Aventures au bURO Comment se forger une réputation par peenut

Aventures au bURO
Comment se forger une réputation
par peenut


Cela faisait déjà un moment que je jouais avec cette collègue (qu’on appellera V.) à un petit jeu de séduction que je considérais comme anodin, du moins jusqu’à ce matin où tout a basculé. Il était assez tôt et il n’y avait pas encore grand monde au boulot. Je décidais de m’acquitter de certaines tâches fastidieuses (notes de frais), ce qui me conduisit dans son bureau. Elle était là avec sa collègue en train de discuter de choses et d’autres. Je rentre, elle répond à mon bonjour avec un petit air malicieux, comme d’habitude. Je commence à discuter avec sa collègue lorsque V. dit tout haut dans le bureau :

« Bon, bah il faut que j’aille faire pipi moi. J’ai une de ces envies. »

Mon sang ne fait qu’un tour. Je me dis que ce n’est pas sans intention qu’elle a prononcé cette phrase tout haut. Je la regarde droit dans les yeux et lui demande:

 » Je peux venir ? »

Elle me répond aussitôt :

« Chiche ! »

Et elle sort du bureau en se dirigeant vers les toilettes. Sa collègue, une nana plutôt mignonne mais un peu coincée, est médusée. Je laisse en vrac tous mes papiers et j’emboîte le pas de ma jolie provocatrice. Je regarde autour de moi dans le couloir. Heureusement, à cette heure, personne ne me verra entrer dans les toilettes des femmes. Je m’y engouffre à toute vitesse et me retrouve devant la porte des WC entr’ouverte, détail qui me rassure sur les intentions de la demoiselle. Je pousse tout doucement la porte puis entre. Elle est là, debout, face à moi, encore habillée.

« Alors, on aime regarder les dames faire pipi ? »
 » J’aime regarder, j’aime entendre, j’aime goûter si possible…  »
 » Et bien alors allons-y parce que je ne tiens plus. Allez, je te laisse faire.  »

Je m’assois à ses pieds en passant mes jambes entre les siennes puis l’attire vers moi. Je commence à remonter sa jupe mais je m’aperçois rapidement que je n’y arriverai pas comme ça. Elle me regarde d’un air amusé. J’ai l’air d’un gamin devant un cadeau qu’il n’arrive pas à déballer… Je change de stratégie et commence à faire glisser sa jupe vers le bas. Je découvre une lingerie sympa, un beau shorty blanc transparent juste comme il faut avec un peu de dentelle. Je l’attire encore plus près et je dépose quelques baisers sur sa vulve à travers le shorty. Visiblement (et olfactivement), elle n’a pas eu le temps de faire beaucoup de toilette ce matin. Elle me le confirme et me demande si ça ne me dérange pas. Bien sûr que non ! C’est parfait, des fragrances excitantes, assez fortes tout en restant agréables. Le pied total !

Je n’y tiens plus. Je baisse le shorty et laisse ma langue et mon nez vagabonder dans son intimité. Son pubis est soyeux, sa vulve charnue comme je les aime. Le taux d’humidité ambiant augmente rapidement. Elle m’arrête pourtant au bout d’un court moment :

« Tu sais, j’ai vraiment très envie, il faut vraiment que je vide ma vessie. »

Sans un mot, je place ma bouche sous sa vulve, essayant de repérer l’emplacement idéal en cherchant avec ma langue, son orifice vaginal et avec mon nez, son clitoris. Dès qu’elle sent que je suis prêt, elle se lâche. Le premier jet est timide. Il s’agit plutôt de quelques gouttes qui s’écoulent lentement entre ses lèvres. Je la sens un peu tendue. Elle doit être habituée aux jeux de pipi, mais de là à pisser dans la bouche d’un homme… Puis, l’envie étant sans doute trop forte, elle laisse tout venir. J’entends et surtout je sens un jet puissant envahir ma bouche qui se remplit rapidement. Je ne peux avaler au fur et à mesure. Heureusement, elle réussit à s’arrêter. A ce moment là, les secondes durent des heures. Je suis là, mon visage enfoui dans son intimité, la bouche pleine de son urine, de son élixir. Je prends le temps de savourer ce liquide qui a le goût caractéristique de l’urine féminine du matin puis j’avale en me disant que je ne vais pas trop la faire attendre. Elle reprend aussitôt et me gratifie d’un deuxième jet aussi abondant que le premier. Je sens la source se tarir, le jet se transforme en petit écoulement le long des grandes lèvres que je récupère jusqu’à la dernière goutte. A nouveau je prends le temps d’éprouver ce plaisir d’avoir la bouche pleine de ce liquide chaud et savoureux. Je m’écarte un peu de son entrejambes et la regarde droit dans les yeux pendant que j’avale.

Nous reprenons un peu nos esprits. Je l’attire à nouveau vers moi puis entreprend de la lécher goulûment. Je tente de glaner les quelques gouttes que j’ai pu oublier dans son pubis et dans les replis de sa vulve. Mélangé à ses sécrétions vaginales, l’odeur et le goût me transportent. Je suis au bord d’éjaculer. En regardant vers le haut, je la vois qui se caresse les seins. En peu de temps, je la sens qui sert les cuisses et qui commence à avoir des tremblements. La jouissance est proche. D’un seul coup, elle se raidit et fait visiblement des efforts pour ne pas crier, laissant échapper malgré tout quelques gémissements… Ma tête est écrasée entre ses cuisses. Un peu douloureux mais tellement bon ! Je me laisse aller aussi et sent le sperme s’écouler dans mon slip.

Elle prend un peu de recul puis me dit :

« C’était la première fois pour moi. J’en avais envie depuis longtemps mais je n’ai jamais osé le demander à un homme. Et toi, tu as aimé ? »
« Si j’ai aimé ? J’ai failli avoir une crise cardiaque au moment où tu as rempli ma bouche. »
« Eh bah on n’aurait pas eu l’air cons » dit-elle avec un petit sourire taquin.

C’est sûr que comme accident du travail, on peut difficilement faire plus original. Elle se rhabille doucement, m’embrasse sur la joue puis sort du théâtre de nos épanchements. Je reste assis en inspectant mes fringues. Par chance, presque pas de traces. Je sors moi aussi puis fait un détour par les toilettes des hommes. Je m’apprête à me rincer la bouche puis me ravise. Cet arrière-goût est vraiment trop bon. Je le garderai jusqu’à la pause-café… J’ai passé le reste de la matinée à me demander quelles seraient les conséquences de cette petite aventure. Allait-elle raconter ça à tout le monde ? Qu’allait-il se passer ? Heureusement que je n’ai pas réfléchi avant, sinon je serais passé à côté de ça. C’était vraiment trop bon…

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