Histoires de bons plaisirs… 021 – Les Fesses de la Comtesse… par Verdon

Histoires de bons plaisirs… 021 – Les Fesses de la Comtesse… par Verdon

Monsieur le Comte est un bel homme.

La quarantaine, il s’appelle Séraphin. Il a de l’instruction, du savoir-vivre, des convenances, des goûts particuliers et ce n’est pas l’hypocrisie qui le gène pour se faire valoir dans ce milieu rupin où il évolue.

Alice, son épouse, Comtesse aussi, il va s’en dire, est une jeune femme élégante. Complétement soumise à son mari, elle a du personnel à son service et jouit d’une vie aisée et confortable.

Il garde un œil sur ses dépenses (comme le veut les usages de ces année-là… 1920). Elle n’a pas le droit d’avoir un compte en banque, sans l’autorisation de son mari. Il contrôle ses relations amicales et ses fréquentations ainsi que sa façon de s’habiller. Il choisit son médecin, ses employées et sa coiffeuse, voire même son confesseur, le bon ami de la famille. (Bon moyen pour savoir si Madame fait quelques petits péchés… Oups !).

Elle n’a, bien sûr, aucun revenu, c’est lui qui tient le cordon de la bourse. Il n’est pas avare et lui offre souvent des cadeaux pour peu qu’elle soit bien sage et accueillante le soir quand il en a envie.

Elle ne doit, évidemment jamais mettre le nez dans les affaires de Séraphin. (Sauf en certains endroits pour le plaisir de son maître qui a la rosette gourmande… hi… hi !).

Cette situation ne déplaît pas à Alice. Elle se laisse vivre dans l’aisance et l’insouciance d’une vie très confortable, bien que malheureusement platonique.

En amour elle est néophyte, pucelle à son mariage, elle se contente des quelques coups de queue que lui procure Séraphin, le soir, après avoir éteint la lumière. Elle ne connaît pas l’extase ! elle s’en fout, mais se gratifie elle-même avec de délicieuses caresses digitales.

Il est souvent absent, mais reste apparemment, plein d’attention envers son épouse. Il la chérit, et lui fait l’amour et des cadeaux à chaque retour de ses absences.

Il apprécie cette soumission à laquelle elle se plie facilement. Ça lui laisse le champ libre pour l’organisation de ses propres activités qu’elle ne doit pas connaître et qui dans le fond ne l’intéresse pas. Elle ignore ses infidélités, n’est pas jalouse, assume son rôle d’amoureuse et vit sur un petit nuage.

Dans ce monde hypocrite qui l’entoure, lui se sent valorisé par l’obligeance et la docilité de son épouse. (C’est un homme qui sait tenir son ménage ! dit-on autour de lui.… ).

Dans les soirées mondaines, il se pavane avec elle accrochée à son bras. Sa beauté et son élégance attisent les regards flatteurs, il en est fier, ça fait des jaloux et ça le satisfait complétement. (Pas macho pour un sou le mec !).

Pour Séraphin l’amour conventionnel c’est beau dans les grands draps blancs de la maison familiale. Une légitime, ça sert à ça, pense-t-il. Par contre lors de ses fréquentes tournées dites d’affaires, il s’égare facilement dans de petits hôtels de charme où il s’autorise, avec la patronne de l’endroit, et avec ses soubrettes, des divertissements qui n’ont rien à voir avec les missionnaires ébats sur le lit conjugal.

En certains lieux discrets, il aime aussi, rejoindre des hommes de son rang, pour faire la fête entre eux, loin des récriminations et des jalousies de leurs bonnes femmes.

Après de bons gueuletons et l’alcool aidant, ils se retrouvent bientôt tous à poil, et s’enculent à la queue leu leu en chantant et en jouant au p’tit train ou bien au chef de gare en se sifflant mutuellement la queue. Ils se lâchent complétement et Séraphin n’est pas le dernier à se faire arrondir la pastille et à sucer de bonnes queues, exercices qui lui conviennent très bien.

La cuisinière qui a préparé ce bon repas, reçoit évidemment, les félicitations du jury.

Timide, elle ne veut pas. Elle fait la petite vieille offusquée. Mais ils vont la chercher.

Tous ces hommes nus autour d’elle, l’intrigue et l’excite. En rigolant, elle se hasarde à tripoter quelques pines. Elle a tôt fait de se retrouver elle aussi à poil au milieu de ce petit monde, qui la chatouille de partout en lui retirant ses habits.

