Mademoiselle de Saint-Hubert 2 – La métamorphose par Ysan01

Mademoiselle de Saint-Hubert
2 – La métamorphose
par Ysan


MADEMOISELLE de SAINT-HUBERT

CHAPITRE II

Rappel du chapitre précédent :Ysan c’est moi, quarante ans, artiste peintre mondialement connu. Je vis à Paris dans un vaste loft dominant le Bois de Boulogne, c’est là que je travaille. Fatima est ma servante, superbe ivoirienne à la beauté sculpturale, au fil des ans elle est devenue ma confidente et ma complice. Malgré mes objections elle m’appelle « maître », ayant un jour entendu l’un des mes clients un peu snob me nommer ainsi, ce vocable prétentieux lui avait beaucoup plu. Je collectionne les maitresses : femmes du monde, jeunes bourgeoises, épouses modèles, toutes veulent poser nues pour moi. Elles savent choisir les positions et les tenues les plus érotiques mais je ne suis pas dupe, elles viennent me voir surtout pour réaliser leurs fantasmes. Cette vie facile dans l’aisance et les plaisirs a basculé le jour où mon galeriste m’a mis en contact avec la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois Colombe, une demoiselle d’une trentaine d’années image du puritanisme le plus austère. Passionnée de peinture, elle avait acheté plusieurs de mes toiles mais consacrait l’essentiel de son temps et de sa fortune à la gestion d’un orphelinat en Afrique noire. Pour financer son action caritative, elle avait décidé d’organiser une importante exposition de peinture. J’avais accepté de m’occuper de tout avec le sentiment de pouvoir enfin faire œuvre utile. Dès le lendemain de notre entretien je prenais l’avion pour un long périple en Europe et aux Etats-Unis, il me fallait convaincre les musées et les collectionneurs de nous prêter les toiles correspondant au thème tragique qu’elle avait choisi : « les calvaires du genre humain »

METAMORPHOSE

Où que je sois, tous les soirs la comtesse me téléphonait à l’hôtel pour faire le point. Elle débutait toujours par « bonsoir maître, j’espère que je ne vous dérange pas » et terminait par « bonne nuit maître, reposez vous bien ». Moi je l’appelais « mademoiselle la comtesse ». Un jour j’ai tenté « mademoiselle Solange » et j’ai eu l’impression qu’elle en était ravie. D’ailleurs, au fil des jours, nos conversations devenaient de plus en plus amicales et détendues. Et il m’arrivait d’attendre son appel avec une certaine impatience.

En voyage, j’avais pour habitude d’appeler régulièrement Fatima, en mon absence c’était elle qui régentait tout à l’atelier. Lors de mon premier appel les problèmes domestiques ont été vite expédiés elle voulait surtout savoir ce que je faisais :

– Dans tous les pays que vous traversez vous devez en baiser des jolies filles !!

– Vraiment ma petite Fatima tu ne penses qu’a ça ! et bien je vais te décevoir, il n’y a rien à raconter, je n’ai pas fait l’amour depuis mon départ de Paris.

– Oh maître ce n’est pas normal, vous êtes malade ?

– Rassure toi je ne suis pas malade, mais je me consacre entièrement à mon travail.

Effectivement ma chasse aux œuvres d’art fut un vrai succès. J’avais obtenu les accords de nombreux musées pour nous prêter des toiles dans l’esprit du thème choisi: corps déchirés de Francis Bacon, bordels sinistres d’Auguste Chabaud, soldats mutilés, prostituées tragiques et bourgeoises obscènes d’Otto Dix, esclaves orientales de Delacroix et enfin un grand chef d’œuvre du musée de Munich l’enfer de Gérôme Bosch. Solange n’en croyait pas ses yeux. Son exposition sur « les calvaires du genre humain » serait un succès.

