Ma première véritable expérience scato 1 – La rencontre par Collegramme

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES
Bonjour à tous. J’ai envie de vous décrire ici ma première expérience vraiment scato.

Depuis plusieurs années, j’essaye de convaincre ma compagne de pratiquer ces jeux avec moi mais elle reste toujours réticente jusqu’au jour où elle invita son amie. Celle-ci aime bien ce genre de pratique mais ses expériences personnelles avec d’autres furent assez décevantes. Ses partenaires étaient dégoûtés allant même une fois à la mettre cavalièrement à la porte de l’appartement.

Ma compagne m’avait souvent parlé d’elle, et de son côté, elle essayait de me convaincre de faire l’amour à trois. Son fantasme principal étant de caresser et de se faire caresser par son amie alors qu’elles seraient assises sur moi, elle à califourchon sur ma bitte et son amie sur ma figure en train de se faire lécher la moule. Son grand plaisir serait de me voir boire les écoulements de son amie tout en sentant gonflé en elle ma bite durcie.

Je finis par me laisser convaincre surtout à cause du fait que je pourrais probablement avoir la chance de vivre une expérience scato assez complète dans cet équipage. Je n’avais qu’une petite réticence face à la réalisation de ce projet, c’est que Christine son amie, souffrait à l’occasion de crise de paraphrénie qui se manifestait par une soudaine suffisance accompagnée de la certitude qu’elle était Dieu en le déclamant haut et fort. Dans ces moments de crises, elle devenait très dominatrice et surtout, totalement imbue d’elle-même, opaque à toute tentative de raisonnement de la part des autres. Au cours de nos conversations, mon amie et moi, nous nous étions entendus pour tenter cette aventure à la condition que Christine accepte de péter dans ma bouche quelquefois pendant nos ébats. Nous n’avions pas convenu ni de date ni de lieu où cela pourrait se concrétiser. Au fil de temps, cette histoire m’était sortie de la tête et je n’y pensais jamais, ou presque. Toutefois, un jour, j’eus le bonheur de voir se réaliser tous mes fantasmes.

Catherine, c’est le nom de mon amie, m’appelle au téléphone. Nous n’habitons pas ensemble mais on se voit souvent, moi chez elle ou elle chez moi, ou ailleurs entre nos deux résidences dans un motel ou bien lorsque nous partons en expédition ou en pique-nique et même en camping. Surtout en camping. Quelle belle occasion pour se laisser aller à tous les plaisirs de la chair.

Elle me téléphone donc, me disant :

– Viens me voir ce week-end, c’est urgent. Je voudrais que tu viennes remplacer ma toilette. Elle est défectueuse.

Bon samaritain, je me faisais une joie de venir réparer sa toilette, mais je trouvais curieux qu’elle élude toute mes questions à ce sujet. J’aurais bien aimé savoir au juste quelle partie de sa toilette ne fonctionnait pas bien afin d’aller me procurer en route, dans une quincaillerie, les éléments nécessaires à la réparation. Devant ses explications vagues et imprécises, il a bien fallut que je me fasse une raison. Je n’irais donc quérir les morceaux à remplacer qu’après avoir été de moi-même vérifier la nature du problème chez elle. Le vendredi je l’appelle pour lui dire que je suis prêt à venir, et c’est à ce moment que j’eus un vague espoir.

– Ça ne te fais rien me demanda-t-elle? Mon amie Christine loge ici pour quelques jours. Elle ne se sent pas bien et elle a besoin de moi pour jaser et se vider un peu le cœur. C’est le commencement de la pleine lune me précise-t-elle avec un peu d’humour dans la voix.

Je la rassure quant au grand bonheur que j’aurais à la rencontrer et lui avoue mon impatience à enfin faire sa connaissance. En effet je me languissais de la connaître. Je n’avais aucune idée de ce qu’elle pouvait avoir l’air à part que c’est une femme très corpulente et surtout, qu’elle aimerait peut-être vivre avec nous nos fantasmes, moi une aventure scato et Catherine, de voir son amant se faire dominer par son amie.

Il était seulement neuf heures du matin et je ne pouvais pas être chez elle avant le début de la soirée, le chemin étant long et aussi j’avais quelques courses à faire en chemin.

