L’amant, les amants de ma femme
par Imxuva
Mariés depuis trois ans, ma douce et moi nous nous sommes connu il y a une dizaine d’années. Cela nous fait un petit 32 ans chacun. Noëlle (elle est née un 24 décembre !) m’a connu à la fac de droit. De simple amie, petit à petit on s’est rapprochés, jusqu’à une fête chez des amis où on a un peu trop bu…et finit pas se retrouver chez moi pour un dernier verre qui nous a entraîné direct au lit. Ni Noëlle ni moi ne nous souvenons bien de la soirée…mais 9 mois plus tard naissait notre fils…sans qu’elle ne s’inquiète avant 3 mois. Nous ne regrettons rien, surtout pas notre fils, pas plus que de nous être mariés, Noëlle devenue super ronde à ce moment là ! Toujours est-il que côté lit…si chacun avait beaucoup d’expériences de son côté, on n’en avait fort peu ensemble. Passons la naissance, quatre bon mois d’abstinence qui la suivirent. Nous voici fin 2001. Au final en dehors de notre première nuit, puis de 2 autres coups rapides avant que l’on ne s’aperçoive que nous allions devenir papa et maman, on ne se connaissait pas côté cul. En revanche…cet évènement imprévu avait fait naître de l’amour, tout à fait complété par des goûts communs, intellectuellement.
Tout semblait fonctionner plutôt bien, sauf en fait au lit. Noëlle au fil du temps devenait de plus en plus demanderesse, ce qui – vous me direz – est à priori une bonne chose. Le problème…c’est qu’elle m’épuisait physiquement, sans que je ne lui donne de plaisir. Pas un soupir, une chatte à peine humide…au point que ma douce finissait par avoir mal. On finit par en parler, et ma Noëlle me lâcha un soir qu’elle n’avait jamais pris son pied avec moi. Franchement étonné, comme quoi les nanas font croire ce qu’elles veulent, elle m’avoua que les deux fois où on s’était revus – à ma demande pressante – avant qu’elle ne se rende compte qu’elle était enceinte…elle avait fait semblant de jouir. Comme j’étais persuadé qu’elle avait jouit après, elle me rappela que c’était parce que je la masturbait. Puis elle me lâcha qu’elle préférait jouir en étant prise plutôt qu’en étant masturbée.
Bon ! Cela fait un choc, mais mieux vaut être au courant. On pris la décision la plus sage…se laisser un peu de liberté. En pratique Noëlle revit, seule, de son côté un ou deux de ses ex-petits copains, qui semblaient la satisfaire. De mon côté, je revoyais une ex, et nos relations de couple commençaient à s’espacer sérieusement hors quelques branlettes réciproques ou face à face.
En même temps on commençait sur son instigation à se raconter nos aventures, les siennes étant infiniment plus nombreuses que les miennes. Petit à petit je m’aperçus et elle aussi immédiatement, que j’étais particulièrement excité si je savais qu’elle venait de se faire sauter par un autre avant de rentrer à la maison. Elle me racontait ses jouissances, puis me décrivait avec insistance ce qu’elle avait fait et comment étaient ses amants. La taille de leur queue avait une grande importance pour Noëlle, qui avec ses doigts ou avec un centimètre me précisait les tailles ! Elle s’aperçut très vite que cela m’excitait. On en restait là mais nos relations prenaient une tournure de complicité, et l’un et l’autre y trouvions notre épanouissement. Noëlle semblait à nouveau très heureuse et nos relations sexuelles presque entièrement réduites à des masturbations étaient devenues quotidiennes. Le summum était nos masturbations solitaires, face à face. Le jeu – que nous pratiquons encore – consistait à ce que Noëlle me décrive ce qu’elle venait de faire quelques heures plus tôt, ou avec un amant qui lui avait procuré plus de plaisir. Elle me décrivait son corps, sa queue…et ne manquait pas de me faire remarquer que cela me faisait aussitôt bander.
