Deux mecs et leur mère par Elian Lvekman
Bonjour je suis Gilles, j’ai 24 ans, étudiant, j’habite encore chez papa maman, de même que mon frère Cédric qui en a 22, étudiant comme moi.
J’ai toujours été obsédé par tout ce qui touchait au sexe, j’aime la compagnie des femmes, surtout quand elles sont plus âgées que moi, mais ne dédaigne pas celle des hommes. J’aime avoir une bonne bite dans ma bouche ou dans mon cul.
Mon frère est aussi cochon que moi et… mais laissez-moi vous raconter :
Ce matin, je me dirige vers la salle de bain après une nuit calme, Cédric y est déjà, il est à poil et il bande comme un malade.
– Tu m’as l’air en forme ce matin !
– T’as vu, hein ! Me nargue-t-il en me faisant face. Ça c’est de la bite, c’est pas de la rigolade !
– Hum je crois bien que je vais la sucer.
Un petit scénario qui se répète parfois, mais dont je ne me lasse pas…
Je me baisse et prends ce magnifique cylindre de chair dans ma bouche de salope, je pompe, je pompe, je me régale de la bonne bite de mon frère
– Relève-toi et tourne-toi ! Je vais t’enculer ! Me dit Cédric.
Il ne l’a pas fait de suite, souhaitant me préparer le cul en me léchant consciencieusement la rondelle… W?h ! Quelle langue ! Puis il m’a pénétré avec beaucoup de douceur jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon petit cul.
Quand il s’est retiré, sa bite était gluante de sperme et du jus de mon cul. J’ai nettoyé tout ça avec ma langue en me branlant.
Puis Cédric a quitté la salle de bain, je m’en étonnais car à l’évidence il n’avait pas terminé ses ablutions.
Qu’importe, je pris une douche rapide et revigorante, et me séchait sommairement avant de remonter pour m’habiller.
En passant, je constatais que la porte de la chambre de mes parents était restée entrouverte. j’y entendais des cris étranges.
Je m’approche à pas de loup. Et là, je découvre une scène hallucinante. Ma mère est à genoux sur le lit, appuyée sur les mains, et se fait prendre en levrette par Cédric.
– Ah, mon salaud ! Gémit-elle. Ah, comme tu me niques ! Tu n’as pas honte de faire ça à ta mère ? Oui, vas-y mon chéri, bourre-moi bien avec ta bonne bite ! Je joui, oui, oui…
– C’est bon ça, hein maman ? Un bon coup de queue. Tu sens comme je te baise. moi aussi je viens, ouah…. que tu es bonne, maman, ha, oui. oui….
Cédric se retire prestement et vient se placer devant sa mère.
– Ouvre la bouche, dit-il.
Mon frère tient sa queue en main, et se branle au bord des lèvres de ma mère. Les jets de sperme giclent au fond de sa gorge. Elle suce le gland, pendant que Cédric, par de lents va-et-vient, évacue les dernières gouttes. Ma mère s’écroule sur le lit, les yeux fixés au plafond.
J’aurais peut-être dû partir, non je restais là complètement halluciné, et puis j’ai dû faire un faux mouvement ce qui fait que la porte s’ouvrit carrément.
– Oh, mais qui est là ? Demande ma mère en me découvrant.
– Euh rien, je passais dans le couloir et la porte s’est ouverte. Je vous laisse.
– Tu ne te demandes pas ce qu’on fait tous les deux à poil ? Me chambre-t-elle.
– Euh…
– Tu sais, Gilles quand il y en a pour un il y en a pour deux.
– Ben… Il y a longtemps que vous faites ça ?
– Plusieurs semaines on va dire, même un peu plus ! Allez viens, approche que je goûte à ta queue. On va voir si elle est aussi bonne que celle de ton frère !
– Je, je…
– Tu ne vas pas te dégonfler, intervient Cédric, viens te faire sucer par maman, elle est très douée, tu sais.
J’étais fasciné de voir ma mère à poil avec ses gros nichons si excitants avec leurs grosses pointes durcies.
Alors comme un zombi, je me suis approché et j’ai laissé ma mère me prendre en bouche !
Putain qu’est-ce qu’elle suçait bien ! Et en même temps mon frangin m’introduisait un doigt dans le cul.
Puis ma mère s’est retournée, elle s’est mise en levrette, me demandant de l’enculer, j’étais tellement excité que je suis parti en moins de deux minutes. Elle s’est couchée sur le dos, a commencé à se palucher avant de me demander de la relayer
Ce fut le début d’une longue série de baise à trois, souvent ma mère nous demande à mon frère et à moi de nous sucer et de nous enculer devant elle avant que nous la prenions en sandwich.
Tiens à propos de sandwich, j’ai comme un petit creux.
Petite variation sur un thème pas si classique que ça, ça aurait demandé à être étoffé mais fallait le faire quant même
L’imagination ne connaît aucune limite !
JC’est plus courant qu’on le pense mais comme c’est tabou, personne n’en parle