Anniversaire
par Beb
Cette année j’avais bien goupillé les choses! Pour une fois j’avais prévu d’être en congés la semaine de mon anniversaire. Cette journée particulière avait donc commencé comme il se doit par une petite grasse matinée, et ma tendre Julie avait eu l’excellente idée d’aller faire le marché de bonne heure et de ramener des croissants. C’est donc en l’entendant rentrer dans l’unique pièce de l’appartement que j’ouvrais un œil. Mon amour remonta le store de la fenêtre qui laissa entrer la lumière d’une belle journée printanière déjà un peu avancée. Julie me demanda expressément de rester au lit. Elle avait manifestement décidé du programme des réjouissances et comptait bien prendre les choses en main de bout en bout. Son petit air coquin et sa tenue sexy ont achevé de me conforter dans l’idée que décidément, c’était une journée qui s’annonçait sous les meilleurs hospices.
Je ne me lassais pas de l’admirer tandis qu’elle préparait le café et dressait un petit déjeuner de roi sur un plateau. Sa grande chevelure blonde comme les blés arrivait à sa taille. Sa silhouette était parfaitement mise en valeur par sa jupe courte plissée, avec des motifs écossais noirs et blancs, qui soulignait la plénitude de ses hanches contrastant avec sa taille fine. Son top bleu brillant et moulant laissait nu son nombril orné d’un piercing en argent et dessinait ses seins ronds et généreux. Cerise sur le gâteau, elle avait mis ces délicats bas blancs que j’adore et des bottes à talon à la mode et si féminines! J’étais incontestablement un veinard d’avoir pu séduire une créature aussi désirable, d’autant que son physique était loin d’être son seul atout.
La voyant approcher à pas prudents avec le plateau dans les mains, je lui fis un peu de place sur le bord du lit. Elle s’y assit en posa le plateau à côté d’elle. Prendre son petit déjeuner au lit est certes l’apothéose de la grasse matinée réussie, mais il n’en reste pas moins que c’est plus compliqué à faire dans la réalité qu’en rêve! Mais là aussi, Julie allait prendre les choses en main. Elle commença par déchirer un bout de croissant et à le tremper dans une tasse de café avant de le porter à ma bouche. Un morceau pour elle, un morceau pour moi, et le premier croissant disparu rapidement bientôt suivi de deux autres. Il restait encore un pain aux raisins. Julie porta le premier morceau dûment trempé dans le café à sa bouche en laissant un gros bout dépasser de ses lèvres. Puis elle approcha son visage du mien pour m’inviter à me restaurer à ses lèvres. Je pris délicatement le bout qui dépassait dans ma bouche, nos lèvres s’effleurant, et je déchirais la part qui m’était destinée. Un peu de crème pâtissière restait en bordure de la bouche de ma belle, aussi une fois mon morceau de pain au raisin avalé, je m’empressai de lécher le visage de mon amour. Ainsi fut consommé le pain au raisin, qui nous laissa comme un petit goût de « reviens-y! ».
Aussi, la dernière bouchée avalée nos bouches restèrent soudées et nos langues se mêlèrent pour un brûlant baiser. Tout en continuant à m’embrasser, Julie déposa tant bien que mal le plateau au pied du lit pour être plus à l’aise et vient me chevaucher pour mieux déguster ma langue. Elle était maintenant totalement à la merci de mes mains avides de lire la beauté de ses formes et la douceur de sa peau. Par où commencer… l’excitation montant je devais faire un bel effort sur moi même pour songer à rendre mes caresses aussi agréables que possibles. Elle méritait bien une attention toute particulière. Je la caressais d’abord sensuellement mais superficiellement sur de larges parties de son corps, avec des mouvements amples mais dont la pression et les directions étaient calculées. Difficile de ne pas se jeter comme un affamé sur elle et de ne pas la retourner pour déguster illico ses seins et sa chatte! J’en mourrais d’envie mais cependant c’était tellement plus excitant de continuer à faire monter la pression et d’aller chercher toute la puissance érogène de chaque parcelle de sa peau.
Au fil de mes gestes je parvenais à la débarrasser de son top et de ses bottes. Mes mains ne rencontraient pas de barrière textile au niveau de ses fesses et de son entrejambe: je m’en serais douté car la belle prend un malin plaisir à « oublier » de mettre une culotte sous ses jupes. Nous ne cessions pas de nous embrasser à pleine bouche, et de son côté elle avait réussi à nous débarrasser de la couette de sorte que maintenant, sa main droite massait superficiellement mon sexe à travers mon boxer en polyamide, presque aussi doux que du satin… mmmh.