A la fin de l’année dernière, elle me passa un coup de fil au bureau et me dis de la rejoindre chez une amie, dont je n’avais jamais entendu parler. Au lieu de rentrer à la maison j’allais donc à l’adresse qu’elle me donnait, une bonne heure avant celle normale pour dîner. J’apportais, achetée au passage une bouteille de bon vin, et sonne au nom indiqué. Une superbe fille, brune comme Noëlle, d’une vingtaine d’années m’ouvre la porte. On se présente, moi un peu gêné en costume cravate, la fille avec un espèce de short ultra court et un tee-shirt moulant qui laissaient totalement discernable des petits bouts de seins tous raides. La fille, Sophie, m’entraîne dans la cuisine pour y déposer la bouteille. Face à la porte de la cuisine ouvrait un couloir étroit et sombre, avec une porte entr’ouverte presque en face, laissant passer de la lumière. Sophie commence à me parler de banalités, genre pluie et beau temps, puis me dit qu’on dînera un peu plus tard me désignant une salade qui n’avait pas l’air terminée, et me dit de me décontracter en faisant mine de m’enlever ma cravate et ma veste. Comme il faisait très chaud dans cet appartement, je ne me faisais pas prier. J’avais à peine eut le temps de lui demander où était Noëlle que j’entendais un bruit d’orgasme. Sophie sourit et m’entraîna vers la porte entr’ouverte en mettant son doigt sur sa bouche et la mienne. Elle me bloqua l’entrée de ce qui était une chambre, avec un lit immense, et je découvrais de dos Noëlle assise sur un mec qu’elle me cachait et dont je ne voyais que les jambes. A chaque va-et-vient que faisait Noëlle je ne voyais qu’une queue énorme et complètement luisante. Noëlle au bout de quelques minutes qui me paraissaient interminables se remettait à hurler de plaisir. Je m’aperçus que je bandais quand je sentis la main de Sophie me palper à travers le pantalon ! Elle m’empêchait toujours de rentrer dans la chambre d’un bras, tout en baissant de sa main libre son short ridicule. Elle était vraiment belle. Un bon mètre soixante dix, mince juste comme il faut, des cheveux tous courts, des yeux noirs…et des petits seins parfaits dont les bouts semblaient vouloir déchirer son tee-shirt blanc sur une peau mate comme en plein été. Je tentais d’enlever mon pantalon tout en lui passant la main sur un minou presque rasé. Son entrecuisse était trempé, et le short blanc qui était par terre qu’elle portait sans slip avait une large tâche d’humidité ! Noëlle me fit
– Cela te plait ? Tout en continuant à s’empaler sur le corps allongé dont je ne voyais toujours que les jambes !
Je lâchais un « oui » rauque tant j’avais la gorge sèche d’excitation.
– C’est Sophie qui te plaît ? ajouta t’elle…
Je lâchais un second « oui » presque inaudible.
– Mauvaise réponse ! Me répondit-elle.
Sophie me tira hors de la porte et me la ferma devant le nez. Je me retrouvais comme un con dans le couloir. J’essayais de rentrer…elle était fermée à clef. Je tapais à la porte énervé, et retrouvais ma voix pour sortir « mais qu’est ce que vous foutez ? ». J’avais à peine eu le temps de le dire que la porte s’ouvrait et que je me retrouvais nez à nez avec un grand gaillard…cette fois en peignoir de bain. Je voyais toujours ses jambes, la tête en plus. Beau mec me disais-je. Il m’ouvrit en grand la porte. Ma queue était redevenue toute molle et je me sentais stupide à moitié à poil devant ce type en peignoir. Noëlle et Sophie riaient et en choeur
– On va baiser toutes les deux !.
Le garçon se présenta :
– Jean, et toi ?
Il laissa entr’ouverte la porte, me pris par le bras pour me ramener à la cuisine et me dit
– On les laisse un petit quart d’heure ensemble, puis on dîne
Il se mit à finir la salade, en me désignant les assiettes en pile pour que je mette la table.
– Quand t’aura fini tu peux jeter un coup d’oeil, mais t’entres pas ! Me dit-il très directif.