– Ha! Mais. Non, me réprimanda-t-elle. Nous n’avons plus de toilettes. Ça urge. Nous avons des grosses envies. Je ne te donne pas plus de quatre ou cinq heures pour venir remplacer ma toilette, sinon on fait tout par terre. Depuis tôt ce matin que l’on a envie.
– C’est bien, lui répondis-je. Je vais faire vite et je serai chez toi avant le souper.
– Alors! C’est d’accord me dit-elle. On va te préparer un bon souper. Mais fais vite j’ai déjà mes culottes toutes mouillées juste à savoir que tu viens passer le week-end avec nous. On va bien s’amuser. Bisous.

CHAPITRE 2

Le trajet fut court, je ne cessais de rêver à toutes les sortes de scénarios que j’aurai sûrement le plaisir de jouer avec ces deux femmes chaudes. Arrivé chez Catherine, je stationne l’auto et me dirige vers la porte d’entrée avec empressement. Je monte les marches qui mènent à l’appartement.

Catherine m’attendait sur le pas de la porte en haut. Elle était resplendissante de beauté et de sensualité, enveloppée lâchement, nue dans une robe de chambre de velours rouge entrouverte qui dévoilait un large espace de ses chairs généreuses qui descendait de son cou jusqu’à ses pieds chaussés de pantoufles de fourrures, en passant par son ventre rebondi qui dominait un pubis gonflé et plein de promesses.

Elle m’accueillit en m’embrassant, me soulevant de terre comme une ourse gourmande. Du coin de l’œil je percevais la présence de son amie Christine sur le canapé du salon. Elle attendait là, sans bouger ni rien dire. Elle nous regardait légèrement indifférente. J’étais un peu déçu car la présence de Christine nous empêcheraient de nous livrer à notre rituel de rencontre intime sur le pas de la porte. Mais non, Christine me surprend en retirant mes vêtements.

Elle se colle à moi. Mon torse dénudé se fait presser par ses chairs qui s’appuient sur moi. Elle me pousse ainsi contre un mur sur le côté de la porte et m’écrase tout contre elle. Elle sent bon la femme et les fleurs. La voilà qui glisse en ôtant mes slips. Elle tombe à genoux. Je noue ses cheveux dans mes doigts en soulevant une jambe puis l’autre pour faire passer le slip. Ses lèvres bougent en petits baisers subtils sur ma verge qui commence à vraiment darder. Je jette un coup d’œil un peu gêné vers Christine qui est restée assise sur le canapé du salon.

Elle nous regarde semblant impassible mais ses yeux noirs brillent de convoitise et sa bouche entrouverte attire mon attention sur sa poitrine voluptueuse qui trahit un souffle de plus en plus court. Au premier regard je fus assez surpris car Catherine il me semble, ne m’avait jamais mentionné la race de Christine. Et me voilà soudain en train de contempler une déesse noire, énorme, aux seins immenses que supporte facilement un torse puissant, un ventre proéminent, mais solide et ferme, des bras comme des piliers noirs, des hanches gigantesques trônaient au-dessus de sa croupe et ses fesses monumentales qui couvraient presque les trois quarts du canapé. Sa peau luisante de sueurs brillait comme une pierre précieuse couleur de nuit. Ses cheveux roux comme une couronne de cuivre en fusion formaient une architecture féerique de boucles entremêlées. Ses cuisses et ses jambes comme deux colonnes d’ébène ruisselaient de transpiration qui coulaient pour s’épandre sur ses pieds massifs, grands, épais et musclés aux longs orteils soignés qui se terminaient par de jolis ongles larges et longs colorés d’émail opalescent.

Ses yeux plongèrent soudain dans les miens et elle me fit immédiatement fondre sous son sourire de satisfaction. Elle m’avait jaugé et manifestait son contentement. Sa main droite glissa doucement jusque sous son ventre, entre ses cuisses où elle disparut. Elle se cambra lentement tout en me fusillant de son regard de dévoreuse. Mes jambes ne pouvaient plus me supporter. Je tombais à genoux face à Catherine. Nous nous embrassâmes fougueusement. Catherine avait très bien remarqué l’effet de son amie sur moi, et elle en était toute excitée. Elle se releva tout en restant collée à moi, frottant ses seins sur mon visage, puis son ventre qui m’écrasa un peu contre le mur, puis soudain j’avais le nez enfoncés dans sa fourrure lourde et chaude aux senteurs humides de ses derniers ébats avec Christine.