Cependant que j’hésitais à lui laisser sa jupe et ses bas qui la mettaient si bien en valeur sans trop freiner nos ardeurs, elle m’arrachait mon tee-shirt avant de me masser le torse puis de pincer délicatement mes tétons. Finalement je décidais que sa jupe me gênait pour la masser de la nuque jusqu’au bas des fesses et je l’en libérais. Pour les bas j’attendrais un peu, il n’y avait pas urgence. Sa bouche quitta la mienne pour remplacer ses doigts sur mes tétons, et je me décidais alors de m’occuper moi aussi de sa merveilleuse poitrine.
Cet échange de bons procédés dura un certain temps, puis Julie trouva que mon paquet, qu’elle n’avait cessé de malaxé depuis tout à l’heure, était décidément bien appétissant. Baissant mon short, elle approcha son visage et commença par caresser mes couilles bien épilées, et donc toutes douces, puis à les lécher sensuellement sans lâcher ma verge de sa main. Elle continua cette toilette animale avec application un bon moment, avant d’oser une incursion de sa langue un peu plus bas. J’étais sans doute un peu gêné le premier instant, mais c’était tellement agréable que je finis par ouvrir un peu les jambes et les replier légèrement pour lui donner un accès libre à mon cul. Elle lécha un long moment mon anus, le souffle court, puis introduit un peu sa langue pour une caresse en profondeur. Décidément, mon amour me surprenait chaque jour un peu plus. Elle fini par relever la tête et à m’offrir un timide sourire interrogateur. C’était le moment de la rassurer et de lui faire comprendre combien j’avais aimé. Je pris son visage entre mes mains pour l’attirer au mien et l’embrassais avec passion. Elle s’allongea un instant sur moi pour se reposer et me susurrer à l’oreille :
– Je t’aime mon amour !
Ce à quoi je répondis comme on peut s’en douter. Puis elle continua sur le même ton :
– Tu sais comme j’aime me faire enculer, par toi, et même parfois par des inconnus
– Oui mon cœur. Et cela ne fait que te rendre encore plus excitante à mes yeux!
– Je sais. Mais toi aussi tu aimes bien que l’on s’occupe de ton cul n’est-ce pas? Je suis sure que tu adorerais te faire prendre.
– Ha ha! Heu… c’est possible, je sais pas. Sûrement oui, si c’est bon pour les autres il n’y a pas de raisons que je n’aime pas ça!
– D’accord chéri, j’en prends bonne note.
Sur ces entre faits (entre-fesses ?) , Julie se redressa en saisissant son portable posé plus loin sur le lit. Tiens, mais qu’est-ce qu’il faisait là celui-ci…
« Hello, c’est Julie. Je pense qu’on est prêts, tu peux venir ».
Mon dieu, je n’étais donc pas au bout de mes surprises: Julie aurait-elle prévu un petit trio surprise ? Elle ne put m’en dire davantage car la coquine s’empressa d’engloutir ma queue dans sa bouche aussitôt le téléphone reposé. Elle dosa savamment sa pipe pour me faire tenir tout en maintenant mon excitation jusqu’à ce que quelqu’un sonne à la porte. Julie se releva donc alors vivement et alla ouvrir simplement vêtue de ses bas. Une voix d’homme manifesta son amusement et sa satisfaction d’être accueilli de la sorte. Rien qu’au son de sa voix je savais que c’était un black, manifestement un sacré beau bébé car la voix était forte, profonde et grave.
Quelle gourmande cette Julie. Du reste, ces deux-là ne se pressaient pas pour franchir le hall d’entrée. Je tendis l’oreille pour essayer de me faire une idée de la situation car je ne pouvais pas voir ce qui se passait, la porte entre le hall et la pièce principale ayant été judicieusement refermée par ma chérie. Un gémissement non contenu de Julie me fit comprendre que notre nouvel ami prenait contact tactilement avec elle, et je soupçonnais la brutale intromission d’un gros doigt dans la grotte humide de ma belle. Au rire féminin qui suivi j’en conclu que quoi qu’il en soit, il ne se passait rien de bien fâcheux. Lorsque cette fichue porte fini par s’ouvrir, c’est la fine menotte de Julie tenant fermement le membre divin d’un beau noir nu qui entraîna celui-ci dans la pièce. Julie fit néanmoins les présentations:
– Bertrand, voici Isaac. J’ai croisé Isaac plusieurs fois dans le bus et nous avons déjà échangé quelques caresses discrètes à quelques occasions.
– Enchanté Isaac, vous voila donc dans de bonnes mains…
– Ha ha, on dirait, oui!
