-toi sur lui et enfiles toi.
– Haaaa ! Qu’est-ce qu’elle est bonne !
– Penches-toi en avant; Viviane, tu la prépares ?
– Oui, je me sentais un peu inutile depuis quelques instants ! Elle s’approche des fesses d’Anne et lui applique une feuille de rose des familles, tout en douceur, insérant sa langue pour bien humidifier son petit trou plissé.

Anne apprécie et se tortille ce qui fait activer la pénétration de Pierre et lui procure du plaisir devant et derrière. Son anus s’ouvre à chaque fois qu’elle redescend sur la longue queue. Viviane me fait signe, je m’approche et elle me prend la bite et la guide vers l’œillet.

– Arrêtes-toi et pousse comme si tu allais à la selle. Demande Alice à Anne.

Dès que sa rondelle s’entre-ouvre, je pousse et enfourne mon gland. Anne a d’abord un mouvement de retrait, mais Viviane lui tient le bassin. J’accentue ma poussée et ma verge pénètre à moitié dans le petit cul serré.

– Aïe ! Fait Anne. Deux c’est beaucoup, non ?
– Tu vas voir, tu vas t’éclater. Lui dit Viviane

Je commence à la ramoner et Pierre, me sentant aller et venir ajoute les mouvements de son bassin en alternance avec les miens. Nous nous accordons bien et la machine est lancée.

Au bout de quelques instants, Anne, pistonnée des deux côtés, s’emballe.

– Hooo ! Que c’est bon ! Hummm ! Vous me faites du bien, ho ! Tu as raison c’est super. Ha ! Deux bites pour moi toute seule, je m’éclate, je ne vais pas tarder à jouir, je sens que ça vient !
– Essayes de faire durer le plaisir, lui enjoint Alice, tu verras tu partiras plus fort.

Elle fait ce qu’elle peut, mais ne peut retarder son orgasme et part d’un coup !

– Hooo ! Ça y est ! Je viens ! Là ! C’est bon ! Je jouiiis ! Je viiiiens !

Je ressors, c’est allé un peu vite à mon goût, mais bon, c’est le début !

Viviane et Alice la soulèvent en la prenant sous les bras, la font se retourner et la reposent sur le vît de Pierre côté cul cette fois. Elle s’enfile la grosse bite d’un seul coup, jusqu’aux couilles.

– Ho ! Mon Dieu ! Quelle tige ! Humm ! J’adore !

Je me replace, devant cette fois et nous repartons pour un autre sandwich, dans l’autre sens cette fois. Sa chatte est bien mouillée et assez bien dilatée par le passage de Pierre, cette double pénétration est vraiment agréable ! Alice et Viviane en profitent pour se rouler des pelles et se caresser au dessus de nous et, la chatte d’Alice étant à portée de ma bouche, je lui lèche le clitoris. Viviane le remarque et se déplaçant, demande, elle aussi, le même traitement. Je passe d’une chatte à l’autre, m’appliquant à saisir les nuances de saveurs et de texture. Le clitoris d’Alice est plus gros, mais celui de Viviane beaucoup plus long; c’est une situation amusante et nous l’apprécions tous les trois. Nous continuons cette scène jusqu’à jouissance de la jeune élève.

– Alors, demande Alice, ça t’as plu les sandwichs ?
– J’ai adoré; mais si ça continue, je ne vais plus pouvoir m’asseoir !
– C’est ce que j’ai dit aussi la première fois ! S’exclame Viviane. Maintenant, il faudrait que j’en aie deux de chaque côté pour redire la même chose !
– C’est du domaine du possible, dit Alice, si tu y tiens !
– Je blaguais ! Aujourd’hui on se contente d’éduquer mademoiselle !
– Tout à fait, mais tout ça m’excite beaucoup et il faudra bien à un moment lâcher les vannes ! Tiens, je vais aller chercher quelques accessoires, tu viens Viviane ?
– Ramène du lubrifiant, dit Pierre, je voudrais bien montrer à la petite un autre aspect de l’échangisme !

Il semble qu’Alice et Viviane aient compris car elles s’éclairent d’un sourire entendu.

– Alors, Anne, c’est mieux qu’au bureau, non ?
– Ça n’a rien à voir ! C’est vrai que je préfère ce que je suis en train de vivre. Elles sont allées chercher quoi ?
– Tu vas voir, je suis sûr que ça va te plaire !
– Ho ! Tout me plait pour l’instant. Un grand sourire lui barre le visage; elle est totalement épanouie étalée sur le tapis en peau jambes ouvertes, appuyée en arrière sur les mains, la pose est très sexy, limite obscène.