Ensuite, comme je n’osais l’espérer, fidèle à notre rituel, elle se tourna pour me présenter ses fesses qu’elle poussa vers mon visage. Je glissais mes mains sous sa robe à ses chevilles, et remontait doucement le tissu sur ses cuisses tout en la baisant au fur et à mesure que ses cuisses se découvraient. Enfin, mes mains empoignaient ses fesses, les massant doucement, les plis de son vêtement reposant sur mes avant-bras. Je la baisais tout en lui disant tous les charmes que ses fesses m’inspiraient. Ma langue suivait sa fente, du dos jusqu’au début des cuisses. Et pour m’inviter à aller plus profondément, elle se pencha en avant, les mains sur les genoux, exhibant ainsi le bout de sa fente qui se terminait par son petit bouton de rose, comme elle aimait l’appeler. Je l’aidais en écartant ses fesses des deux mains et plongeais toute ma tête entre elles, enfouissant ma langue au plus profond de son intimité bouillante et toute humide.

Je me frottais doucement toute la figure dans la moiteur de sa fente. Je jouais de la langue tout autour de son anus. Elle se cambrait de plus en plus, soulevée par un début d’orgasme. Je dardais ma langue dans son anus, cherchant à le faire s’ouvrir pour m’y introduire et goûter les puissantes saveurs qu’il recélait. Je l’entendais grogner de plaisir. Elle vibrait de la tête aux pieds, ses hanches et ses fesses tremblaient de bonheur. Christine s’était levée et avançait vers nous lentement, tout en nous lorgnant excitée. Les deux femmes se tenaient par les mains et s’embrasaient pendant que Catherine reculait encore un peu plus son postérieur sur mon visage. J’étais coincé contre le mur et totalement emprisonné entre ses fesses. J’avais peine à respirer tant elle poussait sur moi. Son anus s’ouvrait puis se refermait attrapant parfois ma langue qui s’y était insinuée. Tout à coup, ma bouche fut emplie d’un vent chaud et troublant. Elle venait de s’échapper légèrement comme cela arrivait souvent lorsque je lui mangeais le cul. Cette fois-ci par contre, ma langue toucha au bout d’une selle assez compacte qui semblait cheminer vers la sortie. Le goût abominable m’emplissait la langue à tel point que j’avais l’impression qu’elle s’était transformée en caca.

– Ha! Cria-t-elle soudain en se trémoussant. J’ai trop envie de pisser.

Elle se tourne vers moi et appuie sur mes épaules pour me signaler de me coucher là par terre. J’obéis à sa pression sur le champ en me laissant glisser jusqu’à terre entre ses cuisses. Elle se retourna encore une fois, plaçant ses pieds chaque côté de ma tête. Quel spectacle sublime elle m’offrait là. Sa vulve encadrée de ses énormes cuisses dégouttait en épais filet qui se rompait au bout de quelques centimètres pour finalement chuter dans ma bouche grande ouverte. Quel délice que cette cyprine épaisse et gluante, sucrée et légèrement salée. J’aurais voulu pouvoir m’en emplir complètement la bouche, me noyer dans ce liquide visqueux et doux. Elle commença à s’accroupir. L’effet de domination était extraordinaire. Je sentais également qu’elle avait beaucoup de plaisir à ressentir elle-même cet effet qu’elle me procurait. Ses tendances un peu sadiques commençaient à surgir. Son sexe grand ouvert, rouge et dégoulinant s’approchait de moi comme pour me dévorer, comme une grande bouche avide.

Puis soudain, elle se laissa tomber. Je la reçus sur le visage, tout son poids écrasant ma figure et forçant ma tête à entrer dans ses chairs profondément. Elle était mal placée. J’avais son anus ouvert qui béait sur mon front, son vagin détrempé dont les grandes lèvres me prenaient les joues de chaque côté comme des mains pour m’enfouir le visage plus loin encore au fond d’elle-même. Elle se tritura, se trémoussa, sautillant en petites secousses tremblotantes jusqu’à ce que je sente enfin l’entrée gonflée de son urètre dans ma bouche. Immédiatement, un torrent en jaillit. Une cascade bouillante et rageuse, salée et âcre m’emplissait sans discontinuer la bouche et la gorge. J’essayais de la boire en de longues et rapides gorgées tout en essayant entre chacune de respirer un peu d’air, le nez collé sur son anus palpitant. Il sentait maintenant fortement la merde chaude. J’étais son prisonnier, son esclave, sa toilette. Et je jubilais de bonheur. Je croyais ne plus pouvoir suivre le débit de son urine tant et tant elle coulait avec force depuis si longtemps. En effet, me disais-je, elle avait vraiment très envie. Puis, aussi soudainement que cela avait commencé, le torrent s’atténua pour cesser petit à petit pour ne laisser couler en saccade qu’un simple filet mêlé de cyprine gluante. Elle se releva en prenant soin de bien s’essuyer au passage de tout son poids sur mon visage deux ou trois fois puis elle se releva tout à fait.

