Enquête sur une orgie meurtrière 5 – Diner sulfureux par Sade_1

Quand elles arrivèrent chez elles, les aiguilles de la pendule étaient alignées.

– J’ai rendez vous dans une heure, fit Anaïs, en levant les yeux vers l’horloge.

Elle partit directement se réfugier dans la salle de bain, se préparer avant son dîner. Pendant ce temps, Morgane essayait les multiples vêtements qu’il y avait dans l’armoire. Quand Anaïs ressortit, elle était magnifique. Elle portait un jean très moulant blanc, surmonté par un chemisier noir au décolleté très large. Ses cheveux remontés et frisés lui donnaient un air de belle reine mythique. Morgane ne put s’empêcher un sifflement admiratif.

– Si avec ça, elle n’est pas dans ton lit à la fin de la semaine, c’est qu’il y a un problème.
– Merci, fit la belle inspectrice, avant de partir.

Son amie partie, Morgane se doucha rapidement et enfila un vieux jean délavé mais confortable et un débardeur un peu trop petit, qui laissait apparaître ses deux seins bien formés. A 7h30, la belle secrétaire entra, un plateau sur les mains.

– Salut Clara, la salua t’elle. Mon amie n’est pas là, tu pourrais te joindre à moi pour le dîner.

La secrétaire acquiesça et s’assit au bord du lit, tout près de l’inspectrice. Cette dernière affamée, avala vite son repas qu’elle trouva un peu léger. En face d’elle, Clara prenait son temps, mangeant peu les yeux fixés sur la magnifique poitrine de Morgane. Elle ne fit d’ailleurs pas son repas, le laissant par terre. Morgane se laissa aller contre le lit, légèrement cambrée offrant plus encore sa poitrine à la femme aux cheveux auburn qui la surplombait. L’inspectrice attendait, se laissant admirer. Plusieurs fois, elle passa sa main sur ses seins, essayant de provoquer la jeune secrétaire, tout en la questionnant sur sa vie.

– Alors, votre métier vous plaît ?
– Oh oui ! Beaucoup ! “ Au chemin rouge ”, on a toujours un bon job.
– Même si vous étiez prostituée ?
– Oh, s’offusqua la secrétaire. Il n’y a pas de ça ici. On invite juste les gens à s’épanouir sexuellement, mais on ne baise pas qui on veut. Le contact doit être fait à deux.

Morgane se redressa et posa ses lèvres sur celle de Clara. Elle cherchait à infiltrer sa langue à la rencontre de celle de la belle secrétaire, mais celle-ci avait les dents serrées, comme crispées.

– Là, le contact ne s’établit pas entre nous deux, fit l’enquêtrice. Vous n’êtes pas consentante
– Si, si, coupa la secrétaire, j’ai été surprise.
– Alors, faites vous plaisir, laissez vous aller.

Tout en parlant, Morgane avait jeté son débardeur par terre. Elle se retrouvait, allongée, nue, sur le lit. La secrétaire bondit sur l’occasion. Elle tripota les deux beaux seins gonflés à pleine mains, les palpa, les sentit. Sa tête s’approchait inexorablement de la poitrine de Morgane. Elle finit par poser un timide baiser sur le téton gauche. Encouragée par l’absence de réaction de l’enquêtrice, elle passa le reste du sein sous sa langue et commença à embrasser et lécher ses seins laiteux avec de plus en plus d’envie et de passion. Morgane se laissa aller sous la langue de Clara, qui passait sur ses petits tétons roses dressés vers le plafond.

La secrétaire aux yeux noisette semblait folle, elle s’était mise à sucer les seins d’une manière frénétique, comme si elle avait hâte d’en finir. Bien qu’excitée, Morgane trouvait ça bizarre. Elle passa sa main au dessus de la jeune femme, tout en caressant son dos blanc et réussit à atteindre son jean. Elle défit le bouton et fit coulisser le pantalon contre ses cuisses. Clara comprit et s’approcha de la petite culotte. Elle posa ses lèvres contre le tissu et caressa le sexe gonflé doucement. Morgane sentit le contact de la bouche de la secrétaire à travers la culotte. Clara retira doucement ce sous vêtement, dévoilant le sexe de l’inspectrice. Celui-ci rasée, luisait de plaisir sous la lumière, il semblait attirer la jeune femme. L’enquêtrice frissonna sous les caresses, puis elle senti le contact doux et humide de lèvres sur sa partie la plus intime. La langue de Clara sortit malicieusement pour se poser sur le petit bouton d’amour, tel un serpent rose s’infiltrant dans sa caverne. La langue de la secrétaire tourna autour du clitoris avant de s’aventurer de plus en plus près de lui.