Chacun y va de son gentil remerciement. Tous les trésors de la bonne dame sont congratulés. Qui lui fout un doigt au cul, pendant qu’un autre lui carambole la moule. Qui lui pince les tétons ou lui pelote les roploplos.

Allongée sur les genoux de l’un, la bite d’un autre dans sa fine bouche, elle se reçoit de bonnes cajoleries sur ses fesses maigrichonnes. Elle a beau battre des jambes, ils sont vachement câlins les bons messieurs qui ont grands plaisirs à lui tripoter le cul.

Coincée entre ces hommes, elle sent des bites impatientes qui forcent des passages non visités depuis des lustres. Ça ne l’effarouche pas…

Penchée sur un fauteuil, elle écarte volontairement ses cuisses pour présenter entre ses fesses, un petit trou fripé mais encore respectable.

C’est un peu sec. Ça va avoir du mal à s’ouvrir !

Mais qu’à cela ne tienne. Un gars lui lutine follement l’anus.

– Eh couillons ! Arrêtez-vous, vous me faites mal ! Mettez de l’huile !

Aussi, un autre a l’idée de tremper sa pine dans un restant de sauce béchamel bien pimentée.

Du coup, voilà la rosette qui s’ouvre. Ça entre et la mémère s’envoie en l’air comme à vingt ans.

Ça chauffe au cul. Elle n’a plus les pieds par terre. Chevillée de part et d’autre, elle prend apparemment, beaucoup de joie à retrouver ces profondes émotions des temps-jadis.

Loin d’être traumatisée, une bouteille de gin dans la main, elle se prend une rasade entre chaque pine, et la voilà maintenant debout sur la table, qui entonne des chansons grivoises tout en pissant à la volée sur ses admirateurs.

Le coup de la cuisinière, est classique. Il faut dire qu’elle sait à l’avance, ce qui va lui arriver. Elle n’est pas prête à céder sa place. Comme elle est très discrète et aussi délurée que bonne en cuisine, elle est très prisée en ce genre de compagnie. Ce qui lui permet de se faire une petite cagnotte tout en profitant des vigoureuses faveurs de ces Messieurs.

Parfois, une ou deux Comtesses, s’ajoutent à ce beau monde. Elles viennent rechercher ces bons petits soins que leur couillon de mari ne sait pas leur procurer. (Quand ce n’est pas le mari qui les envoie à la casserole, pendant qu’il va baiser une plus jeune !).Je ne vous dis pas dans quel état elles retournent dans le lit conjugal, après avoir usé toutes les pines de la confrérie.

On s’aperçoit donc, que notre homme, s’il a les qualités d’un bon mari, il est par contre, un bien mauvais amant, tout au moins vis-à-vis de son épouse.

Il n’est pas insensible aux charmes d’Alice, mais il ne se permet pas avec elle, les mêmes fantaisies lubriques que lui offrent les dames qu’il rencontre.

En fait dans son lit, il a besoin d’une poupée en porcelaine qu’il doit manipuler avec précaution. Il ne faut pas l’abîmer, elle est là pour redorer son blason, flatter son ego, et son honorabilité.

Notre brave macho qui n’est toutefois, pas naïf, sait bien que les femmes sont parfois des saintes nitouches. Aussi avec finesse et pour sa tranquillité, il embauche Juliette, une gouvernante, pour surveiller sa chérie pendant qu’il est absent, et pour veiller à son bon comportement.

Ça ne lui plaît pas trop à la Juliette, de faire la moucharde, mais c’est bien payé. Les promesses de faveurs en nature, qu’il lui propose en plus, l’incitent à accepter. (Elle est femme d’intérieur, elle a du métier et elle sait bien qu’avec de bons patrons, il faut savoir de temps à autres, lever la jambe pour de mutuelles satisfactions).

Pour l’éducation, elle est partante. Elle a déjà amadoué plus d’une jeune mariée qui avait de la difficulté à assouvir les besoins d’un amoureux besogneux.

Sans le savoir, Séraphin fait entrer le loup (la louve) dans la bergerie…

C’est qu’elle a un petit côté vicieux la bonne Dame. Elle n’est pas de la ‘haute’, mais elle sait en profiter pour se faire des sous et pour foutre le bordel dans ce milieu qu’elle connaît bien.

