Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 5 – Massage spécial pour Edina par Nicolas Solovionni
Edina me reçoit en nuisette rose quasi transparente. Waouh, elle est vraiment canon ! Mais je suppose que le choix de cette tenue n’a rien de gratuit, madame doit avoir un plan ? J’ose espérer qu’il ne sera pas machiavélique.
– Bien, commençons, dois-je vous appeler « capitaine » ?
– Peu importe.
– Vous avez eu toute la nuit pour peaufiner un beau mensonge, donc première question : qu’êtes-vous venu foutre ici ?
– Un type m’a vendu les coordonnées de cette planète…
– En vous disant que j’y étais, c’est ça ?
– Oui.
– Et donc vous êtes venu ici en sachant qu’il y avait une belle prime à l’appui et vous me racontez que l’argent ne vous intéresse pas. Me prenez-vous pour une imbécile ?
Elle m’agace, elle ne va jamais me croire… Et ses tétons qui pointent sous sa nuisette, elle va me rendre dingue.
– Si au lieu de mater mes nichons, vous me répondiez ?
– Je n’ai jamais dit que l’argent ne m’intéressait pas, mais ce n’est pas cela qui a motivé ma venue ici…
– C’est quoi alors ?
– Du fric, j’en ai à ne plus savoir en faire, mais je m’emmerdais sur ma planète, alors j’ai voulu réaliser une bonne action…
Je ne sais pas trop ce que j’ai pu dire de drôle, mais Edina se met à rigoler comme une bossue.
– C’est tout ce que vous avez trouvé, vous ne vous êtes pas trop foulé.
– C’est pourtant la vérité.
– Très crédible en effet. Et je peux vous demander d’où sort votre supposée fortune ? L’héritage d’une vieille tante ? Le piratage d’une banque ?
– Non, j’ai trouvé un trésor.
– Non, sans blague, dites-moi, vous êtes capitaine de vaisseau ou directeur d’une troupe de clown ?
Elle m’énerve, elle m’énerve !
– Comment vous prouver ma bonne foi ?
– Racontez-moi cette histoire de trésor, j’adore les contes de fées !
– C’est une longue histoire.
– Je m’en fous, j’ai tout mon temps, je veux tous les détails.
Je lui ai donc raconté mon aventure dans les labyrinthes d’Orza (voir cet épisode).
J’avais vraiment l’impression d’être comme Shéhérazade dans les 1001 nuits, racontant une belle et passionnante histoire afin d’éviter d’être exécuté trop vite.
– Quelle imagination ! On s’y croirait !
Edina active ensuite son interphone, je n’aime pas trop ça et commence à me demander ce qui va me tomber sur le coin de la tronche.
– Baboukar, va me cherchez les quatre autres et amène-les-moi.
Ah bon ?
Mon staff se pointe, peu rassuré, Edina toise tout ce petit monde avec un regard inquisiteur.
– Votre capitaine m’a raconté une bien belle histoire ! Etiez vous avec lui sur cette planète dont j’ai oublié le nom… Vous savez avec le labyrinthe…
– Orza ? Répond Dyane.
– Donc elle existe bien, alors tu vas rester avec nous, Baboukar, tu raccompagnes les autres en bas. Bon toi, comment tu t’appelles ma grande ?
– La grande elle s’appelle Dyane, et vous ?
– Alors Dyane, figure-toi que ton capitaine vient de nous raconter une histoire abracadabrante qui se serait passé sur Orza, mais comme je n’en crois pas un mot, tu vas me raconter ta version de cette belle histoire et avec tous les détails en commençant par le début et en finissant par la fin.
– Mais quel intérêt ?
– Je t’expliquerai si t’es sage, allez je suis tout ouïe !
Dyane ne comprends pas et se tourne vers moi, le regard interrogateur. Je lui fais signe de faire ce qu’on lui dit.
Elle a donc à son tour raconté l’histoire…
– Bravo, vous m’avez bluffé. Parfois la réalité dépasse la fiction. Donc voilà un point d’acquis, vous n’êtes pas vraiment des chasseurs de primes, vous êtes des rêveurs romantiques. Mais dites-moi, chère Dyane qu’avez-vous fait de cet argent facilement gagné ?