Au bout de quelques minutes, Morgane cambrée et jouissant, sentit la langue de sa partenaire entrer profondément dans ses chairs. Il ne fallut plus longtemps pour qu’elle se redresse à demi, enfonçant de ses deux mains la tête de Clara entre ses jambes. Celle-ci continua son travail tranquille, passant sa langue sur tout le sexe de l’enquêtrice. Elle sentit alors un chaud liquide emplir sa bouche. Un goût qu’elle connaissait : de la cyprine. Morgane, écroulée, venait d’éjaculer sur la belle secrétaire. Celle-ci avala et lécha encore le sexe de l’inspectrice, récoltant quelques gouttes de son amante. Clara continuait de happer, lécher doucement le clitoris de la belle brune. Elle remonta finalement sur Morgane, passant sa langue sur tout son corps jusqu’à rencontrer sa bouche. Les deux femmes s’embrassèrent, l’une d’elle goûtant sa saveur qu’elle avait laissée sur la langue de sa compagne.

– C’était génial, fit Morgane, en caressant les mèches blondes de Clara, affalée sur elle.

Celle-ci leva les yeux sur l’inspectrice et dit :

– Je n’aurais pas du, je ne sais pas ce qu’il m’a pris.

La secrétaire se leva alors et fila en ramassant les deux plateaux.

– Elle est bizarre, se dit Morgane.

Une heure après, Anaïs rentra dans la chambre.

– Alors, fit la brune tandis que sa partenaire se mettait en sous vêtement, comment s’est passé ton repas ?
– Parfait, fit Anaïs, souriante. Je pense que dans deux jours, elle sera dans mon lit. Bon allez, on a un spectacle, allons-y.

Les deux femmes se préparèrent et entrèrent sur scène. Elles refirent le même show que la veille, devant un public encore plus conquis. De retour dans la loge, les deux femmes se félicitèrent mutuellement. Leur patron vint lui aussi les féliciter.

– Je suis crevée, fit Morgane, en sautant sur le lit.

Elle ferma les yeux, cherchant le sommeil. Elle sentit soudain, qu’une main entrait dans sa culotte. Ses yeux se rouvrirent en même temps que les lèvres d’Anaïs s’approchaient des siennes.

– Qu’es tu fais ? lui dit-elle, en la repoussant.
– Excuse-moi, fit Anaïs en retirant ses doigts du sexe de sa partenaire, je sais pas ce qu’il m’a pris. Depuis que l’on est ici, j’ai l’impression qu’on me chauffe pour que je passe à l’acte. Là, j’ai craquée, pardonnes moi.
– C’est pas grave, fit Morgane, qui comprenait sa partenaire. Viens.

Elle prit Anaïs dans ses bras, blottissant leur corps l’une à l’autre.

– Après tout, moi j’ai eu droit à mon orgasme, pensa la brune ”.

Elle enfouit alors ses propres doigts dans la culotte de sa compagne, commençant à la masturber. Cette dernière se laissa aller, elle prit son pied, sentant les doigts de sa partenaire la pénétrer et ses lèvres se posaient sur son dos nu. Enfin, elle gémit, la jouissance envahissant tout son corps. Elle se retourna alors et posa ses lèvres sur celle de Morgane. Celle-ci laissa sa partenaire faire, pivotant légèrement pour permettre à la blonde de la chevaucher, leur langue toujours liées.

– Je t’aime.
– Moi aussi, moi aussi.

Toujours sur sa collègue, Anaïs s’endormit la tête reposant sur les seins de sa partenaire.

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