Ginette 2
La Vaisselle
J’avais donc baisé la coquine boniche
Après qu’elle se soit prise le tonton dans les miches.
Mais n’ayant pu flatter le petit trou voisin
J’espérais impatient un rendez-vous prochain.
L’attente fut bien longue. La Belle s’est mariée.
Et le temps qui passait je me désespérais.
Bien des années plus tard je retrouve Ginette
Qui pour ces retrouvailles veut qu’on fasse la fête.
J’accoure pour un weekend, un peu désabusé
Car le mari présent, je ne pourrai user
Des charmes convoités de ma divine hôtesse.
Nous passons tous les trois une soirée agréable
Chargée évidement de souvenirs très sages
Mais d’histoires bien gaies pas toujours avouables
Racontées par son homme spécialiste en l’espèce.
Puis Simon (ce dernier) se retire à l’étage
Impatient de remplir son devoir conjugal
Dès que sa douce ayant terminé la vaisselle
Ira lui prodiguer des soins universels.
J’offre à la ménagère aussitôt mes services
Non sans lui adresser un clin d’œil complice
Car déjà excitée et penchée sur la plonge
Elle frotte les assiettes avec son éponge
En remuant son cul qui raz sa mini-jupe
Me dévoile ses charmes cachés sous la dentelle.
Serrée dedans mon froc ma biroute se rebelle
Je tente des approches au cul de la coquine.
Elle semble intimidée mais je ne suis pas dupe
Face à son postérieur je dégaine ma pine.
» Oh non ! …Minaude-t-elle, mon Mari est là-haut,
Qui attend pour l’amour que je monte au plus tôt ! « …
Elle n’en desserre pourtant, pas moins ses deux genoux
En laissant s’échapper sa culotte légère
Que je chipe et je glisse dans le fond de ma poche
Puis je fourre mes deux mains dedans sa raie culière.
Et tant pis si la chose peut paraître un peu moche
Du Mari, en l’instant, royalement je m’en fous :
La Dame a un besoin, il faut la secourir
Si non son petit cul va se mettre à bouillir…
J’écarte ses deux globes et dans son arrière-cour
Je ballade ma langue dans son ravin d’amour
Puis grignote son trou aux piquantes saveurs
De pisse, de mouscaille et de bonne sueur.
Signe particulier que Dame en cet endroit
Se doit souventes fois se livrer à ces joies
Qui à son entrecuisses apportent cet arôme
Source de tant d’émoi à tout nez qui slalome
Sur les pentes soyeuses de cet étroit passage.
J’avoue qu’à renifler son pétulant derrière
Qui tel un Reblochon a bien du caractère,
Ça m’évoque l’image de ces Dames pas sages
Que l’on dit bonnes garces, charmantes mais cochonnes
Qui négligent l’endroit quand elles quittent le trône,
Afin d’affrioler quelques vicieux gourmets
Excités par l’outrance du croustilleux fumet.
Mais c’est sans hésiter que le bout de ma langue
Se met à vadrouiller au milieu de ses fesses.
Et lorsque je ressens tout au fond de sa raie
Le petit trou s’ouvrir, ému par les caresses
Que mon membre lingual follement lui prodigue :
Je lape goulument la rosette marbrée.
Ginette adore ça. Ça chatouille, elle gigote,
Elle me tend son bourgeon pour que je le bécote.
Il est rond, impudent, putain qu’il est mignon !
Quand j’y fous mon index, elle me dit : » que c’est bon ! »
Et si je le retire elle me demande » encore ! »
Alors avec deux doigts j’appuie un peu plus fort.
Elle me tire les cheveux en me disant: » viens vite ! »
Et d’un bon coup de reins en son cul je m’invite.
La raie appropriée et l’anus égayé
La vicieuse gourmande s’empale sur mon vié
Qui nappé du savon dont elle fait la lessive,
S’engouffre facilement dans la fine coursive.
Tandis que les deux mains agrippées à l’évier,
Elle pousse la Salope sur la vrille qui l’encule
S’enfilant toute entière jusqu’au raz de mes couilles.
Je la saisie aux hanches, quand j’avance elle recule
Embrochée sur ma pine vaillamment je la fouille
Une main sur sa bouche et l’autre dans sa moule
Je me la pousse au cul et je la tourneboule
Jusqu’à ce qu’elle s’éclate au son du clapotis
Que ma bite provoque dans le vicieux conduit.
Car très vite emballée, ma pine jouit vite
Et déverse mes joies dans ce fameux charnu
Que depuis des années, j’ai tellement attendu.
Réjouie mais inquiète car son Mari l’attend
Elle tente d’échapper à mon nœud qui la ferre.
Mais coincée par le bac et mon vié qui la fend
Elle ne peut se sauver, je poursuis mon affaire.
Je vais et je reviens et tant je la déprave
Que mon auguste gland ressort couvert de bave.
Les deux mains sous sa croupe je soulève ses fesses
Exposant turgescente et obscène la vue
De l’anus ébahi de ma lubrique hôtesse,
Dégorgeant sur ses cuisses le trop-plein de mon jus.
(Oh ! Diable quel trou !
Oh ! Le gros morfalou!
On dirait un lardon
Réclamant le téton !).
Puis je fais disparaître avec sa p’tite culotte
Les traces du délit par-dessus ma quéquette
Et mes mousseuses humeurs autour de sa rosette.
Deux claques sur son cul pour la féliciter
Et bien l’encourager à rejoindre son pote.
Ça rend à son pétard souplesse et loyauté
Que toute adultérine se plait à présenter
En forme à son cocu en rentrant au foyer…
(Ce qui est de bon goût entre mâles honnêtes
Qui chapardent parfois une fourbe rosette,
Mais savent que la chose gentiment abusée
Se doit d’être rendue fraîchement disposée
Au cocu qui pourra alors bien apprécier
Le conduit conjugal galamment lubrifié).
…Puis disparait la Belle en haut de l’escalier
En dandinant du cul comme une gourgandine
Qui sait qu’elle va se prendre encore une bonne pine.
(27.09.2018)
La fête cependant n’est pas encore finie
Car j’e……………..
Ça a quel goût un anus ?
Un petit goût d’Andouille de Guéméné 😉