Masturbation-variante par Ray_

Masturbation-variante par Ray

Je voudrais vous raconter et partager avec vos lecteurs une activité à laquelle je me livre depuis longtemps et dont j’en retire un grand plaisir et d’innombrables satisfactions.

Voici donc comment je pratique « un aspect » de ce merveilleux jeu solitaire.

Je suis un homme dans la mi-cinquantaine, de belle apparence, ouvert et surtout très porté sur tout ce qui concerne le sexe. Je suis scorpion, alors…

Etant célibataire et vivant seul, j’occupe beaucoup de mon temps à mon travail ce qui ne me laisse guère de temps pour des sorties et rencontrer des femmes à l’exception d’une amie de longue date qui me rend visite à l’occasion sans toutefois que nous ayons des relations sexuelles si ce n’est que quelques accolades très modestes.

Donc, puisque ma vie sexuelle est plutôt monotone, je m’adonne régulièrement à des séances de masturbation solitaire cependant en y ajoutant des variantes afin d’obtenir un maximum de plaisir. Une de mes préférées est la suivante.

Je dois ici préciser que je m’épile tout le pubis, le scrotum ainsi que l’anus depuis quelques années déjà et j’aime beaucoup cette sensation de douceur sur la peau.

C’était donc un samedi après-midi où il faisait passablement chaud et je sortais de la douche. Arrivé dans ma chambre, nu devant le miroir, je regardais mon pénis à demi-bandé et surtout mes testicules bien pendants dû à la chaleur. C’est alors que je me suis mis à tripoter mon organe et ce dernier ne tarda pas à réagir en se dressant quelque peu. Une envie d’aller plus loin m’envahit la chair.

Je décidai donc d’élaborer une petite séance à laquelle j’ai recours pour satisfaire ce genre de besoin.

Tout d’abord, je m’assis confortablement sur mon lit, bien adossé, et je prends tout le temps de me détendre tout en recherchant un niveau de sensations nouvelles sur mon corps.

A mes côtés: des kleenex, un miroir et un objet quelconque pour l’anus.

Tout est en place pour débuter.

Premièrement, je débute bien lentement par effleurer la peau de mes cuisses, des fesses et les alentours en évitant de toucher au pénis. De petites pressions sur le périnée remonte jusqu’à l’intérieur de mon membre qui ne tarde pas à se gorger de vie en devenant plus long et plus dur. C’est à cet instant que j’installe, entre mes jambes relevées et bien ouvertes, le miroir que j’ajuste de manière à admirer mon anus, mes bourses et la base de mon pénis avec la grosse veine qui le gonfle de plaisir. J’avoue que c’est très beau à regarder car j’aime beaucoup contempler chacune des réactions et des mouvements alors que tout mon bassin s’agite par anticipation.

Une chaleur se dégage de mon corps et une sorte de vie intense s’installe dans mon bas ventre et la région avoisinante. C’est très chaud, érotique et spécialement très sexuel.

D’un va et vient très lentement pour débuter, je savoure chaque seconde de plaisir qui à maintenant rendu mon pénis dur, gros, sensible au maximum que j’évite de précipiter le plaisir en ne touchant pas le gland, tout rosé, qui ne demande qu’à exploser de désir.

Au lieu de ça, d’une main, j’étire mes bourses, sans oublier de caresser doucement cette peau épilée si douce et voluptueuse sur laquelle je sens une moiteur et une chaleur si agréable au toucher. Mes bourses se retrouvent maintenant en contact avec mon petit trou (rasé également) et c’est très stimulant à sentir et à voir dans le miroir. Tout mon pénis est maintenant en pleine érection et je sens mon gland humide tout contre mon nombril.

Je recommence à caresser mes gosses (les gosses se sont les testicules en québécois, note du webmaster) qui sont détendues et je les prends et les fait rouler entre mes doigts pour ensuite les déposer doucement contre la peau imberbe du périnée et la fente de mes fesses. Le miroir demeure mon complice de tout instant Je ne veux surtout pas manquer aucune réaction de tous mes organes virils d’autant plus que je peux le positionner dans tous les angles.

Maintenant, le plaisir se fait de plus en plus pressant. J’essaie de retarder ce plaisir en palpant un court instant mes testicules rendus gonflés et ronds dans leur poche. Ils sont si doux sans poils et si chauds qu’ils me donnent des chatouillements dans les tripes.

C’est maintenant le moment d’aller plus loin dans mon plaisir. Je tripote mes fesses, les malaxant, les écartant laissant entrevoir le petit trou qui réagit bien en se contractant sous la pression de mes doigts insistants. Tout dénudé de poils, il se fait invitant à la pénétration. Je lui introduis donc un stylo au plus profond en le sentant tout au fond du rectum.

Mon pénis me brûle les chairs. J’asperge le gland, maintenant au vif, de salive également sur toute la longueur de mon sexe sans oublier mon sac. Mon corps est luisant de transpiration et mon bassin entier se meurt de plaisir dans ses frémissements.

Sous le regard complice du miroir, je scrute chaque va et vient de plus en plus rapide dans le mouvement où mes testicules dilatés se butent à mes fesses ajoutant ainsi une sensation supplémentaire à ce que me procure déjà le frottement de mon gland devenu maintenant violet- bleu. Quelquefois j’attache, à l’aide d’un élastique, mon scrotum très serré formant ainsi une masse dure et ronde laquelle heurte le bout de l’objet introduit dans mon anus ce qui déclenche une agréable onde de chocs à l’intérieur de tout mon bassin-

Puisque je sens venir le point culminant, j’accélère, bien malgré moi, la cadence en tirant doucement sur le stylo dans l’anus tout en malaxant son contour, et de l’autre main je frotte énergiquement tout autour de mon gland et le prépuce profitant de tous ce que mon corps m’envoie de sensations pour enfin aboutir à un ultime orgasme dans lequel mes jambes se raidissent et que des gémissements s’échappent de moi. Cependant, je ne manque nullement de regarder dans le miroir et sentir chacune des contractions du muscle du périnée et de l’anus d’où l’objet s’active en saccade selon les contractions jusqu’à se mouvoir hors de mon petit trou de cul. C’est un instant sublime.

Parfois, en nettoyant le sperme répandu sur mon corps, j’en profite pour lécher les petites gouttes qui me coulent encore sur la main. Un petit goût de salé à ne pas dédaigner.

Après quoi, un grand bien-être m’habite et une sensation d’être complètement vidé se fait sentir. Cela est très apaisant et reposant pour le corps. Merveilleux et très bon.

Voilà mon expérience personnelle laquelle, je l’espère, saura satisfaire les attentes de vos lecteurs et je suis heureux de partager avec tous ces doux plaisirs que procure le sexe.

P.S. Cette séance de masturbation dura plus d’une heure et il en est ainsi à chaque fois. Il faut savoir faire durer le plaisir, n’est-ce pas? À la prochaine…!!!

Sexuellement vôtre,

Ray.
mraynald@megaquebec.net

 

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2 réponses à Masturbation-variante par Ray_

  1. Bonassieu dit :

    Monsieur à de l’humour : « Après quoi, un grand bien-être m’habite », pourquoi pas un grand bien être, ma bite ?

  2. Sigomore dit :

    Une methode qui en vaut bien d’autres, alors pourquoi pas ?

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