Je décide de préparer l’apéro en attendant nos femmes.

Elles réapparaissent, affublées, comme je m’y attendais, des fameux godes ceinture. Alice tient sous son bras le gros gode ventouse, je sens qu’on est loin d’avoir fini la séance de formation ! Viviane, elle, arrive avec un double dong et un anal plug.

– Nous voilà ! Annonce-t-elle enjouée; et avec quelques surprises !
– Oui, dit Alice. Puisque l’apéro est servi, on va faire une pause, mais tu prendras ton apéro occupée !
– Occupée ?
– Oui, tu vois ce gode ventouse, tu prendras ton apéritif assise dessus !
– Mais il est trop gros ! Il ne rentrera jamais !
– Tu te sous-estime, ma grande, tu vas voir !

Alice fixe le gode sur un petit tabouret et enjoint Anne à s’asseoir dessus. Elle s’approche du gland de latex précautionneusement, pose sa vulve dessus et s’aidant de ses mains pour écarter les lèvres, enfonce l’engin lentement. C’est super excitant ! Petit à petit le gode se trouve avalé et au bout de trente secondes, Anne est assise, bien emmanchée.

– Voilà, maintenant tu ne bougeras plus, tu es fixée comme un papillon de collection !

– A ta santé, Anne, à la votre les filles dis-je.
– A la votre ! Répond Anne. C’est quand même gros ce truc ! Je me sens pleine comme un fût !
– Ça ira mieux dans un instant, le temps que tu te détendes, après tu pourras tout prendre sans sourciller ! !
– Oui, peut-être, mais j’ai envie de bouger.
– Ne t’en prive pas, si c’est ton plaisir ! Lui dis-je
– Alice ne m’y a pas autorisé !

On se regarde interloqués, elle rentre dans le jeu du dominant/dominé sans que la règle ait été instituée.

– Fais comme tu le sens, lui répond Alice, sois à l’aise !
– Merci !

Tout en buvant et en discutant, elle fait des petits mouvements de haut en bas pour faire coulisser le pieu qui la traverse, lâchant de temps en temps des petits gémissements.

Viviane s’est défait de sa ceinture afin d’être plus à l’aise; seule Alice est équipée, bien assise sur le vît intérieur en latex. Le morceau extérieur, tendu devant elle a quelque chose d’obscène et de bizarre en même temps, on imagine un transsexuel en érection ! C’est d’autant plus étrange qu’elle est la seule à bander !

C’est ce que lui fait remarquer Viviane :

– Tu es la seule encore en forme, Alice ! Dit-elle en se marrant.
– Dedans et dehors en plus ! Et le pire, c’est que je mouille un max !
– Moi aussi, surenchérit Anne, dont les joues sont bien rouges d’excitation, je mouille bien. C’est vrai que maintenant je le sens moins cet engin !
– Pendant le dîner tu seras assise sur autre chose, tu verras, ce sera bien aussi ! En attendant, on va te montrer quelque chose que tu n’as sûrement pas encore vu en live; ça devrait t’exciter encore plus.

Viviane, qui a compris, où bien qui l’avait convenu avant avec Alice, se lève et me prend par la main. Elle s’allonge au centre du groupe, ouvre les jambes et dit :

– Bernard, viens t’occuper de ma chatte, lèches-moi !

Je me place sur elle en 69, elle gobe mon sexe ramolli et s’occupe à le rendre présentable. Pour ma part, je me régale de son jus et m’amuse de la bouche avec son Clitoris tendu. Je sens derrière moi une agitation autour de ma rondelle.

Effectivement, Alice m’enduit de gel, glisse un, puis deux doigts à l’intérieur. C’est très agréable, j’apprécie et le fais savoir.

– Tu vois, Anne, regardes bien, un homme aussi sait apprécier une pénétration anale.
– Ha, oui ! C’est sûr ! Allez vas-y, prends-moi. Dis-je en tendant mes fesses.

Elle présente le bout du gode et l’enfonce, doucement, en écartant bien mes fesses, jusqu’au bout. Elle sait y faire la bougresse et je suis aux anges !

– Ouahou ! Effectivement, je n’avais jamais vu ça ! C’est excitant !
– Tu veux voir mieux ?
– Comment ça ?
– Pierre, viens s’il te plait.

Pierre se lève et s’approche et tend son sexe mou à Alice qui le prend en bouche et le pompe efficacement. Au bout d’une minute de ce traitement, la verge de Pierre a retrouvé toute sa vigueur. Elle se retire et il la remplace derrière moi.

