Le clos doré
3 – L’apéro…
par Choidanladate
La petite fête de la veille m’avait complètement retournée, et je ne pensais qu’à une chose : Prendre du plaisir !! Jacqueline avait débloquée en moi la petite fille BCBG que j’étais. Je n’avais qu’une hâte, que mon Jean-François revienne pour me faire l’amour… Non ! Pour qu’il me baise !! Jacqueline avait décidé de laisser passer quelques jours avant de revenir me voir… Je la soupçonnais de mettre en moi un état de manque pour qu’à son retour je sois encore plus docile…
Deux semaines plus tard Jean-François m’avertit qu’il sera absent pendant dix jours à compter de la fin de semaine, car il doit se rendre en Afrique pour un séminaire. Certes je ne lui montrais pas, mais j’étais heureuse de la nouvelle car j’avais vraiment envie de refaire une expérience avec Jacqueline Donc je fis mine de ma tristesse mais je lui expliquais que j’irais me consoler chez notre voisine… Il me répondit que j’avais bien raison de ne pas rester toute seule et qu’il serait plus en tranquillité en me sachant avec elle…
La semaine fut longue, car pas un moment ne passait sans que je pense à Jacqueline, j’en étais même à me faire pipi sur les doigts et à les porter à ma bouche pour faire revivre intensément dans mon esprit les moments passés… Et ce moment tant attendu arriva, j’allais frapper sans attendre une seconde de plus à la porte de ma voisine.
TOC TOC TOC
– Jacqueline tu es là ??
La fenêtre de l’étage s’ouvrit.
– Salut ma belle
– Bonjour…Maîtresse
– Hum toi tu as envie que l’on se retrouve !!!
– Oh ouiiiiiii
– J’en suis heureuse mais ce ne sera pas pour ce matin car j’ai du boulot. Par contre nous irons en fin de matinée prendre l’apéritif au café du village. OK ?
Un peu déçue mais l’attente n’allait plus être longue puisque la matinée était déjà bien engagée.
– Ok …méchante…
– Je te promets de me rattraper…Au fait habille-toi bien sexy …
– Bien …Maîtresse
Elle ferma la fenêtre et je retournai chez moi pour me préparer, en gros j’avais 3 heures pour me faire belle pour ma maîtresse. Mais qu’est ce qu’elle avait en tête ? Elle veut que j’excite tous les hommes du village ?… Allez, pas de panique, je vais me préparer un bon bain et me servir une petite coupe de champagne pour me relaxer… Il ne fallait pas trop traîner car du coup l’heure arriva vite. A peine le temps de me détendre dans mon bain, de me sécher et m’habiller dans la tenue souhaitée par ma maîtresse que l’on sonne à la porte.
DING DONG
– Voilà voilà j’arrive
– C’est moi
– Entre… et sert toi une coupe !
– Hum du champagne rosé, celui que je préfère.
Jacqueline m’attrapa par les épaules et m’embrassa langoureusement et me dit « Je t’aime » tout en promenant sa main sur mon cul. Je l’entourai de mes bras pendant ce baisé enflammé. Elle me retourna et fit glisser mon string sur mes pieds et me dit :
– Enlève-le
– Heu …
– Oui je veux que tu retires ton string pour aller au Bar…
– Mais tu es devenue folle ??
– Tu veux être mon esclave ?
– Oui mais…
– Dépêche –toi !!
Je ne sais pas si elle le sent mais j’adore être sous son emprise, donc je retirais mon string en me penchant effrontément… Ces mains se baladaient sur mes fesses et elle se mit à titiller mon anus avec un doigt. Elle me massait doucement, écartant bien mes fesses avec la paume de ces mains pour jouer avec mon petit trou puis elle le porta ses doigts à ma bouche pour que je les suce.
– Mouille les bien !
– Je…enfin c’est que…
– Que quoi ma belle ?
– Tu comprends par-là…
– Bref tu es vierge de ce coté !
– OUI
– Et bien tu vas m’offrir ta virginité… Salive bien sur mes doigts, tu verras tu en redemanderas…
Je cédai à sa demande et je lui lubrifiais correctement les doigts qu’elle appliqua directement sur ma petite rondelle.
– Penche-toi bien contre la porte et présente moi ton joli p’tit cul…
Je m’exécutais, les bras au-dessus de la tête cambrée comme une banane.
– C’est bien…écarte tes jambes…
Jacqueline commença par introduire son auriculaire, voyant que je l’acceptais sans trop de mal elle changea de doigt et enfonça son majeur tout en douceur. Ces allées et venue dans mon fondement commençaient par me plaire à mon grand étonnement, j’en lâchais même quelques râles de plaisir.
– Mais c’est que tu aimerais ça ma salope !