CHAPITRE 3

Christine qui était restée debout au-dessus de moi les jambes de chaque côté de mon ventre tout au long de cette séance, monta sur moi, un pied, puis l’autre, sur mon ventre et ma poitrine. Aidée par Catherine qui s’était postée au-dessus de ma tête, elle piétinait tout doucement mon ventre et mon torse, un pied, puis l’autre, alternativement. Au merveilleux spectacle de L’entrecuisse ouvert de Catherine au-dessus de moi, s’ajoutait la contemplation de cette massive maîtresse noire qui semblait tenter de m’imprimer dans le plancher sous son poids, lentement, sadiquement, en savourant l’image que je leur offrais d’un esclave au teint rouge prune d’être étouffé, suffocant le martyre sous la pression abominable de sa masse. Ses pieds en sueur glissaient un peu de sorte que de temps à autre je croyais ma dernière heure venue tant mes côtes et mes organes voulaient se briser et exploser sous elle quand elle tentait de recouvrer son équilibre en petits sautillements maladroits.

Les deux femmes s’embrassaient là-haut, se caressaient les seins, le corps, leurs mains se promenaient partout sur elles, s’introduisant ici et là au gré du hasard de leurs ébats, ajoutant aux pressions que je subissais sous leur poids. En effet, même Catherine avait décidé d’en ajouter en prenant appui d’un pied sur ma face. Je ne voyais plus rien. Je ne sentais que la pesanteur intolérable des deux femmes qui tremblaient et dansaient presque sur moi, une danse faite de sautillements et de glissements emplis de frémissements orgasmiques. J’entendais la voix étouffée de Christine la déesse noire qui gémissait de plaisir.

– Ho! Disait-elle. Moi aussi j’ai ma grosse envie.

Et Catherine de rétorquer en lui laissant la place, se retirant d’au-dessus moi :

– Mon esclave est le tien ma chérie. Soulage-toi autant que tu le veux. Il boira tout sans laisser s’échapper une seule goutte. N’est-ce pas me demanda-t-elle en me toisant d’un air menaçant ?
– Oui. Oui, lui assurais-je. Mon bonheur est de vous servir mes belles maîtresses autant et comme vous le désirez
– Il parle bien trop ton esclave dit Christine. Je vais lui fermer la bouche déclara-t-elle en s’assoyant sur ma bouche d’un seul mouvement rapide.

Elle était beaucoup plus grosse que mon amie de sorte que tout de suite, je ne vis plus rien. Je me retrouvais enfermé dans un univers noir et mou, brûlant et détrempé. Ma langue s’emplissait du goût de ses chairs salées. Elle n’avait pas encore commencé à pisser que déjà je déglutissais une belle et grande gorgée de cyprine brûlante. Puis. Le torrent. Non, le fleuve d’urine bouillonnant plongeant en trombe dans ma gorge, entrant en moi comme un viol. Ma bouche tout de suite pleine, je me devais de boire son urine en m’efforçant de laisser ouvert ma gorge. Elle descendait en moi comme un pilon liquide et bouillant jusque dans mon ventre. Je ne savais plus respirer. De toutes façons, toute ma tête étant ainsi enfermée entre ses cuisses et enfoncée au plus profond de sa fente, pas la moindre parcelle d’air ne pouvait parvenir jusqu’à moi. Heureusement que j’avais eu la présence d’esprit de prendre une grande aspiration juste au moment où elle s’échouait sur moi. Et puisque je suis un fervent maniaque de la plongée en apnée, sans bouteille, j’étais en mesure de retenir ma respiration très longtemps. Peut-être pas aussi longtemps qu’il le faudrait me disais-je avec angoisse tant cette femme semblait décuplée, géante. Son envie de pipi devait durer passablement longtemps me disais-je.