Elle commence par s’occuper du bien-être de sa protégée.
L’invite à prendre un bain dans leur grande baignoire.
Ça suppose qu’Alice se déshabille devant elle.

– Toute nue ! devant vous ?
– Evidemment !… Tu ne vas pas prendre un bain tout habillée ! Montre-moi ton cul chochotte !

Elle est un peu précieuse, la jeune Dame. Cela fait si longtemps qu’elle ne sait pas trouvée nue devant une autre personne que son mari. La dernière fois, c’était il y a longtemps, devant sa tante Berthe qui lui avait passé une éponge de partout sur le corps… c’était bon. Elle en a gardé un bon souvenir, même que pour bien la décrasser, elle avait glissé l’éponge en des endroits pas convenables, pensait-elle… mais pourtant si coquins !

Aussi avec Juliette, s’est-elle laissé faire… elle écarte bien les jambes. Elle a des manières bien agréables la gouvernante.

– Courbe-toi un peu… que je te lave entre les fesses.

Humm ! Se faire laver les fesses… Elle ne s’est pas fait prier la coquine. Cette éponge dans la raie du cul… que c’est bon.

– Il n’est pas propre ton trou de balle, lui dit Juliette, en lui triturant l’anus.

Ça la surprend, mais ça lui fait beaucoup de bien à Alice, elle en remue délicieusement son cul.

– Il ne t’a jamais dit ton mari que tu as un beau derrière ?
– Monsieur est discret ou timide, je ne sais pas. En tout cas, il n’entre jamais dans la salle de bain quand je fais ma toilette.
– Eh bien, le con !…il ne sait pas ce qu’il perd, l’impudent !…alors tu ne lui montres jamais ton cul ?
– Ben si ! Quand on fait l’amour, même que des fois il m’écarte les fesses pour me chatouiller l’anus !… Ce n’est pas désagréable ! Mais moi je ne veux pas … oh là, là…
– Eh bien tu vois… il en crève d’envie de ton joli cul !…attend-toi un jour ou l’autre à te le faire trouer ton charnu… comme une grande ! Mais c’est à toi de lui offrir une telle joie.
– Mais de quoi parles-tu ! il n’est pas bouché mon cul ! Pourquoi veux-tu le trouer ?… je fais caca comme tout le monde !
– Tu as raison, c’est si bon une petite crotte… qui sort d’un si joli cul… Hi, hi ! Mais attention dans l’autre sens… c’est tellement bon aussi quand ça entre !
– Mais que veux-tu dire… dans l’autre sens ? Que veux-tu y faire entrer dans mon cul ?
– Séraphin, ma chérie… avec sa bite !…Humm !…Un trou du cul c’est fait pour ça… et il est bien équipé ton époux !
– Oh ! Cochonne ! ça ne se fait pas ! Ce n’est pas Séraphin qui me ferait cela !
– Tiens ! Le crois-tu ? Alors pourquoi te tapote-t-il le popotin, si ce n’est pas pour te demander de l’ouvrir !… Il ne t’a jamais léché l’anus ton chéri ?
– Ben oui, même que j’ai aimé, mais j’ai refusé, car c’est sale et c’est défendu !
– Allons donc, l’amour n’est pas sale et ce n’est pas défendu de se faire du bien !
– Justement, un doigt, ça ne doit pas faire du bien. Il n’est pas fait pour ça mon anus !
– Eh bien on va voir… veux-tu te découvrir un peu, je vais te montrer, avec le mien, que ce n’est pas désagréable.

Quelque peu inquiète, mais curieuse, Alice se laisse faire. Courbée dans la baignoire, elle sent la main de la gouvernante, lui caresser les fesses, et s’introduire lentement dans la raie du cul.

– Quand même… elle ne va pas me mettre un doigt dans le cul !

Il y a du savon, aussi ça glisse. C’est doux et le gros doigt qui se pose sur sa rondelle, lui provoque de drôles de frissons… elle ne bouge pas, elle attend… Elle ne devrait pas… Mais c’est si bon !
– Humm !
– Tu vois bien que c’est bon coquine, va ! Tu veux que je m’arrête ?
– Oui ! Euh… Non ! non… continue… Sais-tu que ça me chamboule jusque dans l’estomac, humm !

