Chemins libertins
Chapitre 5 – Double sodomie et autres plaisirs
par plaisirs_extremes
Annick m’attendait en regardant la télévision.
– Bonjour petite fille.
– Bonjour petit garçon me répondit-elle avec ironie.
– Je vais prendre une douche et on y va.
– OK, je te plais?
– Hum, pas mal, tourne-toi un peu que je voie tout ça.
Elle tourna sur elle-même pour que je puisse l’admirer.
– Très bien, penche-toi en avant.
– Que veux-tu faire?
– Penche-toi en avant!
Elle s’exécuta et sa jupe remonta jusqu’à la lisière de ses bas.
– Hum, je vois que tu t’es bien habillée là-dessous aussi.
– Tu le verras quand je voudrai.
– Tu as de la chance qu’il nous reste peu de temps, sinon, je t’aurais sauvagement violée.
– Que veux-tu, c’est la vie me dit-elle avec un petit sourire amusé.
Je passai sous la douche et m’habillai rapidement.
– Et moi, je te plais aussi?
– Tu es superbe me répondit-elle en réajustant ma cravate.
– Alors on y va!
Je sortis la voiture et, en gentleman, ouvris la porte à Annick. En s’asseyant, elle me dévoila le haut de ses cuisses et j’eus une vue fugitive sur sa chatte qu’aucun voile ne cachait.
Mon ami Patrick et son épouse habitaient à trois quarts d’heure de chez nous dans une villa isolée au milieu de la campagne. J’aimais bien y aller. Une piscine flanquée d’un jacuzzi et d’un sauna était à notre disposition et je me plaisais à prendre de longs bains avant de terminer par un sauna.
C’est Eliane qui nous ouvrit. Décidément, cette femme est superbe. De grands yeux vert clair, une chevelure brune tombant en cascade sur ses épaules, un nez mutin surmontant une bouche aux lèvres généreuses, une poitrine dont les deux globes sont séparés par une gorge profonde. Je crois que ce sont ses seins qui me fascinent le plus. Son cul moulé dans une robe au décolleté vertigineux est un appel à la caresse ou à la fessée. Elle portait des escarpins à talons hauts qui la faisaient se cambrer.
– Bonjour mes chéris, comment allez-vous?
– Bien! Et vous belle dame? Lui fis-je en l’embrassant sur le coin des lèvres.
– Je te présente Annick la jeune femme dont je t’ai déjà souvent parlé.
– Enchantée Annick, sois la bienvenue chez nous.
Elle lui fit trois bisous tout en posant une main caressante sur sa hanche. Annick ne se déroba pas.
– Venez, entrez seulement.
Elle nous précéda dans le salon.
– Patrick n’est pas là lui demandai-je?
– Non, pas encore, il a dû amener la voiture au garage, mais il ne va pas tarder. Arnaud, je te laisse faire le tour du propriétaire à ta belle amie pendant que je finis à la cuisine.
– OK, viens chérie, tu verras c’est une superbe maison.
En effet, cette villa était vraiment fantastique. Surtout la piscine, sur laquelle donnaient les baies vitrées du salon. La table était dressée sur la terrasse. J’emmenai Annick dans le jardin.
– Attends, je vais enlever mes souliers, sinon, ça va être le bordel.
Je la pris par la taille et elle posa sa tête sur mon épaule.
– Elle te plaît Eliane?
– Elle me fait envie.
– Ca veut dire quoi ça?
– Eh bien, ça ne me dérangerait pas de faire des choses avec elle.
– A ce point là?
– Hum Hum
– Tu ne m’avais jamais dit que les femmes t’intéressaient.
Cette idée me fit bander instantanément. Je posai ma main sur le cul d’Annick et le lui caressai brutalement. Elle gémit.
– Arrête, elle pourrait nous voir.
– Et alors? Est-ce que ça te dérangerait qu’elle nous voie?
– Non bien sûr, mais qu’est-ce qu’elle va penser.
– Oh, pour ça, tu n’as pas à t’en faire, c’est un couple très libre.
Nous étions arrivés dans un coin du jardin où un sapin imposant nous cachait la maison de ses branches. Je pris Annick contre moi et l’embrassai fougueusement. Elle répondit à mon baiser en mettant ma main sur son sein.
