Emilie, la fille de ma seconde femme, vient d’avoir 19 ans, elle sort peu, n’a jamais eu de petits copains, vraisemblablement car elle est très timide. Elle est pourtant très jolie.
Ces dernières semaines ont été très dures, le travail la chaleur, et pour couronner le tout ma femme est partie en vacances avec sa mère. Emilie n’a pas voulu se joindre à elles car les voyages organisés c’est pas son truc.
La semaine dernière je suis rentré en fin de journée avec Phil un copain antillais. En général Emilie est à l’intérieur à profiter de la clim. J’ai donc proposé à mon pote d’aller directement vers le pool house, en bord de piscine, puis de prendre un bain. Là, surprise, Emilie est sur un transat, nue… Quel corps sublime, des seins ronds hauts placés, un ventre plat, un sexe lisse. Visiblement elle ne nous a pas entendu arriver car elle se caresse, les cuisses grandes ouvertes sa main bouge légèrement ses doigts par contre s’active sur son bouton, dessinent le contour de ses lèvres qui brillent de plaisir. Je fais signe à mon collègue de se cacher et de faire silence. Je m’approche et m’assoie d’un coup à côté d’elle. Elle sursaute et stoppe immédiatement ce qu’elle faisait.
Je lui dis que c’est dommage que j’aimais beaucoup la voir ainsi et je lui demande de recommencer,
– » Si tu me promets de ne pas toucher, je veux bien »
Alors là je suis scotché, je m’attendais à un refus violent et la voilà qui continue à se donner du plaisir devant moi. Au bout de quelques minutes mon sexe est dur comme un morceau de bois, je me masse lentement puis n’y tenant plus je descends mon zip et sort ma bite tendue. Emilie ouvre les yeux, me regarde, je lui propose de changer nos mains, elle sur ma queue moi sur son minou, elle refuse, je n’insiste pas mais continue à me branler.
Mon collègue n’en perd pas une miette et lui aussi a sorti son sexe, il est gonflé et long me semble plus gros que moi qui ne suit pas un petit modèle, (19 x 5). Je tente une caresse sur la jambe la plus proche, elle me regarde mais laisse faire, je masse doucement en remontant vars sa chatte humide, toujours rien, je pose alors ma main sur la sienne et promène mes doigts en compagnie des siens, elle se met à haleter les yeux toujours fermés. Je prends sa main, la pose sur ma queue elle commence à me branler doucement pendant que mes doigts fouillent son ventre, elle se tend. Je me penche sur son ventre son odeur de femme est forte, entêtante. Je lèche doucement son pubis lisse elle s’ouvre comme une fleur, mouille très abondamment je lèche j’avale tout ce qui coule là c’est super bon. Je commence à retirer le peu de vêtements que j’ai sur moi, elle continue à branler ma queue, je me redresse et lui présente au niveau de la bouche, je presse un peu, ses lèvres s’ouvrent et elle m’aspire la queue, pour une fille sans expérience elle se débrouille plutôt bien.
Elle est conquise, soumise à la loi de son plaisir et demande davantage. Je me retire de ses lèvres, prend une capote dans mon portefeuille et présente mon gland au bord de sa chatte vierge, c’est elle qui pousse son bassin vers l’avant et fait pénétrer mon sexe dans le sien, je suis comme sur un nuage, en quelques secondes je commence à la limer doucement puis de plus en plus vite, elle gémit, s’agite, ses seins sont agités par mes coups dans son ventre. Mon collègue lui n’en peut plus, d’un geste je luis fais signe de s’approcher doucement.
