L’entrée de l’Hiver
3 – Feu de Cheminée
par Lovelace
La quinzaine qui a suivi l’orgie organisée par notre toubib a été des plus calmes. Boulot, maison, le train train normal de n’importe quel couple, des soirées à deux devant notre télé, ou lecture au coin du feu, un resto par ci, une soirée musique par là, rien de transcendant. Alice, ne travaillant pas, s’ennuie un peu dans cette atmosphère et, un soir, me propose d’inviter nos amis, Pierre et Viviane. Je n’ai rien contre voir un peu de monde en dehors de mes relations professionnelles et j’accepte immédiatement. D’autant que nous ne les avons pas vus depuis la fin août lors de notre grande soirée de séparation avec nos relations de l’été.
En cette fin du mois de novembre, nous les accueillons donc, à l’apéro servi devant un feu de cheminée. Nous avons décidé de nous faire griller des châtaignes et, tous les quatre assis sur des coussins, nous dégustons les châtaignes grillées dans la cheminée en dégustant une bonne bouteille.
Plaisir simple et tellement agréable.
– Avez-vous eu des nouvelles de nos deux tourtereaux de cet été, demande Pierre au cours de la conversation.
– Ma foi, non. Nous avons bien reçu une carte mi septembre, qui nous faisait part de leur bon retour chez eux, nous remerciant encore de notre accueil et des merveilleux moments passés ensemble, mais depuis, plus rien !
– Dommage, ils avaient l’air bien sympathiques ces deux là, je les aurais bien invité pour le réveillon de nouvel an. Dit Viviane.
– Tu as déjà prévu quelque chose pour nouvel an ? Demande Alice. Tu ne perds pas de temps !
– Je n’ai pas envie de m’entendre dire des trucs du genre « comme c’est dommage, nous serions bien venus mais on est déjà invités par untel. »
– Tu as bien raison ! Mais si tu nous en parle, c’est que tu nous invite, alors ? Demandé-je
– Bravo ! Monsieur ne perd pas le nord ! Oui, bien sûr vous êtes nos invités, c’est évident ! À moins que vous n’ayez déjà prévu quelque chose ?
– Non on voulait organiser une partouze, mais on ne sait pas qui inviter ! ! Je plaisante, bien sûr !
– En parlant de partouze, il faut qu’on vous raconte notre soirée chez le Dr R.
– Ha, au fait c’est vrai ça, depuis le week-end du 15 août, on se demandait s’il allait oser vous appeler. Alors ?
– Oser, il l’a fait et, le pire, c’est que sa femme et lui sont bien pire que nous !
– Raconte !
Alice commence à raconter en détail la soirée orgiaque passée chez le couple et les membres de leur association; car on peu bien parler là d’une association !
Viviane et Pierre sont ébahis.
– En les voyants, on ne croirait pas. Des notables à qui l’on dit bonjour respectueusement, comme un peu à son curé ! C’est fou !
– Sans compter les autres notables ! Avocat, juge, banquier et j’en passe !
– C’est dingue ça ! Tu leur donnerais le bon Dieu sans confession et ils sont totalement pervertis, vicieux et dégénérés !
– N’exagérons rien, l’amour du sexe n’est pas synonyme de dégénérescence ! Disons surtout que nous sommes petits joueurs à côté d’eux qui pratiquent la réalisation de leurs fantasmes depuis de longues années. Ils ont dû commencer plus jeunes que nous, de fait, leur expérience se révèle beaucoup plus riche que la notre !
– Hé bien, moi qui avais un peu honte de ce que nous avons fait, me disant que nous étions tordus et anormaux !
– C’est quoi être normal en matière de sexe ? Faire l’amour à deux dans un lit après 21 heures en position du missionnaire et à travers une chemise de nuit ? Et tout ce que tu fais avec ton mec tout en pensant à des trucs tordus que tu n’exprimes pas mais qui t’excitent fort ?
Là, je dois donner raison à Alice.
– C’est tout à fait aussi pervers que de faire des trucs hypocritement en ayant des pensées totalement perverses, où tu imagine les pires scénarios, mais que tu gardes pour toi de peur d’être mal jugée. L’éducation Judéo-chrétienne que tu as reçue t’oblige à refuser d’être libre de faire ce que tu as envie !
