Sur le giron d’une intrigante
Ma bite joliment bandante
S’étant usée à l’enconner
S’est retrouvée désarçonnée
Sur le parvis de sa craquette
Lorsque la garce n’a pas voulu
Que gentiment je me permette
De réjouir son trou du cul.
Mi- fatigué, moitié cuvant
Sa bonne chair et la bamboche,
Je m’évapore, sommeillant
Affalé par-dessus ses loches.
Abandonnant à la mollesse
Ma pauvre bite en détresse,
Désappointé par ma maîtresse
Qui me refuse d’ouvrir ses fesses.
Au p’tit matin, fraîcheur aidant
Je sens soudain que mon chichi
Contre les miches de la chipie,
Reprend une belle élégance.
Son trou du cul coopérant
Anesthésié de somnolence,
M’invite alors gracieusement
A me remettre au doux labeur.
Quand la cervelle d’une mignonne
Ensommeillée, n’est plus stressée
La Dame alors n’a de vergogne
A se faire bien embarrasser.
L’esprit étant à l’abandon
Débarrassé d’esprit grognon,
Elle concède à sa rosette
L’outrecuidance d’une quéquette.
*
En cette douce matinée
Je n’ai besoin de savonnette.
La raie du cul de mon amante
A une allure bien indolente.
Son petit trou qui s’entrebâille
Me semble prêt aux épousailles.
C’est le moment ou bien jamais
D’y enfiler mon andouillette,
Sans qu’il rechigne au bel ouvrage
Que lui procure si bon outrage.
Et je peux donc avec ardeur
Amadouer ce postérieur.
Il n’est je crois plus grand bonheur
Que de flatter de bon matin
Le savoureux de sa catin
Quand enfouie dans la torpeur
La Belle s’offre sans pudeur
Aux complaisances du bienfaiteur.
25/08/2019
Si j’aime pilonner les cons
Je préfère les troufignons
On est bien mieux serré
On ne risque pas de débander
Et, puis je vous le confesse
J’aime trop les belles fesses
Il faut que l’auteur soit grand poète
Pour nous faire bander la quéquette
En décrivant ces croustilleries
Que k’on peut faire dans un lit