Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 17 – La reine des vampires
– Si vous disparaissez de la circulation, quelqu’un va s’inquiéter ? Demande Sidonie aux filles.
– Moi, je suis partie de mes chez mes parents il y a un an, alors… Répondit Cynthia
– Tu ne leur donnes pas de nouvelles ?
– Non !
– Et toi, Na Ying ?
– Je suis orpheline, j’ai quitté ma famille d’accueil, dès fois je passe leur faire un petit bonjour, mais c’est tout.
– Ils savent que tu habitais avec Aurélien ?
– Non, je ne leur parle pas de ça !
Donc de ce côté tout va bien. Cynthia est un vraie vampire qui a appris à se transformer, on va donc l’emmener avec nous.
Pour Na Ying c’est plus compliqué, elle est incapable de voler, elle finira par devenir vampire, mais pas de suite, ça peut prendre des mois, voire des années, mais elle le deviendra c’est inexorable. De plus si personne ne lui pompe le sang, elle va finir par avoir des troubles… Lui donner l’adresse du Clos Pinette et lui demander de nous rejoindre ? Voilà qui n’est pas sans risque…
– Je vais prendre le train avec elle ! Me propose Sidonie.
– C’est quoi « le train » ?
– Oh, là là, t’as encore besoin de pas mal de cours de rattrapage, toi !
Comment elle me parle !
– J’espère qu’il y a des trains de nuit, sinon on fera du stop. Ajoute-t-elle.
– C’est quoi « du stop » ?
– Mais attendez, j’ai une moto ! Nous confie Na Ying
– C’est quoi « une moto » ?
Ben voilà il y a toujours une solution à tout ! reste Aurélien. Pas du tout envie de vampiriser ce mec. Na Ying intervient.
– Laissons le tranquille, il n’est pas dangereux, que veux-tu qu’il aille raconter aux flics : qu’il a rencontré des vampires alors qu’il s’amusait à des jeux salaces au Père Lachaise à une heure du matin et que suite à cette rencontre sa copine s’est transformée en chauve-souris. Ils vont le prendre pour un dingue.
– O.K, on le laisse tranquille.
– Euh et Sylvana ?
– Qui c’est Sylvana ?
– Ma copine, elle voulait devenir vampire…
– Eh bien, tu reviendras la chercher dans un mois ou deux, mais pour l’instant on s’en va !
On est allé se calfeutrer en attendant le nuit suivante, puis n’ayant aucune raison de s’éterniser, on est parti, Na Ying et Sidonie en moto, Cynthia et moi en chiroptères.
Jeudi 23 avril
A la DCPJ, c’est la confusion, car si le soulagement d’en avoir fini avec les deux dangereux récidivistes provoque une certaine euphorie, celle-ci reste teintée d’interrogation et de dépit.
– On a été super mauvais dans cette affaire, la police n’a rien fait du tout, il faut qu’on sorte quelque chose à la presse qui nous valorise un peu. Quelqu’un a une idée ? Demande le chef de cabinet du ministre.
Non, personne !
– La vidéo-surveillance ?
– L’angle est mauvais, on voit deux personnes, sans doute des femmes, balancer les têtes dans la benne, On a pu les pister jusqu’à leur véhicule, une Audi noire; la plaque est illisible.
– On peut pister l’Audi sur les vidéos ?
– On a essayé, ça ne donne rien, il y a pas mal de caméra en panne…
– Et en remontant le temps ?
– Pareil.
– Bon je suppose que le travail a été fait par des professionnels et qu’on ne trouvera pas d’empreintes. Et le mobile, c’est quoi le mobile ?
– Peut-être que ces deux types finissaient par donner une mauvais image de toute la sphère gothique…
– Arrêtez de dire des conneries, la mouvance gothique a entièrement été passée au peigne fin, ce sont des doux dingues à moitié camés, incapables d’aller couper la tête de quelqu’un.
Ce en quoi il se gourrait complétement, mais ceci n’est qu’une parenthèse.
– Bon, conférence de presse à midi, je vais préparer un mémo pour le ministre, ceux qui ont des idées géniales peuvent m’envoyer des messages.