Il se met nu et approche, Emilie crie son plaisir, je la tiens fermement par les hanches et bourre sa jolie chatte. Je lui tends une capote, vu la taille de son engin je ne sais pas si ça va aller. Je le regarde faire, et finalement oui le préservatif est en place, d’un regard je lui propose de prendre ma place, je me retire de ce ventre bouillant, il s’installe et la pénètre d’un coup jusqu’au couilles, immédiatement elle se rend compte de la différence, ouvre les yeux, me voit devant elle. Je lui souris en mettant un doigt sur ses lèvres comme pour lui dire » chut ne t’inquiète pas je suis avec toi » elle regarde Phil, me regarde, puis en signe d’acquiescement pose sa tête à nouveau. Elle semble heureuse, je retire ma capote et tend ma queue vers ses lèvres, elle ouvre la bouche et avale, je regarde cette superbe fille, ce sexe noir magnifique qui la baise et moi qui me fait sucer, en quelques secondes je sens ma jouissance qui monte, elle aussi, j’essaie de me retirer mais elle ne veut pas, attrape mes couilles les presse , un jet de foutre lui remplit la bouche, un second, elle avale tout me regarde les yeux brillant et me tend ses lèvres pour un baiser passionné, je pose mes lèvres sur les siennes, mon goût me surprend, je sens sa langue qui force mes lèvres, j’ouvre et accepte ce baiser, je sais que je viens de me mettre dans une sacré merde.
Phil lui continue à limer sa chatte, rapidement il se vide en elle, se retire, la capote est pleine de foutre. Il se lève, d’un regard remercie Emilie, enlève la capote s’essuie la queue et nous quitte, en se rhabillant. Nous restons seuls, presque gênés, silencieux.
Depuis ce jour, Emilie est devenue une superbe accro du sexe, elle a jusqu’à présent accepté tout ce que je lui proposais. Ainsi, nous avons recommencé à baiser avec Phil plusieurs fois et elle a découvert avec étonnement mes tendances particulières et bi, cela s’est fait le jour ou Phil l’a sodomisé pour la première fois, elle voulait goûter cette belle queue » bien au fond » comme elle dit. Je pensais qu’elle avait envie dans sa chatte, mais non, elle a pris la queue en main et a commencé à frotter le gland sur son petit trou, puis elle m’a demandé de bien la caresser pour que ça passe mieux. Je lui ai proposé du gel, mais c’est ma salive qu’elle voulait donc, j’ai léché, sucé, dilaté doucement son trou avec ma langue. Puis j’ai commencé à mettre un doigt pour l’ouvrir un peu plus, Phil lui se faisait sucer la queue, elle avalait ça comme si sa vie en dépendait, moi je laissais couler ma salive sur son trou maintenant bien ouvert, comme nous avions faits un test tous les trois car nous prenons plaisir à baiser ensemble j’ai dit à Phil de venir, j’ai pris la main d’Emilie dans la mienne, je l’ai serré contre moi pendant que le gland prenait possession de ses fesses.
A un moment elle a eu mal, je lui ai dit attend. J’ai fait un signe à Phil qui s’est redressé, et est venue présenter sa queue à la bouche de ma coquine. Ce beau morceau à quelques centimètres de ma bouche, j’ai eu envie de le sentir moi aussi, j’ai tiré ma langue et nous avons léché et sucé ensemble ce gros sucre d’orge, une fois bien mouillé il est retourné entre les fesses pour ne plus les quitter jusqu’à son plaisir, cela a duré un très long moment les secousses étaient violentes. Emilie criait son plaisir à chaque pénétration, je me suis relevé pour aller regarder ce cul magnifique remplie par la queue de mon ami, j’ai avancé ma main pour caresser sa chatte , puis les couilles de Phil, un doigt s’est égaré entre ses fesses, il semblait aimer, je me suis relevé pour venir frotter ma queue entre les fesses poilues de cet homme qui semblait attendre avec impatience, j’ai pris du gel sur mon gland et j’ai enfoncé ma bitte lentement jusqu’au fond, Emilie me regardait les yeux ronds, Phil lui continuait à la baiser sauvagement et à se faire mettre ainsi, la violence de ce que cela représentait m’a fait perdre le contrôle et je me suis vidé dans ce cul accueillant, Phil en faisait autant dans le cul d’Emilie. Après quelques minutes j’ai retrouvé mes esprits j’ai demandé à Emilie si elle voulait un peu de douceur pour calmer le feu de son cul bien défoncé. Car pour elle c’était une première, et quelle première. Phil a sorti sa queue et le trou de ma petite chérie a laissé couler un peu de sperme pas tout à fait blanc. Lentement il s’est refermé, ma langue allait et venait du bouton aux lèvres détrempées de mouille, elle glissait parfois pour aller adoucir le feu qui s’éteignait derrière elle. Phil avait retrouvé sa vigueur, il est passé dans mon dos, je sentais sa grosse queue qui barrait mes fesses, puis il a les écartée, et a posé son gland sur mon trou, j’ai essayé de me dégager en avançant sur le ventre d’Emilie, comprenant ce que Phil avait en tête, c’est elle qui m’a dit