– Hum humm
– Je vais t’élargir un peu plus et on va y aller…
Elle cracha sur mes fesses frottant son index et son majeur sur sa salive et s’enfonça sans précaution. Je sentis une douleur vive vu la grosseur des deux doigts réunis, mais qui disparue rapidement voir même qui se transforma en vague de plaisir… Elle me mit une bonne claque sur les fesses comme signal de départ.
– Aie…
– Ne fais pas ton offusquée… On y va !
J’étais fine excitée, le traitement de ma maîtresse me rendait heureuse. Jacqueline m’avait mit le feu au cul et j’aurais fais n’importe quoi pour qu’elle me fasse jouir, mais elle avait décidée d’aller au bar du village donc nous partions d’un pas rapide comme s’il y avait urgence.
– Mais on ne va pas au Bar ?
– Si…
– Je te ferais remarquer que nous venons de passer devant !!
– Je sais…
– Et donc ?
– Ce n’est pas de celui là dont je te parlais…
– Mais il n’y en à pas d’autre !
– Juste devant nous… La porte blanche… Droit devant !
– Et bien… il est mal indiqué !!
Elle sourit et passa devant moi pour ouvrir, mais juste avant d’entrer, elle se retourna posa un baiser sur mes lèvres, me demanda de tourner autour de moi.
– Tu es vraiment superbe…
– Merci mais…
– N’ais pas d’inquiétude je suis à tes côtés !
– Bien maîtresse.
– C’est endroit est très convivial …
Je fus prise de panique pendant quelques secondes, ou m’amenait-elle ? Jacqueline s’aperçut que du coup je n’étais plus sûr de vouloir rentrer.
– Je vais te présenter à des amis mais ils sont « joueurs » alors il faudra que tu sois « gentille »…
– Gentille ?
– Oui tu verras…pas de souci ma belle…
Elle posa un nouveau baiser tendre sur mes lèvres pour me rassurer et poussa la porte. Nous entrons dans un grand couloir, au bout de celui-ci un très joli escalier en colimaçon en bois sculpté que nous prenons. J’entendais en montant dans l’escalier un fond de musique électro style « Bouddha bar » puis des voix. Arrivées en haut Jacqueline poussa un rideau qui faisait office de porte, nous étions enfin de le fameux bar… Une voie au fond de la salle s’écria :
– Bonjour mesdames… Bien venues à « mi-ange mi-démon »
– Salut Pat, je vois que tu as toujours un aussi bon accueil…
– Et encore tu n’as rien vu… Mais comment s’appelle ton amie ?
– Elle se nome M CI elle vient d’emménager.
Il prit ma main pour lui faire un baiser tout en matant ma poitrine sous mon chemisier un peu transparent… Il devait avoir une cinquantaine d’année légèrement grisonnant avec un léger embonpoint, ce qui faisait tout son charme.
– Tu n’as pas changé ! Dès que tu vois une belle femme il faut que tu te mettes en chasse…
– Pas toutes les femmes… Mais ton amie est vraiment ravissante…
– Oui et jeune aussi…
Jacqueline se mit à rire, je ne savais plus ou me mettre, j’étais rouge comme une tomate.
– Mais je manque à tous mes devoirs ! Installez-vous, que puis-je vous servir ?
– Fais-nous un de tes cocktails maison…
– Bien… Laissez moi deux minutes et j’arrive
Pat s’en alla préparer nos boissons et nous nous installions à une table près du comptoir. J’étais vraiment très heureuse et prête à tout pour faire plaisir à Jacqueline. D’ailleurs quand elle posa sa main sur ma jambe, j’écartais aussitôt mes cuisses pour lui laisser le passage libre jusqu’a mon sexe. Elle me souriait et me chuchota à l’oreille
– ça va ? Tu es rassurée ?
Je lui fis signe oui de la tête en lui rendant son sourire, j’étais complètement amoureuse de cette femme. Patrick revint nous apporter nos cocktails et s’asseyant avec nous à table pour faire connaissance. Jacqueline continuait discrètement à fouiller mon entre jambe, je devais parfois poser ma main sur la sienne pour ralentir ces mouvements pour ne pas lâcher un soupir de plaisir devant le patron. Peu de temps après, un groupe d’hommes et de femmes arrivaient, perturbant ainsi notre discussion, ils s’installèrent à coté de nous, en nous saluant.
– Salut Pat, tu nous sers une bouteille de ton breuvage magique…
– Pas de souci, c’est comme si s’étais fait…
Patrick se releva en s’excusant de devoir nous quitter pour aller servir ses clients. Je me sentais pour ma part sur un petit nuage, euphorique ! Mes cuisses grandes ouvertes, j’exhibais presque volontairement mon sexe trempé à qui aurait pu le voir sous la table. Mais je m’aperçue que cela attirait visiblement le regard du petit groupe d’à côté, j’en fis part à Jacqueline.
