Cindy toute mouillée par Théo01

Cindy, je la connais depuis quelque temps déjà ! C’est une fille que j’ai rencontrée au cours de musique. Elle est flûtiste et très douée. Le contact s’est très vite passé, avec elle. C’est facile, aussi, quand on est toutes les deux filles du même caractère, du même âge (20), quand on a le même centre d’intérêt pour la musique mais aussi pour… le sexe !

On a vite commencé à en parler. On se raconte nos histoires avec les mecs, on se donne des conseils pour certaines pratiques (elle est accro à la fellation, autant que moi), on s’échange des trucs et astuces au niveau de l’épilation. Et puis… Qu’est-ce qu’elle est belle ! Sa silhouette est parfaite ! Et ses yeux ! On devine que ses seins sont magnifiques, mais aussi tout le reste. Une vraie beauté, simple, naturelle et sexy.

A ce titre, je ne cesse de la complimenter. Mais elle me répond toujours :

– Mais tu sais, Céline, tu es très belle, aussi !

Cindy a un copain plus âgé qu’elle (30 ans) très sympa avec qui elle semble avoir tout fait (l’avenir allait me confirmer qu’elle va très loin dans ses fantasmes). Elle m’a raconté qu’elle avait déjà fait l’amour avec d’autres filles, seule ou avec son copain. Pour ma part, je n’avais encore jamais fait l’amour avec une fille et un homme. Quand je le lui dis, un jour, elle me répondit :

– Et bien, Luc et Moi, on va t’inviter ! Et hors de question de refuser !

Ce qu’ils firent ! Je fus très impatiente et excitée de pouvoir réaliser ce fantasme du triolisme ! Je suis jeune et j’ai bien envie de profiter de ma jeunesse ! Et puis Luc me plait, aussi ! Combien de fois Cindy ne m’a-t-elle pas vanté ses mérites ?!?

Ils m’invitèrent donc un après-midi chez eux. Je me fis belle : je pris soin de ma toison pubienne afin qu’elle fasse le délice de Cindy et de Luc, j’enfilai mon plus beau jean et un magnifique t-shirt. Et aussi, je mis sur ma narine droite le plus beau de mes brillants. J’adore les piercings. Je n’ose pas encore franchir le cap d’un piercing sur la langue. Cindy en a un au niveau du nombril, très beau. Moi, pas encore…

Une fois chez eux, je me suis aperçue qu’elle avait adopté la même tenue ! Et qu’elle était décidément belle ! Je ne l’ai jamais autant désiré. J’allais réellement faire l’amour avec elle ? Elle allait vraiment me dévoiler son corps ?

On but du champagne. Une bouteille !… Très vite, je fus guillerette. J’étais assise sur le divan du salon entre Cindy et Luc et les choses sérieuses ne tardèrent pas à commencer. Après tout, on n’était là pour ça ! J’en avais envie et elle aussi ! Luc se mit à me caresser les jambes, les cheveux, tandis que Cindy s’approcha de moi pour m’embrasser. Un baiser tendre mais volontaire : je sentis très vite sa langue partir à la recherche de la mienne. Que ses lèvres étaient douces !

– Allez, me dit Cindy, montre-nous tes seins !

Je ne me fis pas prier. Je soulevai lentement mon t-shirt afin de dégager mes seins.

– Mais ils sont magnifiques, Céline !

Luc et elle se mirent à les caresser, à les masser, à les caresser… Un garçon et une fille sur ma poitrine, quel bonheur ! Cindy se mit à mordiller et à sucer mes tétons et j’eu un premier orgasme, qui les fit sourire tous les deux. Luc et Cindy se levèrent du divan et se prirent dans les bras pour s’embrasser. Face à eux, toujours assise, les jambes écartées, j’admirais ce couple d’amoureux s’aimer. Luc souleva le t-shirt de sa copine afin de caresser, masser et embrasser Ses seins. Ils sont magnifiques, ses seins ! Quel galbe ! Ses tétons rose clair ne demandaient qu’à être sucés. Aussi je me levai pour les rejoindre et sucer avec Luc cette délicieuse poitrine. Cindy ferma les yeux de bonheur.