Dés mon retour elle a voulu m’inviter au restaurant : la Grande Cascade au Bois de Boulogne établissement antique et solennel qui lui ressemblait bien. Cette fois j’ai fais en sorte d’être là avant elle. Elle est arrivée peu après toujours vêtue de son sinistre tailleur gris mais un sourire radieux illuminait son visage. J’ai eu droit à ses remerciements chaleureux pour les résultats brillants de ma tournée de prospection. Nous parlions de l’organisation de l’exposition quand brusquement son visage s’est empourpré. Elle avait quelques difficultés à s’exprimer:

– Maître, nous sommes faits pour nous entendre et réaliser bien des choses ensemble. Vous me feriez un plaisir immense si vous acceptiez de m’appeler tout simplement « Solange » et non plus « mademoiselle la comtesse ».

– Solange, votre proposition me ravi, mais de votre côté il vous faudra maintenant m’appeler Ysan.

– Vous me troublez Ysan, c’est la première fois de ma vie que j’appelle un homme par son prénom.

Nous venions de faire un grand pas vers un peu plus d’intimité ce qui n’était pas fait pour me déplaire. Notre repas c’est poursuivi dans une convivialité agréable, mais dès mon arrivée j’avais remarqué à une table voisine l’une de mes anciennes maîtresses en compagnie de son mari. Pendant tout le repas elle n’a cessé de nous épier. Quand nous sommes partis je l’ai saluée, elle m’a répondu avec un sourire moqueur.

Après le repas nous sommes allés chez moi. Solange voulait voir les toiles que j’allais exposer. Fatima nous attendait, elle a noyé Solange sous un flot de remerciements « une grande comtesse qui s’occupait des enfants abandonnés de son pays ». Solange était émue. Par contre j’ai vu son trouble quand je lui ai présenté mes toiles : prostituées aux tenues provocantes, esclaves enchaînées, Fatima écartelée, Fatima empalée sur un énorme pieux :

– Vos toiles sont violentes, mais quel talent ! Il faut que je m’habitue à autant de provocations, après tout c’est moi qui l’ai voulu en choisissant le thème de l’exposition.

– Je suis ravi que mon travail vous plaise, mais pour compléter cette série j’aimerai que vous acceptiez de poser, juste pour faire une dernière toile.

– Mais vous n’y pensez pas Ysan, mon portrait serait incongru dans cette série de tableaux admirables.

– Vous ne m’avez pas compris Solange, il ne s’agit pas de votre portrait. J’aimerai que vous posiez nue.

– Moi nue !!! c’est impossible! mon corps est bien trop disgracieux pour intéresser un grand artiste comme vous.

– Vous vous sous-estimez Solange. Mon œil de peintre vous a déjà déshabillée, je vous assure que les formes de votre corps sont très harmonieuses. Mais je comprends votre pudeur, vous pourrez garder culotte et soutien-gorge. Nous choisirons ensemble une pose qui vous convienne.

– Sachez d’abord que je ne porte jamais de soutien-gorge, ce harnachement inutile inventé par les hommes pour contraindre les femmes et puis je ne veux pas vous montrer mes petits seins minables, ils sont ridicules comparés à ceux de toutes vos maîtresses. J’ai bien vu sur vos toiles.

– Vous avez de petits seins très fermes en forme de pommes que je trouve adorables. Faites moi plaisir Solange, acceptez de poser pour moi.

– Vous me troublez Ysan, il me faut réfléchir, maintenant je dois partir, je vous téléphonerais.

Sa réflexion a été de courte durée, en début de soirée elle m’a téléphoné pour me donner son accord. Nous avons fixé la première séance de pose au lendemain. Peu après je recevais un appel de mon ancienne maîtresse rencontrée au restaurant :

– Alors Ysan, maintenant tu détournes les bonnes sœurs du droit chemin. C’est ton nouveau fantasme ?

– Ma chère amie je ne déjeunais pas avec une bonne sœur, j’étais avec la Comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois-Colombes. Ensemble nous préparons une importante exposition au Grand Palais. Tu recevras une invitation pour le vernissage et ce jour là tu verras la comtesse éblouissante de beauté et d’élégance.