Et c’est sans grande conviction que le ministre lu ce que lui avait préparé l’un de ses proches conseillers :
– Cette nuit, François-René Couillard et Bertrand Piquette, ont été formellement identifiés par deux gardiens de la paix différents dans le secteur Beaumarchais-Amelot-Bastille, ceux-ci avaient instruction de ne rien tenter, mais de nous prévenir d’urgence. Aussitôt un dispositif policier s’est mis en place, sans que l’on parvienne à repérer ces individus. Une fausse information nous a malheureusement fait ensuite déplacer le dispositif vers Richard-Lenoir. Une demi-heure plus tard un appel anonyme au commissariat local nous informait que les têtes découpées des deux individus avait été jeté dans une benne en haut de rue Amelot. Dans l’état actuel des choses nous pouvons dire trois choses : D’abord un grand soulagement devant cette fin de cavale, ensuite je remercie les services de police qui grâce à leur vigilance et à un travail de terrain acharné ont réussi à les localiser. Quant à leur exécution cela reste pour l’instant un mystère mais la police travaille afin de tenter de reconstituer ce qui s’est passé. Non, non pas de question, quand nous en sauront davantage, vous en serez informé.
Et le ministre quitta la salle de presse. S’en suivit une brève réunion avec les hauts responsable de la police.
– On en va pas continuer à mobiliser tout ce monde maintenant que l’affaire est terminée, on va attendre une semaine pour être sûr que personne ne va prendre le relais de ces deux crétins, et pour enregistrer une éventuelle revendication. Et ensuite on boucle le dossier, on s’est assez ridiculisé comme ça.
– Ces découpeurs de têtes représentent peut-être un danger potentiel ! Osa quelqu’un.
– C’est bien pour ça qu’on attend une semaine, mais pas plus !
– Concrètement on fait quoi ?
– Mettez une équipe restreinte sur le coup… pendant une semaine.
– Et si à ce terme si on a rien trouvé, il faudra bien qu’on dise quelque chose.
– On trouvera bien, et si on ne trouve pas on n’en mourras pas.
On est arrivé au clos Pinette avec Cynthia vers 10 heures et demie du soir. Je leur présente la nouvelle recrue et les avertis de l’arrivée imminente de Sidonie et d’une autre nouvelle venue. J’explique ensuite en deux mots ce que nous avons fait à Paris sans trop m’attarder sur les détails.
Mais justement, ces messieurs dames, les détails ils en veulent. Sont bien gentils mais ils sont fatigants parfois !
Marie-France suggère alors que l’on fasse une petite fête pour arroser tout ça et souhaiter la bienvenue aux nouvelles… et puis ajoute-t-elle :
– Tu pourras mieux nous raconter tout ça.
Sur ces entrefaites, Sidonie et Na Ying arrivent. Bisous, bisous, présentations. On débouche le champagne, on remplit les verres, on trinque, on boit… Une bouteille ne suffit pas, on est quand même neuf, sept femmes et deux hommes, on en débouche une autre…
– Elles sont trop mignonnes, ces petites nouvelles ! S’exclame Marie-France l’œil salace.
Je la vois venir, la nympho ! Mais après tout pourquoi pas ?
– Mettez-vous donc à poil, je crois que cela va intéresser la petite dame ! Proposais-je.
Elle obtempèrent sans broncher !
– Oh, mais, elles ont le cul tout rouge ! Remarque Marie-France qui est très observatrice.
– Et alors t’es jalouse ! Rétorquais-je.
Tout le monde a tendance à s’approcher, je crains un peu que ça tourne au grand n’importe quoi. A moi donc de cadrer tout, ça. Après tout n’est-ce pas moi la reine des vampires ?
– Ecoutez tous, je crois que tout le monde a envie de s’amuser ici ce soir, alors d’accord nous allons nous amuser. Mais en ce qui concerne ces gentilles demoiselles, tout le monde aura l’occasion de flirter avec elles si toutefois elles le désirent. Mais pas de précipitation, on a le temps, nous sommes des vampires, nous avons l’éternité devant nous Je propose donc que Marie-France commence par s’occupe un petit peu d’elles, ensuite on verra.