Julie tira encore le beau diable par la queue jusqu’au bord du lit ou elle s’assit pour prendre le superbe pieu en bouche. Sucer un tel gland n’était pas chose facile, il fallait vraiment bien ouvrir la bouche, et encore: impossible de prendre la queue beaucoup plus loin sans que les dents ne risquent d’accrocher la peau fragile. Julie fit tourner tant bien que mal sa langue autour du gland en salivant comme une chienne, puis sa mâchoire devenant douloureuse elle se rabattit sur les couilles du géant qu’elle lécha consciencieusement avant de les gober. Ce faisant, une de ses mimines revînt au contact de ma quéquette. Puis elle décida de m’octroyer un rôle plus actif en se positionnant à califourchon au dessus de mon visage, m’offrant sa minette et son cul à lécher.
Isaac monta sur le lit pour faire à nouveau face à Julie qui avait donc maintenant nos deux bites à portée de main et de bouche. Elle porta une même attention à ces deux membres dressés pour elle, lécha nos couilles, et comme tout à l’heure poussa un peu l’inquisition vers nos anus. Cependant elle gardait une verge dans chaque main pour maintenir la pression par un doux massage. J’étais trop heureux, pour ma part, de pouvoir lui rendre la monnaie de sa pièce de tout à l’heure et après avoir honoré ses grandes lèvres et son clitoris de caresses mouillées et tendres, je tenta moi aussi l’expérience de la feuille de rose, tâchant d’y mettre autant de sensualité que ma talentueuse moitié. Ses mouvements de bassin ainsi que son effort pour ouvrir ses fesses m’encouragèrent à poursuivre, puis sans lâcher la queue d’Isaac, elle se fit un devoir de me rendre le même traitement.
Elle finit par se redresser sans décoller son cul de ma bouche, et tira la queue d’Isaac un peu plus prés vers sa minette. Elle enlaça le beau black et lui roula une pelle d’une grande douceur, tout en basculant son bassin de sorte à ouvrir sa chatte. Dans l’opération elle avait dû se décoller de ma bouche, et je voyais sa main tirer l’énorme bite vers son minou trempé qui englouti le gland, non sans quelque résistance et soubresauts. Isaac ne pouvait pas la prendre très profondément dans cette position. Elle lui fit faire quelques lents va-et-vient pour dilater doucement sa chatte, puis ressorti le monstre pour offrir sa vulve dilatée à ma langue. Je promenai le bout de ma langue sur le pourtour de son volcan avant d’y plonger pour mêler ma salive à ses sécrétions. Elle poussa un gémissement de plaisir en se cambrant.
Puis elle se décolla de moi légèrement et tira le gland d’Isaac à ma bouche. Je léchai cette queue qui avait le goût de ma femme, et excité par ce parfum je pris le morceau dans ma bouche pour le sucer un peu avant de le rendre à mon amour. Elle enconna immédiatement la verge en se cambrant pour la prendre un peu plus loin et recommença la même opération que précédemment avec sa chatte sur ma bouche, puis la queue d’Isaac dans ma bouche. Ensuite, elle guida Isaac, toujours en le tenant fermement par la queue, pour qu’il passe derrière elle, puis elle se cambra pour s’offrir en levrette. J’étais aux premières loges. Julie, tout en encaissant les coups de bite puissants d’Isaac, s’intéressa à nouveau à ma queue et à mon entrejambe, m’octroyant tantôt une fellation, tantôt un gobage de couilles, tantôt une feuille de rose.
Je voyais les couilles d’Isaac claquer contre les lèvres et les cuisses de Julie, et j’étais aussi témoin de la gourmandise de celle-ci qui allait fermement à la rencontre de cet envahisseur dans son intimité. Tant et si bien qu’un orgasme fini par les emporter tous les deux. Isaac n’en finissait plus de jouir dans le con de ma chienne adorée, et son sperme débordait, s’échappant des grandes lèvres de ma belle et coulant sur le haut de ses cuisses. Il se retira dans un flot de sperme et je m’empressai de porter ma bouche à cette coupe délicieuse, tout en éjaculant à mon tour dans la bouche de Julie qui me pompa jusqu’à la dernière goutte. Je n’en perdis pas une non plus, du sperme et de la cyprine de Julie, fouillant sa chatte, léchant ses lèvres et ses cuisses. Son cul qui palpitait aussi me donna envie d’y plonger ma langue, et Julie reparti dans un nouvel orgasme.