– » A toi maintenant »
Sensation à peine croyable que ce gland qui pousse mes chairs et rentre bien au fond de moi, Emilie se dégage et passe à côté de Phil ; je reste à genoux le cul embroché par une belle queue qui commence à bouger au fond de moi puis de plus en plus fort, je sens Emilie qui se penche et la queue sort de mon trou je me tourne elle la suce avec application, je lui dis :
– » Tu aimes ? »
Pour toute réponse elle me plante deux doigts dans le cul, les retire et les lèche ; je profite que Phil ne me bourre pas pour me retourner et me mettre sur le dos, je demande alors à Emilie de s’accroupir sur ma bouche et de me donner ce que Phil a laissé au fond d’elle. Lui a remis son sexe au chaud et continue à me baiser il tient mes jambes en l’air Emilie accroupie au-dessus de moi n’arrive pas à se lâcher, je suce ses trous pour la détendre, et puis miracle sous cul bien assoupli commence à s’ouvrir et le sperme de Phil à couler. Pour la première fois de ma vie je vais faire ce qui me répugne habituellement, mais là je ne sais pas pourquoi j’en ai envie. Il n’y a plus de foutre qui coule, et elle continue à forcer, je vois bientôt sortir une crotte, elle aussi sent ce qui sort elle pose alors son trou pile sur ma bouche et dépose son cadeau sur ma langue, en même temps je sens sur ma figure, ma poitrine un liquide chaud qui coule, elle se vide la vessie en même temps. Ne pouvant rien faire d’autre j’avale tant bien que mal tout ce qu’elle me donne. Je la sens qui se penche en avant elle m’inonde, me suce la queue, c’est géant. Elle se redresse et va se planter sur ma queue pendant que Phil continue à me bourrer. Mon trou est tellement dilaté que je ne le sens presque plus, elle lui dit
– » Encule-moi maintenant je veux vous sentir tous les deux »
Aussitôt dit…. D’une seule poussée il investit ce cul magnifique, ma jeune maîtresse crie son plaisir se couche sur moi et m’embrasse à pleine bouche. Prise en double elle perd toute maîtrise et jouit, et s’effondre Phil se vide dans son cul, je la pousse sur le côté me dégage et vient l’enculer à mon tour, elle ne réagit pas, je me vide dans son cul, je me retire, son trou reste ouvert rempli de foutre puis se referme lentement. Phil me dit
– » Je veux goûter aussi, Emilie met toi sur ma bouche »
Elle ne réagit pas, épuisée. Je la prends sous les aisselles la soulève et il se glisse dessous, la langue qui s’enfonce dans ce cul est longue, elle rentre dans le cul, je tiens ma chérie et je lui dis de se laisser aller comme pour moi, elle acquiesce je vois son ventre se contracter et Phil sa bouche se remplir d’un mélange de plaisir et d’autres choses. J’ai envie de pisser, je présente ma queue molle à la bouche d’Emilie elle avale sans conviction, et je me laisse aller au fond de sa gorge, elle a un mouvement de recul, je m’arrête, je me retire et je lui dis
– » A toi maintenant »
Elle prend ma queue et l’enfonce dans sa bouche, je me vide sans retenue, elle manque s’étouffer mais avale tout ce qu’elle peut, une fois vidé je lui dis
– » A Phil maintenant »
Elle se penche en murmurant
– » Vas-y donne-moi tout » et enfourne la bite de notre ami.
« En quête de plaisir »
Merci Lise du Sud, tu m’évites de chercher mes mots
Pardonnons l ‘autocensure (la fille de ma 2ème femme ….) absurde
Pardonnons aussi l’obsession du double centimètre qui fait dire à l’auteur avec une précision remarquable que la bite du monsieur nous fait 19 x 5
Et retenons l’essentiel, un petit bijou de perversité comme je les adore
Juste ce qui’il faut d’un peu crade ! J’adore !
Un texte délicieusement crade