– Tu as raison, et si cet été j’ai pris tellement mon pied chez vous, c’est que je m’étais lâchée complètement et que j’ai osé assouvir certains de mes fantasmes et certains des vôtres d’ailleurs, car j’ai eu des envies en vous voyant en vidéo.
– Alors, tu vois bien que c’est des a priori. Et bien eux, ils assument complètement toutes leurs pensées qu’ils mettent en œuvre, et tout le monde partage. Par contre si tu ne veux pas, tu a le droit de refuser ce qui t’es proposé.
– Vu comme ça, c’est eux qui ont raison; on se met des barrières là où il n’y a pas lieu.
– Oui, déjà qu’on vit dans une société hyper contrôlée, fliquée : fais pas ci, fais pas ça, marche ici, tais toi, la seule liberté qui nous reste, se trouve chez nous, en nous alors nous avons tord de ne pas en profiter !
– Tiens, toi Viviane, qu’est ce qui te ferait plaisir, par exemple ?
– Je ne sais pas, comme ça à chaud, quoi te dire. M’exhiber, participer à un gang bang, tenir un rôle de maîtresse, que sais-je ! En fait, je pense à des trucs au fur et à mesure que les événements se produisent, en fonction des circonstances.
– Hé bien tu vois, nous aussi, lorsque ça a commencé l’été dernier, ça c’est produit comme ça, et puis ça a dégénéré au fil des événements, et on n’a pas eu le sentiment de contrôler quoi que ce soit !
– Finalement c’est peut-être pas plus mal que de tout prévoir et organiser. L’improvisation est plus naturelle et si les choses se produisent c’est que tous les ingrédients sont réunis et non pas parce qu’il le fallait !
– Je suis aussi d’accord avec ce point de vue et la partouze « organisée » ne m’attire finalement pas plus que ça !
– Sans même parler de partouze, Pierre; regardes, ce soir : nous sommes tous les quatre, on a déjà fait ensemble pas mal de choses bizarres, est-ce pour autant qu’on est à poil en train de s’emmancher ?
– Non, c’est sûr, on n’est pas des bêtes !
– Exact, intervient Alice, n’empêche que je vois bien que tu bandes un peu, excité par la conversation !
– Tu as vraiment le regard mal placé ! Se défend-il.
– Tu vois, on y revient ! Pourquoi ai-je le regard mal placé, sous prétexte que j’exprime ce que je pense, ce que je vois ?
– La liberté serait de pouvoir se parler, encore une fois, sans arrières pensées, surenchérit Viviane.
– Je crois les filles, que vous êtes plus libres que nous, en finale ! Et puis, une chose est sûre, vous êtes plus courageuses aussi. Nous sommes lâches, même dans nos pensées et nous n’osons pas nous exprimer de peur de vous déplaire ou d’être mal jugés. – Ça, c’est vrai s’exclament-elles en cœur !
Elles se regardent et éclatent de rire.
– Bon les garçons, allez un peu de courage, préparez-nous donc une omelette qu’on se mette autre chose dans le ventre que des châtaignes ! J’ai la tête qui tourne, moi à force de biberonner sans mâcher !
– Aux cèpes du jardin, l’omelette ?
– Parfait !
– C’est comme si c’était fait !
Je me lève pour aller à la cuisine préparer l’omelette demandée. C’est une de mes spécialités; battre les œufs jusqu’à ce qu’ils moussent pour que l’omelette soit la plus onctueuse possible et bien gonflée.
Je réapparais quelques instants plus tard, le plat d’une main, une bouteille de médoc de l’autre. La table est mise, nous nous installons autour.
– Très bonne ton omelette, Bernard, tu devrais faire la cuisine plus souvent ! S’exclame Pierre.
– Et le vin aussi est excellent ! Je commence à avoir le feu aux joues ! Renchérit Viviane.
– Tant que ce n’est qu’aux joues, dis-je d’un air amusé.
Il est vrai que nous n’avons pas sucé que des glaçons depuis le début de la soirée. Les whiskies pour commencer, le Tokay pour les châtaignes, deux bouteilles quand même ! Et maintenant, le médoc.
La conversation bat son plein, tournant souvent et revenant régulièrement autour du sexe. Nous avons tous décidé, avant même de nous connaître, de dédier notre vie aux plaisirs. Elle est trop courte pour ne pas en profiter pleinement. Des épicuriens, aimant la bonne chair, le bon vin et les plaisirs charnels.