Pendant ce temps, Christine n’était pas en reste. Elle s’était assise face à Christine en s’empalant sur ma verge toute droite. Hm ! Comme c’était bon de la sentir m’enserrer de toutes ses forces en sautillements saccadés sur mon bas-ventre. Je me sentais sous ces deux femmes qui jouissaient en innombrables caresses, comme un vulgaire paillasson qui suivait en ondulant et en se fripant parfois, leurs mouvements érotiques. Christine était assise sur ma face, les cuisses sur ses mollets mais elle décida à un moment d’allonger ses jambes devant elle, déposant ses pieds sur les cuisses de Catherine. Le supplément de pesanteur m’enfonça encore plus avant au fond d’elle à tel point que son sexe, son cul et mon visage ne formaient plus qu’une seule entité, dont les parties étaient fondues, les unes dans les autres, inséparablement soudées. Je tombais presque en transe tant je dégustais follement ce bonheur rare. Catherine s’affolait sur ma bite. Ses mouvements devenaient saccadés, violents. Elle me faisait mal aux os du bassin sous ses assauts.

Christine riait comme une folle. Elles jouissaient toutes les deux en même temps tout en enroulant leur langues, bouche sur bouche dans un baiser farouche et sauvage. Moi, dessous elles, je buvais les dernières gouttes de son urine qui n’en était plus mais plutôt le long écoulement gras, gros comme un doigt de son abondante cyprine. J’allais moi aussi venir bientôt, la bite enfoncée dans le vagin en furie de Catherine mais elle se retira soudain et présenta sa vulve à lécher à Christine qui restait assise sur ma face, continuant à couler et couler encore dans ma bouche. Je sentais aussi son anus sur mon nez et mes yeux qui grossissait, s’enflait et boursouflait. Avec toute les peines du monde je parvins à bouger la tête d’un côté et de l’autre pour placer mon nez juste au niveau du trou de son cul qui s’ouvrait comme une bouche suceuse. Il y avait du caca dès l’entrée, consistant et compacte. Cela ne bougeait pas beaucoup, il semblait stable dans son rectum mais néanmoins tout près de la sortie.

Les chairs autour de son anus avaient encore enflées et elles entouraient le haut de mon visage comme pour le prendre et le dévorer. J’espérais qu’elle ne se relâche pas tout de suite. Je voulais qu’elle me réserve cette énorme crotte qui voulait sortir, pour ma bouche. Qu’elle me la chie directement dans ma bouche et attende assise sur moi que je la mange complètement. Christine, comprenant semble-t-il mes désirs secrets avança un peu de façon à placer son anus distendu directement sur ma bouche grande ouverte. J’y plongeais immédiatement la langue. Elle s’enfonça tout de suite dans la masse dure et compacte de sa selle qui menaçait de sortir. Je fus envahi à l’instant de la terrible amertume de cette masse chaude. Diluée un peu par la salive de ma langue, cette crème coulait légèrement dans ma bouche. Je la laissais s’emplir un peu puis l’avalais par petites gorgées timides.

Tout allait bien. Sa merde semblait constituer une nourriture fort acceptable pour ma bouche. J’en voulais plus. J’essayais de détacher un peu de merde de cette masse du bout de la langue que je pointais comme le bout d’une cuillère dans son trou grand ouvert. Un spasme de son anus le fit se refermer et lorsque j’y entrais la langue par la suite, je constatais déçu que son étron avait reculé en elle mais dans le même temps, un énorme pet en jaillit. Chaud et gras, riche de saveurs étranges. Le goût ressemblait à du concentré de prunes et j’associais également l’odeur qui me sortait par les narines de la même analogie. Elles riaient là-haut.

– Ha! Tu as pété? Demanda Catherine?
– Hm! Oui répondit-elle en sautillant sur ma face. Je ne veux pas sentir la moindre odeur, stupide esclave, m’ordonna-t-elle. Avale tout et digère mon cadeau. Si tu es gentil tu auras du gâteau. Sinon, si je sens quelque chose, je ne me relève plus de sur toi jusqu’à ce que tu étouffes complètement.

J’étouffais effectivement dans son cul. Pas d’air à respirer ou si peu. Je parvenais de temps à autre à voler une petite bolée d’air chargé de ses lourdes senteurs au gré de ses sautillements qui libéraient un peu d’espace au-dessus de mon nez, par à coups. J’avalais son gaz comme on avale une gorgée, la dirigeant ainsi vers mon estomac pour l’y retenir. Il semble bien que je réussissais car Christine ne sentait rien semble-t-il de ses échappements.

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2 réponses à Ma première véritable expérience scato 1 – La rencontre par Collegramme

  1. patrick chassat dit :

    J’ai adoré votre sublime histoire, et honnêtement j’aimerais bien vivre le même genre de « punition »

  2. claire dit :

    trop c’est trop et trop c’est pas bien.

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