Il fait chaud en ce mois d’août et le métro est bondé. D’habitude elle
n’aime pas ce contact forcé avec d’autres corps mais celui de cet homme
derrière elle ne la gêne pas. Elle est brune, la peau mate, de grands yeux
noirs, les cheveux libres et longs. Son chemisier découvre le creux de ses
seins en forme de juteux pamplemousses, son tailleur est fendu très haut sur
le côté droit et épouse ses fesses rebondies. Lui est blond, grand et porte
une chemisette très ouverte avec un large pantalon d’été.
Dans son dos, elle sent la peau humide de cet homme dont elle aperçoit à
peine le visage dans le reflet des vitres. Sa sueur coule dans son dos
jusqu’au creux de ses reins, alors que des trépidations rentrent en contact
avec ses belles fesses lisses et rondes. Elle se resserre contre l’inconnu
pour avoir confirmation que c’est son sexe en érection qui la martèle ainsi.
Un frisson la traverse, elle ne résiste pas à passer sa main sur ses fesses
pour effleurer le membre tendu, ce membre lui paraît de bonne taille.
N’écoutant que son désir, elle met sa main sur le pantalon de cet inconnu et
lui caresse le sexe du haut vers le bas. Aucune réaction de l’homme qui
jouit en silence dans ce métro surchauffé.
Quelques stations plus tard, elle sent le membre se raidir encore, le
souffle de l’homme s’accélère légèrement dans ses cheveux quand une
sensation humide lui arrive sur la main malgré le pantalon. Elle dégouline
de plaisir en imaginant l’éjaculation massive qu’elle vient de provoquer à
cet inconnu.
Elle descend à sa station et sans se retourner est persuadée d’être suivie.
En arrivant devant chez elle, il y a bien cet homme qui s’approche. Sans un
mot, il est chez et en face d’elle.
Sa première pensée est ce sexe contre sa main, elle le veut, elle défait un
à un les boutons du pantalon alors qu’elle s’agenouille devant cet inconnu.
Enlève le pantalon qui descend jusqu’au sol puis elle sort ce membre droit
comme un I d’un slip immaculé de sperme, elle s’empresse de lécher cette
bite toute humide. L’engin est comme elle le pensait d’une belle longueur,
un bon 25 cm, il est complètement rasé. Ses mains entourent la verge très
droite et les bourses bien remplies tandis qu’elle assène de petits coups de
langue le gland et la fente. L’homme lui prend autoritairement la tête et
lui enfile son sexe tout entier dans sa bouche puis le ressort et commence
un mouvement de va et vient sur toute la longueur de la verge tendue vers le
haut. Elle se laisse mener tout en lui serrant, aspirant et léchant la queue
dans sa bouche pleine de salive qui lubrifie le membre du bel inconnu. Elle
déboutonne son chemisier et descend la fermeture de son tailleur, ses beaux
seins pas très gros mais à la forme parfaite avec des petits tétons
apparaissent. Ne portant pas de culotte, le tailleur desserré laisse voir
ses poils pubiens bouclés et noirs. Sous l’excitation de cette beauté qui
s’offre à lui, l’homme accélère le mouvement puis son sexe se raidit de plus
belle. Elle reprend la main pour faire durer ce moment exaltant de la montée
de l’éjaculation. La queue se durcit encore, elle sent les vibrations
engendrées par l’arrivée de la jouissance extrême, le sperme jaillit au fond
de sa gorge, puis elle prend la queue toute rouge de plaisir pour la voir
gicler sur son visage.
La coulée de sperme descend le long de son coup pour se loger entre ses
seins aux tétons dressés. Elle est ailleurs les yeux fermés, se délectant de
son plaisir et s’enduisant le corps de ce doux liquide crémeux. La porte
d’entrée claque, puis elle sent un liquide chaud couler sur son corps
qu’elle continue de caresser. Elle ouvre les yeux, voit une queue légèrement
tendue lui uriner dessus. Tout d’abord étonnée, elle saisit le sexe qui se
raidit, dirige le jet sur ses seins, suit la coulée avec son autre main en
la passant entre sa peau et son tailleur ouvert jusqu’à son sexe pour se
titiller le clitoris et laisse la sensation chaude du liquide l’envahir.
L’homme semble apprécier le spectacle, il se retient afin d’obtenir un petit
jet tout en pensant : « elle aime ça, je vais lui la mettre bien profond dans
sa chatte, je vais la faire jouir comme jamais ». Elle secoue légèrement la
queue, les dernières gouttes tombent, elle se lève et son tailleur glisse au
sol.