– Je ne l’ai pas qu’aux joues, je disais ça pour paraître polie !
– Ça m’étonnait aussi ! La reprend Alice. Moi aussi je sens que ça chauffe !
Nous nous regardons avec Pierre, mais décidons de ne pas relever les allusions.
– Tiens dit Pierre, j’ai acheté un nouveau gadget à Viviane, la semaine dernière.
– Ha bon ! C’est quoi ?
– Un œuf !
– Un œuf ?
– Oui, électrique. Tu te le mets dans le vagin, tu branches et ça te remue les sens comme des boules de geishas, mais en plus vif. Explique Viviane
– Je connais le système, mais je n’ai jamais essayé. C’est bien ?
– C’est super, ça te mets en condition de la meilleure des façons, mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps ! J’ai vite envie de le remplacer par quelque chose de plus consistant !
– Oui, comme la plupart des gadgets ! Intervient Pierre.
– En parlant de cadeau, reprend Alice, on en a un pour toi, Viviane. La vidéo de tes exploits de cet été !
– Génial ! Elle est bonne ?
– C’est toi qui es bonne ! Répond Alice, tu verras !
– Vous me faites venir une image drôle, avec vos histoires d’œufs ! J’imaginai nos femmes, accroupies devant nous sur la table, nous en pondre directement dans l’assiette !
– Tu as l’esprit fertile ! C’est vrai que ça pourrait être drôle ! Tant que ça ne vire pas au scato !
– Ha, non ! S’il y a un truc qui ne m’attire vraiment pas c’est bien ça.
– Moi non plus, franchement, je ne vois pas quel plaisir on peut en tirer; il faut être vraiment tordu pour aimer bouffer de la merde !
– Ho, ho ! On est à table, ne m’écœurez pas.
– Tu as raison. Autant je conçois qu’on puisse aimer se faire arroser du moment que l’urine est claire, autant le reste m’est insupportable; rien que l’idée !
– Ha, la douche, j’ai donné avec vous cet été, c’est vrai que ce n’est pas désagréable ! Mais c’est le concept qui excite, plus que le produit ! Dit Viviane.
– Au fait, reprend-elle, et ta petite assistante, qu’est-ce qu’elle devient ? Me demande-t-elle.
– On n’est plus jamais revenu sur le sujet. Et puis on ne peut pas mélanger le travail et le plaisir; je n’ai pas envie que ça dérape. Elle est jeune, je ne veux pas qu’elle se fasse des idées ou bien qu’elle puisse se considérer avantagée par rapport aux autres.
– Ça peut se comprendre; mais tu peux aussi lui faire comprendre que le plaisir c’est une chose, les sentiments c’en est une autre !
– Ok, mais je n’ai pas non plus envie que ça dérape vers une relation, j’aurai le sentiment de tromper Alice.
– Ne crains rien mon chéri, cela dit, si on doit avoir des relations avec d’autres, j’aime mieux qu’on le fasse ensemble, comme c’est le cas depuis le début. C’est plus drôle et beaucoup plus excitant. De plus il n’y a pas de risque de malentendu.
– Là, je suis entièrement d’accord avec toi. Dit Viviane. Sauf que si Pierre ne l’avait pas fait sans moi cet été, il ne ce serait peut-être rien passé non plus entre nous à votre retour.
– Ça ne te manquait pas, avant. Est-ce que ça t’avais seulement effleuré l’esprit ?
– Bien sûr que oui, dans mes fantasmes, je nous imaginais baiser tous les quatre.
– Ha, bon ! S’exclame Pierre. Et tu ne m’en avais jamais parlé !
– Je n’osai pas et j’avais peur que tu l’interprète mal. Que tu puisses penser que tu ne me suffisais plus ou que sais-je !
– Oui, je comprends, n’empêche que depuis, nous exprimons tout ce qui nous passe par la tête et ça ne fait que renforcer notre relation.
– Nous aussi, depuis que nous avons eu des relations diverses, nous nous sentons plus forts ensemble ! Et notre plaisir à deux a été décuplé.
– Je dois avouer que notre dernière partouze, chez notre toubib a été très forte en sensations et depuis c’est vraiment chaud entre nous !
– Ça a dû être quelque chose ! De ce que tu nous en as dit, ce n’était pas triste !