– Non ce n’est pas vrai ! S’exclame Anne, deux mecs qui s’enculent j’en crois pas mes yeux. Je ne les imaginais pas homos !
– Ils ne sont pas homos, ils aiment le sexe ! TOUT le sexe ! Ils n’auraient pas l’idée d’avoir une aventure avec un homme, ils le font pour nous, pour nous exciter.
– Hé bien, c’est gagné ! J’en suis toute chose !

Pierre accentue l’ampleur et la vitesse de ses allers-retours et son ventre claque franchement sur mes fesses; ses couilles tapent le front de Viviane à chaque pénétration, l’excitation est à son comble. Alice qui ne veut pas être en reste, se place derrière Pierre et le pénètre également, la scène est grandiose. Viviane jouit et je lèche son foutre abondant. Anne fait maintenant de grands mouvements sur le vît de latex et arrive à se faire jouir aussi. Alice se retire, nous nous relevons.

– Alors, Anne, ce n’est pas super une partouze comme ça ?
– Foutre oui ! J’en peux plus de prendre mon pied !
– Tu vois, début août, on n’avait jamais partouzé. On a beau vivre pour le sexe, on n’avait jamais eu d’expérience à plusieurs.
– Et si tu voyais la vidéo des vacances, tu serais sûrement épatée de tout ce qu’on a pu essayer ! Reprend Viviane.
– Je crois que vous m’avez convaincue. Vivre pour s’éclater, ça m’attire, j’y prends vraiment goût.

En disant cela, elle se passe la main sur la chatte, bien ouverte par le gros morceau de latex qu’elle vient de lâcher.

– Approche ! Ordonne Alice. Viens que je te lèche, je veux goûter ton foutre.
– Hummm ! C’est bon, oui, lèches-moi bien. Haaaa !

Alice finit de « nettoyer » la chatte et le cul d’Anne. Après autant de plaisir en si peu de temps, on décide de faire une pause.

– Et si on cassait une graine, maintenant, des pizzas ça vous dit ?
– Ok va pour une pizza, j’ai une petite faim dit Pierre
– J’y vais dit Alice, toujours affublée de son gode ceinture.
– Tu pourrais quand même l’enlever, maintenant !
– Je le garde encore un peu, j’aime bien la sensation surtout quand je marche !
– Anne, tu vas te mettre ça, dit Viviane en lui tendant le plug anal. Tu t’es bien ouvert la chatte à l’apéro, tu vas t’ouvrir le cul pendant le repas !

Anne s’enfile le plug après l’avoir bien lubrifié; elle le fait sans hésiter, sans appréhension. Elle est vraiment dans le bain la garce.

– C’est qu’elle devient vraiment cochonne la petite Anne ! Dit Pierre. Une après-midi aura suffit, bravo !
– Elle a de bonnes prédispositions et en plus elle était preneuse, dis-je. Ce qui me plait, c’est qu’elle commence à parler aussi crûment que nos femmes.
– Oui, ça m’excite aussi d’entendre une femme parler comme ça.
– Ne croyez pas les mecs ! Quand on discute entre femmes, on est souvent plus vulgaires que vous !
– J’admets qu’on fait souvent semblant d’être offusquées quand on entend parler façon Bigard, mais qu’en fait on pourrait facilement être pires ! Reprend Alice qui revient de la cuisine, enfin libérée de sa ceinture.
– Et en plus on sait que vous aimez ça ! Ça vous excite !
– Enfin, pour l’instant on est plutôt mous ! Dis-je en montrant nos sexes qui pendouillent lamentablement entre nos jambes.
– On s’en occupera après dîner, allez, à table maintenant, on a faim !

Nous nous rhabillons sommairement de façon à ne pas être torse-nu à table. Anne en est surprise

– Vous êtes tous de grands pervers, vous faites des trucs complètement dépravés, et à côté de ça, vous ne mangez pas torse-nu ?
– Ça n’a rien à voir ! Nous sommes peut-être totalement infâmes côté sexe, mais nous sommes respectueux des convenances et polis ! Chaque chose à sa place et en son temps !

A ce moment, Pierre se lève pour remplir les verres de vin et, comme il n’a que sa chemise sur le dos, sa queue glisse dans son assiette.

Tout le monde éclate de rire :

– Bon il y a parfois des exceptions ! Dis-je
– Tu pourrais faire attention à tes affaires ! Lui lance Viviane.
– Hé, Alice, tu n’avais pas dit qu’on mangeait de la pizza ? Demande Anne.
– Tout à fait ! Je n’ai pas dit andouillette ! Ranges-moi ça, gros cochon !
– Excusez-moi, je n’ai pas fait exprès !
– Ben voyons ! Tu voulais nous mettre l’eau à la bouche, oui ! Reprend Anne.

