Mademoiselle de Saint-Hubert 3 – Initiation amoureuse par Ysan01

Mademoiselle de Saint-Hubert
3 – Initiation amoureuse
par Ysan

MADEMOISELLE de SAINT-HUBERT

Par Ysan

Rappel des chapitres précédents : Ysan c’est moi, quarante ans, artiste peintre mondialement connu. Je vis à Paris dans un vaste loft dominant le Bois de Boulogne, c’est là que je travaille. Fatima est ma servante, superbe ivoirienne à la beauté sculpturale, au fil des ans elle est devenue ma confidente et ma complice. Malgré mes objections elle m’appelle « maître », ayant un jour entendu l’un des mes clients un peu snob me nommer ainsi, ce vocable prétentieux lui avait beaucoup plu. Je collectionne les maitresses toutes veulent poser nues pour moi et savent choisir les poses et les tenues les plus érotiques pour réaliser leurs fantasmes. Cette vie facile dans l’aisance et les plaisirs a basculé le jour où mon galeriste m’a mis en contact avec la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois Colombe, une demoiselle d’une trentaine d’années image du puritanisme le plus austère. Passionnée de peinture, elle avait acheté plusieurs de mes toiles mais consacrait l’essentiel de son temps et de sa fortune à la gestion d’un orphelinat en Afrique noire. Pour financer son action caritative, elle avait décidé d’organiser une importante exposition de peinture. J’avais accepté de m’occuper de tout avec le sentiment de pouvoir enfin faire œuvre utile. Au cours d’un long périple en Europe et aux Etats-Unis j’ai réussi à convaincre les musées et les collectionneurs de nous prêter les toiles correspondant au thème tragique qu’elle avait choisi : « les calvaires du genre humain ». A mon retour la jeune comtesse était ravie du succès de mes démarches. Nos relations sont devenues plus intimes, elle a même acceptée de poser nue.

CHAPITRE III
INITIATION AMOUREUSE

Le lendemain Solange est arrivée pour la séance de pose vêtue d’une nouvelle robe, encore plus élégante que celle de la veille. J’ai eu droit au triple baisé sur les lèvres. Elle a disparu derrière le paravent pour ressortir très vite en string et talons aiguilles et, au lieu de se diriger vers le canapé, s’est approchée de moi avec beaucoup de décontraction dans sa nudité provocante voulant voir le résultat de mon travail. J’avais travaillé, seul dans la soirée. Elle a pu découvrir sur la toile les tendeurs, les chaînes, les lanières de cuir qui immobilisaient son corps :

– Ainsi Ysan, voilà comment vous m’avez transformée en esclave enchainée. Mais pourquoi m’avez-vous imposée cette position à plat ventre ?
– Solange, apprenez qu’une esclave doit tout accepter de son maître.
– Ysan vous pensez à la sodomie !!! Vous êtes le diable mais je vous adore.

Et elle est partie prendre la pose sur le canapé. Moi j’ai commencé à peindre dans un état d’excitation fébrile. Il ne me restait que quelques retouches, la séance a été brève. Solange, toujours nue est venue voir le résultat et nous avons appelé Fatima. J’aimais bien avoir son avis, elle a été enthousiaste :

– Oh maître !!! Votre peinture est très réussie, on voit bien que mademoiselle Solange est en position pour se faire enculer.
– Fatima votre langage me choque mais il est vrai que notre grand peintre a beaucoup de talent et d’imagination. Je l’avoue, je prenais beaucoup de plaisir à ces séances de pose. Voilà maintenant c’est fini, je vais le regretter.
– Mais si mademoiselle Solange le veut bien, moi j’aimerai que mon maître fasse un tableau où l’on soit toutes les deux.

La réponse de ma petite comtesse m’a étonné :

– Fatima votre idée est géniale : deux femmes, races et civilisations différentes mais unies dans un même esclavage. Ysan acceptez ce sera super !!!!

A ma grande satisfaction il ne me restait plus qu’à me mettre au travail :

– Votre idée est excellente je vous vois toutes les deux attachées au poteau qui est au milieu de l’atelier. Je peindrai autour de vous une foule d’hommes qui vous jaugent et vous palpent. On intitulera la toile « le marché aux esclaves » ce sera le clou de l’exposition !! Allez déshabille toi Fatima, prenez la pose et on commence !!

