L’aventure, c’est l’aventure….02 par Verdon

L’aventure, c’est l’aventure….02 par Verdon

Ce poème fait suite à un récit écrit par Etienne. Ce récit bien écrit n’a malheureusement jamais eu de suite.
J’ai entrepris bien humblement de continuer l’aventure en espérant que l’auteur me pardonne de déroger un peu à l’esprit et la lettre de son récit.
Pour lire son récit, taper  » Kathy et Etienne  » dans la liste des auteurs, ou « l’aventure c’est l’aventure…  » sur la page d’accueil.

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……………..
Du jeune pharmacien la Dame a tant pris goût
Qu’elle le rejoint souvent en trompant son époux.
La coquine prétendant souffrir de névralgie
Camoufle à son cocu ses douces gabegies,
Prétextant qu’elle s’en va chercher dans l’officine
Un excellent remède chargé de vitamines.
La chose étant honnête tout allait donc très bien
Car son brave mari ne se doutant de rien
Pensait que c’était là, une bonne méthode
Content de retrouver le soir la place chaude.
Pourtant ces derniers temps son cul étant bien rose
 » Il me faut se dit-il, m’inquiéter de la chose « .
…………………..
Un soir le jeune homme, évidemment de garde,
La baisait gentiment lorsque soudain on sonne.
C’est le mari qui entre et derrière le comptoir
Découvre le cul nu, sa belle bambocharde
 » J’ai trouvé lui dit-elle, une drogue bien bonne
Qui calme doucement mes vilaines migraines « .
 » Ah putain ma salope ! Tu as mal à la tête !
Hé bien mieux qu’une drogue, j’ai un suppositoire » !
Et sautant du comptoir, il profite de l’aubaine
De son cul confondu pour en faire la conquête.
À si bonne prescription, Madame ne résiste
D’autant que le mari jovialement insiste
Pour que le pharmacien en face lui procure
Ce qu’adorent en principe les vicieuses mâtures
Qui ont à leur bel âge l’envie de rattraper
Ces plaisirs qui leur ont, jusque-là échappés.
Et prendre double dose n’est pas pour effrayer
Ces Dames qui adorent se faire tripatouiller.

Le jeune homme est timide mais au jeu s’y complait
Et la Belle par le cul et la chatte accouplée
N’a ni les pieds sur terre, ni raison en l’esprit
Elle exprime sa joie en poussant de grands cris.
Je ne vous dirai pas, car je n’étais pas là,
Dans quel état étaient après ce moment-là
Le cul de la souffrante et l’ordre du local
Mais vous vous en doutez, car femelle entre mâles
Ça dû, à mon avis faire pas mal de dégâts…
Des bons me direz-vous …mais j’en reste baba…
Et j’en veux à l’auteur de m’avoir oublié….
Une mâture de ce genre aurait pu se payer
Un homme supplémentaire pour se faire la totale.

Sandwich et 69 et l’éjecte faciale
Pipi, caca, sucette, joyeuses bacchanales.
Léchage du trou du cul de ses trois bons fouteurs
En prenant sur ses fesses de bien vives faveurs.
Sans compter sa façon, en séquence finale
D’encanailler les mecs à se faire enculer
Les uns entre les autres fièrement accouplés
Usant à profusion capotes et vaseline
Qu’ils trouvent en abondance dedans cette officine.
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Que Katie et Etienne ne me tiennent rigueur
D’avoir bousculé tant soit peu leur bonheur.
Mais il fallait du geste pour bouger l’hôtelière.
Car à fêter la fesse, qu’importe la manière
Quand on a sous la main une bonne matière.
Et pour corser l’histoire, ce n’est pas un mystère
Il faut par tous les trous gâter la créancière.
Ça donne du cachet. Ça excite le lecteur
Qui astique tellement son impatient braquemart
Qu’il se prend sur le ventre d’aussi chaudes humeurs
Que la Dame en a eues aussi de part en part.

22.08.2020

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