Ben oui, elle est sensible du trou du cul, Alice ! Voilà qui commence à intéresser Juliette.
Du bout du doigt Juliette fait des bonnes caresses tout autour de la rosette de la gourmande qui écarte bien sa raie du cul pour la laisser faire.

– C’est drôle ! pousse un peu plus, pour voir ! !

Ah bon ! … Du coup elle enduit son doigt de savon… ça aide, et elle l’introduit dans l’anus le gros doigt…

– Ouille ! ça me fait mal… arrête ! Oh ! Qu’est-ce que tu me fais là !

Elle fait un peu l’offusquée la petite Dame… offusquée mais pas trop… ça lui fait un drôle d’effet ce doigt…

– Attends ! elle retire son doigt, Juliette, et elle le donne à sucer à Alice. Suce-le bien, après ça va entrer tout seul.
– Oh ! mais c’est cochon… il y a du caca… pouf, brrr… .ouah !

Elle n’en dit pas plus, Juliette lui a foutu le doigt dans la bouche.

– Pfff ! …
– Alors ! Il n’est pas bon, mon doigt ?
– Cochonne !…Remet-le moi aux fesses… c’est plus marrant !

Juliette le retire et lui plante dans le cul, sans autre forme de procès…

– Oh ! Tu me l’as mis ?…Ce n’est pas vrai ! J’ai un doigt… dans mon cul !
– Ben voilà, ce n’est pas la mort du petit cheval, n’est-ce pas… Tu as mal ?
– Non, c’est même bon quand tu le remues !…Humm, continue…
– A la bonne heure !…Tu es en train de découvrir le plaisir.
– Humm ! remue-le… n’arrête pas !

Elle le retire son doigt, avec l’intention de lui en mettre un deuxième…

– Oh ça pique quand tu le retires… Ouah, remet-le moi !…vilaine ! (et elle écarte bien ses fesses la coquine !).

Du coup, elle veut en mettre deux, Juliette. Ce n’est pas facile, il est serré ce petit trou. Il est têtu, il ne veut pas s’ouvrir. Connaisseuse, elle insiste, Juliette. Elle en fait entrer un et l’agite pour élargir la rondelle. Avec un peu d’autorité, elle pousse le second qui fait son passage dans le fourreau boudiné.

– Aïe ! Retire-toi, tu me déchires !
– Ne fais pas ta chochotte, ce n’est qu’un doigt !

Vous pensez bien qu’elle ne se retire pas Juliette, au contraire elle pousse un peu plus fort. Hi ! hi… (Dans le cul la balayette)… elle jubile la matrone, elle lui a mis à fond les deux doigts dans le cul ! (Et vous, vous n’en auriez pas fait autant ?). Que c’est beau deux doigts dans un trou du cul !… (N’est-ce pas ? les amis… ).

Ça y est les deux doigts dans le cul, Alice pousse un ‘ouf’ de soulagement et finalement se complaît de sentir ce curieux encombrement lui aléser le trou de balle. (C’est bon de sentir quelque chose de vivant dans cet endroit-là !).

– Oh, ça me donne envie de chier…
– Oui, ça aide, mais tu feras cela après…

Cette première séance terminée, la bonne éducatrice retire ses doigts.

– Ouille ! (C’est l’anus qui se resserre… ).

Pour la consoler, Juliette lui écarte la raie du cul et va lui cajoler le petit trou en lui léchant la rosette qui encore tout ébahie, reprend gentiment sa place en se rétractant sagement.

Juliette se relève et fout un super patin à son élève surprise de découvrir le goût acre de son propre cul sur les lèvres de son éducatrice qui vient de faire le ménage de son petit trou pas propre.
– Bon Dieu Juliette, que vous êtes cochonne !

– Mais c’est l’amour Alice… oui c’est si bon parce que c’est cochon !
– Hi !…Hi !

Alice vit finalement un peu cloîtrée, dans cette maison où elle n’a guère de distractions, si ce n’est les ennuyeuses réunions mondaines où l’amène son mari et les visites de ses amies qui bavardent de tout et de rien et surtout pas de ces divertissements coquins dont Juliette lui parle maintenant si souvent.

Petit à petit, avec les bonnes séances que lui procure la matrone, Alice découvre les bonnes choses de l’amour et regrette de ne pas faire des galipettes avec son amoureux.