Fatima qui était nue sous sa blouse de travail a vite été déshabillée. A ma grande surprise j’ai vu alors Solange observer avec étonnement le pubis parfaitement épilé de ma sculpturale servante, puis enlever string et chaussures pour se retrouver dans la même nudité qu’elle. Main dans la main elles se sont dirigées vers le fond de l’atelier. Ma petite comtesse calquait son allure sur celle de Fatima qui avançait lentement en ondulant de la croupe. Moi j’étais grisé par le spectacle que m’offraient ces deux jeunes femmes, chutes de reins superbes, culs magnifiques, marchant vers le poteau des suppliciées.

D’instinct elles ont pris la bonne pose : enlacées l’une contre l’autre, chacune d’une main dissimulant le sexe de l’autre, le visage apeuré et les yeux baissés des esclaves soumises. J’ai commencé à dessiner et à peindre dans une excitation fébrile. En une heure l’ébauche de la toile était terminée, je pouvais maintenant continuer à travailler seul.

Mes deux Venus, enfin libérées de la pose sont venues me rejoindre en courant, pressées d’admirer mon travail. Ces deux filles superbes près de moi, mon excitation était à son comble. Je bandais comme un taureau. Nu sous ma blouse d’artiste, ma bite pointait, ce qui n’a pas échappé à Fatima :

– Mon maître est trop excité, il ne va pas pouvoir continuer à travailler, il vous faut le soulager mademoiselle Solange.
– Moi ???? Mais je ne saurai pas ma petite Fatima. Je suis vierge. Hier Ysan m’a fait voir son sexe, je l’ai juste caressé, c’est tout ce que je sais faire.
– Alors je vais vous faire voir, ce n’est pas difficile de soulager un homme et c’est très bon.

Sans plus attendre Fatima s’est agenouillée devant moi. Elle a ouvert ma blouse et avalé ma queue jusqu’à la garde. Solange s’était rapprochée ne voulant perdre aucun détail de la scène. Dans l’état où j’étais il ne m’a pas fallu longtemps pour décharger. Comme à son habitude, Fatima a tout avalé avec délectation, léchant ma verge pour ne pas perdre les dernières gouttes. Solange était impressionnée :

– Ainsi Fatima vous avez avalé tout le sperme de votre maître. J’ai eu l’impression que vous y trouviez du plaisir.
– Demain essayez, mademoiselle Solange, faites-moi plaisir. Vous verrez c’est très bon et mon maître sera ravi. Je vous donnerai des conseils.
– J’ai peur de ne pas savoir, mais vous êtes tellement gentille que je veux vous faire plaisir. Demain c’est moi qui soulagerai Ysan. Je voulais vous poser une autre question Fatima : comment avez-vous fait pour avoir le pubis parfaitement épilé, moi je trouve que mes poils sont disgracieux.

La conversation de ces deux jeunes femmes m’amusait beaucoup. J’étais devenu un simple objet sexuel. Très sérieusement elles conversaient pour décider qui me ferait quoi demain. Je n’ai pas voulu me mêler de leur programme, par contre la question de Solange concernant l’épilation m’intéressait au plus au point. Il me fallait sans plus tarder exploiter la situation :

– Vous avez raison Solange, pour une jeune femme aussi belle que vous c’est très bien d’être épilée. Il vous faut aller voir de ma part mon amie Katy. Je vous donne son adresse et je la préviens de votre visite. Elle a un important institut de beauté et saura vous faire une épilation au laser définitive. Je vous préviens c’est assez douloureux.
– Oh ! Merci Ysan et peu m’importe de souffrir, j’ai envie d’être belle. J’irais dés demain.

Tout en parlant, Solange est allée chercher ses vêtements derrière le paravent et s’est rhabillée devant nous dans une décontraction parfaite. Rendez vous fut pris pour une séance de pose le surlendemain. Avant de partir elle s’est pendue à mon cou pour m’embrasser sur la bouche. J’en appréciais l’habitude, mais cette fois Fatima assistait à la scène et s’est empressée de faire des commentaires après son départ:

– Mademoiselle Solange est très amoureuse de vous maître, soyez gentil, ne la faite pas attendre plus longtemps, il vous faut la baiser. Mettez-lui votre grosse queue. Elle a même envie d’être prise par derrière, je l’ai compris mais elle a un peu peur. La prochaine fois il vous faut m’enculer devant elle pour la rassurer.

