Clara 2 – Une soirée avec Eloïse par Karamel
Coucou les coquinous, c’est à nouveau Clara !
A la demande générale, je vais vous conter la suite de mes tribulations (voir « Clara au clair de Lune » pour les absents de la semaine dernière…)
Comme vous le savez, cette nuit-là, une belle inconnue venait de me surprendre nue à la lisière de son village, alors que je me masturbais devant ma Cam. Oui, je suis une coquine. Après avoir corrigé les copies de mes élèves, j’arrondi mes fins de mois en monétisant mes aventures érotico- exhibitionniste. A vrai dire, ce ne sont pas les dollars qui m’attirent (attention, je ne crache pas dessus !), mais plutôt cette montée d’adrénaline qui me submerge et qui me pousse à prendre toujours plus de risques. Et c’est ainsi que je me suis fait ‘gauler’ par Eloise, au clair de Lune, à deux pas d’une ruelle sombre qui débouche sur la garrigue.
Il me faut maintenant vous parler d’Eloise. Dans mon genre, je suis plutôt dévergondée. Mais elle ! C’est un vrai démon sans peur et sans tabou. Après notre rencontre (une séance de baise torride et sans préavis), elle m’a conduite chez elle (re séance de baise) ; puis, comme vers trois heures du matin nous avions réveillé son voisin de palier, elle l’a invité à nous rejoindre (et donc, nouvelle séance de baise tous les trois). Cette nuit a été une révélation pour moi. Maintenant je sais que, bien excitée, j’aime brouter les minous, me faire doigter et lécher le cul par des inconnus et même me faire uriner dessus… Sacré Eloise ! Ses petits seins et ses lèvres charnues m’excitent rien que d’y repenser !
A force de rêvasser, je ne vois pas le temps passer. Déjà 19h00. Eloise arrive dans 30 minutes. Je suis encore dans mon bain lorsque soudain, je sens une odeur douteuse se répandre … En vitesse, je sors de l’eau, attrape une serviette, cours dans la cuisine enfumée. Merde ! ma tarte ressemble à un boulet de charbon. J’en perds ma serviette qui tombe à mes pieds. Me voici comme une conne, à poil et dégoulinante, à regarder le plat bouillant que je tiens bêtement dans mes mains gantées, lorsque la porte d’entrée s’ouvre. Je tourne la tête lentement, comme tétanisée par la situation saugrenue. Eloise me regarde, ses grands yeux noirs et rieurs semblent comprendre la situation. Sa bouche s’évase en un large sourire et elle éclate de rire ! Pour ma part, je suis à mi-chemin entre l’agacement et la honte.
– Merde, quoi ! On ne t’a jamais appris à sonner avant d’entrer !
– T’es trop sexy comme ça ! J’adore !
Pas convaincue, je m’apprête à en rajouter une couche, mais j’aperçois sa petite robe rose qui lui arrive à mi-cuisse et qui fait parfaitement ressortir ses longues jambes bronzées. Je ne la connais que depuis une semaine, mais elle me fait chavirer le cœur. Elle lève triomphalement le bras et exhibe une bouteille de champagne.
– Veuve Clicquot, ma chérie ! dit-elle joyeusement en se précipitant vers moi.
J’ai à peine le temps de poser mon plat que sa langue tournicote déjà dans ma bouche. Je ne peux m’empêcher de glisser ma main sous sa robe pour vérifier… pas de culotte, ça à l’air d’être une habitude chez elle.
– Jamais de culotte, c’est une habitude chez moi !
Elle s’éloigne d’un pas avant de poursuivre :
– J’ai maté quelques-unes des tes vidéos : toi non plus, tu n’as pas l’air d’en mettre souvent, de culotte… J’adore celle où tu te branle dans ta voiture au bord de la route. Et puis toutes tes escapades dans la nature, c’est trop excitant ! T’as pas peur de te perdre ou de te faire choper par des randonneurs ?
Elle est craquante. Sans prendre la peine de me rhabiller, je l’entraine vers le canapé et nous devisons un instant sur l’excitation que je ressens lorsque je me retrouve dans la nature, nue et loin de mes vêtements. Elle m’écoute passionnément, m’explique qu’elle va essayer et que cette simple pensée la fait mouiller. Pour preuve, d’un mouvement fluide elle retire sa petite robe et passe sa main entre les lèvres lisses de son sexe rasé. Elle est comme dans mes souvenirs du week-end dernier. Terriblement sexuelle et troublante. Ses seins cuivrés par l’été sont ravissants et je ne peux m’empêcher de m’approcher pour les lécher goulûment. Elle se dérobe pour s’asseoir sur l’accoudoir.
– Tu verras mieux comme ça, dit-elle en écartant impudiquement les jambes.
Mon cœur s’accélère lorsqu’elle se cambre et introduit deux doigts dans sa fente humide. Après quelques va et vient, elle les ressort pour me les faire goûter. Je les lèche avec gourmandise, c’est terriblement bon.
– Attends ! Je n’ai pas encore ouvert le Champ’ !
