Corinne par Manu01
En plus de 5 mois passés au Club, je n’ai eu que deux expériences qui cadrent dans ce site à vous raconter. Seulement deux filles qui sont conscientes que ça peut être très excitant de faire pipi devant un mec. Deux en cinq mois, c’est peu. Et toutes deux françaises. Ce qui ne m’étonne guère car quand on y pense, c’est quand même un fantasme assez cochon. Or le français est, j’en suis sûr, l’européen le plus crade. Le plus sale aussi. Une honte. Mais ça a aussi de bons côtés car nos femmes sont les plus cochonnes. On cite parfois les Allemandes mais je n’ai jamais fait avec une Allemande le quart de la moitié des cochonneries déjà expérimentées avec des Françaises. Je suis peut-être mal tombé. Bon, il faut dire que ce n’est pas le genre de truc dont on parle la première nuit que l’on passe avec une fille. Et qu’à part celles qui travaillent ici, elles ne restent souvent qu’une semaine. C’est court pour faire connaissance et partager ses fantasmes les plus osés. De plus on a beau avoir ce genre de fantasme, on a pas envie de faire ça avec toutes celles que l’on rencontre. Il faut pas mal d’affinités avec la demoiselle, à moins de tomber dans le crade, ce qui n’est pas trop mon truc. Ce que j’aime dans cette pratique, c’est satisfaire mon côté voyeur et la transgression d’un tabou. Peut-être un des derniers tabou d’ailleurs. C’est très intime et je trouve ça très mignon.
La première histoire, « Delphine », est en fait chronologiquement la deuxième. L’autre s’est passée au tout début de mon séjour.
L’ambiance ici est très étrange. Le Club n’ouvrira ses portes que dans deux jours. Nous ne sommes qu’une soixantaine de G.O. perdus dans un parc immense prévu pour un bon millier de clients. Des G.O. arrivent chaque jour de tous pays : France, Italie, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Angleterre, Autriche,… Il nous reste quelques jours pour faire connaissance et lier un véritable esprit d’équipe. C’est loin d’être évident, déjà les premiers clans se forment et… le premier G.O. qui s’est fait viré vient de quitter le village.
Nous sommes convoqués ce soir par le Chef de village à l’amphithéâtre. Il nous présente les différents responsables des services, les hôtesses d’accueil – charmantes – le toubib et les deux infirmières. Le toubib nous fait un exposé sur ce que l’on sait à ce jour sur le sida – je trouve ça très bien – et nous recevons tous un paquet de 10 capotes distribués par les infirmières. Il nous annonce que les infirmières en glisseront un paquet chaque mois sous la porte de notre case. Et tant qu’on en est à discuter de cul, le chef de village, appelons le Max (puisque c’est son prénom) nous fixe les quelques règles du Club : pas de relation avec des mineures, ni avec des hommes ou femmes « en couple », sauf accord du conjoint. Pas de relation visible entre G.O. puisqu’on est sensés rester disponibles pour les client(e)s. Ne jamais oublier qu’une bonne partie des vacanciers viennent au Club pour le cul, autrement dit, si on est pas porté sur la chose, on s’est peut-être trompé d’adresse. Au moins c’est clair, le ton est donné ! La réunion est suivie d’un petit cocktail… très arrosé. C’est pas con, ça crée des liens. Je fais la connaissance de quelques types sympas, pour la plupart complètement déjantés et de quelques filles étonnantes. Anne, responsable du poney-club, moche mais nymphomane et fière de l’annoncer, un véritable vagin sur pattes. Patty, mignonne et très attachante mais malheureusement – pour moi – lesbienne convaincue. Patricia, infirmière, un mignon petit visage mais un très gros cul, imbaisable. Corinne, l’autre infirmière, intellectuellement bien au-dessus de la moyenne et plutôt mignonne. Cony, une petite allemande très romantique. Jana, qui arrive vers moi avec un grand sourire genre « on se connaît depuis des années » en me disant avec un petit accent germanique :
– Bonjour, moi c’est Jana. Je te trouve très beau.