Elle se « vengea » en plongeant un, puis deux doigts dans mon cul, rallumant illico mon érection à peine éteinte. Elle avait raison: c’était décidément bien bon! Sentant qu’Isaac reprenait aussi des forces, elle reprit sa queue en main et l’approcha de son œillet, bien dilaté et lubrifié par ma langue. Celui-ci n’eut pas besoin de davantage d’explications et poussa un peu pour forcer doucement l’entrée étroite. Malgré les précautions du géant, Julie hurla de douleur quand le gland franchi son sphincter. Isaac s’immobilisa et attendit que la belle se détende. Petit à petit, son anneau accepta l’intrusion et elle parvint à lui donner un peu de liberté de mouvement. L’énorme chibre coulissa doucement dans son cul. Un éclair de lucidité me rappela que de l’huile de massage se trouvait dans la table de nuit à portée de ma main. J’entrepris donc d’attraper le précieux flacon et de verser quelques gouttes de lubrifiant salvateur sur les pièces mécaniques en mouvement. Aussitôt, Julie soupira d’aise et de plaisir et le mouvement pris de l’amplitude et de la vitesse. Julie criait fort, mais ne souffrait plus. C’était du plaisir pur. Elle criait comme c’était bon, comme elle aimait ça, et qu’elle m’aimait fort, très fort.
Moi, je léchais son sexe tant bien que mal, et ses doigts reprirent le chemin de mon cul, sa bouche se mit à baiser ma queue à nouveau. Isaac tînt bon, un peu plus longtemps même que la fois précédente. Mais Julie décida de ne pas le laisser venir au fond de son cul. Sentant Isaac au bord de l’orgasme, elle se dégagea et se retourna pour le faire jouir dans sa bouche. Se faisant, pour ne pas me laisser en reste elle s’empala la chatte sur ma queue et me fit jouir en elle. Puis après avoir dégusté toute la liqueur d’Isaac, elle m’embrassa à pleine bouche, amoureusement et longuement. Elle gardait mon sexe en elle tout en m’embrassant. Puis relevant la tête, elle saisit à nouveau le membre bienfaiteur, le suçota un peu et me le tendis.
Je suçai moi aussi, et nous offrîmes une gentille pipe à deux bouches à notre ami qui, lentement, repris à nouveau une forme conquérante. Julie se redressa sur moi et se retourna, toujours au dessus de moi. Elle entraîna Isaac devant elle et me releva les jambes, les croisant derrière elle pour les caler. Il n’y avait aucun doute, cette fois c’était mon tour d’y passer. Isaac prît le flacon d’huile pour s’en enduire le pieu. Julie m’en étala amoureusement sur le cul et en introduisit même un peu dans mon conduit. Charmante attention! Mine de rien, elle m’avait déjà bien dilaté avec je ne sais pas trop combien de doigts dans mon cul, pendant qu’elle même se faisait sodomiser. Cela devait donc se passer pas trop mal, enfin je l’espérais. Le gros gland se fit bientôt sentir à l’entrée. Julie, en connaisseuse, me recommanda de me détendre et, dés que je sentirais le gland commencer à entrer, de pousser comme pour déféquer.
Ainsi fut fait, et effectivement, mon cul avala littéralement l’engin. Par contre, la douleur était bien présente, aigu, forte! Je savais que cela ne serait que passager, mais en attendant je dégustais ! Isaac fit quelques lents va et viens à l’entrée de mon cul, sortant puis rentrant doucement. Cela fini par mieux passer et lorsqu’il me senti bien détendu il s’enfonça jusqu’aux couilles. Je senti son gland taper au fond de moi et stimuler ma prostate, c’était un plaisir sans nom! J’ai compris tout de suite le potentiel de plaisir qui m’attendait et je m’ouvris alors sans retenue à mon amant pour qu’il me baise avec énergie. Ce que j’avais pressenti ne se démenti pas: le plaisir montait de façon progressive. Plus Isaac me défonçait, plus la jouissance montait. Julie regardait la pénétration en branlant doucement ma queue et en se branlant le clito de l’autre main. J’étais trop concentré sur mon plaisir pour m’occuper d’elle. Je n’étais plus qu’un cul en état de jouissance. Ça n’en finissait plus de monter en moi, je découvrais un nouveau degré de plaisir jusqu’alors inconnu, et ça n’était pas fini. Il me sembla que la pénétration dura une heure. Mon plaisir fini par exploser avec une puissance totalement nouvelle.
Mes jambes tremblaient, j’étais sans doute incapable de marcher tellement j’étais, dans cet instant, vidé. Toute mon énergie s’était transformée en une jouissance énorme et maintenant j’étais totalement à plat. Cependant, Isaac avait joui au plus profond de moi avant de ressortir sa queue, me laissant ouvert et vide. Julie récupérait les dernières gouttes de plaisir sur le sexe d’ébène. Puis tendrement, elle approcha sa bouche de mon cul et l’embrassa, le lécha, récupérant le sperme qui s’épanchait de mon orifice béant. Isaac se rhabilla discrètement avant de nous laisser sagement enlacés sous la couette, repus de sexe, crevés, et encore plus amoureux que jamais.
Tres beau texte, bien écrit et formidablement bandant ! Ma bite a aimé !
Bonne ambiance, bon esprit… et belle excitation
Un très bon récit bisexual qui m’a fait bien bander