– Oui, tu peux le dire ! Moi j’ai surtout joué le voyeur et je vous jure que j’ai bandé comme rarement; j’en avais vraiment mal tellement ma queue était gonflée. Tiens, rien que d’y penser… !
– A ce point ? Fais voir !
– Tut, tut, tut ! D’abord le dessert ! Vous voulez des fruits, une glace ?
– Bonne idée pour les fruits !
Je me lève et évidemment, Viviane remarque la bosse dans mon pantalon.
– Effectivement, ça te fais de l’effet d’y repenser !
– Oui, moi aussi, je suis toute chose ! Dit Alice.
– Vous n’allez tout de même pas nous laisser sur notre faim ! Dit Viviane les yeux brillants d’excitation et sûrement aussi beaucoup en raison de l’alcool qui fait son effet.
Je reviens quelques instants plus tard avec la corbeille de fruits et la conversation tourne autour de la sodomie.
– Tiens, Bernard, à ton avis, pourquoi aimons-nous tant la sodo ?
– Bonne question ! Certainement parce que nous aimons braver les interdits ! Dans l’inconscient collectif, derrière, c’est tabou ! C’est sale, c’est cochon, etc.
– C’est vrai que c’est propre à notre éducation. Tout bébé déjà, le cucul n’est pas propre !
– Dans certaines civilisations où la présence de l’hymen est indispensable pour accéder au mariage, la pratique de la sodomie est courante. Et même les hommes entre eux se sodomisent pour se soulager faute de femmes et ils ne sont pas homos pour autant !
– Moi je dirai qu’en plus c’est le seul truc qui nous est commun. Les sensations sont les mêmes on peut les partager qu’on soit homme ou femme.
Je tends la main vers la corbeille pour me servir une grappe de raisin, quand Viviane m’arrête brutalement.
– Attends, je vais te le donner ton raisin, dit elle en retirant sa robe. Tu voulais voir une femme pondre, et bien je vais le faire avec les grains !
Elle monte sur la table et enfile plusieurs grains dans sa chatte. Elle se poste devant moi et s’accroupit au-dessus de mon assiette et, expulse les billes vertes en chapelet. Je regarde ébahi sa vulve qu’elle ouvre avec ses mains recracher les grains et ça m’excite terriblement !
– Humm ! Il est vraiment bon ce raisin, dis-je en avalant les grains enrobés de mouille. Vous devriez y goûter !
– C’est vrai que ça leur donne une saveur particulière ! Dit Alice en en croquant un. Et toi Pierre tu veux aussi que je te nourrisse ?
– Oui, mais pour moi ce sera une poire !
Ni une ni deux, Alice se lève, se déshabille et s’enfile une poire dans le con. Elle monte sur la table et dans la même position que Viviane, pousse et fait ressortir lentement le fruit. Je vois, de dos, son cul s’ouvrir sous la poussée et j’ai peur qu’il n’y ait pas que la poire qui tombe dans l’assiette ! Mais non tout va bien, le fruit distend légèrement son vagin et tombe dans l’assiette de Pierre.
L’excitation est telle que Pierre et moi avons défait notre pantalon pour libérer nos sexes bandés. On se branle en douceur tout en savourant nos fruits.
– Veux-tu une prune ou autre chose ? Me demande Viviane.
– Allons-y pour une prune ! Mais après, pour finir mon verre de vin, j’aimerai que tu me chies des noix !
– Mais quel salopard tu fais ! Je croyais que tu détestais le scato ?
– Affirmatif, mais je ne veux pas de la merde, je veux des noix !
– Bon, attends, je reviens.
Elle se lève et se dirige vers le salon de toilette. Alice lui emboîte le pas et nous voilà Pierre et moi, comme deux couillons, la bite à la main !
– Et bien, à la tienne mon ami, lui dis-je en tendant mon verre.
– A la tienne ! Tu n’attends pas les noix ?
– Je nous resservirai ! En attendant, j’ai une putain d’envie de tirer un coup !
– Oui, moi aussi, j’ai la queue raide comme la justice !
Sur ce, nos femmes reviennent, remontent sur la table et, nous tournant le dos, s’accroupissent et poussent pour faire sortir les noix qu’elles s’étaient enfilées !
– Je trouve ce jeu super bandant, dis-je. Et vous les filles ça vous excite ?