Les deux filles s’approchent de Marie-France. Celle-ci les caresse, fous ses mains partout, pince les tétons…
– Alors les filles, est-ce que vous avez déjà baisé avec une vieille salope ?
– Non, mais on très envie de le faire, vous êtes une belle femme ! Répond Cynthia.
– Alors vous allez me déshabiller, toutes les deux, sans vous pressez et profitez-en pour me caresser.
Evidemment c’est l’attraction, tout le monde mate.
Les deux filles enlèvent toutes les fringues de la belle mature la laissant en sous-vêtements. Et tandis que Na Ying lui fait glisser sa culotte et lui embrasse le pubis, Cynthia en profite pour lui rouler une pelle.
Quentin n’en peux plus et a sorti sa bite qu’il se branle négligemment, du coup Thomas qui était près de lui vient lui donner assistance. Une situation qui ne reste pas longtemps à sens unique puisque Thomas fait chuter pantalon et caleçon délivrant ainsi un popaul bien tendu. Les deux hommes peuvent ainsi se branler mutuellement.
Helga attirée par ce joli spectacle s’approche de plus près, hésite entre les deux bites, mais choisit finalement celle de Thomas qu’elle a beaucoup moins pratiqué et se la met en bouche. Du coup Quentin vient l’aider dans sa fellation.
Amina a jeté son dévolu sur Sidonie, les deux femmes se pelotent, se caressent et s’embrasse à qui mieux mieux. Cérébralement ce contact n’est pas anodin, les deux femmes se connaissaient avant, étant respectivement la bonne et la fille de Marie-France, sans que chacune ne puisse soupçonner leur fringale sexuelle.
Quant à moi, je ne fais rien, je savoure ma position, je suis la reine des vampires, je n’ai qu’un mot à dire pour que n’importe lequel des participants viennent me lécher la moule.
Marie-France a désormais les nichons à l’air et les deux vampirettes s’acharnent à en suçailler les tétons.
Elle chuchote quelque chose à Cynthia qui se déplace pour aller chercher une coupe. Marie-France l’engloutit cul-sec, puis se place le verre sous la chatte afin de pisser dedans. Elle le porte à ses lèvres, le trouve gouteux et le propose aux filles qui s’en régalent à ce point qu’elle doit remplir une seconde fois le verre
– Vous aimez ça la pisse, hein mes chéries ?
– Oh, oui, Marie France, elle est trop bonne ! Répond Na Ying.
Un bruit de porte ! Elle devait être mal fermée, toujours est-il que le chien Calife fait une entrée théâtrale en remuant frénétiquement la queue.
Et spontanément il se dirige vers sa maîtresse.
– C’est mon chien ! Tient à préciser Marie-France.
Oui mais voilà, le chien a senti la présence d’un nouveau vampire, et il n’aime pas ça, alors il s’en va comme il est venu. Déception pour les lecteurs qui espéraient une autre séquence zoophile ? Non, mon petit doigt me dit qu’il va revenir.
– Il est fâché ? demande Cynthia.
– Ça lui passera, en attendant, vous allez me lécher le cul ! Répond la Mature se mettant en levrette.
Echange de politesse entre les deux vampirettes qui se demandent qui va officier en premier.
C’est Na Ying qui s’y colle, elle commence à humer l’endroit en apprécie le fumet, puis vient darder sa langue contre le bel anus brun.
– Le goût te convient, petite cochonne ?
– Il est délicieux, Marie-France !
– Est-ce qu’il sent un peu la merde ?
– Un petit peu mais ça ne me dérange pas !
– Brave fille ! Laisse la place à ta copine maintenant, elle va me mettre un doigt.
Cynthia ne se fait pas prier et vient ramoner le trou de balle de la bourgeoise. Quand le doigt ressortit, on va dire qu’il aurait pu être plus net. Aussi lui demanda-t-elle de le sucer, tâche à laquelle la fille s’acquitta avec gourmandise.
– Il me faudrait une bite ou un gode ! Déclare Marie-France excitée comme une puce.