Je vous jure que j’ai rougi comme un adolescent.
On dit que l’alcool délie les langues, il les lie aussi… entre elles. Anne, le vagin sur pattes, repart avec deux types de l’équipe de voile, ne laissant aucun doute sur la suite de la soirée. Cony avec un Strasbourgeois détestable, très imbu de sa personne. Jana frotte de plus en plus ses seins contre moi : je ne dormirai pas seul pour ma deuxième nuit au Club.
Le lendemain, en fin de journée, je rentre dans ma case et découvre, glissé sous la porte un paquet de capotes. Ça m’en fait 20. Non 19, puisque Jana est venue « dormir » avec moi. Mais le lendemain, un nouveau paquet de 10. Et ainsi de suite pendant une semaine. Renseignement pris, les autres G.O. n’en ont pas reçu depuis notre petite réunion. Je décide d’aller voir les infirmières, même si elles sont censées n’en distribuer que 10 par mois. Mais vu la file de touristes aux chevilles foulées, au genoux écorchés et aux coups de soleil pelés, je renonce. Et puis un jour, j’en retrouve une douzaine de paquets. Là, je me dois de faire la file. Le hasard des horaires – les infirmières travaillent en alternance – fait que je tombe sur Corinne. Elle m’impressionne un peu. D’abord parce qu’elle semble très sûre d’elle. Et puis elle doit avoir une dizaine d’années de plus que moi – j’ai 23 ans. J’ai mangé un soir avec elle. Elle est assez bandante mais j’ai l’impression de jouer dans la cour des grands. C’est clairement pas pour moi. Finalement la file avance assez vite. Elle semble de bonne humeur. C’est mon tour. Elle me regarde de bas en haut, sans doute pour chercher le bobo que je me suis fait.
– Non, je ne me suis pas fait mal. C’est juste que… (J’ai l’impression d’être un écolier qui brosse les cours à l’infirmerie de l’école). …j’ai reçu un nombre invraisemblable de capotes glissées sous la porte et je me dem…
– Ben, t’en as mis du temps pour venir.
– Quoi ? C’est…
– C’est une invitation. On est ici pour cinq mois, je te trouve mignon. Quand t’as envie, t’es le bienvenu. Et si t’es d’accord, je viens frapper à ta porte quand moi j’ai besoin…
Je suis sur mon cul. Ça manque un peu de romantisme à mon goût mais tant pis pour le romantisme. Elle sourit, toujours aussi sûre d’elle. Ses yeux sont plongés dans les miens. Je mets pas mal de temps à déglutir. Il faut que je trouve vite quelque chose de pas trop con à dire. Ce qui est loin d’être évident. Alors mieux ne vaut rien dire. Je souri à mon tour et m’approche de ses lèvres. On s’embrasse, c’est très agréable. Je glisse mes mains sous sa tenue d’infirmière. Dessous, elle est en sous-vêtements. Je caresse son dos, redescends vers ses fesses. Moi qui ai l’habitude des filles nettement plus jeunes avec lesquelles il faut des heures de patience pour apercevoir un bout de sein, j’en profite. Je remonte sa blouse à hauteur de la taille et plonge ma main sous son string. Mais là, elle m’arrête.
– Non, pas ici. Il y a quinze éclopés devant la porte. On a pas le temps de faire ça bien et si tu continues, je ne vais plus être en état de travailler. Je termine dans une heure, on se retrouve dans ma case.
C’est long une heure.
D’autant plus qu’elle arrive bien en retard et que dans une heure, c’est moi qui doit repartir travailler. Sa case est ouverte, je rentre. Je l’attends, allongé sur le lit. J’hésite à me foutre à poil. Elle arrive, tout sourire.
– Ça va ? Pas trop choqué ?
Elle se fout de ma gueule en plus.
– Si… complètement. Je crois que j’aurais besoin d’une infirmière. (Oui, je sais, c’est pas drôle, mais je fais ce que je peux).