Elle tente alors d’égayer son mari, le soir dans le lit, mais c’est toujours le même rituel de l’amour à la missionnaire, et à part de lui tapoter de temps à autre, le cul, il rechigne à aller plus loin. (Évidemment il a vidé ses couilles ailleurs, alors le soir… ben il est fatigué le Monsieur… il fait tant de travail !).

Mais ce dernier, on l’a compris, n’a pas l’intention de galvauder ses amours avec sa femme. Elle n’est pas une putain. Elle est Madame de… (Je ne sais plus quoi !). Elle est là pour faire tourner la maison et sans doute, tôt ou tard lui faire un marmot pour sa descendance. (Quoique sa pompe à garnement, n’a pas l’air de bien fonctionner jusques là !).

Aussi Alice qui commence à avoir un bon appétit sexuel, depuis que Juliette lui triture tous les jours le trou du cul et l’entraîne à des plaisirs saphiques, Alice donc, commence à avoir des exigences … avec son homme.

Elle lui montre son cul. Se met dans des positions obscènes, cherche à l’exciter…

– As-tu fini de faire ta salope… bêtasse ! tu vas voir comment je vais te faire passer l’envie de faire la souillon…

Vlan ! Il lui fout une grosse fessée, le salaud. C’est la première fois qu’il lui fait cela. Il en trouve un plaisir, mais il regrette son geste et demande à sa chérie de l’excuser.

Aussi charge-t-il Juliette de ce mauvais boulot, le courageux !

– Juliette… il faut me la dresser mon épouse ! Voyons, elle ne tient pas sa place, à faire la grue, elle me fait honte…Donne-lui quelques bonnes corrections, que je la retrouve bien sage, le soir dans mon lit !

Il lui dit ça tout en se faisant sucer la queue par Juliette, l’infâme bonhomme ! … Et puis il lui donne une bonne fessée à la gouvernante. Il sait qu’elle aime ça la vicieuse… Alors il se défoule

– N’oublie pas que je te gratifie pour cela…
– Oui Monsieur… je m’en vais la corriger, votre capricieuse… Mais vous tapez fort, Monsieur, ça me chauffe le cul !

Il a compris, le monsieur… il faut éteindre l’incendie… Alors il lui pisse au cul et il la baise tout de go… elle jouit Juliette… il n’y a rien à dire, elle a un bon patron !

Aussi elle ne va pas se gêner la matrone pour lui donner de bonnes corrections à son élève…

– Mais Juliette ! Vous me faites mal ! Pourquoi me fessez-vous ?
– Pour ton bien, ma Belle ! Pour la beauté de ton cul et le plaisir de ton mari qui apprécie la jolie couleur de tes fesses, le soir…
– Bof ! Pour ce qu’il en fait de mes fesses ! Mais continue, tu as la main douce !

Alors, plus elles sont rouges les fesses d’Alice et plus Juliette reçoit des bonnes compensations de Séraphin. Il est gentil avec elle. Il lui donne sa bite à sucer. Elle aime beaucoup sucer une bite, la Juliette.

Il faut dire que la bite de Séraphin est particulière.

Elle est grosse cette bite, mais pas très longue en vérité. Mais elle ne durcit pas beaucoup. Elle est épaisse et très moelleuse, avec de grosses veines bleues qui zigzaguent et font des boursouflures tout le long de la hampe. Elle aime le décalotter pour batifoler autour du gland en le léchant et en le mordillant tendrement… ça plaît beaucoup à Séraphin et ça le fait juter dans sa bouche et sur son visage.

S’il a une petit bite son patron, il a par contre des grosses couilles le Monsieur… Elle aime les tripoter, les faire rouler entre ses lèvres… lui gober les roustons…

– Ah ! salope ! Tu es la meilleure… Viens que je t’encule…

Elle rit, Juliette… Il n’arrive pas à l’enculer, elle est trop molle sa bite. Mais les assauts que fait sa pine entre ses fesses, ça l’excite la cochonne… c’est bon… ça lui taquine la rosette et elle aime ça.

Parfois, il se branle sur son cul et éjacule sur son dos, pour terminer par une bonne branlée qu’elle reçoit avec plaisir, surtout qu’il lui enfonce en prime son gros pouce plein de foutre, dans le trou de son cul.

C’est un salaud, mais un bon gars ce Séraphin. S’il joue à la poupée avec sa chochotte, avec les autres il ne s’en laisse pas conter.