– Bon courage Ysan tu as du travail pour en arriver là !!

Le lendemain Solange était très angoissée quand elle est arrivée pour la première séance de pose. Je lui ai proposé d’aller se déshabiller derrière un paravent et j’avais prévu un grand drap lui permettant de cacher sa nudité. Enveloppée dans ce drap je l’ai vue marcher vers le divan telle Jeanne d’Arc se dirigeant vers le bûcher.

Quand elle a été allongée, je me suis approché et délicatement je l’ai dénudée. Elle m’a souri. Bien sur elle avait gardé sa culotte, une affreuse culotte en coton blanc comme je m’y attendais, mais son corps aux proportions harmonieuses était magnifique. Je ne m’étais pas trompé.

J’ai dessiné et peint pendant plus de deux heures. Au fil du temps elle s’est détendue et nous bavardions. Fatima nous a servi le thé, Solange est venue s’asseoir auprès de moi enveloppée dans le drap blanc et puis sagement elle est repartie prendre la pose. En fin d’après-midi, quand elle a été rhabillée, elle paraissait plus détendue :

– Vous voyez Solange ce n’est pas dramatique de poser pour un peintre, nous allons continuer la semaine prochaine. Et puis je ne m’étais pas trompé vous avez un corps magnifique, mais je vais vous faire un reproche : il est dommage qu’une femme aussi belle soit aussi peu élégante.

– J’ai quelques fois envie d’acheter de beaux vêtements mais je n’ai pas le temps de m’en occuper alors j’achète par correspondance à la Redoute.

– Je vous donne l’adresse d’une excellente amie Nady qui a un grand magasin de prêt-à-porter et de lingerie. Je la préviens de votre venue, elle saura vous conseiller.

– Ysan vous êtes un ange !!

Elle s’est mise sur la pointe des pieds pour me prendre par le cou et m’embrasser sur les deux joues. Le temps que je réalise, elle était déjà partie.

Fatima était pressée de savoir comment s’était déroulée l’après midi :

– Alors maître vous l’avez baisée mademoiselle Solange ?

– Tu vas vite en besogne Fatima, d’autant qu’à mon avis elle est vierge.

– Alors vous avez raison maître de faire attention, pour une femme c’est très important la première fois, mais moi j’ai vu dans ses yeux qu’elle avait très envie de vous.

– Elle revient dans trois jours, nous verrons !!!

Quand Solange est arrivée pour la séance de pose suivante, elle était méconnaissable : robe printanière multicolore mettant en valeur sa taille fine et ses petits seins arrogants, escarpins, bijoux fantaisie, ses longs cheveux blonds libérés du chignon, elle était superbe. Longuement je l’ai complimentée pour sa beauté et son élégance. Elle s’est dirigée en virevoltant vers le paravent pour se déshabiller. J’ai eu l’impression qu’il lui tardait d’être nue. D’ailleurs elle est ressortie très vite de sa cachette : juchée sur ses hauts talons et vêtue uniquement d’un adorable string brésilien en dentelle rose. J’appréciais les conseils donnés certainement par Nady. Ce n’était plus Jeanne d’Arc marchant vers le bûcher. Solange avançait lentement vers le divan me laissant tout le temps de l’admirer et de la complimenter à nouveau.

Sans avoir besoin de mes conseils, elle a pris la pose : bras en croix et à plat ventre sur un coussin qui accentuait la cambrure de ses reins. Quand mon modèle était bien en place sur la toile j’avais pour habitude de compléter le dessin par une série d’accessoires fruits de mon imagination et de mes fantasmes .En l’occurrence j’avais prévu de figurer deux puissants tendeurs fixés aux poignets de Solange pour maintenir ses bras en croix et de fines lanières de cuir liant ses jambes l’une contre l’autre.