Elle a la gentillesse de ne pas me descendre en flèche et s’allonge sur moi. Elle n’a même pas fermé la porte. On s’embrasse, ça devint tout de suite très chaud. On se déshabille. Elle me suce. Comme une déesse. Elle a la peau très douce. Très bronzée aussi. Elle sent bon. Sa peau sent le soleil. Un vrai bonheur. Je la lèche. Manifestement, elle apprécie car elle commence sérieusement à mouiller. Elle gémit de plus en plus fort. J’ai une brève pensée pour la porte restée ouverte. Je n’en peux plus, j’ai trop envie d’elle. Je m’enfonce en elle. Et là, en quelques minutes, elle devient comme folle. Ce ne sont plus des gémissements mais des cris. Elle est de temps à autre secouée par un spasme. Elle m’allonge à nouveau sur le dos et se remet sur moi. C’est presque violent mais très excitant. Elle jouit en hurlant. Je n’ai jamais vu une fille jouir aussi fort. Elle ne s’arrête pas pour autant, ralentit à peine la cadence. Toutes les positions y passent. Il fait très chaud dans la case, nous sommes en nage. Ça n’a pas l’air de la déranger. Au contraire, elle lèche ma peau. Je ne tiens plus, je joui en elle. C’est très fort. Je m’effondre sur elle. Nous restons de longues minutes sans bouger. Un coup d’œil discret sur ma montre. Merde, je suis en retard. Je m’habille en vitesse et file rejoindre mon groupe de l’après-midi.
C’est court une heure.
Ce soir, pas de jogging. Pas la tête à ça… Tout se sait toujours très vite au Club : Jana me fait la gueule. Je tente de la baratiner un peu mais elle ne veut même pas me parler. Je ne m’acharne pas, je ne perds pas au change. Corinne est vachement plus bandante. Je la retrouve en fin de soirée. Au bar de la piscine. Elle drague un touriste italien. Je fulmine. Je ne suis pas jaloux mais… en fait, si, je suis jaloux. Et Jana qui m’a lourdé, ça m’apprendra. Je rentre vers ma case, seul. A peine arrivé, Corinne me rejoint.
– Jaloux ?
– Non ! (Pourquoi les mecs ont-ils peur d’avouer qu’ils sont jaloux ?)
Elle sourit. Elle m’énerve avec son sourire. Et son air, tellement sûre d’elle.
– Tu ne restes pas avec le vieux du bar ? (Il doit avoir à peine 40 ans mais ça me fais du bien de l’appeler « le vieux ») Re-sourire. Traduction : « Ne joue pas à ça avec moi, t’as déjà perdu ! »
– Tu veux me sodomiser ? Là, elle vient de m’achever d’un coup ! D’autant plus que je n’ai encore jamais pu sodomiser une de mes copines. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé. Elle me prend par la main et m’emmène dans sa case. Elle laisse la porte ouverte. C’était donc fait exprès la première fois. Elle se débarrasse de sa robe. Elle est nue en dessous. Elle se couche sur le lit. Sur le ventre, jambes écartées, la tête tournée vers moi. Et toujours ce sourire. Mi-salope, mi-moqueuse.
– Tu me lèches le cul d’abord ?
Si elle voulait à nouveau me désarçonner, c’est raté car j’adore ça. Quelques coups de langues plus tard, on se met en 69. C’est fou ce que c’est bon quand elle suce. Ma langue passe de sa chatte à son cul. Je lui enfonce un doigt. Puis deux. D’abord dans son sexe. Puis dans son cul. Elle veut me faire la même chose mais je ne me laisse pas faire. Je n’aime pas ça. Rassurez-vous, j’ai changé d’avis depuis. C’est divin. Elle se met à quatre pattes, son cul bien en l’air et me regarde. Toujours ce sourire. Je suis maintenant debout derrière elle. Ma queue est contre son anus. Rien que de voir ça, c’est déjà bon. Je m’enfonce tout doucement en elle. Mon premier trou de cul résiste un peu, puis cède d’un coup.
– Doucement.
Je suis ravi : elle ne sourit plus. Les expressions se mêlent sur son visage. Elle semble avoir très bon, et pourtant ça à l’air malgré tout assez douloureux.