– Tu n’imagines pas ! Mieux que des boules de Geisha ! Vous devriez essayer les mecs !
– Tiens, c’est vrai, reprend Alice en riant, moi aussi j’aimerai jouer les voyeuses !
Nous nous levons, Pierre et moi et, comme nos femmes quelques instants plus tôt, allons au salon de toilette.
Un lavement pour évacuer tout l’indésirable et qui a en plus l’avantage de nous détendre l’anus, une bonne dose de lubrifiant et nous nous enfilons les noix que nous avons emmenées. J’en ai avalé cinq. Nous retournons au près de nos femmes qui se sont assises à leur place en nous attendant et se caressent, jambes écartées. De les voir comme ça nous remet en érection et c’est le sexe tendu que nous montons sur la table. J’avais presque oublié combien le sexe de Pierre était énorme. C’est simple, son gland arrive au dessus de son nombril !
Nous chions nos noix, ce qui les «énerve» encore plus ! Alice se fait jouir en accélérant le mouvement de sa main au fur et à mesure que les noix de Pierre tombent devant elle. Viviane la suit de près en lâchant un long gémissement.
– Non de Nom, que c’est bon !
– Tu l’as dit ! Je m’éclate comme une malade ! Ça faisait longtemps qu’on ne jouissait plus ensemble !
– Trop longtemps ! Dit Pierre en s’asseyant au bord de la table. Moi aussi je vais me faire jouir.
Il se prend le chibre à deux mains, se plie en avant et commence à se sucer le gland. Quelle chance il a d’avoir un tel engin ! Moi il faudrait que je sois vachement souple pour arriver à me lécher ! Les filles adorent la scène et se caressent à nouveau en admirant Pierre s’administrer une auto fellation.
– On va se la jouer autrement, pour exciter ces dames ! Dis-je.
Je m’assois sur une chaise, face à elles et attire Pierre sur mes genoux. Il s’empale sur ma queue et reprend sa pipe !
– Quels salauds vous faites, les mecs ! Regarde-moi ces Pédés Alice !
– Putain ! Ils sont excitants ! Bizarre quatre couilles pour une bite !
– Vous en voulez, les filles ?
– Un peu mon neveu ! Allez, occupez vous de nous !
Pierre se relève et se libère ainsi de ma queue. Il va direct sur Alice, la retourne et la prend.
– Hummff ! Ouahh ! J’avais oublié comme ta queue est grosse non de Zeus ! Haa ! C’est bon, vas-y prend moi bien, à fond, vas-y !
– Vas-y baises-la bien cette garce ! Elle pense qu’à ça depuis fin août ! Viens ma grande dis-je à Viviane; je la soulève et la pose sur la table. Je m’assois sur une chaise, lui écarte les jambes et me jette sur son gros clitoris. Humm ! Moi aussi j’avais oublié comme il est bon ton cornichon ! Bien ferme, épanoui, une vraie petite bite !
– Hooo, ouii ! Lèches-moi bien, c’est bon, bouffes-le moi !
On s’active ainsi jusqu’à l’orgasme d’abord de Viviane, normal elle a le clitoris déjà très sensible par sa branlette précédente, puis arrive Alice dans un déferlement de foutre.
– Ho, putain ! J’avais oublié combien tu mouillais ! Je nagerai presque !
– Prends-moi par derrière, tu seras plus serré ! Allez, encules-moi !
Pierre présente son gros gland devant l’entrée de la caverne des délices, et n’a pas à faire beaucoup d’efforts pour que son chibre pénètre le petit trou d’Alice.
– Haaaa ! Hou là, là ! Nom de Dieu qu’il est gros ! Bouges, bouges ! Vas-y, tu m’éclates avec ton gros nœud !
– Prends-moi, me demande Viviane, moi aussi j’ai envie d’une bite maintenant ! Je suis chaude comme la braise.
Je me lève, lui relève les jambes et l’enfile. Sa chatte grande ouverte m’accueille généreusement et je m’agite comme un gardon dans cet étang de foutre. Je mets des grands coups, mes couilles claquent sur ses fesses, ça l’excite encore plus d’entendre les flic-floc de ma bite et les claquements des couilles de Pierre sur la chatte mouillée d’Alice. Car lui aussi y va à grands coups avec des mouvements amples du bassin pour sortir et rentrer les 25 centimètres de chair qui lui servent de queue ! Quel âne ! Mais visiblement ça plait !