Pour réaliser ce tableau j’avais pris une toile de même format que celle où j’avais représenté Fatima ma superbe servante noire allongée sur le dos et écartelée : les jambes maintenues par des sangles fixées aux chevilles, les bras repliés sous les reins. Une lanière apparente permettait de comprendre que les poignets étaient attachés entre eux. Cette position inconfortable obligeait Fatima à bomber le torse mettant en valeur sa superbe poitrine. Enfin tout le haut de son corps était immobilisé par deux lourdes chaînes fixées à un collier d’esclave.

J’avais imaginé de donner des titres parallèles à ces deux tableaux de même format : « l’esclave noire» et « l’esclave blanche ». Tous les érotomanes amateurs de soumissions sauraient apprécier: la noire en position pour être prise par devant, la blonde pour être prise par derrière. Dans sa naïveté charmante, Solange n’avait pas encore compris où je voulais en venir.

La séance de pose terminée elle est venue vers moi, sans pudeur dans sa nudité érotique, pour admirer mon travail. Je bandais comme un bouc en rut, mais j’avais décidé de me maîtriser. Je ne voulais pas brûler les étapes. Heureusement Solange est vite partie se rhabiller derrière le paravent pour réapparaître dans sa charmante robe multicolore.

Il y avait, dans un coin de l’atelier une copie en plâtre du David de Michel-Ange. Elle s’est attardée longtemps devant la statue. J’ai voulu la taquiner :

– A ce que je vois, vous étudiez dans le détail l’anatomie masculine, Solange.

– Ne vous moquez pas de moi Ysan, je n’ai jamais vu un homme nu alors je regarde cette très belle statue

Son comportement étonnant réveillait en moi des souvenirs d’enfance. A dix ans lorsque garçons et filles découvrent leur sexualité, toutes mes petites copines voulaient « voir mon zizi » et moi je leurs demandai de me montrer leur fente. Nous allions nous cacher dans le grenier de la grande maison familiale. Sans aucune pudeur, elles enlevaient leur culotte, moi je baissai pantalon et slip, découverte du fruit défendu, premiers émois, premières caresses. Les plus hardies me demandaient de toucher leurs seins qui commençaient à pointer. Solange avait trente ans mais elle en était toujours à ce stade ! Son observation terminée, toute rougissante elle est venue vers moi :

– Ysan, vous allez me trouver ridicule mais je veux vous poser une question. le sexe d’un homme n’est pas plus gros que celui de la statue ?

– Mais non Solange, vous n’êtes pas ridicule, au contraire je suis ravi que vous me posiez cette question. C’est la preuve de toute la confiance que vous avez en moi. Vous savez que Michel-Ange était homosexuel il a représenté là un jeune éphèbe androgyne. Le sexe d’un homme adulte est beaucoup plus gros, surtout quand il est excité comme moi en ce moment. Votre nudité m’a troublé.

Ne voulant pas que mes modèles prennent froid, il faisait toujours très chaud dans mon atelier et j’avais pour habitude de travailler nu sous ma blouse d’artiste. Tout en parlant j’ai pris la main de Solange et l’ai posée contre mon ventre à hauteur du sexe. Elle a été surprise mais m’a parue bien plus fascinée que troublée.

– Mon dieu !!!! il est énorme !!!

– Ne soyez pas effrayée Solange, pour compléter votre éducation amoureuse il ne faut pas vous contenter de toucher, allez voir mon sexe. Vous verrez toute la différence entre un homme et l’éphèbe de Michel Ange.

A ma grande surprise elle s’est accroupie devant moi. Délicatement elle a pris ma bite dans une main alors que de l’autre elle caressait mon gland. J’ai bien cru que j’allais décharger, mais j’ai réussi à me maîtriser. J’avais rajeuni de trente ans, l’âge où mes petites copines d’enfance voulaient toutes « voir mon zizi ». A ce moment Fatima a fait une entrée impromptue dans l’atelier, au vu du spectacle elle s’est discrètement retirée. Solange, toujours accroupie était admirative :

– Mon Dieu que c’est beau le sexe d’un homme ! C’est magnifique ! Je ne l’aurais jamais imaginé, mais puisque vous voulez faire mon éducation amoureuse Ysan, je vais vous poser une question très indiscrète : vos maitresses doivent souffrir atrocement quand votre sexe énorme les pénètre.