Cindy et moi, nous nous sommes mis ensuite à déshabiller Luc. Je le voulais à poil ! Cindy retira son t-shirt. Moi son jean. Luc s’assit torse nu, en caleçon, sur le divan. Je le voyais, il bandait… Cindy m’invita à baisser le caleçon de Luc, ce que je fis sans tarder. Son sexe se présentait à moi, pleinement en érection. Cindy s’accroupit sur le sol et je fis de même. Elle prit le sexe de son homme qu’elle masturba. Elle tira sur le prépuce afin de dégager le gland et me le présenta.

– Vas-y, à toi l’honneur.

Je m’approchai de son sexe et commençai à lécher le gland, pendant que d’une main Cindy tenait la hampe et que de l’autre, elle caressait son homme. Luc se mit à me caresser les cheveux et le dos. J’avalai son sexe, de plus en plus profondément. Jusqu’à ce qu’il atteigne le fond de ma gorge. Je le suçai comme une folle, comme une bitophile acharnée. Ensuite, Cindy poursuivit la fellation, de façon plus acharnée, encore, avec des va-et-vient intenses. Luc savourait ce moment exquis en fermant les yeux. Il était aux anges et nous aussi.

Cindy se leva et nous laissa seuls, Luc et moi. Je ne pouvais m’empêcher de continuer cette pipe. Elle revint assez vite avec en main un gode, qu’elle me tendit.

Elle enleva alors son jean et sa petite culotte, pour ne laisser que son t-shirt. Elle me déboutonna ensuite le jean et l’enleva. Elle écarta ma culotte pour me lécher la chatte. Luc nous contemplait, en se branlant. Elle pris alors le gode qu’elle enfonça dans mon vagin.

– Continue, me dit-elle, pendant que je m’occupe un peu de Luc…

Je m’assis sur le divan en continuant à me masturber avec le gode. Cindy s’assit à côté de moi et se remit à sucer son mec, debout en face de nous. Je les regardai, fascinée. Qu’elle était belle et heureuse, cette fille ! Cindy présenta ensuite son cul à Luc qui prit ma jambe droite. Mon entrejambe était écarté au maximum. Pendant que Luc bourrait le vagin de Cindy, je continuai à me masturber tandis que mon amie me lécha la poitrine, le pubis, le ventre, les jambes, m’embrassa… Quelle intensité !

On adopta ensuite une autre position. J’ôtai mon t-shirt afin d’être complètement à poil (enfin… je m’aperçu plus tard que j’avais gardé mes chaussettes…). Luc se mit sur le dos et Cindy s’empala sur sa pine bien dure. Je pus à loisir caresser ses seins, l’embrasser et lécher sa chatte bourrée à mon tour. Par rapport à moi, Cindy garde une petite et fine toison pubienne. Ses lèvres sont nues. Je me dis que décidément, un sexe dépourvu de poil est bien plus esthétique (je me rase dorénavant entièrement la chatte).

Nous nous sommes remises ensuite à sucer Luc, qui lui, avec ses deux mains, s’amusait à caresser et masser nos sexe respectifs. Je sursautai légèrement au moment où je sentis qu’il pénétrait ses doigts dans mon sexe.

J’avais encore envie que Cindy me lèche la chatte :

– Oh, Cindy, lèche-moi la chatte, je t’en prie !…

Je m’assis sur le divan, écartai les jambes et la vis s’approcher afin de combler mes désires, tandis que Luc lui faisait un cuni.

Nos ébats durèrent encore un peu jusqu’au moment tant attendu de Cindy et de moi (mais aussi de Luc) : l’éjac !