– J’ai investi dans un salon de massage de luxe, j’espère que ça ne vous choque pas ?
– Mais non ! Massages traditionnels ou érotiques ?
– Nous faisons les deux, mais je dois avouer que le massage traditionnel est peu demandé.
– Et en ce qui vous concerne, vous vous contentez de supervisez où il vous arrive de mettre la main à la pâte ?
– Ce serait plutôt la main à la bite… mais dites-moi vous êtes fort curieuse.
– Vous n’êtes pas obligée de me répondre.
– Mais je vais le faire quand même, vous savez une bonne cheffe d’entreprise doit montrer l’exemple.
– Hi, hi ! Et vous capitaine qu’avez-vous fait de cet argent ?
– J’ai racheté un night-club !
– Et on y fait quoi dans ce lieu, on danse, on drague ?
– Et même plus, si affinités.
– Vous m’avez l’air bien délurés tous les deux. Je peux vous poser une question, Dyane ?
– Posez, vous êtes chez vous mais je ne vous promets pas d’y répondre.
– Vous êtes quoi sexuellement ?
Dyane ne put refreiner un petit rire nerveux.
– Avec tout le respect que je vous dois, qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Ne vous braquez pas, ça vous enlaidit le visage, je vais être plus directe : coucheriez-vous avec moi ?
– Si les circonstances étaient différentes, la chose pourrait éventuellement s’envisager mais…
– On peut voir les choses autrement, cela peut être une façon de modifier nos rapports !
– C’est bien possible mais je ne me sens pas trop motivée.
– Je me sens un peu nouée, vous n’allez tout de même pas me refuser un petit massage en tout bien tout honneur.
– Savez-vous que je suis capable de vous prendre au mot ?
– Comment cela ,
– Et bien de vous masser comme vous dites « en tout bien tout honneur » .
– Alors faisons-le.
Et Edina retire sa nuisette sous laquelle elle n’a rien d’autre et s’affale sur le ventre sur un petit et moelleux sofa
Quel cul, mes amis, quel cul !
– Avec de l’huile de massage et une serviette, ce serait mieux ! Lui précise Dyane.
Voilà qui n’est pas un problème, Edina. demande tout cela par l’interphone.
– Je vais vous laisser ! Crois-je pouvoir dire.
– Mais non restez donc, votre présence ne me gêne absolument pas… A moins que la vue de mon joli postérieur vous importune ?
– Il ne m’importune pas, il me charme !
– Alors continuez à le reluquer si ça vous fait du bien. Et vous chère Dyane vous attendez quoi pour commencer ?
– On y va, on y va… Mais je crains qu’avec cette combinaison trop rigide, je sois gênée dans mes mouvements !
– Mais ma chère, mettez-vous donc à poil et ça résoudra le problème.
– Evidemment, c’est une solution…
Et sans discuter davantage, ma seconde de vaisseau se débarrasse de se combinaison grisâtre pour apparaître nue comme la Venus qui vient de naître. J’ai beau la connaître par cœur, la Dyane, je ne me lasse jamais de la vision de sa nudité provocante.
– Dis donc, t’es drôlement gaulée ! Lui fait remarquer Edina.
– Ben oui, il n’y a rien à jeter… peut-être deux ou trois kilos en trop…
– Mais non, mais non. Je peux te toucher tes nichons ?
– On avait dit que l’on ferait ça en mode soft. Objecte Dyane.
– On a jamais dit ça, j’avais simplement parlé d’un petit massage en tout bien tout honneur. Donc pour le bien, je vous fais justement confiance pour me faire ça bien, quant à l’honneur, c’est compliqué ce truc-là…
Dyane éclate de rire.
– Bon, dites-moi clairement ce que vous souhaitez, parce que là je suis un peu perdue ?
– Massez moi mais promettez-moi que je pourrais ensuite vous embrasser les nichons.
– O.K., ça marche !
Et cette fois c’est parti. Dyane fait couler de l’huile de massage sur le corps voluptueux d’Edina Von Graz, puis l’étale. Et pour le moment le massage reste traditionnel, la nuque, les épaules le dos, les cuisses, pas les fesses… Mais à mon humble avis ça ne devrait pas tarder.
