Un jour, pendant que j’étais en train de bouquiner pour une dissertation, mon téléphone portable sonna. C’était Rose, une fille ayant deux ans en plus que moi (j’en ai 18) que j’ai rencontrée il y a un mois au fitness et avec qui j’ai sympathisé.
– Allo, Kelly à l’appareil !…
– Salut, c’est Rose. Ecoute, je suis pressée, mais demain, après le cours de fitness, tu aurais le temps de boire un verre ?
J’étais d’accord. Rose était sympathique. Ce n’est pas la plus jolie fille de la terre, mais elle a du charme, un beau corps et ses cheveux blonds lui allaient décidément très bien (on la complimentait souvent, à ce niveau). Et surtout, elle était sexy, sûre d’elle et donnait l’impression de ne pas avoir froid aux yeux.
Le lendemain, nous étions attablées dans la cafétéria jouxtant la salle de fitness. On parla de tout, de rien… Et puis, à un moment, elle me dit :
– Tu as déjà fait l’amour avec une fille ?
Heu… Que lui répondre ? Je ne suis pas lesbienne, mais j’ai déjà embrassé une fois, il y a deux ans, une copine (OK, j’avais un peu bu mais j’en ai gardé un bon souvenir). J’avais déjà vu des filles toutes nues, plus ou moins âgées que moi (à l’école, par exemple, lors des cours de sport, ma sœur, ma mère) et j’ai déjà été admirative devant certaines plastiques féminines. L’année passée, avec ma meilleure amie (on s’est perdue de vue, depuis), on avait une fois fait une séance d’épilation chez elle. Je m’épilais les jambes et à un moment donné, elle retire sa petite culotte.
– Que fais-tu, lui demandai-je ?
– Ben quoi, je vais me faire une épilation intégrale du maillot. Tu ne le fais pas, toi ?
– Heu… Non, ça. Mais vas-y, ne te dérange pas.
A cet âge là, je ne me rasais pas encore les parties intimes. Je ne le fais que récemment (je garde toujours une petite toison).
C’était assez excitant de la voir en train de s’épiler le maillot. Elle n’avait aucune gêne ! Elle était assise à côté de moi sur le rebord de la baignoire, en train de s’appliquer à la tâche. Je ne pouvais pas m’empêcher de regarder son sexe. Une fois qu’elle a eu fini, elle se passa un coup d’essuie et se mit à caresser la chatte.
– C’est super doux ! Tu veux toucher ?
– Quoi ?
– Toucher ! Allez, n’aie pas peur, ça ne va pas te manger.
Elle me prit la main et la posa sur son sexe, chaud. Et effectivement très doux.
Ca n’alla pas plus loin. Ca ne dura pas longtemps non plus. Après avoir admis que c’était super doux, en effet, on se rhabilla. C’était la première fois que je touchais le sexe d’une autre fille…
Mais non, décidément, je n’avais jamais fait l’amour avec une fille. Et c’est ce que je lui dis.
Rose me demanda si le fait que des filles, pas spécialement lesbiennes, aient des rapports intimes me choque. Je lui dis que non (mais je ne lui ai pas dit que l’idée de faire l’amour avec une fille m’avait déjà traversé l’esprit).
Elle me posa la question directement, droit dans les yeux :
– Tu veux le faire avec moi ?
Ce fut un choc ! Comment l’expliquer ? D’un côté, je me disais que non, je ne devais pas faire ça, et d’un autre côté, j’étais très attirée, excitée, à l’idée de vivre cette expérience (est-ce aussi bien qu’avec un garçon ?).
– Je ne sais pas…
– Je te laisse réfléchir. Moi je l’ai déjà fait, et je trouve ça gé-ni-al !
Sur le coup, je trouvais Rose vraiment excitante. On se quitta une demi-heure après, sans avoir reparlé de ça. Sur le chemin du retour, je n’arrêtais pas d’y penser. Je le fais, je ne le fais pas ? Je me rappelais cette scène vécue avec Monica, dans la salle de bain. Oui, c’est très agréable, de toucher le sexe d’une fille…
Le lendemain soir, je pris le téléphone :
– OK, Rose, c’est d’accord…
Ma voix était bizarre, je tremblais. D’excitation ?