A peine relevée, l’inconnu l’a saisie au niveau de ses fesses, avec poigne
l’assoit sur le petit meuble de l’entrée et se glisse entre ses cuisses. Son
pénis a retrouvé une raideur incroyable après deux éjaculations, il l’a
pénètre profondément. Elle jouit de ces va et vient rapides, sa mouille
coule dans la rais de ses fesses quand il l’a remonte et se décale contre le
mur. Elle a maintenant les jambes plus écartées et les coups de butoir de ce
sexe magnifiquement dur et dressé lui font ressentir des vibrations tout le
long de son vagin. Elle sent le volume du membre qui augmente encore, les
frémissements dans son vagin s’accentuent et une nouvelle éjaculation
massive jaillit à l’intérieur d’elle. Ses cris de jouissance sont encore
plus forts, elle ne s’est plus où elle est tellement le plaisir est intense,
c’est l’orgasme.
Dans cette position, l’homme l’amène dans le salon, sort son sexe encore
dressé et l’allonge sur le tapis. Il lui lèche tendrement les seins où il
s’attarde longuement sur ses petits tétons tout durs. Puis il se laisse
glisser le long de son ventre pour arriver à sa belle petite chatte pleine
de mouille et de sperme. Avec une langue large et ferme, il lèche
voluptueusement cet orifice trempé, l’a rentre légèrement en la faisant
tournoyer. Il se délecte de toute cette jouissance qui lui coule dans la
gorge, sa langue s’attarde maintenant sur le clitoris gonflé de plaisir. A
chaque petit coup de langue, elle lance un petit cri qui le fait bander
encore plus fort.
Il pose maintenant ses mains derrière les genoux de celle qui s’offre
complètement à lui, repousse les cuisses vers l’arrière et lui écarte encore
les jambes. Elle sent le bas de son dos se décoller du sol, elle a le vagin
tout ouvert il rentre sa langue au plus profond. Il caresse les parois
dégoulinantes de son vagin avec l’extrémité de sa langue. Puis il
s’agenouille tout en la maintenant dans cette position, sa chatte n’est plus
qu’un puits béant et n’attend que sa queue raide du plaisir qu’il vient de
lui donner. La profondeur de la pénétration la fait hurler, une pensée la
traverse à ce moment, comment peut-il avoir une queue aussi dure après trois
éjaculations, puis elle s’abandonne à son extase.
Cette fois les mouvements plus lents de va-et-vient sont plus amples, du
gland jusqu’à s’enfoncer et disparaître complètement dans ce vagin
dégoulinant d’une jouissance intense. Elle n’avait jamais senti une queue la
pénétrer aussi profondément, elle ne peut retenir des cris forts et
haletants. L’inconnu accélère alors que sa queue se raidit encore et
augmente de volume, elle est traversée de fortes vibrations et tous les deux
lâchent un cri explosif dans un orgasme simultané.
Après que chacun est repris leur esprit après des ébats divins, elle le
regarde avec un air interrogateur sur ces performances.
L’homme s’allonge à côté d’elle, elle l’enfourche au niveau de son torse,
ses jambes écartées libèrent tout le sperme accumulé dans sa chatte. Elles
se tient bien droite, fixe l’homme droit dans les yeux quand un léger jet
d’urine jaillit de son sexe, ce n’est pas la première fois qu’elle pisse
dans cette posture mais elle trouve cela encore plus excitant cette fois-ci
et ce frotte le sexe sur le torse imberbe tout en continuant d’uriner. Dans
le même temps, il lui titille son clitoris avec une main et avec l’autre lui
tripote ses douces fesses.
A ce moment un autre homme rentre dans la pièce, l’inconnu du métro, la
ressemblance entre les deux inconnues en incroyable même si en les voyant
ensemble, elle perçoit quelques différences !
A peine a t’elle réalisée, que les deux hommes l’ont allongée sur le canapé
alors que les dernières gouttes d’urine coule le long de sa chatte et de ses
cuisses. Le 1er homme, celui du métro, se met au bout du canapé, il lui
soulève et écarte les jambes pour lui lécher son clitoris. Le deuxième qui
vient de la pénétrer deux fois de suite se met sur le côté du canapé à la
hauteur de sa bouche pulpeuse, elle prend son sexe et le rentre dans son
orifice buccal.