J’entendais des soupirs puis bientôt des orgasmes qui se mêlaient. Je me remettais à bander. Jean me tendit mon caleçon qui était resté par terre pour que je le remette. Je n’eus même pas le temps d’aller vers la chambre. Il s’était écoulé moins de 10 minutes et je voyais Noëlle et Sophie arriver dans la cuisine, complètement à poil. Sophie passa devant moi et tout sec en me mettant la main sur la queue, à travers mon caleçon que je venais de remettre, dit « j’ai envie d’une grosse queue ». Elle tirait en même temps Jean par la manche de son peignoir et me dit avec un grand sourire « tu peux jeter un oeil dans 2 minutes ».
Noëlle riait et me dit « fais ce qu’elle dit ! » tout en enfilant le peignoir que Jean avait enlevé et laissé tomber en allant à nouveau vers la chambre.
J’étais à nouveau excité et Noëlle me dit « on va voir ! ». Elle fit exactement comme Sophie…m’empêchant de rentrer. Je retrouvais cette fois Sophie dans la même position que Noëlle…et toujours les jambes de Jean au premier plan. Sophie pris un premier pied, très bruyant Elle se retira de Jean, bien lentement. Cette fois il n’avait pas de capote, mais ce qui luisait n’était pas son sperme mais le jute de Sophie. Noëlle me disait « vise un peu… ». Elle me tenait la queue en même temps et je la sentais gonfler dans sa main. « C’est Jean qui t’excite ? » me fit-elle à l’oreille… Il continuait de bander et se leva. Sophie se remettait son short blanc, et bien ostensiblement Jean nous faisait face, prenant son temps pour se passer une serviette qu’il se nouait autour des reins…sa queue absolument énorme en dépassant !
– On passe à table ! dit Sophie.
Le dîner fut surréaliste. La conversation se résumait à des banalités. A chaque fois que je posais une question du style « comment vous vous connaissez » etc… Chacun changeait de sujet. Noëlle s’était placée entre Jean et Sophie. Moi en face. La table était étroite et longue. Au moment du dessert, qui se résumait à une crème au chocolat en boite, Sophie commença d’un coup à répondre à toutes les questions que j’avais posé sans succès. « On s’est rencontrés par une copine commune » – j’apprenais du coup que Noëlle qui ne m’en avait jamais parlé aimait autant les filles que les garçons. « On baise ensemble régulièrement depuis 2 ans » « seule à seul, seule à seule, à trois, avec d’autres nanas, avec d’autres mecs, tous ensembles filles-filles, garçons-garçons ». Jean me faisait un sourire complice. J’étais gêné. Les 2 filles commençaient à me dire « tu penses quoi de Jean » (1,85 m, 75 kgs, teint mat, presque imberbe, cheveux courts brun, yeux bleus, musclé comme tout, une belle gueule et une queue comme je n’en ai toujours pas vu d’aussi belle en dehors de pornos, le tout pour 20 ans, Sophie en ayant 24). Elles me demandèrent de me lever et de baisser mon caleçon. Je m’exécutais tout gêné. Ma queue était toute molle. « Lèves toi Jean fit Noëlle ». Je me retrouvais en face de lui. Sophie lui fit glisser la serviette. Je l’avais contemplé du torse tout le dîner et là – comme une heure avant dans l’embrasure de la porte de la chambre – je le voyais à poil, mais à 50 cm de moi. Noëlle me fit : « tu vois ? À l’arrêt il fait 6 cm de plus que toi quand tu bandes à mort » (soit pour les curieux 20 cm au repos, ma queue étant assez large 4,5 mais ne dépassant jamais 14 en bandant au maximum). Sophie embraya « t’a compris pourquoi je t’ai pas baisé tout à l’heure ». Je me sentais rougir d’humiliation. Sophie tout en me parlant avait fait le tour de la table et s’était placée à côte de moi. Jean fit aussi le tour de la table et m’encadrait. Noëlle restait assise en souriant. Sophie me fit me tourner et je me retrouvais face à Jean. Son énorme queue était toujours au repos mais il la mettait contre la mienne. Sophie me passait en même temps le flan de sa main entre mes fesses. Noëlle lui dit
« Je suis sur qu’il est trempé ».