– Ouvre ma blouse et suce mon téton.
Je défis un à un les boutons et, dénudant son sein gauche, je posai mes lèvres frémissantes sur son bourgeon déjà tendu. A ce contact, elle gémit faiblement et pressa ma tête contre sa poitrine. Mes mains descendirent le long de sa croupe et, prenant le bas de sa jupe je la remontai lentement. A ce geste, Annick se pressa encore plus contre moi. Je découvris avec ravissement la nudité de ses fesses, et, les lui écartant, je promenai mon doigt le long de son sillon, agaçant au passage son anus. Je ne voulais pas le forcer maintenant, mais les mouvements que faisait le cul d’Annick m’encouragèrent à y plonger mon doigt jusqu’à la deuxième phalange. En sentant cet intrus, elle releva la tête en feulant et je lui mordis doucement le cou.
– Oh c’est bon ton doigt dans mon cul.
– Cochonne, tu veux vraiment m’exciter, tu n’as pas mis de slip…..
Tout à coup, une voix familière me parvint.
– Eh les amoureux, où êtes-vous?
Annick un peu paniquée baissa sa jupe à toute vitesse et referma son chemisier.
– Nous sommes là vieux frère dis-je à Patrick qui nous attendait sur la terrasse. On s’est permis d’aller rendre visite à ton sapin.
– Mouais, dis plutôt que tu voulais peloter ton amie, très jolie au demeurant, dit-il en nous voyant.
– Là, tu es en train de fantasmer.
– Bienvenue chez nous mademoiselle.
Patrick déposa un chaste baiser sur la main d’Annick.
– Tu es absolument ravissante.
A ces mots le visage d’Annick s’empourpra un peu.
– Oh oh, je vois qu’elle n’est pas insensible aux compliments.
– Et à d’autres choses non plus repris-je tout de go.
– On verra ça, on verra ça.
Annick me lança un regard où pointait un peu d’agacement. Patrick s’en rendit compte et pour la tranquilliser, ajouta:
– Mais, sache-le, on n’a jamais forcé personne.
On prit l’apéritif au bord de l’eau à la lumière des torches de jardin. Annick et Eliane avaient très vite sympathisé. Il semblait que le courant passait bien. Avec Patrick, nous avions disparu dans son bureau pour tapoter sur le clavier de l’ordinateur laissant nos deux femmes discuter entre elles.
– Tu verras, je vous ai réservé une petite surprise à toi et Annick me dit Patrick.
– Oh, tu me fais peur. C’est sexuel?
– Oui oui, tu me connais.
– Et si Annick réagit mal?
– On ne le saura pas si on n’essaye pas. Tu m’as pourtant dit qu’elle n’avait pas beaucoup de tabous.
– D’accord mais entre fantasmer et passer à l’action, il y a quand même une marge.
– Bah, je suis sûr que ça se passera bien.
– OK, on tente le coup!
– Eh les mecs, on passe à table? demanda Eliane.
Nous étions en train de manger une somptueuse entrée à base de saumon lorsque je vis soudain une lueur d’effroi dans les yeux d’Annick qui me regardait intensément.
Puis ses lèvres s’entrouvrir dans un sourire sensuel et elle poussa un petit soupir. J’avais de la peine à quitter des yeux ma dulcinée et je n’arrivais pas à me concentrer sur les paroles qui sortaient de la bouche de Patrick. Quelque chose me disait qu’il se passait de drôles de choses et qu’Annick en était la victime consentante. Son visage exprimait maintenant un intense plaisir.
Ses mains étaient crispées sur ses ustensiles et elle avait de la peine à manger. Tout à coup, elle ferma les yeux et fut prise d’un hoquet qui la fit se pencher en avant, le nez presque dans son assiette.
– Annick, ça va? Lui demandai-je un petit peu inquiet.
– Oui oui, ne t’en fais pas, tout va bien.