Elle commence des mouvements de va et vient en salivant pour une meilleure
lubrification du membre encore ferme. Sa langue caresse cette queue qui a le
goût de sa mouille et du sperme, elle adore. D’autant plus que l’homme du
métro qui lui a levé les jambes rentre une langue douce et experte dans son
vagin. L’homme qu’elle suce goulûment lui tripote agréablement les tétons
alors que l’autre se redresse en lui léchant le sperme sur ses cuisses et
termine son mouvement en la pénétrant avec sa belle queue dressée. Ces deux
belles bites bien ferment qui vont et viennent dans sa bouche et sa chatte,
font vibrer tout son corps de plaisir. Les deux hommes se regardent, ils
pensent : « elle aime vraiment ça, elle va avoir sa dose. », les voyant elle
comprend qu’ils cherchent une jouissance simultanée, cette idée l’excite
plus encore. Elle mouille et salive de plus belle, ces cris s’accentuent et
s’accélèrent. C’est alors qu’elle ressent les sexes se durcir, vibrer
fortement et au même moment les deux hommes lâchent un cri grave. Puis les
deux queues libèrent une décharge de ce liquide de l’orgasme masculin dans
sa bouche et sa chatte. Puis Ils sortent leur bite et finissent de se vider
les couilles en se branlant au-dessus cette belle brune qui se masturbe le
clitoris pour parfaire son orgasme.
ainsi depuis la partouze du réveillon 2001 où j’avais quatre belles bites
pratiquement pour moi toute seule. » alors que les deux hommes lui caressent
tout le corps. L’homme du métro se met debout sur le canapé et commence à
uriner sur cette femme à la belle peau immaculée de sperme pendant que
l’autre continue à la palper. Le liquide chaud coule abondamment, il
poursuit ses caresses qui vont de ses seins à sa belle toison où il finit
par s’attarder en lui rentrant un puis deux puis trois doigts. Il les
rentre, les sort, les rentre et ainsi de suite, puis saisit un gode que son
ami avait dans son sac, c’est un modèle électrique en taille XXL. L’homme
debout qui libère ses dernières gouttes, lèvent et écartent les jambes de la
jeune femme, il profite d’une vue tout à fait excitante de cette inconnue
qui s’offre complètement. L’autre avec une main lui écarte les lèvres de sa
chatte, fait pénétrer doucement le gode dans le vagin ouvert et commence des
mouvements de va et vient. Celui debout sur le canapé, n’en pouvant plus de
ce spectacle, a sa bite qui se raidit d’un coup, étant au même niveau que la
bouche de son copain, il lui signifie autoritairement de le sucer, son ami
s’exécute. Elle profite de la scène de cette fellation, elle saisit les
testicules de l’homme accroupi pour lui palper délicatement. Elle pense : »
elles sont bien pendantes comme j’aime, je le lui ai bien vidées les
couilles et c’est pas fini. » alors qu’il met en marche le gode qui vibre
dans la chatte toujours humide. L’homme debout prend sa queue et se branle
dans la bouche de son copain jusqu’à éjaculation. Elle est très excitée par
cette masturbation alors que le gode vibre de plus belle pour l’emmener vers
un nouvel orgasme. L’homme accroupi sort le gode, se lève pour se faire
sucer par la belle brune qui s’est assise puis son copain vient également
lui lécher les testicules. Sa bite n’est plus aussi dur mais son plaisir
reste exaltant, son ami le branle dans la bouche bien ouverte de l’inconnue
jusqu’à une dernière explosion de sperme.
Elle s’allonge, épuisée par tous ces ébats torrides, elle pense que huit
éjaculations en si peu de temps c’est une belle performance mais cela ne bat
le record de la partouze de 2001 où la dizaine avait été largement franchie
dont 4 en même temps en plein visage mais cela est une autre histoire. La
porte claque, les 2 hommes sont partis alors qu’elle s’endort sur le canapé,
son corps couvert de l’urine et du sperme de ces 2 inconnus. Chaque fois
qu’elle repense à cet après-midi de plaisir, sa culotte est trempée par sa
mouille et elle ne peut résister à l’envie de se masturber avec le gode
qu’ils ont laissé. »
Filou
Au début cela aurait pu être du harcelement, une grande claque dans la gueule et un twit vengeur genre « metoo », mais il est évident que nous préférons cette version même si elle est très fantasmatique et hélas aussi très mécanique