Elle regarde autour d’elle. Pour ce qui est de la bite, c’est compromis, Thomas est en train d’enculer Quentin lequel se fait sucer la bite par Helga. Elle s’en voudrait de déranger ce joyeux trio de pervers, d’autant qu’elle risque de se faire rembarrer.
Reste donc le gode, celui qu’elle a rapporté d’un de ses voyages à Castelrouston. Elle cherche sa domestique, mais la voit occupée, très occupée même avec Sidonie.
– Les domestiques, ce n’est plus ce que c’était, il n’y a donc personne pour aller chercher mon gode ? Dit-elle sur un ton faussement désabusé.
Je résiste à la tentation de lui répondre que son gode, elle est assez grande pour aller le chercher toute seule, et me « sacrifie ».
– Dans le tiroir de droite de mon chevet ! Me précise-t-elle.
Elle est gentille mais je savais déjà où elle le rangeait.
Marie-France s’est introduit le gode dans le cul et le fait aller et venir pendant que Cynthia lui prodigue minette et que Na Ying lui suce les tétons.
Et voilà Calife qui revient, il tourne, semble hésiter et se met à tourner autour d’Helga, c’est vrai qu’elle est moins vampire que d’autres. Celle-ci a le réflexe de se reculer. Le chien pas contrariaient s’approche de Na Ying en frétillant de la queue.
Je crois que je vais m’amuser !
– Helga !
– Oui ?
– Pourquoi tu as reculé quand le chien est venu te voir ?
– Je ne n’ai pas envie de faire des cochonneries avec un chien !
– Et pourquoi donc ?
– C’est dégoutant !
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé. Regarde un peu Na Ying comme elle se régale avec la bite du chien dans sa bouche.
– C’est une vicieuse !
– On ne dit pas vicieuse, on dit coquine ou salope !
Et par un geste de pur sadisme je gifle Helga.
– Pourquoi ?
– Parce que j’ai envie de te punir ! Mets-toi à quatre pattes, tu vas être fouettée !
– Non !
– Et tu as intérêt à te laisser faire, de toute façon tu vas y avoir droit.
Helga se met en position !
– Un volontaire pour fouetter cette morue ?
– Moi, moi ! S’écrie Marie-France, excitée comme une puce. Avec quoi je la fouette ?
– Prend la ceinture de l’un des messieurs.
– Combien de coups ?
– 25 !
– Non ! Proteste Helga
– Et 10 de plus pour avoir rouspété !
C’est un vrai plaisir de voir cette belle bourgeoise frapper à la volée les jolies fesses dodues d’Helga.
Quand quelqu’un ira en ville je lui demanderais d’acheter un martinet et une cravache… Tiens il va falloir que je dresse une liste de course.
Helga piaille, pleurniche, gémit, mais encaisse, son fessier est devenu rouge comme une tomate.
– 34, 35 ! Voilà c’est fini ! J’aimerais bien qu’on me fouette à mon tour ! Me dit Marie-France
Qu’à cela ne tienne !
– Sidonie, viens fouetter ta mère !
Je fais se relever Helga, je la prend dans mes bras pour la consoler, on se roule un patin… Mais elle n’est pas folle, et sait très bien ce que je vais maintenant lui demander. Aussi prend-elle les devants :
– Je vais essayer de sucer le chien ! Dit-elle en en rejoignant Na Ying qui n’en finit pas de le lécher.
– Tu vas voir, c’est bon ! Lui dit cette dernière, approche-toi mieux, sors ta langue.
Quelque chose la retient encore, pas grand-chose en fait. Alors elle ferme les yeux et sa langue va à la rencontre de la bite du chien. Elle rouvre ses paupières, réalise ce qu’elle est en train de faire, roule une pelle à la petite eurasienne, puis se met à lécher de bon cœur.
Amina, pour l’instant privée de partenaire, vient les rejoindre.
– Je peux essayer aussi ?
J’espère qu’elles vont m’en laisser ! C’est que je veux ma part moi aussi !
Sidonie a rendu le cul de sa mère écarlate. A la fin des 25 coups réglementaires, Marie-France se relève, prend sa fille par la main.
– Mais où m’emmènes-tu, Maman ?