Sophie éclata de rire
« C’est rien de la dire » et elle me glissa brusquement un doigt dans l’anus.
Je me mettais à bander.
« C’est qui qui te fais bander ? » me dit Noëlle.
Je ne répondais rien. J’étais raide. La queue de Jean commençait à se lever. Il me pris la main et me la posa sur sa queue.
« Je crois que c’est moi qui te fait bander, non ? ».
Je balbutiais un son inaudible en pensant « oui ». D’un seul coup il m’attrapa le visage et me roula un patin. Sa bouche était trempée, la mienne toute sèche. En deux secondes sa salive envahissait la mienne. Instinctivement je me collais à lui. Je sentais sa queue qui écrasait la mienne contre mon ventre. Sophie nous arracha à cette étreinte. J’avais le coeur qui battait à 200. Noëlle me dit « on va vous regarder les enfants ». Jean m’avait pris par la main et m’entraînait dans la chambre. Les filles suivaient. Je me retrouvais allongé au milieu du lit, de 2 m par 2. Jean s’était allongé à côté de moi. Il frottait sa queue contre la mienne. Noëlle me dit
« Tu sais combien elle mesure ? » –
Je balbutiais
« Je sais pas, mais cela va jamais rentrer ! ».
Je l’embrassais. Sophie s’était mise à genoux derrière moi et me fourrais ses doigts dans l’anus. Noëlle était de l’autre côté et je sentais qu’elle mettait les siens dans les fesses de Jean, tout en embrassant Sophie au dessus de nous. Je bandais comme un turc et je mouillais incroyablement des fesses. Jean se mis une capote. Elle ne couvrait pas toute sa queue. J’avais compris le signal. Sophie me dit
« T’en aura pas besoin de la soirée »
Je lui dis « pourquoi ? »
Je pensais Jean seulement actif…
Non tu verras après.
Noëlle s’était mise du même côté que Sophie qui en était à 4 doigts. Elle me susurra
« Il va me faire jouir un petit coup et juste après je te le prête, avec ses 28 cm ».
Jean s’était remis contre moi comme pour que je vérifie. Sa queue était tout simplement deux fois plus longue que la mienne. C’était si long que même avec un bon 6 cm de diamètre elle faisait presque mince ! Noëlle s’était glissée entre moi et Jean. Sophie me doigtait de plus en plus vite et j’entendais les « splotchs, splotchs » de la queue de Jean qui enfilait Noëlle. J’étais excité au possible. Je demandais à Noëlle si je pouvais la pénétrer…brusquement je ne me voyais pas faire l’amour avec un mec tout en en ayant une envie incroyable. Noëlle ne me laissa aucun choix. Elle me balança « tu rigoles, avec toi je sens absolument rien » et elle se mis à jouir sous les coups de queue de Jean. Je participais à leurs mouvements sans même le vouloir et Sophie qui restait immobile se contentait de me laisser 4 peut être 5 doigts dans les fesses. Cela commençait à me chauffer mais je mouillais comme une nana, les ruades de Jean et Noëlle suffisant à me faire faire un va et vient sur les doigts de Sophie sans que je n’aie à bouger. Noëlle se dégagea de Jean. Il n’avait pas jouit (le bougre est capable de baiser des heures sans jouir, et d’à peine débander une fois qu’il a jouit !). Je sentais les doigts de Sophie se dégager. Elle me fit allonger sur le dos et mettre les jambes en l’air. Noëlle me colla au fesses un tube de gel et m’en enduisit l’anus s’amusant à me glisser les doigts dedans.
