Les aventures de Yann
2 – Dans les toilettes du cinéma porno
par Yann
Yann a 19 ans. Provincial, fiancé, il est venu à Paris étudier. Il a découvert les joies de l’homosexualité dans un cinéma porno de la rue Saint-Denis.
Yann retournait souvent dans ce cinéma. C’était presque devenu une drogue. Quasi quotidiennement, il courait au métro, remontait en hâte la rue Saint-Denis et tendait fébrilement au caissier un billet froissé de cinq euros avant de descendre les escaliers malpropres qui conduisait à cette salle obscure.
Les programmes des films ne se renouvelaient guère. Mais c’était toujours des films hétérosexuels.
Yann avait bien essayé de mater quelques films homos dans des cabines. Des jeunes, des très jeunes hommes russes y suçaient de splendides queues en se faisant saillir. Pourtant ces films-là n’excitaient pas Yann. Seule la vue d’une chatte bien taillée, de gros seins lourds, d’une splendide chevelure rousse – il avait pour cette couleur de cheveux une attirance qu’il ne s’expliquait pas – le faisait bander.
Dans le cinéma, le scénario était toujours le même.
Il s’asseyait sur un siège isolé.
Il ne se passait que peu de minutes avant qu’un autre spectateur ne le rejoigne. Il faut dire que l’audience de ce cinéma n’était guère constituée que de vieux quinquagénaires décatis et que l’insolente jeunesse de Yann ne passait pas inaperçue
Aussi Yann ne restait-il pas seul longtemps et un petit attroupement se formait dont il n’était pas peu fier de constituer le centre
Yann était d’une totale passivité. Mais il acceptait tout ce qu’on lui faisait.
Des mains se glissaient-elles dans sa braguette pour caresser son sexe, il se dézippait et descendait son pantalon
Des bouches se rapprochaient-elles de ses tétons pour les mordiller, il enlevait sa chemise
Pour éviter que ces vêtements ne traînent sur le sol malpropre, il avait pris l’habitude de les ranger dans un sac à dos qu’il amenait avec lui. Du coup, il se retrouvait parfois à poil au fond du cinéma, avec ses seules chaussures au pied, entouré d’une douzaine de mecs aux queues dressées
Yann découvrait avec surprise, et aussi avec beaucoup d’excitation, qu’il n’avait aucune honte de sa nudité.
Il était d’une impudeur insolente
A poil, au milieu de ses hommes, il s’identifiait à fond aux héroïnes des films qui passaient sur l’écran : de splendides salopes aux seins fièrement arrondis, au sexe chaud et accueillant, à la bouche toujours prête à accueillir une bonne queue crémeuse.
Yann adorait être sucé. Mais il aimait plus encore sucer. Sa bouche n’était jamais en repos. Il y avait toujours un sexe dressé près de son visage, branlé par la queue de son propriétaire ou bien abandonné aux caresses que Yann lui prodiguait, avec sa langue ou avec ses mains.
Pendant ce temps là, il se faisait peloter. Il avait découvert – ce dont il n’avait eu jusqu’alors nullement conscience – combien ses tétons étaient érogènes. Il adorait qu’on les lui pince, qu’on les lui mordille, même avec une certaine violence. Il avait vu des photos SM de femmes aux tétons coincés par des pinces et rêvait, sans oser se l’avouer, qu’un sort identique soit réservé à ses petits seins masculins.
Mais ce qu’il aimait par dessus tout, c’était le sperme. Là encore c’était une totale découverte. Son sperme ne l’avait jamais excité : l’acmé de sa jouissance était si puissante, quand il se masturbait, qu’il n’avait qu’une seule hâte une fois sa jouissance passée : en effacer au plus vite les traces encombrantes. Aussi n’avait-il jamais goûté son sperme
Pourtant il adorait les photos ou les films d’éjaculation faciale, de bukkake.
C’était moins le sperme en lui même qui lui plaisait que la manifestation tangible du succès de ses caresses. Une queue qui jouissait sur ses lèvres, c’était un mâle qui appréciait ses caresses et qu’il avait fait jouir. Le sperme sur ses lèvres, c’était la preuve qu’il était aussi excitant(e) que les superbes femelles sur papier glacé souriant fièrement, le sperme au coin des lèvres. L’identification fonctionnait à fond.
Après s’être envoyé en l’air, Yann se rhabillait tant bien que mal. Il passait dans les toilettes du cinéma se rincer la bouche, s’aspergeait le visage.
Un jour, il en profita pour uriner.
Un des hommes qui s’était branlé près de lui à l’intérieur du cinéma l’avait suivi dans les toilettes. Yann l’avait laissé faire.
L’homme lui caressait les fesses tandis que Yann pissait. Sa caresse n’était pas désagréable sinon qu’elle dérangeait un peu la miction de Yann : Yann n’avait jamais réussi à pisser et à bander en même temps.
Son partenaire s’était collé derrière Yann. Une main pelotait les fesses de Yann, l’autre s’était approché de sa queue.
– « Vas y continue » dit-il à l’oreille de Yann.
Yann souriait. Il avait l’impression d’avoir trois ans et de faire pipi avec l’aide de sa maman. Il n’arrivait pas à pisser tant la situation lui paraissait à la fois comique et excitante. Au lieu d’uriner, il bandait de plus en plus
– « S’il te plaît, pisse » insista l’inconnu qui ouvrit un robinet voisin pour encourager la miction
Yann ferma les yeux et se concentra. Sa passivité le poussait à obéir aux ordres qu’on lui adressait, même s’il n’en voyait pas la finalité. Il sentait sa vessie se contracter et bientôt une petite fontaine d’eau jaune s’écoula de sa queue
– « C’est bien, ma petite pute » lui murmura l’inconnu …. ce qui eut pour effet immédiat de durcir la queue de Yann et d’interrompre sa miction
– Attends je vais la nettoyer » lui dit l’inconnu qui, joignant le geste à la parole, se pencha sur la queue de Yann et l’emboucha.
Yann était fort gêné de savoir sa queue pisseuse et malpropre dans la bouche de cet homme
Mais la caresse buccale qui lui était prodiguée était si adroite qu’il s’abandonna à son plaisir et se laissa sucer quelques instants alors même que sa dernière éjaculation remontait à un quart d’heure à peine.
– « Voilà, elle est bien propre maintenant » lui dit son suceur en se redressant.
Yann n’en revenait pas
L’ondinisme était pour lui un domaine inconnu.
Bien sûr il s’était caressé devant les photos de ces salopes danoises qui se pissaient les unes sur les autres avec une communicative bonne humeur. Les photos de « clothed sex » le fascinaient tout particulièrement. Mais il n’avait jamais imaginé que sa propre urine soit elle aussi excitante et n’avait jamais ô grand jamais osé proposer à sa pudique fiancé de s’engager dans des jeux uro
Mais décidément, Paris lui réservait bien des surprises.
Il y avait quelques semaines il avait découvert la fellation, la spermophilie. Aujourd’hui l’uro. Que lui réserverait encore son séjour dans la capitale ! Ah ! Si sa fiancée savait !
Histoire bandante qui m’a rappelé bien de souvenir où j’a sucé plein de bite avalé leurs spermes et permis à me faire prendre en levrette à beaucoup de jeunes de mon age dans les toilettes des boites de nuit, des bistrots et bien d’autres endroit discrets tels les ruelles, les caves, maisons abandonnées, ascenseurs..
Je suis un bisexuel de 26 ans marié à une bisexuel de 36 ans