Le repas commence donc dans la bonne humeur qui se continue d’ailleurs jusqu’au dessert.

– Comment te sens-tu ? demande Viviane à Anne.
– J’ai bien mangé, tout va bien.
– Je te parlais de ton cul !
– Ho ! Oui, hé bien écoutes, j’ai une sensation assez agréable qui me remonte dans le ventre, j’ai un sentiment de relaxation totale.
– Montres-moi ça.

Anne se lève et se retourne devant Viviane en se penchant en avant. Viviane retire le plug et admire le trou du cul qui reste ouvert.

– Bien, bien ! Voilà un anus qui pourra servir aisément maintenant ! Dit-elle en lui insérant deux doigts qu’elle écarte et tourne. C’est parfait ! Il y a de la place ! Elle ajoute deux doigts de son autre main et continue son inspection en tirant sur les côtés, admire la muqueuse et finalement retire ses doigts et lui tape la fesse.
– C’est parfait, mademoiselle !
– Hé, les gars, vous voulez des noix au dessert ? Demande Alice.

On éclate de rire, Anne ne comprenant pas, bien sûr, demande :

– Qu’est-ce qui vous fait rire comme ça ? J’aimerai participer, moi !
– En fait, lui explique Pierre, hier elles nous ont offert des noix d’une façon un peu particulière.
– Ha, bon ? Et comment ?

– En fait, reprend Alice, on s’en était enfilé dans le cul et on est montées sur la table pour les chier dans leurs assiettes !
– Mais vous êtes vraiment des dégueulasses ! La perversion à ce point ! Je suis bluffée !
– Hé, mais attends, c’était propre ! Il n’y avait que des noix dans les assiettes !
– Ha, bon ! J’ai eu peur, parce que là, moi je n’aurai pas marché !
– Ne t’inquiètes pas, nous ne sommes absolument pas scato ! Éventuellement, un peu uro, mais c’est tout et encore, seulement si la pisse est claire, reprend Viviane. Qui raconte qu’elle a voulu tenter l’expérience et quelles sensations elle a ressenti.
– Ça t’a plu ? Beurk ! Je ne crois pas que j’aimerai avoir ce goût là dans la bouche !
– Ho, le goût n’est pas fort si c’est clair; un peu salé, un peu acide, rien d’extraordinaire, par contre ça m’a excité assez fort !
– Décidément, vous êtes vraiment zarbis vous autres ! Où suis-je tombée nom de Dieu !
– Ne blasphème pas ! Tu es dans l’antre du plaisir, chacun amène quelque chose du moment que c’est un partage total et par tous. Tiens, on va te montrer notre vidéo du mois d’août, tu verras.
– Ça, c’est une bonne idée, on ne l’a pas revue depuis et il y a celle de Viviane, tournée ici.
– C’est vrai ça ! On ne l’a jamais vue celle là !
– On ne s’est pas revus non plus !

Tout le monde se place devant l’écran mural et je branche le lecteur DVD. Pendant la projection, je guette du coin de l’œil la réaction d’Anne. Elle ne dit plus rien, les yeux rivés sur l’écran géant, une main entre les cuisses, elle se caresse !

En fait, nous sommes tous dans le même état : les yeux rivés sur l’écran, regardant Alice et Lucie dans leurs fists endiablés, Pierre, Yann et moi dans nos scènes bisexuelles, nos multiples scènes échangistes, à deux trois voire quatre partenaires ! Nous n’en perdons pas une miette, nous caressant, impudents devant ces images à la pornographie sans équivoque. Alice se masturbe franchement, se malaxant un sein de sa main libre, Viviane se tripote le clitoris entre deux doigts, Pierre joue avec sa queue, je ne suis, bien sûr, pas en reste jouant avec ma verge et mes testicules. La tension monte, ça se sent. Pourrons-nous regarder la vidéo de Viviane ? Rien n’est moins sûr !

Fin de la vidéo, le silence perdure encore quelques instants, seulement troublé par des légers soupirs.

– Nom de Zeus ! C’est incroyable ce que vous m’avez offert en spectacle ! S’exclame Anne. C’est la vidéo la plus porno qui soit ! Elle pourrait se vendre chère !
– Sûrement ! Dis-je. Et comme tu as pu le voir, on explore tous les aspects, ou presque, de la sexualité, sans tabous. Et encore, nos esprits féconds n’ont pas dit leur dernier mot !
– D’autant qu’à quatre, les idées fusent en permanence; c’est quasi inépuisable ! Renchérit Pierre.
– Tu veux voir la suite ?
– Je ne sais pas si je vais pouvoir tenir une heure de plus !
– T’inquiètes pas après on se soulagera tous ! Lui dit Viviane. Moi, je suis curieuse de me voir !