– Hooo ! Pierre tu me fais jouir ! Ha ! Quelle queue bon sang ! Ça y est je viiieenns ! Ouiiiiii !
– Hooo ! Moi aussi, je vais venir, ça m’excite tout ça ! Qu’est ce que c’est bon ! Haaaaaaaa ! Ça y est j’y suiiis !
Je la quitte aussitôt, j’ai toujours peur d’être prisonnier lors d’un orgasme violent.
– Hé bien, les filles ! Ça fait du bien de se retrouver, non ?
– Pour sûr ! J’avoue que ça me manquait ! J’adore ça, tous les quatre !
– Oui, moi aussi ! Dit Alice. Et puis on s’entend tellement bien ! D’ailleurs, vous restez avec nous cette nuit ?
– Ben ! On ne veut pas s’imposer !
– De toutes façons, vous n’avez pas le choix, vu ce qui a été bu, vous n’êtes pas en état de conduire.
– Tu as raison, soyons prudents.
– Venez, dit Alice, nous allons continuer dans la chambre, on a un super King size.
– D’abord un petit coup à boire, ça m’a donné soif tout ça ! Dis-je.
– Moi aussi, je veux bien de l’eau s’il te plait, demande Viviane.
– Je vous ramène ça… je reviens de la cuisine avec deux bouteilles d’eau et une bouteille de menthe pastille.
Je sers un grand verre d’eau à Viviane et, avant de le lui donner, trempe ma queue dedans.
– Ha ça fait du bien de se rafraîchir ! J’ai le vît en feu !
– C’est vrai ! Ton gland est tout gonflé, monsieur champignon ! Tu ne m’as pourtant pas sodomisée !
– Toi non mais ton mari si !
– Dis donc ! Ça te dure longtemps alors !
– Des fois, plusieurs heures. Et le problème, c’est que je ne peux pas me recalotter; ça devient jouissif quand je suis irrité !
– Mon pauvre chou, viens que je calme ton bout !
Elle me prend le gland dans la bouche et le mouille, puis le lèche tout autour avec sa langue.
– Humm ! C’est bon ! Ça fait du bien, merci !
Nous montons donc au premier, en direction de la chambre. Viviane qui n’avait jamais visité notre maison, ne la connaissait pas :
– Ouahou ! C’est un vrai baisodrome, votre piaule !
– Tu ne crois pas si bien dire ! Lui répond Alice; viens t’allonger avec moi, viens !
Les voilà qui se jettent sur la couette, s’enlacent et se roulent des patins endiablés !
– On ne vous gêne pas les filles ? Intervient Pierre qui, appréciant la scène, en retrouve une certaine vigueur.
– Rejoignez-nous, faites comme nous, espèces de jaloux !
Nous les rejoignons et nous caressons, comme elles. Les corps se mélangent, les mains se baladent d’un entrejambe à l’autre, tenant tantôt une bite, caressant tantôt une chatte, pénétrant un cul mâle ou femelle; le fait est qu’au bout d’un petit quart d’heure, nous sommes chauds bouillants !
– Allez pas nous faire une éjaculation précoce, les gars hein ! S’exclame Viviane, voyant qu’on est en transe totale.
– Attends dit Alice, j’ai ce qui leur faut.
Elle ouvre notre coffre à jouets et en sort deux anneaux péniens.
– Tiens, on va les bâillonner pour qu’ils durent plus longtemps, dit-elle en tendant un des deux anneaux à Viviane.
Alice me fixe l’anneau à la base du sexe tendu et serre. L’effet est double, car mon sexe déjà bien gonflé devient encore plus gros, le gland j’en parle même pas !
– En voilà une bonne bite pour petit trou ! Dit-elle.
– Et voilà la deuxième, dit Viviane qui a elle aussi serré au maximum la base de celle de Pierre. Chez lui, l’effet et encore plus important. Sa bite est monstrueuse !
– Yess ! Je veux les deux ! Dit Alice.
– Gourmande ! Et moi, je fais quoi ?
– Attends voir. Bernard, allonges-toi. Elle se place sur moi, face vers mes pieds et s’enfonce ma queue dans le cul, jusqu’à la garde. Elle se penche en arrière et Pierre s’engage dans le con ouvert.
– Allez ! Viens au-dessus de moi, je vais te gouiner, pendant qu’ils me prennent.