Mais Juliette a de la peine pour son élève qui ne profite jamais des bonnes lubricités de son époux.
C’est quand même malheureux, qu’avec son beau petit cul, elle ne fasse pas le profit de quelques braves messieurs de son entourage. Ce serait si mignon de voir une pine lui dépuceler le bel endroit.
Bon ! Puisqu’il faut la dresser cette épouse, elle est décidée à le faire. Quitte à se recevoir de bonnes fessées, autant qu’elles soient méritées… Alors allons-y se dit-elle.

Maintenant qu’elle lui a bien élargi le trou du bonheur, il est temps, se dit-elle de passer à la pratique.

Elle explique à Alice ce qu’il va lui arriver pour avoir encore plus de plaisir avec son homme. Mais comme Séraphin n’est pas disponible il va falloir passer par un suppléant, naturellement.

Alice a bien compris. Elle est vachement inquiète tout de même, mais en même temps, ça l’excite énormément. Elle va se faire sodomiser en vrai, par un homme… Oh, la, la ! Elle craint !

Elle sait déjà ce que c’est qu’un doigt, même deux… après tout ce n’est pas terrible, c’est même bon avec Juliette ! Mais un homme ?…et s’il l’a grosse… Aïe mon petit trou ! Qu’elle se dit.

Remarquez que l’autre jour Juliette lui a enfilé un bon gros godemiché en bois d’olivier… Au début, c’était dur… Elle serrait le cul, elle mettait sa main devant son trou. Aussi Juliette lui rafraîchit la fesse et du coup, c’est rentré ! Et hop ! Elle s’est pris le bâton dans le cul…

– Aïe… Ouille ! Humm !
– Bien ! Voilà, maintenant on dit : merci Madame ! C’est bon !
– Oui merci…
– Dis-le-moi que c’est bon…
– Oh, oui que c’est bon… Remue le moi un peu… Humm !

Elle se régale, Juliette de voir Alice avec ce bâton dans le derrière et qui serre ses fesses pour l’empêcher de sortir…

Mais il fuse le vilain… expulsé comme un obus en 40… pfutt !…Elle grimace en sentant son anus se resserrer.

Quand il est ressort le voyou, il n’est pas joli, joli le faux sexe. Elle lui dit de le sucer, la cochonne de Juliette … Elle ne veut pas Alice… Mais elle insiste Juliette… C’est la règle, une honnête amoureuse ne peut pas laisser son amant rentrer chez lui, sans lui faire une petite toilette !

– Eh bien Juliette, tu m’en apprends des choses crasses !… Ah ces hommes, ils sont salauds, mais ils ont de la condescendance pour leur bonne femme !
– Oui, en fait, ce sont des salauds au bon cœur !
– Pfff !…eh bien elle ne dit rien Alice… elle suce… c’est tout… (Et elle n’en est pas morte… ).

Pour en revenir à notre histoire, Juliette se dit que pour un premier essai, ce serait bien de faire venir Norbert, le jardinier.

C’est un brave gars, Norbert, un peu rustre sur les bords, mais gentil et pas bavard. D’ailleurs, Juliette l’a déjà essayé l’ouvrier. Il lui a fait ça à la mode bouquetin, un peu vite. Derrière l’abri-jardin. La jupe sur la tête, le pantalon sur les chevilles… et vas-y qu’il te lui secoue le popotin jusqu’à lui remplir le trou de balle d’une épaisse purée qu’elle a bien appréciée la Juliette. (Grosse bite et beaucoup de jus, ça facilite le passage, ce qui n’est pas désagréable).

C’est un marrant le Norbert. Quand il n’a pas de femme, il se satisfait avec une courge…Hi ! Hi ! (Oui, il fait un trou dans la courge et hop !…suivez sa bite !), après il rebouche le trou et vendue, ni vu, ni connu… aux bonnes dames, sur le marché. (Ce n’est pas un brave gars cet homme-là !).

Donc vous pensez-bien que faire un petit câlin à sa patronne… il s’est vite dévoué l’enculeur de courge… ça va changer de confort !

09/08/2024

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3 réponses à Histoires de bons plaisirs… 021 – Les Fesses de la Comtesse… par Verdon

  1. Doodle dit :

    Les fesses, ce n’est pas seulement pour s’assoir !

  2. Roques dit :

    Comtesse a toujours rimé avec plaisir des fesses

  3. Thomas dit :

    Tant que les aristos baisent comme des lapins, ils ne font pas chier le petit peuple !

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