– Ils nous regardent…
– Qui ?
– La table là haut, les quatre mecs et leurs femmes…
– Cela t’excite ?
– Que l’on voit mes cuisses passe encore… mais en fait oui ! Cela m’excite !
– Alors profite du plaisir et puis tu es si belle à regarder…
– Coquine… Mais c’est mon cul que tu leurs présentes…
– Tu as raison mais moi je préfèrerais les sucer !!
J’étais scotchée par sa réponse et donc du coup je laissais mon public regarder le spectacle. Jacqueline plongeait profondément ses doigts en moi, sa main était trempée de mes sécrétions puis se leva et alla rejoindre la table voisine, je n’entendais pas ce qu’elle leur disait mais je la voyais respirer sa main en leur parlant. Je me suis mise à rougir et l’un des acolytes vint discuter avec moi.
– J’espère que nous ne vous dérangeons pas trop… (regardant lui aussi furtivement ma poitrine)
– Non absolument pas…
– Je ne vous ais jamais vu ici, vous êtes nouvelle ?
– Heu… Oui je suis venue avec Jacqueline.
– Effectivement elle vient de nous le dire…
Il me sourit et commença à me raconter qu’ils sont là parce qu’ils aiment bien le cadre intime et chaleureux et puis surtout les cocktails du patron. Je lui répondis qu’effectivement l’endroit était charmant et que les cocktails étaient vraiment délicieux à mon goût. Puis un autre garçon se joignait à nous et la conversation continua tout en me proposant gentiment de triquer avec eux. Nous levions du coup tous nos verres à la santé du bar « mi-ange mi-démon » Donc une discussion courtoise s’entamait avec ces hommes qui me paraissaient plutôt sympathiques. Je levais la tête de temps en temps vers la table pour regarder si je voyais encore Jacqueline, et effectivement elle discutait avec le patron et je supposais avec sa femme qui c’était du coup assis à la table d’à coté. Jacqueline revint à notre table avec un grand sourire.
– Alors les gars vous faites connaissance ?
– Oui Jacqueline (répondent-ils tous en cœur)
– Vous êtes venu prendre un peu de plaisir ?
– C’est le bon endroit non ?!
– Oui le meilleur…
Ils nous proposèrent de réunir nos tables pour discuter tous ensemble. J’avais chaud, je sentais les regards qui se portaient sur mes seins et mes cuisses que malicieusement je croisais et décroisais. J’avais envie d’exciter ces hommes et même leurs femmes avant de renter à la maison. Jacqueline me chuchota à l’oreille qu’elle aimerait me voir faire l’amour avec ces couples… Stupéfaite je ne su que répondre, il est vrai que ce sont de beaux garçons et de belles femmes, mais de là à me retrouver en intimité avec eux…
– As-tu envie de me faire plaisir ?
– Oui bien sûr !
– Alors prouve-moi que tu es prête à le faire…
– Heu comment ?
– Viens, je vais te faire visiter les lieux pour que tu te rendes bien compte dans quel endroit tu te trouves…
Jacqueline se leva en même temps que moi et prétexte ironiquement que nous allions nous refaire une beauté. Je la suivie en lui chuchotant à l’oreille que ce serait bien de passer par les toilettes car j’aimerais bien pouvoir vider ma vessie. Nous passions par de petites caches sombres où à mon grand étonnement j’apercevais des corps nus d’hommes et de femmes qui s’enlaçaient et j’entendais même des soupirs voir des râles de plaisir. Nous traversions ces « chambres » doucement sans bruit, Jacqueline me tenait la main, il y avait des glaces partout sur les murs et ils reflétaient ce qui ce passait à l’intérieur des cases. Cette ambiance commençait à m’exciter, mes seins devenaient de plus en plus dur et je marchais de moins en moins vite pour apercevoir ces scènes érotiques. Puis nous descendions par de petit escalier en pierre, arrivées en bas nous nous sommes retrouvées dans une grande pièce. En son centre il y avait un drôle de lit en fer forgé avec une barre horizontale attachée en son milieu par des chaînes et à chaque extrémité il y avait comme des menottes en cuir. Différents appareils que je ne connaissais pas étaient placés autour de ce lit comme cette grande croix en bois (Croix de St. André m’expliquera plus tard Jacqueline) et un pilori en bois orné de gros clou de l’autre coté de la pièce. Au fond de celle-ci une pièce toute noire, je ne savais pas si je devais avancer et Jacqueline me chuchota à l’oreille :
– Au bout de cette chambre il y à les toilettes, mais je veux que tu traverse lentement…
– Heu oui mais il y à quoi dedans ?
– Des hommes, des femmes complètement nus et en traversant ils vont te caresser…partout… Tu es prête pour le grand frisson ?
