Ma petite vie gay 13 – Ballade printanière sur la coulée verte par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
13 – Ballade printanière sur la coulée verte
par Emmanuel_2

Superbe journée que ce dimanche 18 avril, un soleil à tout va, pas de vent ! Voila enfin le printemps !!! Et donc je me suis rapidement décidé (au grand dam de mon amant que je réveille brutalement) que je prendrais le RER pour me « faire la coulée verte à pied ». J’en ai trop marre de cet hiver qui n’en finit plus ! Et donc toilette en sifflotant et plein de caresses-merci à mon petit corps qui me donne envie de bouger. Hop un petit dej’ tardif (déjà midi…), saut dans le RER et descente vers Verrières.

Plein d’entrain j’attaque les petits chemins que je connais si bien et 4-5 Kms plus tard, je regrette déjà d’avoir mis un string. Bonne et mauvaise idée, ca me flatte et caresse la raie des fesses et le petit trou du cul en marchant au début du périple mais ca s’avère rapidement plus irritant qu’agréable. Je m’arrête, regarde autour, personne surtout que le chemin est bien dissimulé et à 100 m de la vraie route de la promenade. Rapidement je mets le sac à dos par terre, et retire mes chaussures. Le jean est un peu plus dur à retirer car un peu serré. Penché vers l’avant j’ai à peine descendu mon string sur mes cuisses qu’un bruit soudain de branches cassées me fait regarder derrière moi et je vois arriver à toute vitesse un cycliste qui freine en catastrophe et s’arrête juste à 1 mètre de moi. Le sexe et le cul à l’air je suis un peu gêné… Lui, un mec a posé pied à terre et me regarde en souriant.  » Mince ! J’adore ce genre de surprise ! » Lance-t-il tout sourire.

Je le regarde un peu interloqué comme pris en faute. C’est un mec dans les 30 ans, bien fait, en tee-shirt et short moulant genre Lycra qui du coup ne peut cacher l’effet que je lui fais. Sa bite emplit tout le devant de son short et ne demanderait qu’à jaillir!

Puis il me jette un regard ou brille les paillettes d’or d’un désir incontrôlable et il poursuit:  » continues comme si je n’étais pas là mais laisse moi juste regarder »…

Je retire donc mon string en lui montrant bien ma raie des fesses et en me retournant, mon sexe qui en a profité, le fourbe, pour se raidir de désir. Après quelques minauderies, je renfile mon jean directement sur la peau afin d’être plus à l’aise. Lui, a rapidement passé sa main sous sa ceinture et se caresse sans se soucier de moi. Oups ! Je pense que j’ai intérêt à dégager rapidement !

Hop le sac a dos et reprenant le chemin je lui jette un  » Ciao !  » qui devrait tourner court à toute suite. Il me dépasse et me dit: » a bientôt, j’espère » avec un petit sourire espiègle. Et il s’en va debout sur les pédales. Je regarde avec désir son petit cul qui danse, si mignon, si adorable, sa raie des fesses trempée de sueur et j’ai envie maintenant de baiser.

Bon je continue à marcher et 1 Km plus loin j’ai oublié l’incident quand dans le petit chemin je me retrouve nez à nez avec mon cycliste qui semble m’attendre. Stupéfait (mais en fait je m’y attendais plus ou moins) je décide de voir ce qu’il veut .Rapidement il me demande si je veux bien venir avec lui-  » tout à coté, il y a une clairière tranquille »… Bon allez, mon corps l’espérait plutôt plus que moins, alors allons-y. Je le suis, passant sous des arbustes, empruntant un sentier à peine débroussaillé et finalement on débouche dans une petite surface engazonnée, en plein soleil, si proche et si loin des sentiers et de la foule.