Puis elle lâcha à Jean « Vas y, à son tour ». Il m’attrapa les jambes et les passa sur ses épaules et en deux secondes je me retrouvais empalé. Le début fut un peu douloureux. J’avais débandé. Puis je me mis à onduler des fesses. Après j’ai un peu de mal à me souvenir. Noëlle me fit une pipe en se mettant sur le côté pendant que Sophie lui léchait la chatte offerte par derrière. Jean très doucement mais sûrement rentrait dans moi millimètre par millimètre, puis il commença aussi à onduler. Ma queue était redevenue raide. Il se cambrait totalement pour que ses abdos frottent ma queue tout en faisant des va et vient de plus en plus long. Les filles se masturbaient en nous regardant. Je jouis très vite, à la fois du cul et de la queue. Mon sperme inondait le ventre de Jean qui continuait ses va et vient. J’eus au bout de quelques minutes un autre orgasme du cul, violent cette fois. Ma queue était toute molle et voila que j’éprouvais encore plus de plaisir à être seulement enfilé. Jean se mus d’un seul coup à jouir. Je ne sais pas combien de temps s’était écoulé. Noëlle et Sophie se suçaient et se masturbaient copieusement. La soirée se finit…tôt le matin, chacun et chacune m’ayant baisé à tour de rôle, uniquement en m’enculant et en me masturbant.
Depuis cette soirée inoubliable le scénario se reproduit à l’identique entre 5 et 6 fois par mois. Noëlle peut aussi bien voir Sophie seule que Jean seul, comme il m’est arrivé plusieurs fois d’aller baiser avec Jean et Sophie sans Noëlle. Enfin, quand je dis baiser, c’est me faire baiser. Je n’ai jamais pénétré ni Sophie ni Jean et ai renoncé à pénétrer Noëlle. Avec elle, nous ne faisons plus que nous masturber, fister pour ce qui la concerne. La raison est toute simple…à chaque sexe sa taille. Le mien est trop petit pour eux. Jean est totalement actif et passif. Son mec préféré, dans ceux mariés ou en couple, est aussi l’un des préférés de Noëlle, son seul défaut étant de vivre à Marseille. Avec sa femme, ils nous rejoignent de temps en temps. Les soirées avec ce couple, qui fonctionne exactement comme les nôtres ont tendance depuis le printemps dernier à s’orienter de plus en plus vers des soirées homo. De plus en plus souvent on peut passer des soirées cote à cote, uniquement entre mecs mecs et nanas nanas.
La dernière, fin mai, notre couple de Marseille est venu avec un autre couple (quasiment de gamins, ils avaient 18 et 19 ans). On s’est donc retrouvé à 8. C’est là où on s’aperçoit de la différence entre des gamins et des « vieux » comme Noëlle et moi qui ont dépassé les 30 ans. D’abord ils font mentir les proverbes du style « on fait les bonnes soupes dans les vieilles marmites ». Je ne sais pas si les homos ou les bisexuels ont plus de talent que les hétéros, mais je n’ai jamais vu des gens aussi actifs que cette dernière fois. Les « jeunes » ont baisé avec chacun et tout le monde. Pour mon plus grand bonheur, car nos marseillais et leurs copains sont actifs et passifs. Si notre marseillaise n’aime elle aussi que les grosses queues, celle de son mari étant superbe (même si elle fait « kiki » à côté de celle de Jean), la petite de 18 ans…a trouvé la queue de Jean infaisable. Trop grosse pour une chatte étroite comme la sienne. Je dois bien avouer que si donc la majeure partie des nanas préfèrent des mecs bien ou très bien montés…les moyennes ou petites trouvent encore preneuses ! Pour avouer vraiment tout, son ami a baisé par mes soins interposés. Un tel sandwich valait le détour.
En conclusion, je regrette de ne pas avoir exploré mes phantasmes plus tôt ! Sans faire de prosélytisme, c’est quand même plus sympa quand on est 2 couples de pouvoir faire un échange complet. Une chose est sure, les bi semblent baiser plus que les hétéros. Quoi de plus naturel ? Vous n’êtes pas de mon avis ?
Imxuva
Un ton différent, ça change
Faut pas tout mélanger, soit l’auteur nous racont sa vie s’il trouve qu’elle est interessante à partager soit il délire ! Ici il mélange les deux, mesure les bites et semble tristounet. Pas terrible tout ça
Lourd et sans humour
Curieux récit qui commence par du vécu et qui se termine en plein fantasme. resterais à savoir à quel moment du récit celui-ci bascule dans le fantasme. C’est assez bandant mais l’obsession dimensionnelle m’a un peu agacé.