Ben non, ça ne vient pas, j’ai l’impression que Dyane joue à tester la patience de sa partenaire.
C’était tout à fait ça, et ç’est Edina qui craque la première.
– Et si tu me massais un peu le cul ? Ce ne serait pas mal, non ?
– Mais bien sûr il suffisait de demander.
Et voilà Dyane qui se met à malaxer le cul de la vedette comme s’il s’agissait de pâte à pétrir.
Je me marre, parce que je suis bien placé pour savoir comment ma seconde de vaisseau pratique ses massages et je devine donc comment les choses vont évoluer..
N’empêche que de voir ce joli cul huilé se faire malaxer de la sorte me donne la trique et que je ne peux m’empêcher de me tripoter la braguette.
Evidement Edina s’en aperçoit.
– Dite donc, capitaine, si vous avez des envies masturbatoires, ne vous gênez surtout pas pour moi, sortez votre machin et astiquez-le. J’adore qu’on se branle en me regardant !
Je ne vais quand même pas me dégonfler, je sors ma bite toute raide et me la branle doucement. Et histoire de voir mieux ce qui se passe je me rapproche de la table de massage.
Dyane a maintenant écarté les sillons fessiers de sa patiente, et son doigt vient fureter autour de l’anus brun. Edina ne proteste pas. Le contraire m’eut étonné quand même.
– Je te fous un doigt dans le cul ?
J’aime bien Dyane quand elle fait dans le romantisme !
– Oui, vas-y encule moi bien avec ton doigt de salope !
Voilà, le romantisme est partagé !
Dyane fait aller et venir son index dans le trou de balle de la belle.
– T’aimes ça, hein, salope?
– Oh, oui ! Je suis une grosse pute en chaleur, mais j’aimerais quelque chose de plus costaud que ce doigt, capitaine venez donc m’enculer !
Je ne m’y attendais pas à celle-ci ! Mais bon, il y a des invitations qu’on ne saurait refuser ! Et la bite en avant je me précipite vers ce trou du cul fort accueillant
– Attendez, je vais vous sucer un peu avant, comme cela ça glissera mieux !
Voilà qui n’est pas un problème d’autant que sa langue est diabolique, on la croirait montée sur piles. Si elle continue à ce rythme je risque de lui juter dans la bouche, ce qui n’est pas vraiment le but du jeu..
– Allez maintenant tu peux y aller !
Je me déplace vite fait, Edina s’est légèrement relevée afin que je puisse mieux accéder à sa croupe. Je lui écarte les fesses et d’un coup sec je la pénètre.
Pendant ce temps, Dyane est passé de l’autre côté offrant ses jolis seins aux caresses de la vedette en exil.
Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, et malgré mes efforts pour faire durer la chose, j’éclate ma jouissance dans son cul..
Je me retire un peu péteux. J’ai la bite gluante de sperme et d’autre chose aussi.. Je me recule cherchant de quoi me nettoyer.
– Où tu vas ? Viens là que je te rince !
Après tout si ça lui fait plaisir… Et cette grosse vicieuse se mit à me faire une toilette intime qui avait l’air de la régaler.
– Humm, j’adore sucer une bite qui sort de mon cul !
Ben oui on avait compris !
– J’en reprendrais bien encore ! S’écria Edina décidemment excitée comme une puce. Tu peux repartir ?
– Euh il faudrait attendre 10 minutes…
– Ben moi j’attends pas 10 minutes…
Et la voilà qui se dirige vers l’interphone.
– Boubakar, viens nous voir cinq minutes !
Ah bon ?
Et le voilà qui arrive, il ne semble même pas surpris de nous voir tous les trois à poil.
– Dépêche-toi de te déshabiller, j’ai envie que tu m’encules ! Lui lance Edina.
– Bien Madame !
Et le voilà qui déballe la marchandise. La bite est de bonne taille, j’en ai vu des plus grosses, mais elle est très belle et je n’arrive pas à la détourner de mon regard.
– Bel engin, n’est-ce pas ? Me nargue Edina qui a dû lire dans mes pensées cochonnes.
– J’avoue !
– Je parierais que vicieux comme tu es, tu te la foutrais bien dans ta bouche ?
– Ma foi, pourquoi pas ?