– Tu verras, ça va te plaire !
Elle me fixa rendez-vous chez elle le lendemain en début d’après-midi. Sur le chemin, j’étais très excitée (j’allais vraiment faire l’amour avec une fille !). J’avais mis une robe et un simple t-shirt blanc (sans soutif… Je l’ai enlevé en dernière minute avant de partir). Simple et confortable. Kelly, elle, portait une jupe, un ample t-shirt et des basquets. Comme si elle allait partir en ballade :
– Non, non, on ne va pas chez moi, me dit-elle sur le seuil de la porte. Mes parents sont là. On prend la voiture.
Elle m’emmena dans une clairière, où il n’y avait personne.
– Je connais cet endroit. J’y suis déjà venue avec mon copain. C’est super tranquille ! Me dit-elle. Comment te sens-tu ?
– Ca va.
Le ton de ma voix trahissait une certaine excitation, mais aussi une certaine anxiété.
– Ca va super bien se passer, je t’assure, détend-toi.
Rose prit dans le coffre de la voiture un grand drap jaune qu’elle posa sur le sol rempli de feuilles mortes.
– Vient, me dit-elle à genoux sur le drap.
– Attend, j’enlève mes chaussures.
En chaussette, je me mis à genoux à côté d’elle. Elle me mit à l’aise tout de suite. C’était miraculeux ! Elle posa ses mains sur moi, me caressa les cheveux, souleva ma jupe, posa sa main droite sur mon sein droit, caressa de l’autre mon ventre. C’était délicieux. Je me retournai vers elle et elle me souriait. Elle s’approcha pour m’embrasser. Elle présentait sa langue. Je la lui caressai avec la mienne. Pendant ce temps, elle souleva mon t-shirt pour dégager mes seins, qu’elle caressa d’une main experte.
Elle enleva mon t-shirt et continua à me caresser les seins dont l’extrémité durcissait. C’était merveilleux, je m’abandonnais… Elle retira ensuite ma petite culotte blanche. Je m’allongeais sur le dos, appuyée sur mes coudes pour mieux la regarder. Elle se rapprocha de ma fente qu’elle caressa.
– Elle est très belle, me dit-elle.
Je ne savais pas quoi lui répondre. Et là, je la vis s’approcher le visage de ma chatte. Sa langue était experte. Elle alla partout : les petites et les grandes lèvres, le clitoris, … Je fermais les yeux pour mieux savourer ce moment. Je trouvais que c’était mieux qu’avec mon ex. Peut-être parce que c’est une fille et qu’elle sait ce qui est bon ?
Elle m’embrassa tout en introduisant un doigt dans ma fente. Je me masturbais, également.
J’étais presque toute nue (j’avais encore ma jupe relevée) mais elle était encore habillée. J’avais envie qu’elle me montre son corps.
– Tu ne te déshabilles pas, toi ? lui demandais-je, encore plus à l’aise.
– Mais si, ma chérie, mais si.
Alors que j’étais encore allongée, elle se releva, enleva ses basquets, retira son t-shirt pour me dévoiler une belle poitrine et retira sa petite culotte.
– Tu vas me lécher la chatte, maintenant. A ton tour, me dit-elle.
Elle se mit au-dessus de moi et s’abaissa de sorte à me présenter sa chatte, merveilleusement épilée avec un beau triangle surmontant le clitoris. Je ne pouvais faire autrement que de lui faire un cunnilingus…
Ce fut le premier de ma vie. Un moment de bonheur inexprimable ! C’est tellement bon ! Le goût… L’odeur ! Sa chatte était parfumée, un délice ! Elle poussait des gémissements de satisfaction. Avais-je réussi mon premier cunni ?