Je n’ai pas répondu à Fatima, elle me proposait tout un programme mais moi j’avais le mien. Il est vrai que j’étais très amoureux de Solange, elle était très amoureuse de moi. Je savais parfaitement où je voulais la conduire mais Fatima n’avait pas besoin de le savoir…

Le surlendemain, Solange est arrivée à l’heure précise pour la séance de pose, mais elle semblait préoccupée. Je lui en ai fait la remarque, elle m’a répondu avec des sanglots dans la voix:

– J’ai peur Ysan. Fatima veut que ce soit moi qui vous fasse une fellation aujourd’hui, mais je n’en suis pas capable. Je vais vous décevoir.
– D’abord ma chère Solange, ne parlez pas de fellation à Fatima elle ne vous comprendra pas. Il faut lui dire faire une pipe, sucer la bite, pomper le nœud. De même que l’autre jour elle ne vous a pas parlé de sodomie mais a utilisé le mot enculer.
– Ce vocabulaire me choque Ysan
– Patientez un peu Solange et vous verrez que ce vocabulaire violent ne vous choquera plus dans nos jeux amoureux. De toutes manières, moi je sais que vous avez très envie de me sucer et que vous y prendrez du plaisir, de même qu’un jour vous trouverez une grande jouissance en vous faisant prendre.

Fatima est arrivée avant qu’elle ait pu me répondre. Les deux jeunes femmes se sont déshabillées devant moi en toute décontraction pour aller prendre la pose. Quelle évolution dans le comportement de Solange depuis les premières séances! Il est déjà loin le temps où elle rejoignait le divan telle Jeanne d’Arc marchant vers le bûcher.

J’ai travaillé pendant deux heures avant de libérer mes charmants modèles. Autour du sujet principal, j’avais peint une foule d’hommes aux visages hideux et regards concupiscents leurs bras s’étirant vers les deux corps dénudés, des mains palpant les seins, fouillant l’intimité des deux esclaves offertes.

La séance terminée, Solange et Fatima sont vite venues vers moi pressées de voir le résultat. Comme à son habitude Fatima s’est lancée dans de longs commentaires. Cette toile la faisait fantasmer. Elle se voyait très bien offerte à tous ces hommes concupiscents, elle que j’avais surprise un jour dans la cuisine subissant une double pénétration par deux colosses africains montés comme des taureaux.

Pendant ce temps, sans rien dire, Solange s’est agenouillée devant moi. Avec une infinie délicatesse elle a sorti ma bite turgescente pour la prendre en bouche. Elle me suçait avec beaucoup d’application sachant d’instinct aspirer mon gland, lécher mon frein et dans des mouvements plus violents enfoncer ma longue verge au plus profond de sa gorge. Vu la tournure des événements Fatima s’est discrètement éclipsée.

Il y a quelques mois à peine, la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois-Colombes, jeune femme puritaine, austère et mal fringuée m’avait froidement accueilli chez mon galeriste. Aujourd’hui elle était nue, agenouillée devant moi et besognant ma queue avec application. Au plaisir physique qu’elle me procurait s’ajoutait la jouissance de ma domination. J’étais satisfait d’avoir pu la conduire à ce niveau de soumission en si peu de temps. Je savais que nous irions ensemble beaucoup plus loin.

Dans l’état d’excitation où je me trouvais je n’ai pas tardé à décharger violement. Elle a eu bien du mal à déglutir mon jet puissant et puis c’est relevée l’air inquiet et les lèvres souillées par les résidus de mon sperme. Délicatement je lui ai essuyé la bouche tout en la félicitant :

– Solange tu viens de me procurer un plaisir immense, tu es adorable, je t’aime.
– Ysan, je suis heureuse que vous m’ayez parlé ainsi, pour la première fois vous venez de me tutoyer. Je veux être toute entière à vous, mais donnez moi la permission de vous tutoyer moi aussi et de vous appeler mon chéri.
– Bien sur que tu peux et viens sur le canapé avec moi mon amour. Tu as fais de gros efforts pour me faire jouir, à moi de te donner un peu de plaisir.

Son visage s’est illuminé dans un large sourire, elle s’est assise sur mes genoux. Je l’ai embrassée avec fougue. Bouche ouverte elle n’attendait que ça. Nos langues enlacées chacun buvait la salive de l’autre. D’une main je pétrissais la pointe de ses seins, de l’autre je remontais doucement entre ses cuisses pour atteindre la fente abondamment mouillée. Mon index ainsi lubrifié titillait son clitoris. Cuisses écartées, elle se donnait entièrement. Mes caresses sont alors devenues plus violentes, la pomme de la main plaquée sur son sexe je pétrissais son bouton pendant que de l’index je forçais l’étroit passage du sphincter. Mes lèvres avaient abandonné sa bouche pour mordiller ses tétons. Ses gémissements sont devenus des hurlements de plaisir :

– Ysan tu me fais jouir ! Oh c’est bon ! C’est bon ! J’ai un orgasme ! J’en suis sure je ressens exactement ce que j’ai lu dans les livres !!!!