– C’est bien ce que je dis toujours, tous les hommes sont à moitié pédés ! Vas-y suce là, mais juste un peu, parce qu’après je la veux dans mon cul !
Comme le corbeau de la fable, j’ouvre une large bouche et tente d’engloutir ce morceau de choix. Quelle douce texture alliée à une odeur musquée, un véritable régal !
Mais ce n’était qu’une mise en bouche, c’est le cas de le dire, et comme toute mise en bouche, ça ne dure que l’espace d’un instant. Boubakar quitte donc ma bouche pour aller planter sa bite dans le trou accueillant de sa patronne.
Joli spectacle, Dyane est venue près de moi tandis que je regarde, du coup je lui pelote les seins, je ne peux pas m’en empêcher.
Edina a fini par jouir du cul comme une bête en rut.
– Ça devait être un massage soft ! Fait remarquer Dyane avec un sourire narquois.
– Ben oui, ça devait… Boubakar passe-moi ma robe de chambre et après tu pourras nous laisser…. Non, sers-nous donc à boire, ça donne soif toutes ces petits jeux !
On nous a servi un truc légèrement alcoolisé au vague gout d’agrumes, pas mauvais du tout…
– Je peux vous poser une question ? Demandais-je
– Posez toujours, on verra bien !
– Je m’attendais à vous trouver prisonnière…
– Eh bien, vous voyez, je ne le suis pas ! Je comprends votre déception, vous vous imaginiez déjà en héros sauvant la belle actrice des griffes des vilains mâles prédateurs. Ben vous arrivez trop tard, ma libération, je l’ai géré toute seule comme une grande fille.
– Et c’est indiscret de vous demander…
– Comment j’ai fait ? Rien de plus simple, après l’attaque du Glory7, nous avons été dispatchés, je passe… je pensais qu’ils nous garderaient en otage contre rançon mais ils ne voulaient pas prendre le risque de ce genre d’opération, donc après quelques pérégrinations, je me suis retrouvée avec quelques autres jolies femmes dans une vente aux enchères. J’ai été acheté par un dénommé Farkinos, un gros con dont je n’avais jamais entendu parler. Il m’a amené ici… Le mec m’a tout de suite mis au parfum. « J’ai été dans l’obligation de me séparer de ma dernière favorite qui a eu la mauvaise idée de se rebeller, je lui ai donc fait couper la tête » ! J’étais donc dans le château de Barbe Bleue…
– Et vous vous en êtes débarrassé comment ?
– J’y viens, j’y viens ! Pendant un mois, j’ai joué les femmes dociles, le temps de comprendre comment son repaire fonctionnait. Puis une nuit j’ai profité du fait que Farkinos était à moitié bourré pour l’étrangler. J’ai fouillé dans sa chambre et trouvé un pistolet désintégrateur. J’ai donc sonné son garde du corps, celui qui était responsable du meurtre de ma prédécesseuse et je l’ai occis.
– Eh bin !
– Comme vous dites ! Vous avez devant vous une redoutable meurtrière, deux cadavres sur la conscience et je n’ai aucun remord.. Il fallait ensuite que je prépare mon départ, un vaisseau ravitailleur se posait, d’ailleurs il se pose toujours, tous les mois, il suffisait que je lui demande de m’embarquer et le tour était joué. Entre temps j’avais tissé des liens d’amitié avec certains de ses employés, Baboukar, Arkon, les filles… On a fêté l’élimination de Farkinos, on a fait la fête, on a bien rigolé… Quand le vaisseau de ravitaillement est arrivé, je me suis dit que je n’étais pas si pressée que ça et que je pouvais attendre un mois de plus, je me trouvais bien là. De façon naturelle, j’étais devenue la chef de ce dôme, tout le monde m’aimait bien. Je me suis dit que finalement j’étais bien ici, loin des journalistes, des fans débiles, des obligations protocolaires à la con… Et que les gens me croient disparue était le moindre de mes soucis.
– Eh bien, félicitations, chère madame.
– Bof ! Disons que j’ai eu du bol !
A suivre
Sur ce site tous les massages finissent par déraper… On ne saurait s’en plaindre
J’aime l’univers de cet auteur, l’érotisme dans les étoiles ça fait rêver !
Massons, massons mes sœurs, c’est tellement bon !