Il pose son vélo et rapidement retire son petit sac à dos, son haut ne gardant que son short qui moule admirablement son bel engin. Il s’approche, m’aide à retirer mon sac a dos et tee-shirt puis mon jean et se met a genoux pour me sucer. Il fait ca admirablement et très vite je ferme les yeux de bonheur. Je le caresse et la sueur de son dos m’émoustille un peu. Puis il se relève, ouvre son sac et en retire une petite bâche bleue et l’étend au soleil. Il me prend la main et m’allonge près de lui. Collés l’un a l’autre on se détend, on se cajole. Je le flatte au travers du lycra et négligemment passe la main pour dégager son sexe. Celui-ci jaillit immédiatement, il retire rapidement son short de lycra. Nous sommes maintenant nus tous le deux et c’est un grand plaisir de se frôler, de se mélanger. Je sens son odeur d’athlète en sueur. Apres un siècle de caresses, d’attouchement, il me glisse à l’oreille: « baises moi vite je crève de désir  » et il se redresse, se met en levrette et me jette son cul à la figure. Surpris je finis par m’agenouiller, le caresse, le malaxe, l’ouvre, embrasse goulûment sa raie des fesses. Il sent très fort la sueur mélangée à son odeur, j’ai un peu de mal à le supporter moi qui suis si accro à la propreté de mes amants. Enfin mon nez s’y habitue et je l’embrasse encore plus fort, le mordille, lui suce le petit trou, et la bite raide me prépare de la main. Il est au 7ème ciel et râle de plaisir. Me redressant, je lui place un doigt sur puis dans l’anus suivi par le pouce et le pénètre doucement, sans lui faire de mal des doigts j’agrandis son orifice en le massant puis place mon sexe et entre doucement en lui. Le cul du bougre est tellement en sueur et excité qu’on croirait qu’il est lubrifié. Une fois bien installé j’y vais doucement, prenant tout mon temps, jouissant de chaque excitation que me procure son petit trou. D’une main je le masturbe autant que je peux et finalement je le sens se raidir et cracher son jus dans ma main. Je ne bouge plus, enfoncé au fond de lui, de la main je le caresse infiniment doucement et lui demande de s’allonger. Doucement, en siamois nous nous couchons et je le place sur le coté, lui relève d’un geste les genoux et me colle a son dos, le sexe au fond de lui, en attente de plaisir. Une fois qu’il a repris sa respiration je passe ma main sous lui, enserre son sexe et ses boules, les malaxe tendrement et fait de langoureux et petits va et vient. Je le sens s’abandonner, s’ouvrir, me désirer et en allant progressivement plus fort et plus vite, j’arrive au point de jouir et me retirant un peu éjacule dans son cul, fouaillant son trou, allant et venant violement comme si je devais le transpercer. Lui se colle à moi, cherchant à me faire pénétrer encore plus à fond. Encore secoué par des soubresauts de plaisir je le sens me prendre la main, m’embrasser, me sucer les doigts un par un.

Puis on se calme, moi restant en lui, je ressens son petit trou se détendre puis se refermer doucement autour de ma bite. On s’est tranquillement assoupis, l’un contre l’autre comme des amants de toujours. Un moment plus tard un rêve magnifique , mes amants qui un par un se succèdent et me sucent un le sexe, l’autre le cul, un autre m’embrasse goulûment , m’envahissant de sa langue raide et ressemblant à une bite, je rêve que je suis visité par des milliers de doigts , de langues , de sexe , qu’un long sexe me pénètre le cul et ressort dans ma bouche et que je le suce avec passion goûtant son nectar qui n’en finit pas de gicler et puis une explosion de plaisir , le corps qui efface la raison , mon cul qui s’ouvre qui éjacule tout le sperme qui me remplit et brusquement je me réveille , le sexe en train de gicle , et le cul rempli de la bite de mon cycliste adoré . Il se raidit et au plus profond de moi, je me sens éclaboussé de liquide en fusion, je sens mon cul engloutir son corps, sa bite, ses couilles; Il me chahute, me retourne, me plaque ventre a terre et continue à me pilonner, a se décharger en moi. Puis le calme, il me caresse, longuement, tendrement. Je me rendors quelques instants et à mon réveil je me prélasse au soleil, les fesses ouvertes, offert. Un bruit derrière moi. Certainement mon cycliste qui bouge un peu. Je me suis assoupi à moitié et goûte avec adoration les caresses longues dans ma raie des fesses, les baisers sur mon petit trou, les doigts qui me visitent tendrement, les longues sensations extraordinaires de mains sur ma colonne vertébrale et sur mes flancs. Puis des doigts qui m’ouvrent tendrement de plus en plus comme pour me fier et finalement un sexe qui se pose, hésite un peu, s’y introduit, me remplit tout de suite l’anus, m’écarte encore, gros comme si une main voulait y entrer.