J’en avais presque oubliée mon envie de pisser tellement cela me mettait en transe, je lui fis un signe « oui » de la tête, tout en avançant droit devant moi. Il y faisait très chaud à l’intérieur, j’entendais des femmes gémir, je due me frayer un passage entre les gens présent. Je sentais des mains me parcourir, j’avançais doucement les bras le long du corps et une main me saisit doucement le poignet pour l’amener vers elle. Ma main s’est posée sur un sexe d’homme que je me suis mise à le masturber. Puis relâchant ma prise je continuais à avancer mais cette fois, en cherchant moi-même un nouveau corps à palper. Je sentais le sexe partout autour de moi comme on sent l’odeur de la barbe à papa en pleine foire, j’avais une envie brutale de chair. Une femme était face à moi et elle m’inonda de baisers. De mon cou jusqu’à mon sexe trempé de désir, c’est alors qu’en voulant enfoncer ces doigts dans ma vulve que mon envie pressente se fit sentir, je la repoussais gentille ment en lui disant :
– Désolée je dois aller rapidement aux toilettes …
Et je fonçais droit devant moi, il y faisait un peu plus clair et sur ma droite il y avait effectivement le pipi room. J’ouvris rapidement la porte des toilettes et je me retrouvai nez à nez avec la femme du patron qui faisait pipi.
– Oups pardon…
Elle me sourit et écarta bien ses cuisses pour bien me laisser voir son sexe ruisseler. Je voulue refermer la porte mais le pied de Jacqueline m’en empêchait.
– Regarde là comme elle est belle…
– Tu as raison mais là moi aussi j’ai très envie…
Je commençais à me tortiller car cela devenait de plus en plus pressant. Elle retira son pied et me laissa me dégager pour fermer la porte. Le patron était en train de se laver les mains dans le lavabo.
– Il est occupé prenez celui d’à coté
– Oh excusez-moi, je n’avais pas vu votre femme…
– Ce n’est pas bien grave… Hum… Dit lui Jacqueline…
– Oui c’est même permis ma chérie…
Je passais à côté de lui et il en profita pour me mettre ses mains sous ma jupe. Jacqueline me souriait toujours, elle me fit un clin d’œil.
– Sois ouverte d’esprit ma belle, tu ne peu prendre que du plaisir ici…
J’ouvre la porte et je m’assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la cuvette des waters et la secousse me fait faire mon petit besoin… sur le sol. Je suis vraiment maladroite, je sors sans attendre, Jacqueline et le patron sont toujours là.
– J’ai fait des petites bêtises, auriez vous quelque chose pour essuyer ?
– Prenez du papier essuie-mains me dit le patron.
Jacqueline me fixe des yeux et me lance d’un ton sec :
– Tu seras punie pour tes bêtises petite cochonne…
– Mais je ne l’ais pas fais exprès
– Ne me répond pas et nettoie !!
– Bien maîtresse…
Et me voilà à quatre pattes en train d’essuyer ma maladresse mais toujours avec mon envie pressante. Prétextant de m’aider le patron se met à coté de moi et passe sa main par derrière en me caressant la fente. Il introduit quelques doigts et me titille le clitoris qui commença à s’ériger. Je sens mon sexe redevenir humide et j’écarte les jambes machinalement tout en finissant d’éponger le sol. Je sais que Jacqueline regarde la scène et je me sens honteuse de la situation, mais l’envie d’être prise à même le sol, sur la mare que je viens de faire, me rend folle de désir bestial. Sa seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris pour guider sa verge dans mon intimité. Sentant le phallus à l’entrée de mon sexe et avant qu’il puisse m’introduire, ne pouvant plus me retenir, je fis pipi comme une chienne, recommençant à salir les WC. Pat maintenait sa queue sur le jet de pisse tout en se masturbant, il soupirait de plaisir… Je n’en pouvais plus, je tournais ma tête vers Jacqueline et je lui lançais franchement dans un élan de fièvre :
– Maîtresse…autorisez-le à me baiser… s’il vous plait…
Jacqueline était fière de ma demande, elle s’arrêta de se masturber, mit ces doigts dans ma bouche et me dit :
– J’ai beaucoup mieux à te proposer…
A suivre….
choidanladate21@hotmail.fr
Toute une ambiance…
J’aime bien un moment la phrase « Il introduit quelques doigts » Il y en avait combien de doigt, ? Ou c’est l’émotion qui fait qu’on ne sait plus compter ?
C’est léger, décontracté, humide, j’aime beaucoup
on y croit pas une seconde mais j’ai bandé
On sent que l’auteur a fantasmé à fond sur ces situations, mais la retransmission en récit est quelque peu maladroite. Mais bon, ce n’est pas si mal