Je me lève et insère le deuxième disque.

On se réinstalle dans les canapés et fauteuils et, comme tout à l’heure restons scotchés à l’écran sur lequel défilent les images d’une pornographie incroyable. Même cause, mêmes effets, les cuisses s’écartent, les mains s’activent, nos femmes se tiennent dans des positions vraiment obscènes; le spectacle est aussi dans la salle ! Alice qui a récupéré le double dong se branle avec, ses doigts ne lui suffisent plus. Viviane, elle se fiste, sa main est introduite dans sa chatte jusqu’au poignet. Quant à Anne, jambe relevée, le pied posé sur l’accoudoir du fauteuil, elle se sert du plug. La salope commence à bien aimer la sodomie !

A la fin du film, elles sont vraiment en transe et Pierre et moi avons la trique. A leur demande, nous faisons le tour et passons de l’une à l’autre essayant de répondre au mieux aux prières des unes et des autres. Il faudrait que nous ayons deux queues chacun pour bien faire !

Alice s’est mise à genoux devant le canapé accoudée à l’assise, Viviane, dans la même position mais plus haut sur l’assise, me permettent de m’occuper d’elles deux.

– Viens, encules-moi, me demande Alice.
– Moi aussi, je veux te sentir, gémit Viviane.

Je me place derrière Alice et la prends par derrière, m’enfonçant à fond d’une seule poussée. Comme Viviane est à ma portée, je glisse trois doigts dans sa chatte détrempée et bien ouverte, puis la main qui entre sans problème et, m’active en elle. Alice se branle pendant que je la sodomise et elle est la première à jouir, un orgasme fort de toute l’excitation contenue depuis deux heures. Pendant ce temps, Anne, les jambes en l’air se fait défoncer le cul par Pierre. Elle n’en peut plus de râler, de crier et couvre largement les gémissements de Viviane.

– Hoooo ! C’est gros, c’est fort, vas-y déchires-moi le cul ! Elle est bonne ta grosse bite, haaaa ! C’est bon, c’est bon ! !
– Je vais jouir, lance Viviane dans un souffle, ça y est, je viens, ouiiiii ! Putain que c’est bon !

Quelle vulgarité ! Anne a rattrapé son retard sur ses aînées au niveau du langage.

Je retire ma main du con qui reste largement ouvert, mais suis toujours planté dans le cul d’Alice; sans bouger. J’hésite à continuer ou bien à changer de position ou de partenaire. Finalement je décide de m’approcher d’Anne et de Pierre. Je fais signe à ce dernier qui, sans déculer, soulève Anne se retourne et s’assoie dans le canapé. Elle veut du lourd, elle va en avoir !

Je me place derrière elle après m’être enduit de lubrifiant et met mon gland au bord de l’anus déjà investit. Je pousse en même temps que le mouvement entrant de Pierre et avec un petit effort, me retrouve également dans le jeune cul. C’est serré, mais ça le fait bien !

– Bon Dieu, houuu ! Fous êtes fous ! Je vais exploser ! Vous me déchirez le cul ! C’est énorme ! Ho là là !
– Qu’est-ce qu’elle se prend la petite ! Dit Viviane à Alice en souriant.
– Oui, pas mal pour une débutante ! Mais le pire, c’est qu’elle apprécie ! Elle a de l’avenir !

Pierre et moi nous accordons bien et nos mouvements s’amplifient. Anne est en transes, elle tremble de tout son corps, crie, gémit, secoue la tête, griffe les épaules de Pierre et dans un long spasme, se redresse d’un coup sur ses genoux et de fait, nous éjecte. Elle retombe, anéantie, le cul béant. Nous la laissons reprendre ses esprits, avachie dans le canapé et, il faudrait bien quand même qu’on se déleste un peu, rejoignons nos femmes. J’étais au bord de l’éjaculation quand Anne m’a éjecté, ma queue tressaute, il ne faut pas grand chose pour que j’explose. Alice me prend en bouche et, en quelques aspirations et allers-retours je jouis; j’ai l’impression de me vider complètement les couilles. Elle confirme :

– Tu ne m’en n’a jamais donné autant !

Pierre, lui, a choisi la pénétration vaginale et, tout aussi rapidement que moi, s’est épanché dans le ventre de Viviane qui apprécie le liquide chaud qui se répand en elle.

Nous sommes tous vidés, émus et rassasiés, il est temps que la soirée se termine. Nous invitons Anne à finir la nuit chez nous, vu l’état d’épuisement dans lequel elle se trouve.

Nous montons nous coucher sans demander notre reste