Et tout le monde se met en mouvement. Enfin, tout le monde, c’est surtout Pierre, le seul qui soit vraiment libre d’aller et venir. Mais ses coups font bouger le bassin d’Alice qui de fait m’astique le jonc.
– Haa ! Qu’est ce que c’est bon d’être remplie comme ça, dommage que je n’aie que deux orifices !
– Tais-toi et lèches moi ! J’ai envie de jouir aussi !
L’extase arrive relativement rapidement et la scène se défait.
– A moi, maintenant, dit Viviane et me chevauchant. Je suis en elle quand Pierre la pénètre par derrière. Je sens la grosse queue caresser tout le long de ma verge à travers la paroi; c’est délicieux !
Alice a pris dans la malle, un gros gode ventouse et, à cheval dessus se donne du plaisir en nous regardant.
Viviane explose littéralement, secouée de spasmes violents, les yeux révulsés. Elle s’effondre sur moi et reste ainsi, sans bouger, durant plusieurs minutes.
– Quel pied ! Les enfants, quel pied ! Souffle t-elle après avoir récupéré ses esprits.
– Nous aussi, on aimerait bien le prendre notre pied, s’exclame Pierre. Vous n’arrêtez pas de jouir, mais moi j’aimerai bien cracher aussi !
– Venez, mes chéris, on va s’occuper de vous, dit Alice, toujours plantée sur son gode.
Quant à moi, Viviane ouvre grand la bouche et m’avale tout entier ! Pas même un hoquet ne vient la gêner. Elle me branle ainsi dans sa bouche jusqu’à ce que j’explose puissamment. Elle en avale un peu et laisse couler le reste sur son menton et sa gorge, pour faire plus cochon !
Alice, finit Pierre à la main. Elle branle vraiment bien la garce ! Pierre lâche deux gros jets éclaboussant tout le monde !
– Vous n’auriez pas envie de pisser ? Nous demande Viviane.
– Pourquoi tu demandes ça ?
– J’aimerai bien essayer une douche dorée. Quand Alice et Lucie me l’avaient fait sur le ventre cet été, j’avais trouvé ça assez troublant, j’aimerai recommencer.
– Viens dans la salle de bains, on va te doucher, dit Alice.
Elle se place assise au centre de notre douche, Alice face à elle et nous de chaque côté. Nous laissons aller nos sphincters et ce sont trois jets de pisse qui l’atteignent au visage, sur les seins et le ventre.
– Hummm ! C’est chaud, allez-y, donnez moi tout ! J’en veux partout ! C’est agréable, j’en pisse aussi ! Dit-elle alors qu’elle se branle avec deux doigts.
Elle arrive même à avaler un peu du jet d’Alice après avoir ouvert la bouche pour y goûter.
– C’est pas mauvais, ajoute-t-elle. Je recommencerais, c’est sûr !
Je profite que nous soyons tous les quatre dans le receveur, il est très grand, pour ouvrir les robinets. Nous sommes aspergés par les jets venant de dessus et des côtés, nous nous savonnons dans une ambiance très joyeuse.
Après cette douche bienfaitrice, nous retournons vers le lit pour nous détendre et ne tardons pas à nous endormir.
Trois heures du matin, je me réveille avec la trique ! Apparemment je ne suis pas le seul. J’ouvre les yeux et la lumière tamisée des appliques me permet de voir Alice et Viviane en pleine action. Décidément elles sont insatiables ! Alice allongée, jambes écartées se fait brouter le minou par Viviane. Cette dernière est équipée d’un des deux gode ceinture. Alice lui demande de la culbuter et Viviane, qui ne se fait pas prier, se positionne entre les jambes ouvertes, lui soulève le bassin et la pénètre avec le vît en latex. Elle s’active par petits mouvements du bassin qui semblent parfaitement convenir à Alice qui gémit et l’encourage. Elles évitent de faire du bruit et ne se sont pas aperçues que je les regarde, allongé sur le côté, appuyé sur un coude, me tripotant de ma main libre. Je ne peux m’empêcher d’intervenir, ma bite est trop tendue pour que je ne m’en serve pas; je leur chuchote :
– Vous ne voulez pas en avoir une vraie, plutôt ?
– Tu es réveillé ! S’exclame doucement Alice et tu disais rien ?