– On va se faire enculer !
– Ah bon !
Et elle sollicite pour se faire Thomas et Quentin. Les deux femmes se mettent l’une à côté de l’autre en position de levrette et se font sodomiser de conserve.
– C’est bon de se faire enculer, comme ça toutes les deux, n’est-ce pas ma fille ?
– Oh, oui maman ! Ooooh !
Les deux hommes liment à tout va, s’efforçant de bien faire et c’est grand plaisir de les voir pilonner ainsi ces deux jolis culs. Ils y mettent tant d’ardeurs que les deux femmes jouissent du cul plusieurs fois de suite.
Quentin jouit le premier, il décule et donne sa bite à nettoyer à Marie-France.
– Cochon ! Tu as de la merde sur la bite !
– Ah, Zut, je vais allez m’essuyer !
– Mais non, cornichon ! Ça n’en sera que meilleur.
Quand ce fut le tour de Thomas, Sidonie ne put faire moins que sa mère. Et quand ce petit nettoyage fut terminé, les deux femmes s’échangèrent un long baiser au parfum original.
– Je crois que j’ai encore du sperme dans le cul ! Dit alors Marie-France.
– Je m’en occupe ! répondit Sidonie.
La fille se positionna derrière sa mère qui poussa, libérant un peu de sperme et d’autres choses aussi ! Les deux femmes se sont ensuite mises en soixante-neuf se broutant la chatte jusqu’à la jouissance.
– Que c’est bon de lécher la chatte de sa fille ! Tient à dire Marie-France.
– Tu es la reine de la soirée, maman et ta chatte est délicieuse !
Helga, Na Ying et Amina sont toujours affairées sur la bite du chien. D’un doigt autoritaire je les fais dégager. Je récupère Sidonie et prends leur place.
Sans hésiter une seconde… pourquoi hésiterais-je, d’abord ? Je prends en bouche la bite du chien. Sidonie me regarde, l’œil lubrique :
– Je suis obligée ? demande-t-elle
– Non !
– Alors si je ne suis pas obligée, je vais le faire !
Quelle petite peste, mais je l’adore !
Alors on a sucé le chien et pour parachever cette orgie, je me suis fait couvrir comme une chienne.
Ces messieurs dames ont donc pris tous leur plaisir les uns après les autres, Quentin est allé rechercher du champagne et des petits gâteaux, on boit, on grignote, les fumeurs fument. Tout va bien.
Je n’ai pas trop aimé la réflexion de Sidonie qualifiant sa mère de reine de la soirée. S’il y a une reine ici, c’est moi et personne d’autres.
– Bon, je suis heureuse que cette petite fête se soit bien passée, il va nous falloir nous organiser et apprendre à vivre ensemble, mais n’oubliez pas que je suis votre reine !
L’assistance se demande ce que je vais leur dire.
– Vous allez me faire allégeance, tous ! Mettez-vous à genoux, prosternez-vous devant moi, voilà comme ça et maintenant les uns après les autres vous allez venir me lécher le cul.
Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire parfois…
Je m’approche de Sidonie.
– Je n’ai pas encore eu l’occasion de te le dire, mais tu as été formidable hier.
– J’ai essayé de faire pour le mieux, ce n’était pas forcément amusant, mais il fallait le faire, alors je l’ai fait.
– Sidonie…
– Quoi ?
J’ai du mal à parler, il faut pourtant que ça sorte.
– Sidonie… Je t’aime !
– Ah ! S’écrie-t-elle en se jetant dans mes bras, moi aussi je t’aime !
Ainsi se termine le récit de Clara. On ignore comment vécu ensuite cette petite communauté de vampires, mais on suppose que tout se passa bien puisqu’on n’en entendit jamais parler, et qu’on ne déplora plus de morts par morsure.
Fin
Un épisode qui ne manque pas de mordant
Et tout le monde s’encule.. à la queue leu leu, à la queue leu leu
Voilà qui conclue de la façon la plus belle qui soit une histoire palpitante, excitante et bien écrite
Je n’aurais pas dit mieux !
Merci Léna pour cette pépite !
Une fin très réussie ! Une apothéose !