Chanette 32 – Drogue en stock – 10 – Partouze à sept chez Anna.

Chanette 32 – Drogue en stock – 10 – Partouze à sept chez Anna.

– Je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt ! Précisais-je à ma copine Anna. J’ai donné rendez-vous à Gigi et aux nanas de Remiremont chez toi à 20 heures…
– Rendez-vous pourquoi ? Pour faire la fête ?
– On va au restau d’abord…
– Et moi pendant ce temps-là ?
– Ben tu viens avec nous.

Le soir tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). On fait les présentations, le courant passe tout de suite entre Gigi et Anna, ce n’est même pas du courant c’est du coup de foudre à ce point que les deux nanas s’embrassent sur la bouche comme de vrais cochonnes. Karine et Tanya ont fait venir Remiremont, leur boss (il n’y a pas de raison, plus on est de fous, plus on rigole). Cinq femmes et deux hommes ! Drôle de conception de la parité.

Comme il a deux invités imprévus, je propose à Gigi que nous nous partagions l’addition, puis retour chez Anna pour le fameux « dernier verre ».

– Alors on partouze ? S’exclame Max, égrillard,
– Ben, non pas forcément, répond Anna.

Un peu hypocrite, Anna je trouve, sur ce coup-là !.

– Alors on fait quoi ? Un scrabble ? Reprend Max.
– Un scrabble érotique ? Se gausse Gigi.
– Pourquoi pas ? Ça se joue comment ?
– Ça se joue à poil.
– Avec des gages ? Demande Karine.
– Tant qu’à faire !
– Ben, Max, si tu te mets à poil, je fais pareil.

Vous pensez bien que Max n’hésite pas un seconde et se déshabille en vitesse. Prise à son propre piège, Karine se sent obligée d’en faire autant, mais à mon humble avis, elle est plus amusée qu’autre chose par ce chalenge idiot .

– Et maintenant ? Demande-t-elle.
– Je te pose une question, si tu réponds mal t’as un gage, si tu réponds bien, c’est moi qui me tape le gage
– N’importe quoi, mais allons-y gaiement.
– Alors question . Qui est-ce qui croque Odile ?
– La ligue !
– Hein ?
– Oui parce que la ligue a tort.

C’est débile mais tout le monde se marre

– Un gage pour Max ! S’écrie Tanya,

Et c’est repris par toute l’assistance .

– Bon d’accord, je serais beau joueur, c’est quoi le gage ?
– Le gage c’est d’aller sucer mon boss !
– Mais enfin, Tanya ! proteste Didier Remiremont puisque c’est évidemment de lui qu’il s’agit.
– Ben quoi, c’est pas une bonne idée ? Fait mine de s’étonner Tanya.
– Mais que va penser Madame Gigi ? Demande Didier.
– Oh, j’en ai vu d’autres ! Répond cette dernière.
– Racontez-nous on veut savoir ! Intervient Karine.
– J’ai plusieurs clients amateurs de godes dans le cul. Fatalement je finis par leur demander si au lieu du gode il ne préférerais pas une bonne queue bien vivante… certains sont intéressés, « pour essaye » qu’ils disent, ils disent tous ça ! Je n’ai plus qu’à organiser le rendez-vous. Bien sûr il y en a qui se défilent, mais pas tant que ça. Alors je leur demande de se sucer, et même parfois de s’enculer, moi je suis à poil et je me fais du bien avec un gode en les regardant, je trouve ça très érotique. En fait il y a plein de variantes, une fois il y avait trois mecs en même temps…
– Hum, intéressant ! Répond Didier, du coup je crois que je vais accepter d’être l’objet du gage… Viens me sucer la bite, Max !

Ces deux-là ont déjà eu l’occasion de pratiquer ce genre de choses (voir plus avant), ce ne sera donc pas une nouveauté !

Didier se débraguette, suscitant la protestation d’Anna.

– Non, monsieur Didier, pas comme ça, Mettez-vous à poil comme Monsieur Max, ce sera plus cool !.

Pas contrariant, Didier se déshabille, Max vient vers lui, lui tripote un peu la quéquette avant de la mettre en bouche.

– Faut que je fasse ça combien de temps ? demande-t-il.
– Comme tu veux, mais ne le fait pas jouir, on voudrait bien profiter de sa bite nous aussi ! Répond Anna.

Didier s’est rassit, Max s’agenouille devant lui et lui reprend la bite en bouche… et il prend son temps Max, le Didier apprécie et se pâme d’aise. Tanya passe derrière son patron et lui pinsouille les tétons afin de l’exciter davantage.

Anna excitée comme une puce propose qu’on se mettent toutes à poil et donne l’exemple,

L’effet d’entrainement fonctionne à fond et nous voici toutes dans le plus simple appareil.

Je n’irais pas jusqu’à dire que la position de nos deux males m’excite, Gigi et moi, nous en avons tellement vus, alors on se caresse, on se bécote. Les baisers devient vite brulants et les caresses osées. On s’amuse à se lécher les bouts de seins à tour de rôle, j’adore ça !