Rose s’allongea sur le drap, écarta les jambes et s’appuya sur les coudes. Spontanément, j’introduis un doigt dans sa chatte. Puis, deux… Puis trois… Pendant ce temps, elle se caressait les seins…
– Ah, Kelly, c’est bon, ça, c’est bon !…
Je n’arrêtais pas les mouvements de va-et-vient et soudain, elle me dit :
– Met le poing, Kelly, fais-moi un fist, je t’en prie !
J’enfonçai un quatrième doigt, le plus court. Ne manquait plus que le pouce.
– Vas-y, vas-y, c’est booooon !
Et j’enfonçai le pouce. Ma main était entièrement enfoncée dans son vagin. J’étais dans un état second ! Et elle aussi ! Je n’avais jamais mis toute ma main dans mon sexe ! Je n’oublierais pas l’étrange sensation que j’avais lorsque ma main était entièrement enfoncée dans son sexe. Je fis des allers et retour, fascinée par cette chatte recevant ma main (heureusement que je ne porte pas de bijou). Elle voulut changer de position. Elle se mit à quatre pattes et me demanda de la fister à nouveau, ce que je fis.
– Ca ne te fais pas mal, lui demandai-je ?
– Non…
J’entendais à peine sa réponse. A mon avis, ça lui plaisait.
Elle me demanda d’arrêter, se releva et se dirigea vers la voiture. Elle revenait avec trois godes. Je n’en avais jamais utilisé.
– Viens, allons vers cette petite construction en bois, me dit Rose.
Oui, il y avait tout près de nous (je ne l’avais pas vue) une petite construction en bois où les promeneurs peuvent faire des séances de gymnastique.
Je m’assis sur une poutre, écarta mes jambes et je vis alors Rose introduire un gode dans mon sexe. Pendant qu’elle faisait des allers-retours avec le gode, elle se caressait le sexe, tandis que moi, je me caressais. Je pris une autre position et elle fourra de nouveau le gode dans ma chatte. Quel plaisir !
On retourna à notre drap et là on continua longuement à nous caresser, à nous embrasser et à nous masturber avec les godes. A genoux aux côtés de Rose, je pénétrai le gode dans mon vagin. Elle me dit alors :
– Tiens, l’autre gode, enfonce-le moi dans le cul !…
Je m’exécutai. Après le fist vaginal, la pénétration anale ! Rose aimait décidément tout. Elle jouissait, gémissait de plus en plus, pendant que je m’activais. A un moment je me demandais si on n’allait pas nous repérer…
Je pris alors le troisième gode, celui qui n’avait pas encore été utilisé, et je l’introduisis sans le vagin de Rose, alors qu’elle avait encore le gode dans son cul.
Je faisais des va-et-vient avec le troisième gode, me mit à le sucer et à le mettre en bouche comme si c’était une bite, pendant que Rose continuait à jouer avec son gode anal.
– Ah, Kelly, c’est si bon ! Complètement remplie des deux bouts ! Vas-y, je vais jouir !
– Je vais jouir en même temps que toi en me mettant sur cette pine dure !
Rose toujours allongées et bourrée des deux côtés, je retirai cette jupe qui me dérangeais de plus en plus, et nue, je m’empalai sur le troisième gode que j’introduis dans mon vagin, tel un sexe.
On adopta diverses positions, avec les deux godes. Je recommençais à introduire mes doigts dans la fente de Rose tandis qu’elle portait toujours son gode dans l’anus.
Nos ébats durèrent presque une heure (je m’en suis aperçue en retournant à la voiture). Epuisées et heureuses, nous restâmes un moment allongées l’une contre l’autre, nues… (Rose avait enfin enlevé sa jupe). Nous parlâmes peu.
Elle me reconduisit chez moi et dans la voiture, avant de nous quitter, elle me dit :
– Tu vois, pas besoin d’être lesbienne pour aimer le sexe entre filles !
– C’est vrai.
– Je suis bi. Et toi, aussi ! me répondit Rose.
– C’est vrai. Mais la prochaine fois qu’on recommencera, tu me promets que tu me feras un fist !
C’est trop mignon ♥