Le repas était délicieux. Comme à chaque fois que je rencontrais nos amis, le niveau de la discussion était très agréable et nous parlions de tout sans aucune gêne. J’étais tout de même un peu interloqué par l’attitude d’Annick au début du repas. Et c’est au dessert que j’eus la réponse à mes interrogations. Soudain, une main aux ongles carmins se porta sur la braguette de mon pantalon et l’ouvrit rapidement pour en extirper mon sexe. Une bouche pulpeuse vint s’appliquer à me faire bander ce qui ne tarda pas. Je jetai subrepticement un coup d’œil sous la table et je vis une femme brune qui levait vers moi des yeux de chatte amoureuse. Elle était entièrement nue. Pendant que cette diablesse me donnait du plaisir, Patrick s’était levé et passant derrière sa femme, il descendit les bretelles de sa robe mettant ses seins à l’air. Il les lui pelota tout en regardant Annick qui semblait fascinée par ce quelle voyait. Eliane se leva, contourna la table et marcha jusque vers ma femme. Elle présenta sa poitrine aux lèvres d’Annick qui timidement les posa sur l’un des mamelons. J’étais surpris par sa réaction même si ses révélations faites plus tôt dans la soirée ne me laissaient plus de doute quant à ses instincts lesbiens.
La bouche de ma bienfaitrice s’activait maintenant plus vite sur toute la longueur de ma queue. Elle avait une manière de sucer mon gland qui me faisait défaillir.
Patrick avait ouvert le chemisier d’Annick et faisait rouler ses tétons sous ses doigts. A voir son regard chargé de plaisir glisser sur la carrure de mon ami, je savais qu’il lui plaisait. D’ailleurs, c’était exactement son type d’homme. J’étais sûr qu’elle ne lui refuserait rien. Elle gémissait tout en suçant alternativement les seins d’Eliane. Cette vue m’excita encore plus et c’est en tenant la tête de la brune et en m’enfonçant au plus profond de sa gorge que je jouis à en perdre haleine. Elle avala mon sperme avec de petits soupirs de contentement et sortant ma pine de sa bouche me regarda en se pourléchant les lèvres.
Eliane vint vers moi et me dit:
– Arnaud, je te présente Déborah, elle est à notre disposition toute la soirée. C’est une amie qui désirait vivre une expérience de groupe. On s’est dit que ça te plairait.
Effectivement, ça me plaisait. Déborah sortit de dessous la table en me jetant un regard langoureux. Elle était très bien faite. Elle devait avoir environ vingt-cinq ans. Sa chatte était entièrement rasée et on voyait bien ses petites lèvres qui dépassaient de sa vulve. Je sentais que la soirée n’allait pas être triste.
– Je vous propose de passer au salon, on y sera mieux, nous dit Patrick.
Je pris la peine de remonter ma braguette et me rendis vers le salon où des coussins à même le sol nous invitaient aux plaisirs de l’amour. Une musique douce et des lumières tamisées ajoutaient à l’atmosphère voluptueuse de l’endroit.
Annick vint se blottir tout contre moi. Je vis avec plaisir la pointe de ses seins qui tendaient la blouse de soie.
Nos hôtes et Déborah avaient disparus on ne savait où et nous nous retrouvions seul.
– Je suis certainement folle de me laisser faire ainsi, me dit Annick.
– Pourquoi? Tu y as pourtant trouvé du plaisir, non?
– Oh oui me répondit-elle en rosissant légèrement.
– Alors, y a-t-il du mal à se faire du bien? Laisse-toi aller, on verra déjà bien jusqu’où ça ira.
– C’est de cela dont j’ai peur, jusqu’où irons-nous?
Patrick nous rejoignit le premier.
– Elles arrivent tout de suite.
Il nous servit à chacun un verre de cocktail.
– Aphrodisiaque, dit-il à Annick en lui lançant un petit clin d’œil.
Je ne sais pas si cette boisson était vraiment aphrodisiaque, mais elle était délicieuse.
Eliane et Déborah arrivèrent enfin. Toutes deux étaient habillées de la même manière: une guêpière noire en cuir, lassée sur le devant qui laissait la poitrine nue, un string et des bas de la même couleur que la guêpière et des souliers à très hauts talons. En plus, Déborah arborait autour de son cou un collier serré en cuir. Eliane avait dans les mains deux godemichés. L’un de fort diamètre était recouvert de fins picots en plastique alors que l’autre imitait parfaitement une queue masculine.