Ainsi je venais d’apprendre qu’en bonne élève elle cherchait dans les livres à se documenter sur les choses de l’amour. A trente ans elle venait de jouir pour la première fois. De grosses larmes de bonheur coulaient sur ses joues :

– Ysan, mon chéri, maintenant je veux être toute à toi, prends moi je t’en supplie.
– Non Solange, il te faudra attendre encore un peu. Nous avons d’abord cette grande exposition à préparer, et le lendemain du vernissage nous partirons en voyage de noces à Venise.
– Tu me mets au supplice, mais tu as raison. J’aurai le temps d’aller voir Katy l’esthéticienne que tu m’as indiqué et je t’offrirai un pubis parfaitement épilé pour le grand jour. Je veux t’offrir ma virginité chez moi ensuite nous partirons en voyage où tu voudras.

Sur ces propos Solange s’est rhabillée promptement et m’a longuement embrassé avant de partir. Fatima attendait son départ pour venir aux nouvelles, je lui ai tout raconté :

– Alors, maître puisque vous ne voulez pas baiser mademoiselle Solange, il faut que je continue à tout lui apprendre. Demain je vais vous demander de m’enculer devant elle.

Le lendemain nous avions prévu une dernière séance de pose pour terminer la toile. Ensuite je devais partir en voyage pour quinze jours. Un long périple pour rassembler les tableaux que nous prêtaient les musées.

La dernière séance de pose fut assez brève. Je n’avais plus que quelques retouches à faire. Ma grande toile « le marché aux esclaves » qui devait être le clou de l’exposition était terminée. Pour marquer l’événement j’ai demandé à Fatima d’aller chercher une bouteille de champagne. C’est le moment qu’elle a choisi pour me demander de la sodomiser devant Solange qui semblait très désireuse de voir :

– Je veux bien t’enculer Fatima, mais es-tu propre au moins ?
– Oui maître je viens de prendre un lavement.
– Alors vas chercher le pot de crème.

Avec application elle a lubrifié son œillet et puis a tendu le pot de crème à Solange en lui expliquant comment elle devait préparer ma queue. Docile, ma petite comtesse s’est agenouillée devant moi et a sorti ma bite pour la lubrifier avec application. Mon excitation était à son comble. Fatima avait déjà pris position en levrette au bout du canapé. Debout derrière elle, tenant fermement sa croupe à pleines mains, je l’ai embrochée jusqu’à la garde d’un seul coup. Elle hurlait de douleur :

– J’ai mal maître ! J’ai trop mal ! Pitié, vous me déchirez ! Vous êtes trop gros pour mon cul !
Tais toi salope et jouis ! Je sais bien que tu aimes te faire défoncer. Dis le à mademoiselle Solange.
– Mon maître a raison, vous verrez mademoiselle Solange c’est bon d’avoir mal.

Solange paraissait impressionnée et fascinée par la violence de la scène, mais je ne voulais pas qu’elle reste simple spectatrice:

– Ma chérie il te faut participer à notre jeu amoureux, allonge toi sur le canapé, Fatima va s’occuper de toi.

Solange ne s’est pas fait prier pour m’obéir. Etendue, cuisses écartées, elle offrait son intimité à ma belle servante qui s’est empressée de lui lécher le bouton. Je voulais accroitre encore son plaisir :

– Solange, ma chérie, je suis trop loin, je ne peux pas te toucher, caresses toi les seins, pince les tétons, tu m’excite.

Ainsi tout en enculant ma servante je voyais ma petite comtesse les yeux révulsés, gémir de plaisir. Fatima n’était plus qu’un instrument entre nous deux, j’avais l’impression de baiser Solange par personne interposée.

Nous avons jouis tous les trois dans un ensemble parfait, mais le moment de la séparation était venu. Je devais maintenant partir pour ce long périple de préparation de notre exposition. Les adieux furent émouvants. Je savais qu’en mon absence Fatima saurait poursuivre l’éducation amoureuse de ma petite comtesse.

(à suivre)

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