– Je ne voulais pas vous déranger, vous avez l’air de vous entendre si bien !
– Viens avec nous, salopard ! Au lieu de garder ton érection pour toi ! Me lance Viviane.
Je les rejoins et remplace directement Viviane qui, restant derrière moi, me caresse la poitrine, le ventre et les fesses.
– Veux-tu que je te prenne mon grand cochon ? Me demande-t-elle.
– Tu en as envie ? Lui rétorqué-je
– Oui, j’aime ça, ça m’excite !
– Vas-y te gênes pas !
Elle recule un peu pour placer le sexe artificiel sur l’entrée de mon cul et sans ambages me pénètre jusqu’au bout.
– Hummm ! Yes ! Vas-y glisses doucement, c’est agréable !
Je la laisse faire et me met à son rythme pour baiser Alice. Viviane bien chauffée par celui qui lui rentre dans la chatte est la première à partir. Ses tremblements me secouent au niveau de l’anus; j’aime ces chatouillements. Une fois libéré du gode, je reprends un rythme plus ample et plus vif et Alice cède rapidement et m’arrose la queue.
– houaaa ! Qu’est-ce que c’est bon ! J’en finis pas d’avoir envie, je voudrais que ça ne s’arrête pas !
– Je suis un peu comme toi, dit Viviane, quand on commence, je n’ai plus qu’une envie : que ça continue.
– Et bien continuons les filles ! Pierre dort comme un loir, mais je suis là, moi !
– J’ai envie d’une double, dit Viviane.
– Pas de problème, tu en as déjà une dans la chatte, je vais te mettre la mienne derrière.
– Moi aussi, j’en veux ! Demande Alice.
– Tournes toi chérie, Viviane va te prendre.
Le cul en l’air, Alice tend ses fesses à Viviane qui, comme pour moi tout à l’heure pénètre en une fois, jusqu’à la garde.
– Houuu ! C’est fort !
Je me place derrière elle et, plus délicat, j’approche l’œil étoilé, passe le gland lentement, mais ce n’est pas à son goût.
– Vas-y entre, pas de manières ! Bourres-moi le cul !
Elle a envie de fermeté, voire de violence la garce. Je n’hésite pas et m’enfonce d’un coup. Ça me tire sur la peau, mais c’est bon !
– Tiens ma salope ! Prends donc tout ! T’aimes bien te faire bourrer le cul hein ?
– Oui, j’adore ça, c’est bon, vas-y fort !
– Hooo ! Je sens tes coups mon chéri, ils arrivent jusqu’à mon cul ! Ho que c’est bon !
Je redouble d’efforts et ça paye ! Alice explose, d’autant plus vite qu’en même temps, elle se branlait. Viviane prise des deux côtés en redemande encore et encore :
– Ouii ! Plus fort, plus fort, je viiienns, ouiiiii ! Je viiiiens ! Haaaa ! Un long cri accompagne son orgasme. Je me retire et tourne la tête vers le lit, apparemment Pierre ne semble pas avoir été réveillé, étonnant !
Elles ont les muscles totalement relâchés, que ce soit devant ou derrière et je nage dans l’une comme dans l’autre ! Je vais chercher un gode creux dans la malle, me l’enfile et les entreprend avec un engin beaucoup plus gros. Ça leur convient beaucoup mieux et on repart pour un tour. Les miss en 69, j’encule celle du dessus, baise celle du dessous. A ce rythme là, c’est ma queue qui ne tient pas ! J’ai le bout presque sanguinolent, hyper irrité et douloureux à cause des frottements subis en dernier dans le gode que je n’ai pas lubrifié avant, au point que je débande.
– Hé, ben, mon coco ! Qu’est ce qui t’arrive ? Je ne t’ai jamais vu abandonner la partie !
– Oui, mais là, c’est dur. J’ai mal au bout !
– A ce que je vois, ce n’est pas dur du tout, ironise Viviane.
Elle me prend la queue dans la bouche pour adoucir le feu sur le gland, presse la hampe avec des mouvements de lèvres et, sans avoir réussi à me faire bander, me fait éjaculer !
Viviane se tourne vers Alice, lui roule une pelle et elles s’échangent mon sperme à travers leur baiser.
Je les regarde, épuisé, la bite molle, mais le gland hypertrophié et rouge comme jamais ! Je sens que je vais avoir besoin de soins !