– Vous ne trouvez pas que vous êtes un petit peu trop habillés, nous demanda Eliane.
Effectivement, Annick et moi avions gardé nos vêtements alors que Patrick était déjà nu comme un ver.
– Déborah, va déshabiller Annick.
Elle ne se fit pas prier et défit lentement, un à un, les boutons de la blouse d’Annick avant de la lui enlever. Puis, après avoir dégrafé sa jupe, elle la fit glisser le long de ses jambes. Ma petite chérie se retrouvait uniquement vêtue de son porte-jarretelles et de ses bas. Patrick poussa un petit sifflement d’admiration en découvrant la chatte d’Annick. Je savais que personne n’y résisterait. Elle était tellement belle ainsi rasée. Ses grandes lèvres bombées laissaient deviner le clitoris qu’aucun poil ne cachait. Il était là, dressé, comme un appel à la caresse. Déborah n’y résista pas et, couchant Annick sur les coussins, elle plaqua ses lèvres sur son sexe, léchant avec application son clito.
Pendant ce temps, c’est Eliane qui m’avait déshabillé. Ma queue était dressée et elle n’en fit qu’une bouchée. Patrick s’était glissé à côté de la tête d’Annick et, à genou, présentait son gland à ses lèvres. Elle ouvrit la bouche et la queue y pénétra profondément. La tête d’Annick reposait sur un des nombreux coussins et c’est Patrick qui faisait aller et venir son bassin, donnant l’impression de baiser la bouche de mon amie.
Eliane ne restait pas en reste. Apparemment, elle savait ce que c’était que de faire une pipe. L’intégralité de mon sexe disparaissait jusqu’au fond de sa bouche. On aurait dit qu’elle voulait m’avaler. La sensation était extraordinaire, et je devais faire des efforts surhumains pour ne pas jouir tout de suite. D’autant plus que les gémissements d’Annick, qui lançait son bassin à la rencontre de la bouche de Déborah m’excitaient furieusement. Eliane abandonna ma queue et me prenant par la main, elle m’amena vers le cul de Déborah qui se trémoussait de désir.
– Je vais te montrer quelque chose qui, connaissant tes penchants avoués pour la sodomie, devrait t’intéresser, me dit Eliane.
Elle écarta les fesses de la fille et j’eus sous mes yeux le plus bel anus que je n’aie jamais vu. En fait, je ne peux même pas parler d’anus, je devrais plutôt parler de trou. Car c’était vraiment un trou béant qui, les fesses maintenues écartées, avait le diamètre d’une bite de bonne dimension. Eliane vit à mon regard que la surprise avait fait son effet sur moi.
– Elle a un trou du cul comme ça. Il est très élastique et en plus, elle est très sensible de ce côté-là.
Elle prit de la mouille dans la chatte de Déborah et plongea d’un coup deux doigts dans ce gouffre. Un grognement de satisfaction accueillit cette intrusion.
– Tu vas voir, elle adore jouir comme ça.
Elle commença un va-et-vient avec sa main. Totalement fasciné, je la repoussai et c’est moi qui m’employai à faire reluire cette petite délurée. Je mis d’abord un doigt, mais voyant que ça ne suffisait amplement pas, j’en entrai un deuxième puis un troisième. Déborah releva la tête et poussa un petit cri de plaisir. Annick eut un sursaut et prenant la tête de la brune, elle l’attira à nouveau contre son sexe en disant:
– Continue, continue j’allais jouir.
Pour ma part, je pistonnais l’anus de ma partenaire de plus en plus vite alors qu’Eliane écartait les globes de son cul. J’étais vraiment étonné par la facilité avec laquelle j’arrivais à entrer mes doigts dans son trou. Enfin, je sentis son muscle anal se crisper autour de mes phalanges et, en même temps qu’Annick poussait un long cri de plaisir, Déborah jouit de tout son corps.
– Viens me baiser Arnaud, j’ai la chatte en feu, me dit Eliane.
Je jetai un coup d’œil à Annick. Elle était très jolie, la tête de côté, les yeux clos, un sourire de contentement illuminait son visage. Patrick s’était couché sur le côté et Déborah vint s’empaler le cul sur sa queue dressée.