Il se mit debout devant nous, qui étions pour notre part accroupies. Nous le sucions encore un peu toutes les deux jusqu’au moment où il ne put se retenir.

Il se masturbait… Nous le regardions dans les yeux, la bouche ouverte, affamées… Et soudain, trois jets de sperme chaud sortirent de cet orifice que je venais de lécher. Il aspergea ainsi nos deux visages mais aussi nos bouches. J’avalai le sperme. Je regardai Cindy qui en avait reçu tout autant que moi. Son visage était rayonnant. Nous sommes embrassés. Nos lèvres pleines de spermes se rencontrèrent, nos langues se remirent à se caresser. Je ne me souviens pas d’avoir vécu un moment aussi intense de ma vie ! Je pris ensuite le sexe de Luc en bouche et je sentis qu’il se mit à débander. Je voulais le sucer jusqu’à la dernière goutte.

Soudain, Cindy se leva et nous quitta pour se diriger vers une pièce de la maison.

Luc me dit :

– Oh oui, Céline, elle en a envie, c’est sûr, elle en a envie.

Je me demandais de quoi Cindy pouvait avoir envie !

– Viens, me dit-il.

Il me conduisit dans la salle de bain. Et sur le sol, je vis Cindy, assise, ses mains posée sur le sol en arrière, les jambes écartées. Comme si elle nous offrait son corps, en esclave. Elle ne s’était même pas essuyée le menton et la bouche pour retirer le sperme. Elle avait encore son t-shirt et je me demandais vraiment ce qu’elle voulait.

Soudain, je compris. Luc se planta devant elle, Cindy écarta la bouche et un jet doré sortait de son sexe. Il urinait sur Cindy ! Il aspergeait de son urine la bouche, le corps, tout ! Elle y prenait un plaisir fou : elle jouissait de plaisir, c’était incroyable ! Et je moi, je trouvai cette scène très excitante, bizarre, mais belle.

Dès qu’il eu fini, Luc se retira. Cindy se mit à me regarder dans les yeux, en me souriant, son visage aspergé d’urine. Et là, je compris ce qu’elle voulait !

– Oui, je t’en pris, Céline, arrose-moi, arrose-moi !

Je sentis l’urine monter en moins à cet instant. Sans réfléchir, je m’approchai et me positionnai au-dessus d’elle, mon sexe dirigé vers sa bouche toute grande ouverte. Et je la douchai de mon urine… Avec ma main, je tentai de diriger le jet dans sa bouche. Elle recrachait, mais je voyais bien qu’elle en avalait un peu.

Je fus incroyablement troublée parce que je venais de voir et de faire. Mais ce ne fut pas tout. Quand j’eu fini, je la vis se caresser pour répartir l’urine sur son corps. L’odeur qui régnait dans la salle de bain était forte mais excitante. Cindy savourait ce moment les yeux fermés. Luc me dit dans le creux de l’oreille qu’elle adorait ça :

– Elle ne va pas se contenter de nos deux urines…

En effet, gardant toujours la même position, elle urina à son tour. Le jet monta haut mais avec la main, elle parvint à diriger le jet sur son corps.

Une fois qu’elle eu fini, on la laissa seule dans la salle de bain. Elle réapparut peu après, nue, cette fois-ci, mais toute propre, elle venait de prendre sa douche (avec de l’eau, cette fois-ci…). Pendant ce temps-là, Luc et moi, on se dorlotait, nus, sur le divan. Elle s’assit entre nous deux et on se serrèrent l’un contre l’autre.

Je n’oublierai jamais cette après-midi, et l’incroyable conclusion de nos ébats ! J’avais découvert que ce jour là, Cindy était une adepte de l’urophilie. C’est aussi devenu, jusqu’à ce jour ma partenaire sexuelle mais je lui fis comprendre que je n’étais pas encore prête pour des jeux uros.

– Prend ton temps, me dit-elle. Moi aussi, au début, je ne voulais pas. Mais maintenant, j’en suis une inconditionnelle !