En adoration pour mon cycliste je le laisse m’écarter tendrement et se glisser nonchalamment bien au fond. Je sens ses poils me chatouiller la raie des fesses, comme des caresses. Il accélère un peu maintenant que je suis ouvert suffisamment. Aux anges, les yeux clos, la tête de coté posée sur mes bras repliés, en apnée je jouis de cette pénétration avec un plaisir incroyable. Puis une main qui me caresse la tête, ce qui semble être un sexe qui se pose sur mes lèvres et son odeur, mélange de sueur et de sperme qui m’envahit. J’ouvre les yeux et découvre son sexe sur mes lèvres ! Mais… me retournant je vois un autre mec qui appuyé sur moi me baise, les yeux fermés. Je sursaute, lui aussi et il entre brusquement au fond de moi m’arrachant un petit cri de douleur, et puis la bite de l’autre qui se faufile entre mes lèvres, qui me titille la langue et que finalement je suce avec avidité, le nez contre le pubis de mon cycliste, dans son odeur. Mon cul est rempli comme jamais par la grosse queue de l’autre mec qui me pilonne, m’écrase puis dans un grand sursaut me cloue au sol. Je sens son sperme me frapper l’intérieur, me gaver, me brûler de sa chaleur. Des rapides et brusques va et vient et il s’écroule sur mon dos. Je sens sa bite comme un gros gode qui me cloue au sol, dure, incroyablement démesurée. Puis il se relève, et en sortant me baigne la raie des fesses de son jus qui coule de mon cul grand ouvert, démesurément ouvert. D’une main je me tâte et des doigts mesure les dégâts, on dirait que je me suis fais fister. Heureusement que certains de mes amants sont bien montés comme celui-ci, je n’ai plus qu’a attendre un peu que tout se remette en ordre. Je me relève, un peu contusionné quand même, et debout, observe l’autre homme qui négligemment rentre sa grosse bite dans son pantalon, s’approche, me colle un baiser, fourre sa main entre mes jambes et enfonce un doigt au fond de moi en disant :  » bon Dieu ca fait du bien de baiser un cul comme ca ! » et faisant volte face il disparaît par le sentier.

Mon cycliste ne sachant plus trop quoi dire vient m’embrasser tendrement de longues secondes, me caresse tendrement. Nous sommes tous les deux nus et après nous être conjointement visité du bout des doigts nous nous sommes souris puis avons éclaté de rire. Il m’a dit connaître l’autre mec qui est  » un queutard de première » et que de temps en temps ils se retrouvent pour baiser ici dans la clairière.

« En fait ils nous a regardé baiser puis à profiter de ton sommeil pour varier ses habitudes. ».

Puis on est resté assis au soleil, peau contre peau, lui se masturbant tout ce temps avec lenteur, moi une main entre mes fesses me caressant pour me décontracter et faire mon petit trou chéri se refermer sans problème. Puis on se rhabille, on s’embrasse et chacun reprenant ses sacs et lui son vélo, on est reparti avec des sourires de connivence. Bien je sentais en moi à chaque pas la grosse bite de l’autre mec au fond de moi et mon cul me renvoyait des ondes de plaisir en permanence.

Manquant d’énergie pour continuer à pied jusqu’à Paris, je suis sorti rapidement de l’itinéraire et en RER suis rentré très vite chez moi. Là, après une longue douche réparatrice je me suis mis au lit et demandé à mon amant chéri de me faire l’amour et ensuite lui ai suggéré de se mettre au vélo…au loin, en tout cas, de s’acheter une culotte en lycra bien moulante !

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