– Continue, viens plus loin. Elle se caresse en même temps. S’enfonce deux doigts, peut-être trois, la tête enfouie dans l’oreiller. Elle gémit. A nouveau très fort. Dans le silence de la nuit, elle me semble encore plus bruyante que cet après-midi. Son cul me serre très fort, je ne tiendrai pas longtemps. Nous jouissons ensemble. Elle s’allonge contre moi. Tout contre moi et s’endort quelques minutes plus tard. Moi, je mets des heures à trouver le sommeil.
Elle me réveille en pleine nuit.
– J’ai envie de faire pipi. J’ai pas envie d’aller toute seule dans le noir. Tu viens avec moi ?
Je pense un moment à faire semblant de ne pas avoir entendu mais elle commence à jouer avec ma queue et je ne peux pas feindre longtemps de dormir. D’ailleurs, en quelques instants, je suis complètement réveillé. Elle prend une lampe de poche et sort de la case, nue. Je la suis, tout aussi nu et de toutes façons, vu mon état, impossible d’enfiler un pantalon.
– Tiens, éclaire-moi.
Les toilettes sont assez loin, j’aurais dû prendre mes chaussures car nous sommes dans une pinède et je ne peux pas faire un pas sans me faire mal. Mais elle ne fait que quelques pas et s’arrête. Se retourne et commence à faire pipi debout alors que je l’éclaire avec la lampe de poche.
– T’avais besoin de moi pour faire pipi quasi devant ta case ?
– Non, mais j’aime bien qu’on me regarde.
Son jet part complètement de travers et elle s’en fout plein la jambe. Mais elle ne fait rien pour y remédier. Je m’approche un peu et pose une main sur sa chatte alors qu’elle n’a pas encore fini.
– Waouw ! Pas si coincé pour un petit jeune ! Si tu veux, la prochaine fois, je te pisserais dessus.
Je l’embrasse. Rien que d’y penser, je suis encore plus excité.
– A toi maintenant, et si tu veux tu peux faire sur moi.
Mais je bande comme un taureau et je suis bien incapable de faire pipi en bandant. Et d’ailleurs, j’ai bien plus envie de la baiser que de faire pipi. De plus, faire pipi sur une fille, ça ne me tente pas. Même si j’adore le rôle inverse.
Durant les jours suivants, je crois qu’elle a plus fait pipi avec moi que sans moi. A toute heure et partout. Aux toilettes bien sûr, où elle s’assied d’abord. Je m’assieds sur elle, face à elle. Je joue avec son petit jet. Elle adore ça, moi aussi. Elle me demande à chaque fois de faire pipi dans cette position. Autrement dit sur elle. Mais rien à faire. Je fais un blocage. Autre lieu : dans la piscine. Sous l’eau. De préférence quand il y a plein de monde. Elle écarte son maillot et je mets ma main sur sa chatte. C’est assez difficile d’être discret car elle me met dans un état pas croyable. Parfois dans la nature, sans prévenir. Je crois que c’est comme ça que ça m’excite le plus. On s’embrasse. Elle se frotte à moi et tout à coup, je sens un filet chaud couler le long de ma cuisse. Elle continue à se frotter et m’en fout partout. Ça se solde à chaque fois par une grosse partie de baise au beau milieu de la pinède.
Au cours des 5 mois, on a finalement assez peu baisé : quand je suis « célibataire » elle est avec quelqu’un, ou le contraire. Et puis son mec est venu de France pour 3 semaines. Et puis quelques petites disputes. On est pas dupes : elle n’est pas amoureuse de moi et je ne le suis pas d’elle. On se respecte, on se confie des choses et on se fait plaisir.
J’ai quitté le Club en octobre. Il y dix ans. Je n’ai plus jamais entendu parler d’elle.
Manu. Phry12@hotmail.com
Oh, la belle histoire !
Pas mal du tout, Pour par part depuis que j’ai découvert cette pratique, j’ai du mal à m’en passer
Très intéressant parce que probablement vécu
Intéressant, c’est qu’il faut les trouver les nanas qui foot dans l’uro !
Un point de vue intéressant