Eloise, trémoussant son joli petit cul, file vers la cuisine en riant. Je lui emboite le pas et, après quelques efforts, nous finissons par faire sauter ce maudit bouchon. J’ai juste le temps de sortir deux verres pour attraper la giclée de mousse qui jaillit abondamment, mais elle préfère boire au goulot. C’est tellement plus marrant ! Et ça déborde de partout : le champagne dégouline entre ses nichons, glisse sur son sexe et sur ses jambes. Merde, on en perd trop ! Réparons vite ce sacrilège ! Je me frotte contre elle, goûte sa peau, m’accroupis pour laper le jus qui suinte entre ses cuisses. Ma langue glisse le long de ses jambes, parcourant les délicieuses coulures jusqu’à ses pieds que je nettoie sans hésitation…
– Tu me chatouilles !, plaisante Eloise en claquant gentiment mon cul qui pointe vers le ciel.
Je m’allonge sur le carrelage et elle vient se coller au-dessus de moi, la bouche pleine de cette excellente cuvée. Elle entrouvre les lèvres pour m’en faire profiter un peu, puis arrose délicatement ma poitrine et mon ventre avant de tout lécher. Le jeu est lancé et la bouteille descend vite ; moitié sur nos corps, moitié dans nos bouches. Décidément, tout cela me fait tourner la tête ! Ça y est, je bascule du mode ‘sensuel’ au mode ‘no limit’! Et je suce, je dévore, j’engloutis le moindre carré de chair qui passe à ma portée. Eloise me demande d’ouvrir la bouche. Je m’exécute et elle crache un mélange de salive et de champagne que je bois avec avidité. La langue tirée, j’en demande encore. Elle me décoche un sourire à faire fondre l’antarctique et me largue un long filet de bave que j’intercepte avec une joie vicieuse. Je la bois encore et encore, on se roule un patin interminable qui dégouline sur mon visage, coule sur mon menton et entre mes seins. Mes tétons sont tout durs, mon clito me balance des décharges électriques : Je n’en peux plus !
– Baise-moi, Eloise. Baise-moi !
Sans me quitter des yeux, elle se lève, attrape la bouteille de champagne et s’agenouille dessus. Je regarde le goulot disparaitre dans son sexe luisant, faire quelques allers-retours et ressortir.
– Tu veux que je te la mette, ma chérie ? me demande-t-elle avec un air faussement innocent.
Mon regard suppliant est une réponse suffisante. Eloise me fait mettre à quatre pattes, comme la chienne que je suis à cet instant. Je dandine de l’arrière-train, attendant la suite avec impatience. Alors, sans ménagement, le gode improvisé pénètre ma chatte ruisselante. Je sens mon sexe grossir, grossir… C’est un peu froid, mais je suis tellement bouillante que j’ai à peine le temps de m’en rendre compte… Humm ! Je me fais défoncer à grands coups de veuve Clicquot ! Vive la France ! Vive Reims !
Je gémis, je râle, j’en redemande encore ! Mais qu’est-ce donc que cette sensation humide sur mon cul ? Une langue qui titille, qui force un peu. Je me détends pour ouvrir le passage : j’adore ça, salope que je suis ! Eloise, ma cochonne, vas-y ! Je lui hurle de me lécher la rondelle, de me foutre sa langue encore plus profonde et de continuer à me labourer la chatte. Ça rentre, ça sort, ça pénètre, ça envahit, c’est gros, une bouteille de champ’ !
– T’aimerai bien que je t’encule avec, hein, ma chérie ?
– Putain, Eloise, Oui ! mets là moi dans le cul ! (Pardon, chère lectrice, cher lecteur, mais dans ces moments, mon vocabulaire d’enseignante a tendance à laisser place à un langage moins académique…)
Ni une, ni deux, Eloise change de trou. Pas très poétique, mais tellement efficace ! Le goulot passe sans problème. Ça va de plus en plus profond, et je me sens écartelée, liquéfiée, diluée dans un océan de sensations et de jouissance. Ça y est, je ne touche plus terre ! Je jouis ! J’entends vaguement Eloise qui s’extasie :
– La vache, Clara, t’as englouti la moitié de la bouteille ! Je ne vois même plus l’étiquette !
Exténuée, je retombe sur le sol. La bouteille ressort avec un ‘plop’ quelque peu disgracieux, mais je m’en fou. Je suis atomisée, sans force. Éloise s’est posée devant moi, en tailleur. J’aperçois son sexe béant qui me regarde. Dans un effort surhumain, je relève la tête ; nos yeux se croisent.
– Tu sais que je n’ai pas jouie, me dit-elle en levant devant elle la bouteille gluante, couverte de traces marron plutôt douteuses.
Doucement, elle penche la tête et embouche le goulot aussi profond qu’elle peut. Je suis à la fois stupéfaite et étrangement troublée par ce qu’elle fait. Son petit visage d’ange me regarde pendant que sa langue essuie vicieusement les dernières traînées brunes…
– Chacun ses spécialités : toi, c’est l’exhibe, moi, c’est le crade. Tu veux essayer ?
Mon Dieu ! Dire qu’il n’est même pas 20h30. La soirée va être longue !
Elle est courte mais elle est bonne.la veuve Clicquot dans la rondelle, un délice,!