– Détrompez vous Solange, la nature est bien faite elles n’y trouvent que du bonheur, non seulement par devant mais aussi par derrière où l’ouverture est bien plus étroite.

– Vous voulez me parler de la sodomie ??? mais c’est un péché mortel !!!

– C’est peut-être un péché mortel mais croyez moi quand vous aurez essayé vous ne pourrez plus vous en passer.

– Ysan vous êtes le diable ! je m’en vais vite, à demain.

Elle s’est redressée et comme la veille s’est pendue à mon cou pour m’embrasser. Cette fois je ne lui ai pas tendue la joue, elle m’a embrassé trois fois sur les lèvres. Moi je la serrai par la taille, frottant mon sexe contre son ventre. Dès son départ Fatima est venue me rejoindre:

– Alors ça y est maître, cette fois vous l’avez baisée mademoiselle Solange!!

– Décidément c’est chez toi une idée fixe, Fatima une nouvelle fois tu vas être déçue.

– Elle vous a quand même fait une pipe, je l’ai vue.

– Tu as mal vu, elle s’est contentée de regarder et de toucher.

– Je l’aime bien mademoiselle Solange mais quand même ………devant une si belle bite ne pas avoir envie de la prendre dans la chatte, dans le cul ou au moins dans la bouche, elle est bizarre !

– Non elle n’est pas bizarre, elle est vierge

– Vous avez raison maître, pour la première fois il vous faudra le faire très bien sinon elle risque d’être dégoutée des hommes pour la vie c’est important, mais maintenant vous devez être complètement engorgé. Votre bite va éclater, il faut que je vous soulage !

Sans me demander mon avis, Fatima s’est agenouillée devant moi et a pris en bouche ma verge turgescente qu’elle a enfoncée jusqu’à la garde. Je n’ai jamais compris comment elle pouvait avaler sans s’étouffer une bite aussi grosse que la mienne. Elle a amorcé de rapides mouvements de va et vient, ses lèvres pulpeuses caressaient délicieusement sur toute sa longueur mon sexe en feu. Pour moi le plaisir était particulièrement violent chaque fois que mon gland frottait contre le fonds de sa gorge. A ce rythme, je n’ai pas tardé à éjaculer. Comme à son habitude, Fatima a tout avalé et semblait se délecter de mon sperme.

Dans la soirée, j’ai téléphoné à Nady, la spécialiste du prêt à porter chez qui j’avais envoyé Solange :

– Toutes mes félicitations Nady, tu as complètement transformé Solange, c’est une véritable métamorphose !

– Ce n’est pas fini, il y a encore du travail, mais elle est adorable ta petite comtesse. Et puis elle ne regarde pas à la dépense, pour te plaire elle m’achèterait toute la boutique. Je vais maintenant m’occuper de ses dessous.

– Déjà tu lui as fait remplacer son horrible culotte en coton par un string adorable, c’est un grand progrès.

– Oui mais je connais tes goûts Ysan. Je vais maintenant lui faire porter tout ce que tu aimes : porte-jarretelles, guêpières, nuisettes, déshabillés transparents. Au fait, l’autre jour en bavardant avec elle j’ai cru comprendre que tu ne l’avais pas encore baisée, j’espère que ça y est maintenant, qu’elle a eu droit à ta grosse bite !!

– Chez vous les filles c’est une idée fixe, tous les jours Fatima me pose la même question. Et bien non je ne l’ai pas encore baisée, Solange est vierge je veux y mettre les formes.

– Alors c’est sérieux ! tu es amoureux je vais lui proposer une robe de mariée pour le grand jour, tu vas te régaler gros vicieux.

(A suivre)

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