Eliane était à quatre pattes et, prenant mon sexe d’une main, je passai mon gland plusieurs fois entre ses lèvres et plongeai ma queue jusqu’au fond de son vagin bouillant. Annick s’était redressée et passant ses doigts entre mes jambes caressa mes couilles qui battaient contre la chatte d’Eliane. Puis, elle vint se mettre à genoux à côté d’elle et, comprenant l’invite, je changeai de trou, sortant de la vulve d’Eliane pour m’enfoncer dans celle, trempée, d’Annick. Celle-ci tourna la tête vers sa voisine qui l’embrassa à pleine bouche. Je voyais les deux langues se livrer un duel sans merci. Je ressortis du sexe d’Annick pour me planter à nouveau dans celui d’Eliane et je continuai ainsi jusqu’à ce que mes deux salopes m’aient fait cracher ma sève.
Cette fois, c’est moi qui restais anéanti sur les coussins.
Pendant ce temps, Déborah se faisait défoncer la rondelle par ce vicieux de Patrick qui avait l’air d’apprécier ça. Elle était maintenant couchée le dos contre sa poitrine, les lèvres de sa chatte écartées et le mandrin planté jusqu’à la garde dans son rectum. Eliane donna à Annick le godemiché aux pointes de plastique. Annick s’approcha de la vulve ouverte et enfonça le bout de l’engin. Déborah se redressa et prenant la main d’Annick elle la poussa pour que toute la bite factice entre dans son vagin.
– Vas-y, bourre-moi, bourre-moi avec ta queue.
Elle ne savait plus à qui elle disait ça. Annick fit bouger le leurre de plastique de plus en plus vite dans le trou de la jeune femme alors que Patrick lui emplissait le cul de son sexe. L’odeur de mouille et des parfums des trois femmes emplissait la pièce. Le rythme de la folle cavalcade s’amplifia encore et Déborah jouit, les muscles tétanisés, les yeux révulsés et en criant comme une damnée. Elle s’écroula sur Patrick. Pas pour longtemps cependant, se redressant, elle sortit la queue qui lui emplissait les fesses et se retournant, elle s’agenouilla à califourchon sur le bas-ventre de Patrick. Elle prit le sexe à pleines mains et écartant ses fesses, elle le fit glisser à nouveau en elle. Puis, se tournant vers moi, elle me dit:
– Viens planter ta queue dans mon cul en même temps que ton copain. Ca fait longtemps que je rêve de me faire enculer par deux bites.
Moi, ça faisait longtemps que je voulais réaliser un tel fantasme et vu l’élasticité de son anus, je pensais qu’il ne serait pas trop difficile de le réaliser. Je me plaçai derrière elle et lui pressant sur la nuque, je la forçai à se coucher complètement sur le torse de Patrick. Puis, tâtonnant à l’entrée de son cul, je poussai assez fort pour que mon Priape glisse dans ce trou parfaitement lubrifié par la mouille qui avait coulé de son vagin.
– Doucement, doucement, vous êtes gros tous les deux.
La sensation était bizarre. Je me sentais compressé par le muscle de la fille et par la queue de Patrick.
– Allez-y, commencez à bouger lentement.
Je ressortis doucement ma verge en même temps que Patrick et je la rentrai à nouveau. Déborah de sa main posée sur ma cuisse m’indiquait s’il fallait continuer ou stopper ma progression. Tout à coup, je sentis que son anus se relâchait complètement. A ce moment, je compris qu’il nous était possible à Patrick et à moi d’accélérer la cadence de cet enculage fantastique ce que nous fîmes en essayant de synchroniser nos mouvements. Annick était passée derrière moi et me caressait les fesses alors qu’Eliane embrassait Déborah à pleine bouche. Celle-ci haletait de plaisir avant de pousser des gémissements de plus en plus fort.
– Ah vous me faites du bien. Oh c’est bon, vous me remplissez bien, ah oui, oui, continuez, je ne suis qu’une enculée mais c’est tellement bon.
Le double piston ravageait le cul de la jeune femme et ce n’étaient plus que cris et gémissements dans cette pièce d’une villa perdue dans la campagne