La main de Gigi vient me tripoter ma chatte humide, ça fait floc-floc là-dedans, une sonorité pas vraiment érotique. Je lui rends bien évidemment la pareille, c’est la moindre des choses, non ?

Quand à Anna elle sympathise avec Karine, une sympathie très poussée puisque les deux coquines ont roulé sous la table, je ne vois pas bien ce qu’elles fabriquent mais elles ne sont sûrement pas en train de jouer à cache-cache.

Max a tenu sa promesse de ne pas faire jouir prématurément Didier, il se relève donc.

– C’est à moi de jouer ! Dit-il, mais tout le monde est occupé, personne ne l’écoute.

Du coup, il se rassoit en maugréant, mais Tanya vient le rejoindre.

– Tu veux que je te suce, mon gros biquet ?
– Je te trouve bien coquine, toi ?
– Eh oui, je suis coquine ! C’est pas bien ?
– Moi les coquines je leur flanque la fessée !
– Eh bien vas-y, flanque-moi une fessée, il paraît que c’est bon pour la circulation.
– Alors couche-toi sur mes genoux, je vais t’en flanquer une bonne.
– Oh là là, j’ai peur ! S’amuse-t-elle en accédant à la position demandée.
– Tais-toi, vilaine bavarde ! Oh quel joli cul ! On en mangerais !

Et il se met à taper !

Je ne sais pas si les voisins entendent, mais entre les chattes qui font floc-floc, les coups sur les fesses de Tanya, et les gloussements d’Anna et Karine sous la table, ça finit par faire une drôle de cacophonie !

Didier bien chauffé par la turlute de Max se retrouve tout seul.

– On s’occupe un peu de lui ? Me propose Gigi.

On s’approche lui, Gigi lui grimpe dessus en position de lap dance et lui colle carrément ses seins sur le visage. Didier accueille l’offrande comme il se doit en suçant cet importun téton tandis que je me place derrière lui afin de lui tortiller ses bouts de seins.

Après quelques minutes de ce traitement, Gigi redescend et lui gobe la bite. Je la rejoins. Didier est en extase. Se faire sucer la bite par deux jolies femmes, n’est-ce pas le rêve de beaucoup d’hommes ?

De temps à autre, nous interrompons notre fellation pour s’embrasser à pleine bouche. Ces baisers au goût de bite m’excitent considérablement.

Je mouille, j’ai envie de baiser.

– Encule-moi, Didier !
– T’as des capotes ?
– Je vais en chercher.

J’espère qu’il m’en reste, je n’en ai pas si souvent besoin à la maison, mais je réalise que justement je ne suis pas chez moi. Mais je sais où Anna les range.

Je file dans sa chambre, ouvre le tiroir de son chevet… pas de capotes.

Il va donc falloir sortir, trouver une pharmacie de garde… la galère d’autant que pour faire tomber l’excitation, il n’y a rien de mieux

– Quelqu’un aurait des capotes ? Lançais-je à la cantonade.
– Dans mon blouson, poche intérieure. Répond Max de sa chaise, toujours occupé avec les fesses de Tanya.

Mon sauveur !

Je me mets à la retourne sur une chaise et offre mon fessier aux assauts lubriques de Didier

Sa bite bien raide me pénètre le cul sans problème d’autant que Gigi le stimule en lui doigtant le trou du cul

Ce fut assez bref, Damme, monsieur avait les couilles au bord de l’explosion, mais il m’a tout de même fait jouir

Ça fait du bien, Gigi elle aussi bien excitée me demande de lui faire minette. Alors je lui ai fait minette avec un doigt dans son cul en supplément.

Karine et Anna sortent de dessous la table, épuisées mais repues et se dirigent ensemble vers les toilettes, tandis que Max sodomise Tanya en soufflant comme un bœuf.

Et alors que la blackette gueule son plaisir de façon fort peu discrète, Max sort de son cul, retourne sa partenaire, enlève sa capote et lui asperge son visage de son sperme.

J’irais bien pisser mais impossible d’entrer, les nanas occupent trop de place.

Pas grave, je pisse dans une coupe à Champagne, deux coupes même, parce que j’avais une grosse envie.

– Je vais faire comme toi, me dit Gigi qui elle non plus, n’a pu pénétrer dans les toilettes.

Elle aussi avait une grosse envie.

– Tu veux goûter ? Me propose-t-elle avec un œil coquin.
– Pourquoi pas ?

Alors on a trinqué, chacune dégustant l’urine de l’autre… Et c’est qu’il est gouteux son pipi à Gigi !

Anna, enfin revenue des toilettes a rapporté de derrière les fagots une autre bouteille de champagne et on a trinqué au sexe, à la joie de vivre et à l’amitié.

Fin de l’épisode

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Une réponse à Chanette 32 – Drogue en stock – 10 – Partouze à sept chez Anna.

  1. Forestier dit :

    Et voilà, une nouvelle aventure de Chanette qui se termine. C’était chaud et palpitant… mais peut-être un peu court
    Bonne fête de fin d’année Chanette !

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